When You're Gone ... [ Pv Enrique ]

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* Smiley ... Thinks or Memories ... *

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When You're Gone ... [ Pv Enrique ] 322925

Content de RP avec Toi !

La nuit semblait à peine s'être installée que déjà, pour Enrique, elle s'en allait, le laissant seul, encore une fois pour le laisser contempler cet auror de chaque journée qui lui promettait toujours plein de promesses qui ne se réalisaient pas toutes en fin de soirée, pour ainsi recommencer le jour d'après, puis, continuer le jour prochain, et ainsi de suite. On croyait le connaître, mais il n'était pas celui que tout le monde croyait. Beaucoup de gens le voyait comme une personne impitoyable, sarcastique et sans coeur de part sa façon de rire de tout, des sujets des plus taboos comme la mort, le Sida, ou ce genre de chose... Sa philosophie n'était autre que celle de rire des choses qui font le plus mal... Car en pleurer, on ne s'en arrêterait jamais. Et oui, mes amis, la vie est une pute.

2 mois s'étaient écoulés depuis la mort de Cecilio. Il semblait s'être remis de cela, mais il ne pouvait s'empêcher, chaque soir, chaque matin, même le midi lorsqu'il n'était pas au boulot, d'aller y faire un tour quelques minutes, voir y passer les nuits entières, à regarder des photos, des dessins, ou des textes que Cecilio avaient fait durant sa jeunesse, avant que l'ange noir ne vienne le prendre. Enrique souriait à présent. Il le savait en sécurité, hors d'atteinte de toute souffrance, sinon, celle de voir les gens qu'il aime, rester sur terre et souffrir. Dieu le protégerait désormais. Enrique le savait. Il l'était... Il se releva de son lit, se frottant les yeux doucement, tentant de retirer cette fatigue. Finalement, il se leva, attrapant ses affaires qu'il avait rapidement préparer la veille, retirant son caleçon pour aller se doucher.

La douche prise, cette légère fragrance masculine qu'il se mettait, n'agressant en rien l'odorat, il sortit de la salle de bain, s'ébourriffant les cheveux, avant d'aller prendre son café. Il attrapa son pantalon blanc et immaculé avant de mettre son sous pull noir. Sur la table, il y avait déjà son café fumant, qu'il but rapidement avant de regarder le soleil se levait sur le balcon, s'appuyant doucement. Le visage baigné par la beauté des rayons du soleil, il but son café tranquillement. Ce jour semblait particulier pour Enrique... C'était comme si cette nuit, il avait su, il s'était enfin convaincu, que son fils ne reviendrait pas... Et qu'il fallait qu'il le retira de Poudlard. Son dossier, ses affaires et surtout son dossier médical. Enrique y tenait. Il ne souhait pas que son fils soit un sujet d'examen. Non, interdiction. Vous l'aurez comprit. Enrique était quelqu'un de croyant.

Quelques heures, aux alentours des 10 h. Il chaussa ses chaussures de cuires noirs, puis, il transplana en direction de Poudlard. Le froid ne lui faisant pas grand chose, Enrique marcha le long de l'allée de pré au lard, en se posant pour la première fois de sa vie, une question sur la marche à suivre. Ce n'était pas dans ses habitudes ce genre de chose... D'habitude, il agissait sans rien dire, comme par instinc, mais là... "

Salut ! J'viens chercher le dossier de mon fils récemment décédé. Vous passez une bonne journée ?

" Non, ça ne le faisait pas du tout. Mais comment savoir ? Il ne le savait pas... Lorsqu'il passa les portes du portail, il eut un léger sourire. Des bons souvenirs comme des mauvais lui revinrent... Il avança.

Les portes de l'infirmerie. Que faire ? Quoi dire ? Comment entrer ? Comment réagir ? Il perdit sa "joie de vivre" lorsqu'il leva le poing pour taper et entrer. Il s'avança doucement, à travers les allées de lit sur les côtés, le regard perdu, revoyant les fois où il était revenu à Poudlard cherché son fils pour le mener à Ste Mangouste car il refaisait une rechute... Il effleura l'un des lits où son fils avait faillit décédé, et une larme coula le long de sa joue. Il s'essuya rapidement la joue, avant de reporter son regard vers la porte du bureau dont la porte était ouverte. Il s'y approcha, passant un regard pour voir, avant de taper. Restant sur le pas de la porte, le bureau de Mme Tamara devant lui, il eut un léger sourire avant de dire :

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Bonjour...

Enrique n'avait pas su posé une question. Il se sentit honteux de lui même... Qu'est ce qu'il se sentait con... C'était une chose qu'il n'arrivait pas à comprendre. C'était humain !

" Tales of Symphonia ... Sweet Wave ... "

-"L'hibiscus ... plante aux vertues apaisantes. A forte dose elle peut donner la nausée et faire sombrer le patient dans un sommeil sans rêve. Trés douce, elle ne laisse aucune trace néfaste dans l'organisme et se révèle être la plus parfaite des alliée contre l'insomnie."

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M

- Bonjour...

-Bonjour également ... que puis-je faire pour vous ?

E

- Toute mes condoléances, Monsieur Almadovar ,je présume. Dakota m'a signalé votre prochaine visite... Je ne puis rien faire de plus que vous remettre le Dossier publique de votre frère. La partie privée de celle-ci relève du secret professionnel tant que le ministère n'aura pas jugé bon de lever celui-ci... je suis sincèrement désolée."

* Si ce n'était que moi ... j'aurais tout fait pour tout vous donner ...*

S

- Si je peux faire autre chose ... pour vous, n'hésitez pas. Je n'ai pas l'expérience de l'ancienne infirmière mais je connais toutes les procédures pour alléger les obligations dus à ... la mort de votre frère ... je suis désolée... j'aurais dus me taire !"

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- Si vous désirez parler ... je suis toute ouie ... je sais combien il est bon de parler à un inconnu de temps à autre ...

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Bonjour également ... que puis-je faire pour vous ?

Enrique ne put répondre. Il n'avait pu s'empêcher de penser de répondre : Je suis venu pour faire mes courses. Où se trouve le poivre ? Mais là, ça le faisait pas tellement. En effet, on était dans une infirmerie, et à Poudlard. D'autant plus que c'était pour son fils. Oui, pour Cecilio, qui avait fait ses études à Gryffondor. Si les deux pauvres années qu'il avait eut à faire à Poudlard pouvaient être appelé comme tels, étant donné qu'il avait partagé son temps entre Ste Mangouste et Poudlard, ainsi que le Manoir Almadovar où il était le mieux. Enrique posa son regard sur le bureau d'un air absent tandis que cette dernière s'était approché de lui, avec cette grâce féminine qui l'affectionnait particulièrement. Sur le moment, il n'avait pas sentit cela. Il était, il fut, l'espace de quelques instants sur une autre planétre à des milliers de kilomètres. Ce ne fut que lorsque l'infirmière lui parla, qu'il ne put s'empêcher d'avoir un léger sursaut avant de relever son regard vers cette dernière, dont le visage épprouvé une certaine tristesse qui mit du baume au coeur d'Enrique. Cette dernière lui parla, réouvrant la conversation alors qu'il n'avait pas répondut à sa première question.

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Toute mes condoléances, Monsieur Almadovar ,je présume. Dakota m'a signalé votre prochaine visite... Je ne puis rien faire de plus que vous remettre le Dossier publique de votre frère. La partie privée de celle-ci relève du secret professionnel tant que le ministère n'aura pas jugé bon de lever celui-ci... je suis sincèrement désolée.

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N'y a t il pas un moyen de...

Enrique ne put s'empêcher de sentir son coeur augmentait en intensité et il sentait une douleur le prendre doucement au niveau du coeur. Il se gratta doucement sa légère barbe blanche contrairement à ses cheveux noirs. Néanmoins, le passage de la barbe aux cheveux, se faisaient par un fin dégradé le passant par le gris et toutes ses variantes... Le fait que le Ministère en garde une partie l'énervait un peu. Ca le travaillait... C'était son fils, pas le leur. Et il avait peur qu'il se serve des résultats et de la vie de son fils, de ce qu'il a enduré pour des fins scientifiques ou pour simple témoignane ou base de protocoles. Non, ce n'était pas comme cela que sa mort devait servir. Enrique ne put s'empêcher d'en vouloir à l'infirmière l'espace de quelques secondes. Il n'arrivait pas à... Sa main se mit à trembler. Putain, non... Il sut à cet instant qu'il n'était pas prêt de lui dire au revoir... Non, pourquoi était il venu ? Non, calme toi... Elle cherchait le dossier de Cecilio. Enrique sentait son genou se joindre à sa main gauche. Il se mit à regarder un peu partout comme pour regarder de partout cherchant une simple issue... Son rêve, sa plus grande peur... Elle ne cessait de revenir... Non, non... Pars de là... Elle se retourna. Il leva son visage vers le sien, et là... Tout se retira. Peur, crainte, rêve... Il était subjugué. Cela ne put se voir que par ses iris d'argents... Ils étaient devenu brillant comme si il avait vu la sainte vierge. Il tendit la main, prenant le dossier dans ses mains. Il vit le nom de son fils... Ce fut systématique. Une larme perla, et coula le long de sa joue pour tomber sur le buvard du dossier.

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Si je peux faire autre chose ... pour vous, n'hésitez pas. Je n'ai pas l'expérience de l'ancienne infirmière mais je connais toutes les procédures pour alléger les obligations dus à ... la mort de votre frère ... je suis désolée... j'aurais dus me taire !

Il voulut dire quelque chose, mais ses lèvres, malgré qu'il parvienne à les entrouvrir, il ne put emettre le moindre son. Enrique était complètement chamboulé. C'était une chose qu'il parvenait à comprendre difficilement. L'hispanique n'était pas dans son domaine de prédilection. Il s'apprêta à faire demi tour, car il savait qu'une phrase de plus, et il s'éffondrerait. Il sentait le trop plein d'émotions qui revenaient de l'envahir... Enrique se passa une main sur le visage, l'air étrangement las, et lorsqu'elle lui reparla, il tourna la tête vers la chaise qu'elle lui montrait et il acquieça d'un signe de tête. A ce moment là, il eut un léger frisson le long de sa colonne vertébrale.

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Si vous désirez parler ... je suis toute ouie ... je sais combien il est bon de parler à un inconnu de temps à autre ...

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Je... Merci.

Il alla s'asseoir, puis, alors qu'il se posa sur la chaise. Sa main se remit à trembler. Il se passa cette dernière sur le visage, avant de sentir des larmes le long de ses joues. Il ne s'était pas rendu compte que ses nerfs lâchaient... Elle le mettait en confiance par sa simple prestance... Enrique eut un léger soupir, avant de dire doucement :

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J'arrive pas à m'y faire... C'est normal ?

- Stronger ... Than Yesterday ?!-

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- J'arrive pas à m'y faire... C'est normal ?

I

- Perdre un être cher est toujours difficile. Il est normal de ne pas y croire, de se rattacher à l'espoir qu'il passe le pas de la porte de votre demeure... vous êtes attaché à certains souvenirs passaient avec lui... il faut chérir ses instants, ils vous aideront à surmonter son absence. Même si je ne suis pas la mieux placé pour parler de sentiments et de douleurs... cherchez la compagnie, ne restez pas seul. Changez vous les idées mais n'essayez pas d'oublier Cecilio... servez vous de son souvenir pour devenir plus fort, transformez votre douleur en rage de vivre ou en douceur nostalgique."

S

- Voulez vous me parler de lui ? Ou me parler de tout autre chose ? J'ai du temps libre alors ça ne me gêne pas que vous vous attardiez ici... A votre guise, moi je me porte volontaire pour vous tenir un peu compagnie !"

A

- Que je suis sotte ... j'ai oublié de reprendre le Dossier rouge dans celui de Cecilio... qu'elle éffrontée, Monsieur Almadovar est parti tellement vite que je n'ai put le rattraper... C'est bête n'est-ce pas ?!

C

HRP: hihihihihi

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Enrique se sentait particulièrement mal à l'aise. Pourquoi se laissait il aller, à la confiance, décidant de lui parler de ces maux qui le tracassaient. Pourquoi à elle ? Pourquoi à cette douce et belle femme ? Enrique eut un léger regard qui ne pouvait signifier qu'une chose : Elle lui avait taper dans l'oeil. Néanmoins, il ne s'en rendait pas compte même si son regard dévoilait la chose d'une façon si subtile, si romantique, si sensuel... Elle lui parlait, et plus elle lui parlait, plus le son de sa voix lui faisait du bien, comme lui chassant toutes ses peurs les plus noirs qu'il possédait. Enrique n'arrivait plus à sentir l'horreur d'avoir perdu son fils... Elle semblait lui avoir adoucit la chose, la rendant plus jolie, plus douce, plus facile à penser, à comprendre... Il baissa le regard vers ses mains qui jouaient ensemble inconsciement, puis, il ne put s'empêcher de relever son regard avec un petit partagé entre la nostalgie et le bien qu'elle lui faisait.

Chaque mot... Chaque son... De la beauté à l'état pur. De la magie ? Sûrement. Enrique la regardait sans vraiment la voir, du moins, sans y faire attention. Elle était là, sa présence lui réchauffant le coeur d'une manière inhabituelle, se demandant ce qu'il lui arrivait. Le soleil l'éclaira dans son intégralité par la fenêtre lui donnant un petit air de sainte avec ce halo lumineux provenant des rayonnements du soleil. C'était sans compter cet arc-en-ciel si magnifique, si envoûtant... Ses cheveux ondulants sur ses épaules, tel une cascade d'or jaillisant doucement d'une source dont le débit était doux, calme et sensuelle... Son regard le transporait dans un champ de bonheur et de tranquillité. Il ferma les yeux, ses lèvres s'étirant en un sourire. Il semblait dans son monde, se questionnant, se demandant ce qu'il avait. Il n'arrivait pas à saisir la signification de ces sentiments... Etait elle vélane ? Non, sûrement pas... Mais sa beauté... Et ses yeux... Il eut un petit sourire à nouveau. Il les réouvrit.

A côté d'Oksana, il y avait une petite silhouette. Son fils. Cecilio. Il était venu assisté à cette courte scène. Enrique le regarda quelques instants, ne sachant que faire, ne sachant qu'elle comportement adopté. Il le regarda avec une joie phénoménale ! Il était en bonne santé ! Cecilio leva sa main, le pouce levé. Enrique eut un léger sourire, tandis que Cecilio lui faisait un clin d'oeil. Il baissa les yeux en secouant doucement la tête, avant de reporter son regard vers lui. Il avait disparu. Il lui avait donné son accord. Il veillait sur lui. Enrique était rassuré. Il le savait à ses côtés. Plus rien ne pourrait les en empêcher. Cecilio veillerait sur son père tout le temps qu'il faudrait. Oksana s'était déplacée vers l'armoire.

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Voulez vous me parler de lui ? Ou me parler de tout autre chose ? J'ai du temps libre alors ça ne me gêne pas que vous vous attardiez ici... A votre guise, moi je me porte volontaire pour vous tenir un peu compagnie !

Il n'arrivait pas à répondre. Ses lèvres étaient closes. Ses yeux ne cessant d'enregistrer chacun des mouvements d'Oksana. Il semblait beaucoup plus détendu. Et lorsqu'elle sortit le dossier médical qu'elle avait précédemment retiré de celui qu'il avait dans les mains, il comprit. Son regard devint beaucoup plus doux, baissant toutes ses armes. Il se sentait nu devant la jolie femme qui semblait être d'une humanité exemplaire et si touchante. Enrique se leva doucement, tandis qu'elle lui prenait le dossier des mains. Il était comme subjugué par cette beauté donnée par la nature. Elle lui avait ce clin d'oeil qui avait pris des résonnances inproportionnés au sein de son organisme. Elle y glissa le document, avant de faire le tour de son bureau, tandis qu'il se rasseyait, ne croyant pas à ce qu'il venait de se passer. Enrique la regardait désormais, droit dans les yeux. Elle le surplombait de quelques dizianes de centimètres du faite qu'elle soit debout. D'habitude, il se serait levé, n'aimant pas qu'on le dépasse. Mais là, il restait là, à la regarder, tandis que ses yeux se baissaient souvent sur le dossier de son fils.

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Que je suis sotte ... j'ai oublié de reprendre le Dossier rouge dans celui de Cecilio... qu'elle éffrontée, Monsieur Almadovar est parti tellement vite que je n'ai put le rattraper... C'est bête n'est-ce pas ?!

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...

Ses lèvres s'étaient entrouvertes pour laisser passer ce souffle d'extase. Il ne s'en rendit compte que trop tard, et tout en baissant la tête, Enrique se leva de sa chaise, tandis qu'elle alla s'appuyer contre l'amoire. L'hispanique la suivit du regard, puis, ne résistant à aucune impulsion, il s'approcha de cette dernière, après avoir posé le dossier sur le siège, sa main sortant de sa poche, glissant le long de l'avant bras de la belle russe, avant de lui saisir la main et de la monter au niveau de ses lèvres, y déposant un baise main rapide, subtil et plein de tendresse. La regardant droit dans les yeux, il lui demanda, avec ce petit sourire léger, timide, lui donnant un petit air craquant.

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Que puis je faire pour vous remercier ? Mme Tamara ?

Il ressentait quelque chose d'extraordinaire pour l'infirmière. Enrique ne se contrôlait que ce qu'il fallait. Néanmoins, il était vrai que ses émotions, ses sentiments avaient le dessus.

HRP :

Flash Back :

I

C

Flash Back Off :

U

- Que puis je faire pour vous remercier ? Mme Tamara ?

- Je n'attend rien en retour ...

B

- [-rire-] Pourquoi ne pas m'inviter à boire un café ?

I

S

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Ce sentiment qui venait de naître au creux de son estomac, il ne l'avait ressentit qu'une seule fois et encore cela n'avait pas été pour la mère de ses deux enfants, mais pour une femme qu'il n'avait connu que l'espace de deux mois lorsqu'il était partit au Mexique après ses études à Poudlard pour faire un break avant d'entrer à l'université. Elle s'appelait Melanca, elle était d'une incroyable beauté... Elle était l'antipode d'Oksana, sur le plan physique, mais elle était aussi douce et aussi attentif que cette dernière. Seulement, elle avait été promise à un autre mariage... Enrique avait longtemps eut du mal à digérer cela... Encore aujourd'hui, même si il n'y a plus ces sentiments à l'égard de Melanca, il ne pouvait se douter que si tout avait été différent, il aurait largué Vanna sans aucune autre forme de procès en revenant en Angleterre. Seulement, elle était enceinte, et les on dit... Déjà que Dakota... Enrique avait ressentit à l'égard de sa culture une violente haine, et un sentiment d'impuissance. Ce fut la seule et dernière fois. Il n'était plus retombé amoureux depuis de peur de faire souffrir ou de devoir souffrir. Il ne faisait que goutter à la chaire, si vous voyez ce que je veux dire... Seulement...

Seulement, Oksana lui avait tapé fortement dans l'oeil. Et même si cela n'avait été, quoique, peut être pas, un effet de son imagination du fait que son fils décédé lui fasse un signe de la main, le pouce relevé, il se sentait merveilleusement bien de ce fait. C'était comme si il avait attendu son accord pour pouvoir retomber amoureux. C'était étrange, mais tout semblait si compliqué dans la vie... Sauf lorsque ses yeux se plongèrent dans ce de la belle Oksana. Enrique remarqua cette dernière rougir. Il eut un petit sourire timide, mais il ne fit rien d'autre, sinon qu'épprouvait cette sensation de chaleur intense dans le creux de son estomac. C'était une sensation particulièrement étrange et totalement fantastique. Il en redemandait. Ce sentiment de fébrilité... Enrique ne cessait de sourire bêtement. Il le savait, mais il se sentait si bien... Elle parla, Enrique était aux abois, comme si il ne voulait rater aucune de ses paroles.

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Pourquoi ne pas m'inviter à boire un café ?

Ce fut à Enrique de rougir furieusement. Il détourna le regard. Qu'est ce qu'il était con... En plus de cela, il manquait à toute forme de civilité... Mais elle était si craquante... Enrique reporta doucement son regard vers elle, tandis qu'il conservait la petite main blanche de l'infirmière de Poudlard dans sa main au teinte basanée. Il caressait cette dernière de son pouce, presque négligement, du moins, sans réellement s'en rendre compte. Il lui répondit lorsqu'il croisa son regard, son teint, toujours animé par un jolie rouge.

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Veuillez m'excuser. Je manque à tous mes devoirs... Souhaiteriez vous boire un café en ma compagnie ?

Il avait ce petit côté prince charmant qu'il n'arrivait pas à corriger. A ce moment là, il ne pouvait s'empêcher de penser qu'il devient paraître lourd. Mais bon, ce n'était pas dépourvu de charme non plus.

Hrp: Rooo grand fou

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I

- Veuillez m'excuser. Je manque à tous mes devoirs... Souhaiteriez vous boire un café en ma compagnie ?

U

- Et bien, je crois pouvoir vous accordez une heure ou deux. Pas plus, il suffit qu'une urgence advienne. Je me dois de rester disponible.

A

M

Enrique sentit au niveau de son bras une intense chaleur se propageait le long de ce dernier avec une douceur et une sensation si excquise... Son regard en était devenu troublant de vérité. Il ressentait réellement quelque chose. Néanmoins, il avait peur que ce ne soit que passager, en effet, pourquoi d'un coup comme ça ? Pourquoi ça le touchait maintenent alors qu'il l'avait déjà vu sans avoir eut cette effet là ? Enrique n'était pas du genre au coup de foudre. Cela devait se développer plus ou moins vite après quelques rencontres. Mais là... Elle retira doucement sa main de la sienne sans pour autant être brusque, néanmoins, lorsqu'elle l'eut retiré, sa main tomba comme un poids le long de sa jambe, tandis qu'il déglutissait péniblement.

Comédienne ? Sûrement. Enrique avait ce petit sourire appréciateur, et il ne put s'empêcher de se mordre la lèvre inférieure au même moment où cette dernière relevait la tête en sa direction. Ce moment, Enrique devait s'en souvenir toute sa vie pour le meilleur comme pour le pire. Elle était d'une beauté... Son regard était si prenant... C'était comme si on le chauffait de l'intérieur dès qu'elle posait son regard sur lui. Comme si cette dernière avait ce don, cette capacité d'éveiller en lui cette flamme qui lui donnait cette douce chaleur. Ses cheveux qui dévalaient, tel une cascade, son cou, son épaule, lui tombant légèrement devant, avant qu'elle n'est ce geste pour les remettre derrière, une fois qu'elle se fut relevé de la contemplation de son agenda. Enrique s'approcha de cette dernière, tandis qu'elle lui remettait le dossier de son fils qu'il tint du bout des doigts, en équilibre. Avec son autre main qu'il passa doucement dessus tout en soufflant légèrement sur le dossier, il le fit disparaître. Lui seul savait à présent où il l'avait mit.

Elle lui prit, du moins, reprit sa main avec douceur, Enrique se laissant faire. Il la regarda par en dessous, un regard et un sourire mutin à souhait, avant de l'approcher contre lui, et de prendre la direction de la sortie de l'infirmerie. Ce fut à ce moment où il eut le plus de mal à tenir le visage levé. En effet, traverser cette pièce, maintenant, était quelque chose de douloureux. En effet, allez y comprendre quelque chose, mais son fils avait comme enchanté la pièce de sa présence aux yeux d'Enrique. C'était pour cela qu'il eut du mal. Il avait la main d'Oksana dans la sienne, qu'il serrait avec douceur, tandis qu'il ne pensait qu'à une chose, c'était de quitter le plus vite possible cette pièce aux milles douleurs. Lorsqu'ils en sortirent, Enrique releva enfin, le visage vers Oksana, un grand sourire sur ses lèvres. Il lui fit un léger clin d'oeil, puis, traversant l'étage, il s'approcha de l'un des murs, l'effleurant du bout des doigts toute en murmurant :

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Diffindo...

Le mur s'ouvrit devant Enrique, qui tira doucement Oksana, levant sa main doucement, pour la faire passer devant, tout en sortant sa baguette, lançant un enchantement de lumière, éclairant ce petit passage secret qu'il avait longtemps emprunté durant ses études à Poudlard, peut être plus lorsqu'Heinrish prit Poudlard à la fin de ses études. Ils traversèrent le passage secret avec tranquillité, Enrique n'osant pas rompre le silence de ce lieux, pour sortir dans le hall. Cela devait être à peu près 11h, et les élèves étaient encore en cours. Il poussa les grandes portes de bois, et à ce moment là, une légère brise glacée leur ébourrifa les cheveux. Enrique, tout en continuant de marchait, s'écria :

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Pourquoi Poudlard, à Ste Mangouste, Mme Tamara ?

C'était une question comme une autre. Certes indiscrètes, mais très peu, car son ton de voix indiquait clairement qu'elle n'était pas obligée de répondre. Enrique la tenait toujours par la main, son pouce reprenant ce petit tic, c'est à dire lui caressant doucement le dos de sa main blanche et délicate comme une fleur que l'on ceuille avec douceur pour éviter de la couper, ou de l'abimer accidentellement.

* Moi qui me demandait si j'étais encore en vie ... tu es apparu ... simplement empli d'humilité et de mélancolie...*

S

- Diffindo...

- Pourquoi Poudlard, à Ste Mangouste, Mme Tamara ?

- Malgré tout, Poudlard m'a donné les plus belles années de ma vie. Bien que certains de mes amis soient a jamais enfermé dans ses murs, je ne peux m'empêcher de penser que Poudlard m'a donné une protection unique que je dois lui rendre. Combien de personnes auraient été sauvé si une infirmière digne de ce nom avait été présente lors... enfin vous voyez ce que je veux dire. Saint Mangouste est une toile de Médicomages peu scrupuleux et humiliant envers les infirmières. Ici, j'ai un statut et on me donne un respect immense. J'aime ce métier et je ne veux pas le gacher à St Mangouste, voila tout.

E

* Un jour ... vous me pardonnerez ... cette envie futile d'avoir la puissance. Je vous vengerez ... je vous le promet.*

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Malgré tout, Poudlard m'a donné les plus belles années de ma vie. Bien que certains de mes amis soient a jamais enfermé dans ses murs, je ne peux m'empêcher de penser que Poudlard m'a donné une protection unique que je dois lui rendre. Combien de personnes auraient été sauvé si une infirmière digne de ce nom avait été présente lors... enfin vous voyez ce que je veux dire. Saint Mangouste est une toile de Médicomages peu scrupuleux et humiliant envers les infirmières. Ici, j'ai un statut et on me donne un respect immense. J'aime ce métier et je ne veux pas le gacher à St Mangouste, voila tout.

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Je ne veux pas vous blesser... Loin de moi, cette idée... Cependant, on m'a toujours dit que vivre dans le passé, c'était se bercer de tendresse pour ne pas avoir à affronter l'inconnue. C'est comme cela qu'on laisse les forces noirs prendre de l'avancer... On a peur de l'inconnu. Mme Tamara ?

Enrique s'était retourné doucement vers Oksana, avec cette petite grâce italienne qui lui venait de sa mère. Il regarda la belle infirmière avec un léger sourire. Tout autours d'eux était magnifique et semblait se prêter à cette rencontre entre les deux personnes. Les cimes des arbres se balançant légèrement au son de la voix, de cette magnifique voix russe qui ne semblait pas que bercer les mouvements des arbres, mais également le coeur de l'hispanique. L'eau noir du lac semblait suivre un courant provoqué par le maigre vent à la surface de l'eau tout en empruntant un autre en dessous... Deux sens contraire, comme l'homme et la femme, pour finir par vivre et cohabiter ensemble. Enrique posa son regard sur le lac avant de sourire doucement. L'espace de quelques instants, il revit un souvenir où son frère et sa soeur avaient été présent... Oui. Mais maintenant, ils ne l'étaient plus. Dakota était toujours à ses côtés, se voyant toujours aussi souvent. Mais avec sa soeur jumelle... Lucrezia lui manquait, mais il se refusait d'aller la voir. Elle était mariée. Et ça, il n'arrivait pas à le digérer.

Enrique conservait ce leger sourire qui se voulait apaisé mais qui avait plus comme effet, un petit air malin et coquin, plus d'autre chose. Il plongea ses yeux dans l'ocean des iris d'Oksana avec un plaisir fou. C'était à ce moment qu'il se dit qu'il aurait du l'embrasser. Parler de l'inconnu, etc... L'amour n'était il pas, justement, l'inconnu ? Oui. Et c'était le seul inconnu qui faisait peur à Enrique... Ca l'impressionnait, ça lui demandait beaucoup de force moral, non ! Il n'y était pas ! Enrique n'avait connu le vrai, l'amour intense, que lors d'un mois dans sa vie. Il ne l'avait pas connu assez pour se sentir à l'aise. Et puis, c'était trop tôt pour être à l'aise. Mais merde, quoi ! Qui a parler d'amour ? Enrique reprit doucement, mettant sa voix en calque avec le vent pour continuer cette magie que possédait la nature à accompagner les hommes dans les moindres situations. Le regard grisonnant d'Enrique explosé de part en part en émotion. C'était très beau à voir.

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Avez vous peur de l'inconnue ?

Sans réellement attendre de réponse, Enrique lui fit à nouveau un baise main, avant de reprendre sa marche vers la sortie du Parc, passant doucement cet énorme portail qui avait tant bercé ses années d'école. Cela avait toujours été un plaisir de les traverser, que ce soit pour y entrer que pour en sortir. Enrique s'arrêta à nouveau, se mettant en face d'Oksana, prenant son autre main avec la sienne. Il baissa sa tête comme impressionner parce qu'il se passait, il n'arrivait en rien, qu'à sourire bêtement. Il finit par relever la tête en donant un léger mouvement à son cou pour croiser à nouveau son regard.

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Auriez vous un café que vous aimez particulièrement ?

N'importe où. Pré au Lard, Chemin de Traverse, Londres, Moscou, St Petersbourg, Mexico, Acapulco, Paris, Venise, Madrid, Berlin, n'importe où. Si il découvrait son amour pour elle, il la ménerait de partout. Lui faire découvrir ce que lui à vu, ce qu'il n'avait pas vu pour découvrir ensemble, pour partager des moments ensemble, pour vivre ensemble pour tout ressentir ensemble. Enrique soupira doucement. Non, pas de lassitude, mais juste pour relâcher cette pression qu'il ressentait sans savoir réellement pourquoi. Si Asphodèle le verrait, elle comprendrait, et l'aiderait à comprendre. Si Dakota aurait été là, il se serait foutu de sa gueule, alors qu'il vivait toujours ce genre de moment avec une certaine pression également. Enrique maintenait son regard dans celui d'Oksana, ce leger sourire aux lèvres.

U

- Je ne veux pas vous blesser... Loin de moi, cette idée... Cependant, on m'a toujours dit que vivre dans le passé, c'était se bercer de tendresse pour ne pas avoir à affronter l'inconnue. C'est comme cela qu'on laisse les forces noirs prendre de l'avancer... On a peur de l'inconnu. Mme Tamara ?

* Blessée ... non il m'en faut plus pour saigner ...*

L

- Avez vous peur de l'inconnue ?

T

-Non ... pas si je l'affronte épaulée.

E

- Auriez vous un café que vous aimez particulièrement ?

Mocnachino Caramel liegeois ... mais je ne sais pas s'il en font par ici ... ça remonte à mon voyage universitaire à Venise. Mais un pitteux café affecte me suffira, s'il est en votre compagnie.

E

- Qu'avez vous en tête ... pas que je suis inquiète, nullement, mais tout de même, allez vous m'enlevé de Poudlard ?

R

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Non ... pas si je l'affronte épaulée.

Enrique eut un sourire, un léger sourire. Mais l'un de ses sourires amusés, content, sous le charme, renvoyant ainsi son charme masculin, ce mélange subtil mexicano-italien qui était des plus présents en ce jeune homme de la famille Almadovar. Ainsi donc, elle était seule, du moins, sans compagnon. Furtivement, il laissa glisser ses mains le long des siennes, non, aucune alliance. Enrique eut un soupir de ravissement qu'il ne put dissimuler. Il voulut la prendre contre lui, à cet instant, la serrer dans ses bras, et lui dire des mots doux, lui promettant sa vie pour toute chose qui pourrait se passer. Mais Enrique ne savait pas faire. Si il y avait bien quelque chose qui ne savait pas faire, c'était être directe avec les filles, les femmes, du moins, tout ce qu'il y avait du charme, ce charme, qui le perturbait magnifiquement bien. Elle était d'une beauté éblouissante, elle semblait d'une intelligence rare, elle avait tout pour elle, mais elle était, semble t il, seule. Enrique se plut à penser qu'ils se ressemblaient beaucoup plus qu'il ne le pensait. Baissant son regard, n'osant affronter celui de la belle russe, il lui murmura tout bas, d'un murmure cajôleur, plaisant.

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Une femme comme vous, devrait même pas à se poser la question. Des épaules doivent se présenter à elle, plus souvent qu'elle ne le pense...

Les épaules dont il parlait... C'était les siennes. Enrique releva son regard doucement, le balayant avec tact sur le corps d'Oksana, un léger sourire se transformant doucement en un léger rouge sur ses joues basanés. Par chance ce n'était pas des plus visibles. Vive la pigmentation des gens du sud. Enrique ne put s'empêcher de tressaillir lorsqu'elle aposa sa main avec douceur, se dégageant de la main du latino, pour la lui poser sur sa joue avec cette délicatesse féminine. Enrique eut un léger soupir, tandis que son coeur semblait s'embaler dans sa cage thoracique. Il se mordit furtivement la lèvre, ne voulant pas lui sauter dessus comme son frère l'aurait fait, enfin, avec du tact tout de même car c'était un Almadovar, mais Enrique... Il baissa à nouveau le regard. Les rares personnes lui faisant cette effet de le troubler ainsi n'était qu'au nombre de 3 : Oksana, sa soeur jumelle, et sa mère. Aucune autre femme n'avait réussi à lui percer son coeur, excepté cette amourette de quelques mois, à sa sortie de Poudlard, alors qu'il était marié à cette conasse de Vanna. Enrique lui proposa de choisir un café. Elle répondit :

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Mocnachino Caramel liegeois ... mais je ne sais pas s'il en font par ici ... ça remonte à mon voyage universitaire à Venise. Mais un pitteux café affecte me suffira, s'il est en votre compagnie.

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Tout cela remonte à longtemps, non ? Du moins, trop longtemps pour se gâcher un tel plaisir...

Il rougit de nouveau, lui provoquant un stress énorme au niveau de son estomac.

Sommes nous sorciers ou pas ?

Enrique eut un sourire des plus coquin, à ce moment là. Oh, oui ! Le latino ne pouvait qu'avoir ce petit sourire prétentieux, accompagné de son petit regard amusé. Cette question lui dévoilait ce qu'il avait en tête. L'italie était à... Quelques secondes en transplanant. Et Enrique le savait. Oksana avait peut être du l'oublier sans le faire exprès, d'ailleurs, il fallait y penser à ce genre de chose, mais... A cet instant, Enrique ne put s'empêcher de se poser une question : Pourquoi il pensait tant à la charmer ? Oh, si, en faites, il avait trouvé depuis longtemps cette réponse. Mais on va dire qu'il n'a jamais été pour autant quelqu'un de très... Confiant envers le sexe féminin. Non, en faites, il a toujours été très méfiant à l'égard de tout le monde, et les personnes en qui il avait confiance se compter sur les doigts de ses mains, pas plus.

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Qu'avez vous en tête ... pas que je suis inquiète, nullement, mais tout de même, allez vous m'enlevé de Poudlard ?

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J'ai mieux. Je vous enlève d'Angleterre pour quelques heures.

Il lui fit un sourire, puis, son côté Almadovar pas froid aux yeux, lui monta dans ses veines. D'une traction subtile et câline, il approcha Oksana de son torse, puis, il referma doucement ses bras autours de son corps avec tendresse donnant ce petit sentiment de protection bien qu'Enrique soit loin d'être un trés grand musclé. Il était simplement battit et ça lui suffisait. Y a toujours d'autres façons de charmer une fille que par le physique, se plaisait il à dire et à penser. L'espace de quelques instants qui durèrent des heures, Enrique sentit le corps d'Oksana contre le sien, respirant son odeur, la sentant contre lui avec un sentiment serein et d'une tranquillité millénaire. Un léger sourire vint se poser sur ses lèvres, puis, d'un coup : Il transplana, Oksana contre lui. Directly to Italia. Venise nous voilà !

Suite => Bella Venizia

je déplace ^^

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