ES-TU PRÊT POUR LA FANTAISIE ? [LIBRE]

Do you bleed for the fantasy ?
Serais-tu capable de saigner pour ce petit paradis qu'est la Fantaisie ?
Serais-tu prêt à prendre une lame de rasoir ou des médicaments ?
Sais-tu vraiment ce que c'est ?
Bleed, bleed ...

__________

« Un silence pénétrant, des murmures rauques, des rires étouffés : ce n'était que ça la Bibliothèque, d'un calme chiant. Pourquoi on peut pas lire ? Élise ne se sentait pas chez elle, chez elle à Londres à emmerder sa grande soeur, à lire les Chroniques de Narnia trente mille fois ou ... à rêver. Poudlard, ce n'était pas ça. C'était comme un grand dortoir, une grande famille. Où tu pouvais te perdre, même la tête. »

Un bruit sourd se fit entendre avec le Portrait inoccupé, cela devait être la Grosse Dame mais où était-elle ? Personne ne savait et puis on s'en foutait bien de la Grosse Dame, elle avait qu'à faire un régime on l'appellerait pas Grosse.

(Douze Novembre, dans la Salle des Gryffondor :
Ma vie, c'est mon esprit. Je pense tout ce que je veux dire, tous mes gestes. Je pense principalement à mon futur, mon père, la saleté de père veut me faire Auror et il a tout gagné, il a tellement sauté de joie en ayant su que j'étais allée à Gryffondor et pas à Serdaigle, comme lui. Lui. Même en Italique, c'est moche. Je commence à le haïr comme l'a fait Olivia. Tiens ce cahier est hyper vieux et puis ... y'a une ambiance de merde.)

Où était les fêtes des Gryffondor, la maison du Lion ? Dévouée ? Fidèle ? Élise n'en savait strictement rien, elle aimait les Interdits, presque rien ne lui faisait peur et c'est ce qui foutait les boules à son père, tiens. Elle avait qu'à devenir Concierge, à remplacer Rusard – cela ne lui faisait pas peur. Élise Shields se pencha près de la cheminée, les braises crépitaient encore ... On s'en foutait.

(Oh mon dieu quelle horreur ! Cette gueule !) songea la petite en se regardant dans un des seuls miroires de cette Salle Commune, elle n'était pas pourtant pas aussi « horreur » que ça, même plutôt mignonne, sa frange et ses couettes lui donnaient un air d'innocence, de gamine. Mais c'en était une de gamine, elle n'avait qu'onze ans après tout. Ses habits étaient assez banal, un jean froissé, des chaussures d'une couleur bleutée et un pull à col roulé aussi rouge que le sang. Elle cligna des cils, ses yeux étaient presqu'aussi beaux que ceux d'Olivia mais se comparer à sa grande soeur n'était pas important.

(Rien à faire ici ... - elle regarda la tapisserie d'un air songeur – si j'allais m'aérer dehors ?)

Peut-être trop dans ses pensées, elle frôla une personne et ne s'excusa même pas. C'était un inconvénient d'être toujours sur un petit nuage, on était sur notre petit nuage, dans notre petite bulle. Et puis si elle l'avait croisé, elle aurait sûrement pensé « Sale gueule » ou « Qu'est-ce que tu fous ici à cette heure ? ». Il était dix huit heures et le soleil commençait à descendre pour aller de l'autre côté de l'hémisphère.

Comme elle n'était pas vraiment habituée aux Escaliers, elle n'avait pas le don des Septième Année et se laissa conduire vers une porte, étant de nature curieuse, et fourrant son nez partout, Élise avança prudemment, son coeur cognait fort contre sa cage thoracique.

( Imagine c'est cette fameuse fantaisie ... Dont tout le monde parle... et si je vivais pour elle ? Si je lui souriais ? Si elle me remerciait ? )

En ouvrant la porte, elle remarqua au premier coup d'oeil que ce n'était pas ce qu'elle attendait. Ça ressemblait à un couloir, la poussière sur les statues était le signe que peu d'humains avaient dû s'y aventurer ce qui fit battre son coeur encore plus fort, elle avait très envie de voir ça de plus près.

Marchant songeuse, Élise touchait du bout des doigts les statues, elles avaient toute sorte de têtes, cela ressemblait à des humains mais elle n'aurait pas su dire ... Qui c'était.

( Ce n'est pas ça la Fantaisie ... C'est plus glauque ici .. Je .. Je dois partir .. )

Un bruit la fit sortir de ses pensées, un bruit venait de la porte. Élise presque instinctivement pointa sa baguette vers la direction où elle avait entendu du bruit.

- Il y a quelqu'un ? ! Je ... Je me suis perdue ... avoua t-elle mais elle n'osa pas trop en dire plus et si la personne reconnaissait sa voix ?

_______

Tu es sûre que c'est la Fantaisie ?
Alors .. maintenant que tu sais croire ce que c'est
Es-tu prête ?
Es-tu prête à avaler les médicaments ?
A pleurer, sourire pour la Fantaisie ?
PRÊTE ?
Je t'emmène ...
Attrape-moi la main.

« Comment a-t-on pu dire que l'homme est un animal raisonnable ! Il est tout ce qu'on veut, sauf raisonnable. »

En tout cas c’était le cas de la jeune serpentarde plonger dans ses penser comme d’habitude la jeune fille papillonner dans un autre monde ! Elle avait toujours cette air d’enfants naïf qui n’est pas conscient de se qui se passe autours d’elle ! Elle avait a présent 17 ans est se trouver a Poudlard depuis 7 ans ! Elle connaissait la plupart des endroits calmes ou l’on pouvait se ressourcer sans se faire déranger par la plupart de élèves de l’école. Même si Kaley était assez crainte et donc n’avait aucun problème sur se point la ! Cependant Kaley n’aimait pas les grands comité elle préférer seul ou avec un ou deux amies !

Shan- Kaley tu viens a la grande salle avec moi ??
Kaley- Euh non je vais me balader un peu seul
Shan- tu est bien seul c’est temps si ! Mais soit ! Si tu me cherches tu sais ou me trouver

La jeune Cuoco acquiesça d’un signe de tête et sourit au jeune homme de serpentard qui était l’un de ses ami . Elle retourna son regard vers la fenêtre, dehors le vent soufflait dans les branches des arbres, faisant virevolter les feuilles dans tout les sens ! Un air mélancolique passa sur le visage de la jeune fille qui doucement se leva et se dirigea vers la sortit de la salle commune.

Marchant depuis quelque minute la jeune fille franchit une porte d’une salle a la fois sinistre et envoûtante ! Pour une serpentarde cet endroit calme et glauque lui était reposant ! Pour d’autre il aurait était étrange. Elle ouvrit la porte et vit alors une baguette pointer vers elle ! Elle baissa les yeux et vit alors une jeune fille qui devait avoir a peine 11 ans et qui semblait a la fois apeuré et perdu ! Ses couette lui rappeler Kaley a ses première année a Poudlard !Quand le jeune fille délurer avait débarquer a Poudlard tel une princesse et qu’elle retourner tout sur son passage !c’était toujours le cas mais parfois Kaley était plus calme ! Elle ne pus s’empêcher de sourire puis de dire d’une voix douce et a la fois mystérieuse :

Kaley-Hey bien jeune fille pour une première année on a pas froid au yeux ! Baisse ta baguette je ne vais pas te torturer je ne suis pas d’humeur aujourd’hui !

Un sourire bienveillant qui n’apparaissait pas souvent sur le visage de la jeune fille apparut.

Invité

Monté d'un mètre cinq, un corp squelettique. La silhouette de Quentin, l'elfe le plus connu de Poudlard pour son arrogance et sa capacité d'agacer les gens rôdait à travers les couloirs interdit tout en sermonent des paroles, presque imcompréhensible.

Quentin - Satané petits garnements ! Ils se croient plus fort que tout mais nous les elfes, nous, ces mômes ne nous connaissent pas...misérables!!

Il trainait derrière lui un gros sac remplit de garnitures qui étaient stockés dans la salle des trophés. De vieilles coupes, de vieilles médailles étaient enfouis à l'interieur. On les reconnu, grâce au relief du sac. Il marcha lentement.

Quentin - Me voici au service de cette école alors que ma place devrait être auprès des Malacci, si seulement mon maître...quel maître maudit!! Ils me le paieront un jour...

Maronnant de toute part, il continua son chemin lorsque soudain, deux voix féminines s'élevèrent aussi. Quentin leva sa tête haineuse afin de distinguer où avait lieu ce charmant dialogue féminin. C'est alors qu'au croisement il tourna à gauche et aperçut soudain, une petite jeune fille, apeurée et une autre se foutant d'elle apparemment. Quentin s'avança lentement et se cacha derrière la statuette qui se trouvait sur le coté droit du couloir, regardant la scène, avec un léger sourire moqueur.

Quentin - *rire discret* ..Une gryffondor face à une serpentard...ah satanés élèves..jouez au grands, bande d'incapable!!!

Quentin detestait les élèves de l'école, même si il ne les connaissait pas en totalité. Il haïssait même l'école entière. Servir des centaines d'élèves comme des fatmas, cela n'était pas dans son habitude. Etant l'elfe principal des Malacci, il fut très déçu et en colère contre son maître de l'avoir mit au service de Poudlard. Il resta silencieux derrière la statuette.

ce rp est-il toujours d'actualité?

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