KAMRYN MATIKA - « © My Best Friend’s Girl »

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I. Identitée Générale.

^{« Sincèrement, je n’avais aucune raison de remarquer cette enveloppe. Rien ne la différenciait des autres. »}

Nom Prénom :
Kamryn Matika
Age, Date de Naissance :
35 Ans, 15 MARS 1965
Profession :
Journaliste
Etat Civil :
Célibataire, un enfant.

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II. Identitée Poussée.

Adresse :
Kamryn vit dans un bel appartement londonien. Celui-ci se trouve au centre de la banlieue, à proximité de tout. Son travail, se trouve quelques rues plus loin, elle n’a donc aucun problème pour s’y rendre.
Origine Géographique : D'où votre personnage vient.
Cette information n’étant pas citée dans le livre, je ne me permettrai pas d’ajouter quelque chose, afin de ne pas déformer les dires de l’auteur.
Niveau de Vie Social : Riche, Pauvres, Moyen... Evitez le cliché Riche, Sang Pur, pour faire le parfait Serpentard.
Kamryn ne vit pas au dessus de ses moyens, il est vrai qu’elle ne calcule pas son argent, et que cette dernière achète tout ce qu’il lui plait. Mais à chaque fin de mois, elle arrive à payer ses factures et son loyer. Elle a donc un niveau de vie social normal.
Baguette Magique : Taille, Composition, Bois.
La baguette de Kamryn est faite de bois de chêne, en son sein règne une plume de phénix. La jeune femme est la seule à posséder cette baguette, personne dans le monde des sorciers ne peut avoir la même.
Inventaire : Objet magique qu'aura votre personnage.
Des lettres qu’aura écrit sa meilleure amie Adèle avant de mourir, et des affaires personnels.
Famille :
Tegan Brannon Matika : Tegan est sa fille adoptive. Sa meilleure amie étant morte d’une leucémie générale, Kamryn du prendre l’enfant avec elle. Contre son gré, mais au final, les deux jeunes filles sont énormément liées. Elles se complètent et s’apportent un soutient phénoménal.

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III. Physique.

Description : 3 lignes. Ca va vite. Commentez un peu tout de lui physiquement.
Kamryn Matika est noire de peau, ses cheveux crépus lui tombent sur le dos, n’ayant pas le temps de se faire des tresses, Kamryn y passe simplement un coup de peigne. Sa figure n’est pas bouffie, elle prend soin de son corps, en s’appliquant des crèmes de jour et de nuit. Son maquillage quotidien s’arrête à une touche de mascara et une touche de rouge à lèvre rouge foncé, qui fait parfaitement ressortir ses lèvres pulpeuses. Kamryn n’a pas de style particulier. Tout ce qui se trouve dans sa garde robe est portable, cette jeune femme avait la classe avant d’arriver sur terre, alors croyez moi qu’à trente cinq ans, elle peut savoir comment s’habiller. La mode du slim, des tailleurs aux ras des fesses, et des t-shirts trois fois trop court, oubliez. Les chaussures ne s’arrêtent pas aux baskets, la jeune femme essaye de mettre en valeur ses orteils, elle s’achète donc des sandales ouvertes. En dehors de cela, Kamryn se met en avant, et impose son véritable style.
Signes Particuliers : Métamorphomage*, Loup-Garou*, Cicatrice, Tatouages, etc...
Aucune information n’est fournie dans le livre.
Style Vestimentaire : Même les animaux. Non, je déconne. Ok, c'est nul.
Son travail occupe une majeure partie de sa vie, Kamryn est donc souvent en pantalon de tailleur noir, en chemise blanche et en escarpin blanc. Le week-end, la jeune femme se laisse aller, quand elle ne compte pas sortir, elle enfile un pantalon de training, ou si un événement imprévu se présente, elle ira vite enfiler un jeans. N’ayant pas un corps de rêve, et ayant des formes, voir des rondeurs, tout ce qui est petit, n’est pas magnifique chez elle. Elle optera donc pour des tenues qui la mettront à tomber des nues.

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IV. Caractère.

Description : 5 lignes
Kamryn est droite et correcte, elle ne se laisse pas faire, elle impose ses choix, ses idées, et ses désires et craintes. Kamryn ne fait partie de la génération sois belle et tait toi, bien au contraire, selon elle, elle fait partie de la génération sois moche et parle. Etant journaliste, elle a de la ténacité et du savoir parler, du savoir faire aussi une chose qui est importante dans son domaine. Autrefois, Kamryn était à l’écoute de tout le monde, mais avec le temps, cette jeune femme s’est renfermée sur elle-même. Elle n’expose jamais ses sentiments devant des gens qu’elle ne connaît pas, ou qu’elle n’apprécie pas. Elle préfère paraître froide et inaccessible que brisé et triste. Si quelqu’un aura le malheur de lever le ton avec elle, Kamryn répondra de la même façon, ce même-ci elle s’adresse à un supérieur, ou à une personne importante du monde magique.
Réaction face aux Dangers : 2 lignes.
Face aux dangers ? Elle prendrait son courage à deux mains et tenterait de vaincre cette situation. Si jamais sa fille, Tegan est en danger, elle serait prête à y laisser sa peau, personne ne peut toucher à cette poupée blonde, personne.
Peurs, Phobies : 2 lignes.
Sa pire peur est déjà passée. La perte de sa meilleure amie était une peur et à la fois une phobie. N’ayant pas pu lui dire correctement au revoir, elle passait des nuits blanches à s’en vouloir. Avant que quelqu’un s’en aille, il est important de faire le deuil de toutes ses fautes et de ses erreurs. Chose qu’elle n’a pas pu faire avec Adèle.

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V. Biographie.

Histoire Juvénile : [5 lignes]
Kamryn a grandi dans une famille presque parfaite, ses parents étaient toujours là pour elle, et elle toujours là pour eux. Sa petite vie se déroulait correctement, rien n’était à signaler, elle suivait son fleuve. Ses parents avaient achetés une maison dans la campagne et Kamryn adorait faire du patin sur le lac en hiver et faire de la balançoire en été. Son existence était irréprochable, son éducation n’avait rien à redire et ses fréquentations n’étaient pas prometteuses puisqu’elle n’avait pas d’amis.
Histoire Scolaire : [5 lignes](mettre le parcours scolaire, SVP !!!)
Dès son entrée à Poudlard, Kamryn se cachait du reste du monde, elle ne pensait qu’a son travail, qu’à ses études. A chaque fin d’année, les résultats de Kamryn étaient parfaits. Première de classe en toutes les matières, elle n’avait aucun mal à passer d’année en année. Le seul problème et que la solitude rend la vie dur. Enfin, à sa sixième année, la jeune femme se renfermait sur elle, et chaque jour elle devenait de plus en plus froide. Jusqu’au jour ou une jeune femme croisa son chemin, et cette dernière accrocha ses rêves aux phalanges de Ryn.

« Adèle Brannon, et toi ? »

Ce n’est qu’à cet instant que Kamryn comprit que la vie seule n’était plus possible, elle ne savait pas comment aborder cette personne, ni même quoi lui dire. Elle devait se montrer sympathique afin de lier quelque chose avec elle. Mais aucun mot ne sortait de sa bouche, et puis autant dire qu’elle n’avait pas envie de faire un effort, elle pensait que tout ceci était fait parce que cette fille éprouvait de la pitié pour elle.

« Je n’ai pas besoin de toi, Adèle »
« Arrête Kamryn Matika. »
« Comment est-ce que tu connais mon nom ? »
« Parce que je veux te connaître, Kam. »
« Ryn. »

Après cette discussion de courte durée, les jeunes filles avaient liées une amitié forte, une amitié basée sous le signe du respect, elles étaient tout le temps à deux, et chacune d’elles se complétaient. L’unes comme l’autres, elles avaient besoin d’elles. Si une n’était pas d’accord, l’autre devait s’expliquer et ainsi de suite. La remise des diplômes fut d’un soulagement totale pour Kamryn qui s’était laissée allez depuis qu’elle avait rencontré Adèle, mais au final, tout était bien qui finissait bien.

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Sincèrement, je n’avais aucune raison de remarquer cette enveloppe. Rien ne la différenciait des autres. D’ici, elle avait l’air inoffensive. D’un geste lent, les mains tremblantes, je pris cette lettre en main et mon cœur fit un bon. Mon baromètre se pointa sur : peur bleu et mon sang se glaça. Je n’avais pas besoin d’une loupe pour savoir de qui cette lettre venait. Avait-elle décidée de gâcher ma journée ? Moi qui avait prévue de saupoudrer mon corps de paillettes dorées et d’enfiler ma robe pourpre et mes escarpins d’argent. Tout était gâchée. Mon champagne qui était posé sur ma table de nuit n’avait plus de bulles et mes toasts aux caviars ne goûtaient plus rien. A l’aide de mon coupe papier, j’ouvris la lettre. Je la dépliai et de loin mes yeux se trimballèrent dessus.

« Cher Kamryn, s’il te plait, lis ce message jusqu’au bout.
Il faut que je te voie. Je suis en train de mourir. Je suis à l’hôpital Saint Jude, dans le centre de Londres.
Tendresse,
Adèle.
PS : Tu me manques. »

D’un geste brutal, j’envoyai valser la lettre. Celle-ci s’écrasa contre le rebord de ma vitre et tomba sur le sol. En voulant déposer l’enveloppe sur ma table de nuit, je découvris : « Je t’aime. » Cette carte ne faisait pas partie de la collection des libraires, ce n’était pas une carte pour souhaiter un bon anniversaire, c’était une carte banale, avec des mots qui me blessaient le cœur. Couchée sur mon lit, pendant toute la journée je me persuadais que cette lettre n’avait jamais existé. Je tentais de me calmer, et de me dire que tout ceci était faux, mais je ne pouvais pas m’empêcher de penser à toutes ces lettres qu’elle m’avait déjà envoyées et qui finissaient à la poubelle avant même de les lires.

« Je savais que tu viendrai. »

« Oui. »

« Ecoute, Kamryn. Je vais mourir. Mes jours sont comptés. »

Je ne pouvais pas admettre qu’elle se condamne. Je serrai les poings

« Ne dis pas ça ! »

« Oh, si Kamryn, si. Il est temps que tu le saches à présent, et si tu es ici ce n’est pas pour rien. J’ai quelque chose à te demander. »

« Adèle, il faut… »

« Ecoute ! »

Elle essayait de crier, mes ses mots restaient calmes, je pense qu’elle tentait de pleurer aussi, mes aucunes larmes ne coulaient.

« Je vais mourir, Kamryn. Que tu le veuilles ou non. Je n’arrive même plus à pleurer, alors imagines toi la gravité de mon état. J’en viens au faite. Je voudrai que tu adoptes Tegan, quand j’aurai quitté ce monde. »

« C’est une blague ? Tu sais très bien ce que je pense des mômes. »

« Ecoute, je te demande juste d’y réfléchir. »

« D’accord. »

Et tout c’était lancé si vite, après la mort d’Adèle, Tegan et moi sommes devenues inséparables. Tegan était traumatisé par la perte de sa mère, et toutes les cinq minutes elle venait toucher mes cheveux crépus afin de sentir que j’étais présente, que je n’étais pas partie. Un jour, même, j’ai quitté la maison afin d’acheter du lait, et à mon retour, Tegan était assise en boule sur le perron.

« Maman Ryn ! »

Maman Ryn, je n’étais pas sa mère, mais Adèle avait souhaité qu’elle m’appelle maman après sa … Vous savez. Au début j’étais contre, mais après tout, c’était pour le bien de ma petite Tegan.

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