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| | | Joleene Black * Black Sun |  |
| | | Auteur | Message |
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Joleene Black
Elève en 7ème Année à Serpentard
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CITATION : « C'est dans le silence des lois que naissent les grandes actions. » M. de Sade
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|  Sujet: Joleene Black * Black Sun  Sam 12 Jan - 9:23 | |
| Joleene Black * Sunshine
« Ne te contiens donc point, nargue tes lois, tes conventions sociales et tes Dieux. »
Marquis de Sade. « On m'a dit soit forte face à l'ennemi, car lui le sera assez pour te faire tomber. Je chavire. Je ne suis pas aussi forte que je le montre. Tout ça n'est qu'un jeu, une mascarde. Putain j'ai mal. Même après cette année, je n'y arrive pas. Mon coeur se décroche lamentablement, et j'en vomirais de douleur. Je me dégoutte d'être ce que je suis. Je vomirais plus si j'avais quelque chose dans l'estomac, mais moi, j'ai rien. Pas de souffrance, pas de haine, pas d'amour. Rien. Je suis un corps sans rien, pauvre de sentiments. Putain j'ai mal, ça me déchire les intestins. Mon Dieu j'ai mal. J'en pleurerais presque, mais le fond me l'interdit : Je suis une Black. Merde. J'ai envie de tout jeter en l'air, de partir et de crever seule. Je suis une conne. Que je suis conne. Qu'on me descende pour ce que je suis. » « Je ne suis Pas. » « Retiens que de toutes je suis la pire. Retiens que rien au monde ne bouffe les veines aussi violement que moi. De toutes je la meilleur dans le pire. De mon état, de mon sein et de mon amour il ne découle rien que souffrance et haine. De mes yeux, tu ne verras que l'utile pupille noir d'encre, et de mes gestes, de mes actes, de ma moindre action, tu n'en conclueras pas plus. Je suis Joleene Black, je suis Sunshine. Et de toutes, entends bien, je suis la Pire. Car même l'Enfer est pavé de bonnes attentions, de toutes les Serpentardes, de toutes ces filles de dandinant les fesses à l'air, je dois être celle qui mord le plus souvent et gueule le moins. Car loup trop gentil semble être le plus éprit. Chez moi, tout n'est qu'extrême. J'aime, j'haïs. Pas de juste milieu : ça serait trop facile. Il convient de comprendre que je ne suis pas méchante, non. La méchanceté est encore plus gentille que moi. Non, il en devient bien pire, et j'en découle ainsi. Mes traités, mes essaies, toutes ces petites choses qui sortent de mon crâne, c'est moi qui me les est dîtes, écrites, des centaines, des milliers de fois. Car rien ne vaut mille fois les même mots qu'à jamais le silence. C'est malsain, je suis malsaine et perverse. Méchanceté à l'état brute. L'élégance, la noblesse, tous ça dans les traits. Trop gentille. Oui, en apparence. De tous les serpents je suis la plus vénimeuse, et qui comme une rose a les plus longues épines. Je souris, tu souris, tu approches : grave erreur. C'est moi qui approche, sinon je t'arrache la langue avec une petite ceuillière. Voyons, voyons. » « Je suis bien la Pire. » « J'ai peur. Tellement. Je me perds. Un rêve, une ouverture. La fin ? Peut être. Je suis la Meilleur. De toutes j'éblouis par les rayons d'une clareté à jamais inégaler. Pourquoi tu souris ? Je sais. Je suis la Meilleur après tout. Tout ça me déstabilise. De toutes les roses je suis la plus belle. Oui. A qui me fânera le plus vite. Mes pétales sont rouges de sang, sang que mes ancêtres ont versés pour acquérir ce si beau rang, cet argent. Je suis riche. De tous les serpents je suis le plus long et le plus langoureux, fascinant l'oiseau par un sifflement si fin, si doux. Tellement élégant, tellement intéressant, que l'on se perdrait. Tu croises mon regard, juste un sourire, voilé. Tu y vois juste. L'encre noir, la pupille fine et l'iris cachent quelque chose de plus profond, des formes mouvantes. Sourire. Je suis la vulgarité à l'état pur, je suis la Meilleur de toutes ces pétasses qui se trimbalent à poil dans les rues en souriant de toutes leurs dents, histoire de montrer leur dernier piercing à la dent, chose futile. Comme moi. Je ne suis peut être qu'un piercing sur la dent, une miniscule piercing ? Oui, mais le plus beau. Parfois je m'aime, parfois je m'haïs. Non, idées manichéennes, bien trop borné pour une esprit aussi compliqué que le mien. Approches, viens de plus près caresser la beauté même. L'élégance, je la dois aux miens. Mes yeux, je les dois à ma mère. L'histoire raconte que le plus beau des fruits vient du plus beau des arbres, alors je suis ce fruit, car de tous les arbres mes ailleuls sont les meilleurs racines. Bien sûr, c'était une ainsi. Voyons, voyons. » « Je suis la Meilleure. » ____
Dernière édition par Joleene Black le Ven 29 Fév - 21:47, édité 2 fois | |
| | | | Joleene Black
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| | Sujet: Re: Joleene Black * Black Sun Mer 16 Jan - 16:34 | |
| OH BABY ! PLEASE, KILL, SAW, DUG ME !
NC - Language Violent/Vulgaire « Si un jour on m'avait dit que la vie était ainsi, j'aurais entouré mon cou du cordon obélicale de ma mère. Pour creuver, pour ne jamais connaître ces émotions qui font mal. Ils parlent pour ne rien dire, et quand ils ne parlent pas, ils s'hurlent dessus, gesticulant comme des pantins perdus. Que croyez t-ils gagnaient en vivant ensemble, dans de pareille conditon ? L'ivrogne et la pute ne font pas bon ménage. Je souris malgré ça et je regarde ce magnifique tableau familial. Parfois je me dis que j'ai de la chance, d'autrefois je vomirais leur scène de ménage scandaleuse dans les propos et dans les gestes. Qu'ils me dégoûtent. Pareil, l'un identique à l'autre, pas un pour rattraper l'autre. Vulgaires enfants de putains. L'un à l'autre ils s'assemblent dans un coït déchaîné. Et moi ? Ne suis-je que l'objet de votre putain de projet ? Ne suis-je qu'une enfant perdue dans un monde d'adulte ?
J'avais cinq ans. Mon père a levé la main sur ma mère et lui a déboîtait la machoire, s'enchaîna de cet épisode plusieurs coups au niveau du bas ventre. Le prétexte ? L'argument ? Il n'en n'avait pas besoin. Cependant, nous ne pouvons pas dire que ma mère avait choisis le bon moment pour lui annoncer l'entrée de Mario dans sa vie. Quelle connasse. Elle aurait retenu sa langue dans sa bouche, on aurait pas fini à la DASS. Je n'aurais pas fini à la DASS avec tous ces ploucs. Fais pas ci, fais pas ça. Je t'en pose des questions, moi ? Je t'impose ma suprématie, connasse de bonne femme ? Non. Bien sûr que non. Car je suis différente des autres, car je ne suis pas une sale race de moldue. C'est ça ? Bien sûr que non...
J'avais huit ans quand ma mère a fini sa cure de désintox et qu'elle est venue me chercher dans une famille pauvre. Je ne sais pas ce qui avait en moi déclenché la chose spéciale qui rende mature les gamins, mais je crois qu'à huit ans, j'avais réellement compris ce qu'était la vie. Se bourrer la gueule et se faire sauter. N'est-ce pas là la chose la plus idéale au monde ? Que de plaisir dans un corps si petit. Ma mère avait passé les années sous les bureaux pour monter en grade. Le pire dans cette histoire, c'est qu'elle était à présent Directrice d'une grande section du Ministère de San Juan. Une saloperie de métier qui me la retirait et me l'engrosser. J'arrivais donc en tête de famille, avec a à peine huit ans, cinq frères et soeurs. Je ne peux pas dire que je les aime, ça serait leur accorder trop d'importance dans leur attitude ingrate et désinvolte. J'en vomirais presque de dégoût. Ils sont pour moi ce que la merde est un l'homme : une déjection infâme et répugnante des déchets organiques.
Cruelle ? Juste un peu. Je suis de ces femmes qui comme Jézabel loue la luxure plutôt que la guerre. Il est tellement mieux de se faire foutre plutôt que d'attendre avec une hachette à la main la fin du monde. Je mourrais sans doute de syphilis avant mes 20 ans. Que c'est beau de rêvé d'un linceuil quand notre peau n'est pas encore déséchée par les années, quand notre oeil n'est pas vitreux et qu'il n'a pas été fâné comme une de ces roses que ces hommes apportaient ma mère. Oui. Sans doute est-ce le plus beau des destins. A 10 ans, je compris finalement comment ma mère gagnait sa vie, comment je jouerais des hommes plus tard. Douce utopie. Je ne peux finir comme ça, à m'irriter le genoux sur des tapis de vieux millionaires tous plus perverts les uns que les autres, débordants de vitalité quand il s'agit d'enfourcher le cuissot d'une donzelle. Ah ! Ils me font bien rire !
Dieu t'as donné un engin, sert toi en ?! Peut être est-ce la maxime à laquelle les personnes comme ma mère s'époumonne à répandre comme une bonne parole. AH ! Qu'est ce que ces vulgaires pecnos qui ne savent même ce qu'est que le plaisir ? Non. La vie est faîte pour prendre son pied. Ne pas reculer, il ne faut avoir peur. Personen n'a le droit de trembler face à l'ennemi, c'est peuvre de faiblesse. CRIE ! Tu veux connaître mon histoire ? Ca serait trop long.
Va donc au diable. Tu y salueras Sade de ma part. » To be Continued. | |
| | | | Joleene Black
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| | Sujet: Re: Joleene Black * Black Sun Ven 29 Fév - 21:41 | |
| -AND, NOW ? TAKE MY HAND. « Quand j'ai eu neuf ans, ma mère n'avait plus de temps pour moi. Plus de temps pour nous. Elle devenait folle. Vous savez, un jour, elle a eut peur pour nous, tellement eu peur qu'on viennen nous voler qu'elle nous a enfermer dans l'appartement et nous a oublié. Elle nous a oublié. On était six, et on avait pas de quoi nous nourrir. Trois jours on est resté à l'attendre. Sixième étage, une seule sortie : on avait aucune chance. Puis au bout de trois jours, elle est revenue, comme si de rien n'était, comme si quelques heures s'étaient passés. On était pas en bas âge après tout. Elle nous a regardé, puis d'un grand sourire, comme dans les pubs, elle a sortit »
« Je ne sais pas si je dois la haïr pour ce qu'elle est, ou si je dois haïr ceux qui l'ont rendus ainsi. J'ai toujours aimé ma mère, mais avec le temps, tout devient si clair. Ma mère souffrait de scyzophrénie. Vous savez comment on soigne la scyzophrénie ? On envoit des charges électriques dans le cerveau, pour éliminer la deuxième personne, la glande qui secrète la folie. On était en 1992, personne ne savait ce qu'était la scyzophrénie, on s'en méfiait comme de la peste. J'ai vu ma mère devenir un légume de jour en jour, et petit à petit sombrer dans l'inconscience. Elle est morte quand j'avais 10 ans. La société n'avait pas de quoi nous fournir une maison, alors on est partit, à six, chez mon père. Ce veuf inconsolable. Un vrai alcoolique qui ramenait ces putes à longueur de journée. Mon père était un sorcier, un sorcier minable. J'aurais juré le contraire en le voyant, là, au bout de sa table, son oeil au beurre noir, sa bouche pâteuse et baveuse, l'air ailleurs. Il parlait tout seul, souvent, peut être même toujours. Il était là, sans l'être. Je faisais à manger à mes frères et soeurs, et ils ne me répondaient rien. A la maison, j'étais la nouvelle maman, l'autre était morte. Sans doute, mais son enveloppe charnelle subsistait. Elle passait pour invisible aux yeux de tous. Comment auraient ils pu comprendre ? Ils étaient trop bêtes, tous tellement stupides.
Quand j'ai eu 11 ans, on m'a envoyé à Poudlard. Vous savez, j'ai eu peur cette année là. Chaque jour, je me demandais si un de mes frères ou une de mes soeurs n'avaient pas fini, morte de faim, ou pire encore ? Qu'est ce que faisait mon père ? Tout ça m'inquiétait. Puis quand je suis montée dans le train, quand je les ai tous vu, souriant, les plus grands avec leur sourire de vainqueur, leur yeux pétillant, j'ai tout de suite comprit : je n'étais pas faîte pour cette vie. J'ai parcouru le couloir et j'ai trouvé un compartiment vide. Vide d'âme, mais il était là, lui. Petit, blanc comme un mort, mais des yeux d'un bleu incomprable. J'ai jamais été polie : je me suis assise en face de lui. A ce moment là, quand il a ouvert la bouche, quand il a prononcé son nom, j'ai compris. »
« Moi, c'est Paine Holliday. »
« Il partagerait ma peine, j'absorberais la sienne. Ma première année, je ne le décollais pas. Il était mon seul ami. Les autres, ils n'étaient rien. De la vermine, de la sale race que j'eus toujours exécré. Des excrêments qui entaché le pavé de mon honneur, sans doute. Painy était différent. Avec lui, j'avais l'impression d'être forte. Ca n'était pas de l'amour, ça ne l'a jamais été, mais j'ai toujours vu en Paine mon double, comme une renaissance. Un lien logique nous unissait, mais lequel ? J'ignorais, et j'ignore encore aujourd'hui. Une amitié fusionelle ? Peut être bien. Ma vie se passa comme il se le doit. je ne partais que rarement pendant les vacances, je passais ma vie à Poudlard, j'en découvrais les moindres recoins. En tant que Serpentarde, je n'avais jamais été réellement méchante pendant ma première année. Certes, j'avais menacé plusieurs fois Lucy Stenger pour qu'elle me donne ces devoirs, ces notes, ou tout simplement son déjeuner, mais hormis ça... Non, je n'ai jamais été méchante. Ils témoigneront. Bon sang! Que cette année à était molle! La deuxième a été un plus mieux.
Je passais ma vie avec un bouquin à la main, à m'entraîner, pour tout et pour rien. On mimait des duels avec Paine, de quoi nous entraîner pour plus tard. Deux serpentards, aussi grand que des kiwi, à lancer des experliamus... Terrible. Qu'est ce qu'on a pu rire! Cette année là, j'rencontrais Aaron Vanna Syl, Arrogance Vanna Syl, et le reste de la bance. C'est global : Celio Orlov, Luz Taylor, Rose Strawberry. Aaaah! Qu'est ce qu'elle me cassait les pieds la petite blonde! J'ai du coloré des centaines de fois ces cheveux tellement elle m'inssuportait! Une teigne, une tête à claque! Je me demande comment elle a réussi à vivre jusqu'ici d'ailleurs. Miaaa. Trop gentille. Nunuche va! Oui! Ah, je haïs ça. La petite innoncence, celle qu'à jamais rien vu. Mais biiiien sûr! Et mon cul ?!
La troisième année, ça n'a pas été de mieux en mieux. J'avais la haine, et je le montrais. On failli noyé un élève dans les toilettes avec Painy. Ôh, pas grand chose... C'était Rose. Aaron est arrivé, et il m'a dérouillait. Pas grand chose ; deux côtes cassées et un nez en bouilli. Tout ça c'est vite remit, vous inquietez pas. Après ça ? Je sais pas trop. Quand vous êtes fâchés avec tout Poudlard, on évite de faire la grande gueule. Certes, mais quand on s'appelle Joleene Black, on a toujours une grande gueule et quand je dis toujours, c'est toujours! Je prefère crever la tête dans l'sable que sur un lit, j'vous l'dis! Rien de spéciale... P'être deux ou trois bombabouses... Mais ça... C'était habituel.
Ma quatrième année! La couleur du vice pervers et de la luxure! Ma pemière victime ? Un poufssoufle. Délicat du bout des doigts jusqu'au bout de ses lèvres. Ma première fois, et je peux vous dire que ça a décoiffé! Le lit a failli craqué tellement il était... Fougueux ? Ouai. Et j'y ai malheureusement prit goût. Peut être trop ? Sans doute trop. A part mes erruptions hormonales, je suis toujours restée fidèle à moi même : noyade de petits dans les chiottes, bombabouses, et toutti. Ah, si, un petit plus! Les excurssions dans la forêt interdite. Bon, c'était pas la meilleur idée qu'on ai eut, Painy et moi, mais au moins, ça nous a permit de savoir que Celio Orlov, c'est le fils de Vitaly, et pour dire! Il a des canines aussi longue que mon pouce! Et ne parlons pas de ce qu'on a vu. On pourrait me pendre!
On a eut le droit aux Buses. Pas cool, hein ? Ouai; pas cool... Boff. J'ai pas à me plaindre. J'ai jamais été surdouée, ni attardée, donc tout va bien. Et puis moi, je ne prends que ce qui m'intéresse. Le reste... Je le laisse aux pleutres de Gryffondor et de Serdaigle. Qu'ils sont beaux ces bleux. Wouaah! Connards, oui. »
« J'ai jamais aimé cette phrase. La première fois que je l'ai entendu, j'ai pas compris ce qui s'était passé. Je parlais avec quelqu'un, je m'engueulais, et quelqu'un est venu, il m'a regardé et il a articulé ça. Bon sang, pourquoi ? Pouvais-je comprendre, moi ? Ta gueule. Il avait voulu dire quoi ? Que je devais me taire ? J'ai pas compris, alors j'ai frappé. Je l'ai aligné. J'ai jamais aimé l'irrespect. Tout le monde vous le dira : je suis respectueuse. Mais je haïs plus que tout que l'on vienne m'emmerder alors que j'ai rien fait. Ma vie n'est pas rose. Venez m'faire chier, et la votre finira comme la mienne, j'vous jure.
Sixième année. Je crois qu'en faite, j'ai rien foutu cette année là. A morf. Ouep... J'ai connu Sara. Une fille sympa, vraiment. Puis Jake, aussi. C'est le mec qui tient Barjow et Beurk. Un ancien Serpentard. Boff. Une tête de vainqueur, un brin orgeuilleux. On peut pas dire que c'était l'année sainte, celle là. J'étais plutôt même période... Luxure. Painy dira que ça a pas changé. Salop. A part ça ? Rien. Petit bégin pour Painy. Vous savez ce que c'est de tomber amoureuse de son meilleur ami ? De son double ? Déchirure totale. Je me suis prise d'amour pour un prof. Scott. Bon dieu, dans ses bras, je me sentais si bien...
My Paaaaain. TA GUEULE CONNASSE! Parfois, j'me haïs. Mais je m'en fous, en faîte. Je suis bien comme je suis, je supporte ma famille, alors tout va bien. Ouai, tout ira bien. J'ai Painy au bras, et j'ai assez de charme pour m'être tapper un prof pendant trois mois. Putain, j'y crois pas. J'en été amoureuse, passionée même! Et ce bâtard, il m'a laissé, comme ça, comme une merde. Je le haïs, et ce que je haïs, je détruis.
Broke my deams ; took my soul ; kill me ; rape me. » Finiiiish. (L)
Dernière édition par Joleene Black le Sam 1 Mar - 5:09, édité 1 fois | |
| | | | Chad Parker
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| | Sujet: Re: Joleene Black * Black Sun Sam 1 Mar - 4:52 | |
| Fiche magnifique  Je valide. Par contre confirme moi que c'est bien 6èmé année ^^ Serpentard bien sur. | |
| | | | Aaron Vanna Syl
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| | Sujet: Re: Joleene Black * Black Sun Sam 1 Mar - 5:25 | |
| Oui t'avais loupé une année XD C'est bon je te change ça Va pour 7ème XD | |
| | | | Joleene Black
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