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| | | Thomas Slayers* |  |
| | | Auteur | Message |
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Digory B. & Thomas S.
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Date d'inscription : 05/01/2008
|  Sujet: Thomas Slayers*  Sam 5 Jan - 1:43 | |
| -  -CHAPITRE I : A NEW BEGINNING - Le temps a passé, Slayers.
- Oui, c’est vrai…
- 17 ans déjà…
Thomas se passa une main dans le cou, se massant délicatement ce dernier dont une légère douleur semblait s’être éveillé depuis la veille où il avait du attraper cette foutue créature que l’un des élèves d’Eperunt avait laissé échappé accidentellement lors d’un devoir qu’il leur avait donné à faire. Assis dans son large fauteuil derrière son bureau de professeur de Créatures et Directeur d’Aryacta, il faisait face à un ancien « camarade » de sa vie précédente, si l’on puit dire. Son regard était quasiment inexpressif, et dans sa tête, on pouvait y lire une certaine animosité et une colère l’envahir. Vlad avait remit les mangemorts sur sa route comme pour le rappeler à son ancienne vie… Le Directeur de Durmstrang avait du comprendre que Thomas avait enfin récupéré toutes ses capacités et tout son pouvoir dont il bénéficiait en plus d’en avoir acquérit.
- Qu’est ce que tu veux, Kok ?
- Tu me poses cette question, alors que t’en connais déjà la réponse.
- C’est vrai…
- Tu savais sûrement que le seigneur noir voudrait un jour où l’autre te rappelait à lui ?
- Oui, je le savais. Comme je savais aussi qu’il était censé être mort…
- Oui, tout comme toi.
Les lèvres de Slayers s’étirèrent un sourire malicieux. Oui, en effet, normalement, il devait être bel et bien mort, en ce jour de 1985 à la suite d’un coup de poignard au niveau du foie. Mais aller savoir pourquoi, il en avait survécut grâce au fait que son corps se soit mit en léthargie, lui épargnant la vie, mais le laissant pour mort aux yeux de ses enfants. De ses deux fils : William et Sawyers. Néanmoins, sous son crâne, c’était tout autre. Il n’avait nul envie de rejoindre le camps de la magie noire. Oui, il enseignait depuis 10 ans à Durmstrang. Oui, il avait été mangemort. Oui, il pensait que la magie noire pouvait être un remède pour la combattre. Oui, il savait que la magie noire pouvait causé un bon nombre de victime innocentes comme aux USA, en Europe, ces 20 dernières années… Mais, c’en était fini. Si il était resté si longtemps dans l’ombre, ce n’était que pour une chose : Retrouver son pouvoir d’antan pour aller retrouver sa famille avec tout un lot de réponses et de souffrances pour ces derniers. Thomas se leva de sa chaise, se dirigeant vers la porte de son bureau. Il l’ouvrit, et il lui montra la sortie.
- Allons faire un tour dehors, Kok. J’ai besoin de me dégourdir les jambes.
A cet instant, il sentit l’esprit du dénommé Kok se levait, et instinctivement, il bloqua ses pensées par l’occlumencie. Il neutralisa ses pensées pour les rendre tout aussi vagabonde et légèrement intéressé par la chose pour se protégé de tout autre. Il avait une idée en tête, et il n’était pas nécessairement important que l’autre mangemort soit au courant de la chose. Néanmoins, il ne pouvait s’empêcher de se poser cette question : Pourquoi lui avoir envoyé un Mangemort de l’ouest ? Thomas réfléchissait à toute vitesse, lorsque Kok passa la porte, un léger sourire sur ses lèvres. Le père Slayers referma la porte derrière lui, puis tapotant dessus du bout des doigts, il la verrouilla en soufflant légèrement quelques incantations en langues latines. Leur pas résonnant dans les couloirs de Durmstrang, Thomas et Kok marchaient dans un silence plus ou moins tranquille le temps d’arrivé en dehors du château pour continuer leur discussion sans pour autant ne pas faire attention aux oreilles indiscrètes qu’étaient les élèves de Durmstrang sous leur grands airs de « jem’enfoutiste ». Des « bonjours » retentirent dans les diverses langues cyrilliques auxquelles Thomas répondait avec un sourire et un signe de la tête.
- Tu sembles être apprécié à Durmstrang ?
- Oui, au moins, une chose de réussit dans ma vie.
- Comment ça ?
- Laisse tomber.
Ils franchirent les portes de Durmstrang, menant au parc morne et sombre du château débordant d’adolescents enclin à l’apprentissage de la magie noire, pour faire face à une vent particulièrement froid et vorace. Thomas resserra sa cape autours de lui, soufflant dans ses mains qu’il avait jointe le temps de les mettre dans les poches de son pantalon de costar noir. Au abords de la lisière de la forêt noire, Kok se remit à respirer de façon plus tranquilles, plus posés, grâce à la protection qu’offraient les arbres face aux vents glacés du nord.
- Le seigneur noir souhaiterait rassembler toutes ses troupes pour reprendre du service et ainsi reprendre ce qui lui appartient de droit.
- C’est à dire ?
- La léthargie t’a bousillé le cerveau, Slayers ?
- Faut croire….
- Pourquoi cette ironie tout à coup ?
- Parce que je ne pense pas réellement reprendre du « service ».
- Ohw… Je vois…
Kok eut un sourire machiavélique qui refroidit d’emblée la maigre chaleur qu’avait leur « relation » si tant on peut la nommé ainsi. Ce dernier se mit en face de Thomas, le regard planté dans celui du père de William.
- Donc, tu penses que le seigneur noir va te laisser tranquille après avoir signé le pacte d’allégeance ?
- Je pensais qu’une fois mort, on me fouttrait la paix…
- Es tu mort ?
- Devrais je être là ?
- Le destin le dit, à ce que je vois.
- Et le destin a t il dit que j’étais encore sous le joug mangemoresque ?
- Quand on se lit aux ténèbres, c’est pour la vie…
- Même avec une seconde vie ?
- Quel arrogance… Dois je comprendre que tu ne nous rejoindras jamais ?
- Jamais ne dire jamais… Néanmoins, c’est peut être ce qui s’y rapproche le plus.
- Qu’il en soit ainsi…
Aussitôt, les deux hommes firent jaillir leur baguette de leur poche. Kok lança directement un « endoloris » tandis que Thomas fit apparaître un lasso de feu blanc qui projeta le maléfice impardonnable de Kok contre un arbre qui craqua sous la puissance du sort. Avec le lasso, il attrapa le tronc de l’arbre qui commençait à s’enflammer avec luminosité sous un ciel en passe de devenir noir tant bien même qu’il ne soit que 15h de l’après midi, pour le soulever et l’envoyer valdingué contre Kok qui lança un « cracbadaboom ! » particulièrement redoutable pour briser le tronc enflammé en un monceau de brindilles qui trouvèrent vite l’état de cendres. Il s’apprêta à lancer un « stupéfix » lorsqu’il s’aperçut que le corps de Thomas n’était plus en face de lui, mais sur le côté gauche. A nouveau, Thomas transplana pour éviter le sortilège de Kok. Ce dernier poussa un crie de rage après avoir fait un tour complet sur lui même pour surprendre Thomas.
- Espèce de connard ! Traître ! Tu vas souffrir !
- Et qui va m’infliger cette souffrance, hein ? QUI ?
Kok avait sursauté en entendant la voix caverneuse de Thomas qui semblait provenir du tas de cendre. En effet, un vent tournoyant tout autours de Slayers donnait un effet fantastique à la situation, sa cape voletant derrière lui. Le pouvoir de Thomas était en libre cours et il en jouait fortement. Les cendres voletant avec force et beauté, il avait un regard noir, et mauvais, la tête légèrement inclinée vers l’avant non dans un signe de soumission mais de rébellion, faisant ressortir le côté noir de Thomas Slayers, tel qu’on le connaissait, il y a plus de 17 ans.
- C’est toi ? Mon bourreau, Kok ?
- Que…
- RAAaaah !
Thomas poussa un grognement de colère, et les cendres changèrent leur façon de tournoyer pour devenir plous agressive et se dirigeaient avec force en direction de Kok qui se protégea le visage avec ses bras, ses cheveux voletant vers l’arrière. Il luttait presque pour rester debout, lorsque le vent cessa tout à coups. Thomas venait de lever sa baguette pour stopper cette enchantement, pour s’approcher de Kok avec une haine, mais une grâce qui n’aurait pas paru déplacé dans un films mettant en scène une mafia russe ou italienne.
- Tu n’as pas répondu à ma question… Quel indélicatesse… Je vais devoir sévir…
- Et comment ? En me mettant une retenue ?
- Non, en te libérant de ta soumission dans l’ordre noir ! Avada Kedavra !
Le sort vert pomme resplendit l’espace de quelques instants projetant Kok au loin, du moins, une 10aine de mètres. Thomas baissa le bras qui tenait la baguette magique, un léger sourire sur ses lèvres. Il avait choisi un camps… Mais quel ironie… Le sien. L’Ordre du Dragon auquel, il participait depuis près de 10ans, maintenant…
Thomas s’approcha doucement du corps de Kok, puis, levant à nouveau sa baguette, il leva le corps du mangemort d’un enchantement simplissime, et il s’enfonça dans la forêt, endroit où le corps ne devait plus jamais ressortir, sinon, les pieds devant, à l’état d’os… Si les sombrals n’étaient pas plus affamés que ça…
Dernière édition par le Dim 6 Jan - 21:09, édité 1 fois | |
| | | | Digory B. & Thomas S.
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| | Sujet: Re: Thomas Slayers* Sam 5 Jan - 1:44 | |
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CHAPITRE II : IF ONLY… - Grishka, au lieu de vous la pété je suis un dieu, ayez le peu de bonté qu’il vous reste pour prendre exemple sur votre ami Digory, histoire de vous rendre un tant soit peu intelligent.
Cette phrase eut pour effet de foutre un silence monstre dans toute la pièce. Thomas et le dénommé Grishka se fusillèrent du regard l’espace de quelques instants avant que l’élève ne baisse le regard en premier. Thomas, à ce moment là, tourna son regard vers Digory et il reformula la question qu’il venait de poser où Grishka ne venait que de donner un dixième de la réponse.
- Est ce qu’il y aurait quelqu’un dans la classe qui serait capable de m’énoncer les diverses façons de dompter un sombral ? Digory ? Oui ?
- Bah, il y en a…
- DRIIING !!!
La cloche venait de retentir. Les élèves rangèrent leur affaire dans leur sac avec vitesse avant de déguerpir de la salle de cours. Oui, impossible d’enseigner en dehors étant donné la taille impressionnante de neige qui semblait s’accumuler. C’était l’hiver le plus froid que Thomas connaissait depuis sa venue à Durmstrang. La scène devait se situer aux alentours du mois de Novembre 1991.
- Bathory, approchez s’il vous plaît ? Non, pas vous, Erika, désolé.
Thomas eut un sourire en guise d’excuse que l’élève lui rendit doucement, puis, elle échangea un regard avec son cousin, Digory qui eut le même sourire que cette dernière, avant de prendre ses affaires et de quitter la pièce tout en fermant doucement la porte derrière elle. Thomas rangea doucement ses affaires dans son sac, tandis que Digory faisait de même pour s’approcher de son professeur de Créatures. Ce dernier tomba sur une photo de ses enfants qu’il conservait entre deux livres pour éviter qu’elle ne s’abîme, et toutes les émotions qu’il contenait, se firent pesante au sein de son ventre. Son cœur rata un battement, et il eut une furieuse envie de transplaner pour rejoindre sa famille… Mais comme à chaque fois, son esprit lui disait qu’il n’était pas possible de retourner les voir comme cela, du jour au lendemain, pour éviter de troubler leur vie dans laquelle, il s’était habitué à ne plus le voir paraître devant eux, ayant pour seul souvenir, du moins pour ses fils, sa « mort ». Il rangea la photo lorsqu’il sentit le regard de Digory se posait sur son visage plongé vers son sac.
- Désolé, Digory.
- Ce n’est pas grrrrave.
- C’était pour vous demander… Vous comptez faire quoi plus tard ?
- Euh…
- Oui, je sais, c’est une question indélicate, c’est vrai…
- Non, non, ce n’est pas ça. C’est juste que j’y ai jamais rrréfléchi…
- Je vois. Ce n’est pas grave, Digory.
- Pourrrrquoi cette question ?
- J’ai l’impression que vous êtes particulièrement enthousiaste dans ma matière et que vous y êtes des plus à l’aise. J’ai discuté avec bon nombres de mes collègues, et il semblerait que vous soyez l’un des meilleurs élèves que nous aillons dans la promotion à laquelle vous appartenez…
Le fils de Sergeï semblait touché par cette phrase, mais il resta des plus modestes. Son regard s’était beaucoup radoucit et il fut mise en confiance. Thomas verrouilla son sac puis, il releva le regard vers Digory lorsque ce dernier parla.
- Bah… En faites, j’ai deux choix qui s’ouvrrrent à moi… Ma mère souhaiterrrait que j’entrrre au Ministèrrre, dans l’administrrration et mon pèrrre me pousse à fairrrre ce que j’ai envie…
- Et qu’est ce que tu as envie de faire Digory ?
- C’est bête à dirrrre… Surrrrtout lorrrrsque l’on apparrrtient à une famille telle que la mienne.
- C’est à dire ?
- Chasseurr de crrrréaturrrres magiques… Et Joueurrr de Quidditch à l’interrrrnational.
Thomas bloqua le regard de Digory l’espace de quelques secondes forçant, sans le vouloir, à le faire ciller. Thomas eut un léger sourire. Il était vrai que sa famille… Là, n’est pas la question.
- Venez ce soir, dans mon bureau à 20h 30.Je pense qu’une discussion s’impose.
- D’accorrrd, Monsieurr.
*
**
Ce soir là, Thomas ne s’était pointé à l’heure du rendez vous qu’avec une heure de retard à peu près. En effet, il avait dû assister à un rapide conseil entre professeurs de Durmstrang sur la préparation d’un transfert d’un élève vers le collège Poudlard. En effet, ce n’était pas quelque chose de nouveau, et ce genre de chose se faisait souvent remarqué. Comme à l’inverse d’ailleurs. Néanmoins, c’était toujours long et harassant de devoir discuter avec les parents de l’élève pour être sûr de leur choix, pour voir si il n’y a pas d’autres éventualités que de faire quitter à leur enfant ce qu’ils ont battit pendant leur année d’étude à Durmstrang. Enfin, bon. Il espérait toujours que Digory soit au lieu du rendez vous, car il avait réellement envie de parler avec ce dernier. En un rapide coup d’œil, il avait pu remarqué cette aisance dans le domaine des créatures… Comme si le jeune homme le vivait, c’était étrange, et très agréable lors d’un cours. La porte du bureau du Directeur d’Aryacta s’ouvrit devant lui, laissant place à un Digory assis sur une chaise lisant…
- La curiosité n’est un défaut que lorsqu’elle entre dans le domaine du privée de ses connaissances, Mr Bathory.
Ce dernier sursauta violemment, refermant le bouquin en deux deux, le jetant sur le bureau avant de tourner et de se lever, le regard vers le professeur de Créature qui souriait tout en agitant la main signifiant « c’est pas grave… ». Thomas contourna le bureau, faisant un signe de sa main qui alla vers le bas, pour faire comprendre à Digory de s’asseoir, ce qu’il fit. Thomas s’asseya à son tour dans son siège rembourré de cuir.
- Je te remercie de m’avoir attendu. J’ai du prendre du retard à cause d’un cas de dernière minute au sujet d’un des élèves de ma maison qui souhaite quitter Durmstrang pour se rendre à Poudlard l’année prochaine… Du moins, c’en est ce qui fut convenu.
A nouveau, il eut ce petit sourire qui montrait bien le lien de parenté entre Thomas et ses fils. Ce sourire plein de malice et qui faisait d’eux, les êtres les plus rusés. Digory ne put s’empêcher de sourire avant de dire :
- Mr… Vous ne connaîtrrrriez pas un certain William Slayers ?
Thomas perdit son sourire avant de tourner son regard vers la fenêtre qui laissait un noir des plus totales à cause de la nuit tombé. Oui, il le connaissait. Mais pas assez à son goût. Le fait qu’il lui parle de son fils de la sorte, lui firent un mal fou, et Digory le comprit sans trop de difficulté.
- Désolé, prrrofesseur. Je ne souhaitais pas vous…
- C’est mon fils, Digory.
- Votrrre… Parrrce que je l’ai vu cette été…
Cette fois, Thomas reporta son attention sur l’élève d’Eperunt qui s’enfonça dans son siège de bois. Thomas avait l’un de ses regards perçants et plein de curiosité… Un de ses regards que les élèves détestaient tout particulièrement.
- Comment ça ?
- Bah oui… Il est marrrrié à ma cousine Asphodèle. Je pensais que vous serriez au courrrant étant donné que c’est la « fille » du directeur de Durmstrang.
Thomas baissa son regard vers le portrait des gens de sa famille sur son bureau, et l’on voyait William à 6ans ainsi que ses sœurs. Sawyers y figuraient également, grâce à Thomas, qu’il l’avait rajouté avec magie et dextérité. Ces derniers lui souriaient avec bonheur et joie. Thomas reporta son regard vers Digory. Son fils était donc, marié… Un pincement au cœur des plus terribles se fit ressentir en son sein gauche… Lui, le père de ce petit… Et… Il s’était marié sans son père… Il se mordit la langue. Comme il s’en voulait… C’était peut être la chose la plus importante dans la relation d’un père et d’un fils… Il baissa le regard vers la photo, puis, il reporta son attention vers Digory, une expression nouvelle. Comme si la conversation précédente n’avait pas eut lieu, il enchaîna, comme il aurait du enchaîner.
- Donc, chasseur de créature, hein…
- Oui.
- Qu’est ce qu’il te bloque exactement ? Tout à l’heure, j’ai cru ressentir une certaine… Comme une sorte d’appréhension, à l’idée que cela se sache…
- Vous connaissez l’histoirrre des Bathorry ?
- Que ta famille est liée aux Nospheratov ?
- Oui.
- Ce n’est pas tellement grave… Je ne pense pas que l’on devrait te blâmer d’avoir tes goûts sous prétexte que dans ta famille, il y ait eu des vampires…
- C’est bien ça le prrroblème… Ma mèrrre me tuerrrait.
- Tu veux que j’en discute avec elle ?
- Sûrrrement pas ! Chui trrrop jeune pourr mourrrirr.
- Je comprends.
- Pourrrquoi m’avoirrr convoqué Mr Slayerrs ?
- J’aurais aimé vous aider dans votre idée…
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