En apesenteur (juillet 1983) PV Anne

17 Juillet 1983. Une pièce uniquement éclairée par la lueur des bougies, une chambre préparée spécialement pour ce moment précis. Quelque part dans le sud de la France. Dans la pièce sonnât une horloge. 22H30. Un petit bruit dans la pièce signalant que quelqu’un venait de transplanner. A la lueur des bougies, on pouvait apercevoir deux personnes, enlacée, lancés dans un baiser passionné. Ces deux silhouettes, c’était Anne et Chad Parker. Enfin mari et femme. Ils venaient de quitter la réception de leur mariage discrètement, ayant laissé Alec avec son Parrain, Loris, pour profiter enfin d’n peu de temps libre pour eux, ce qui n’était pas arrivé depuis un moment.

Chad sentait son cœur battre contre sa pomme d’Adam au fur et à mesure qu’il sentait son corps vibrer de passion pour elle. Ses lèvres collées au siennes dans une parfaite fusion, ils partageaient enfin un moment a deux, seul, et ils ne seraient pas interrompu par les pleurs d’Alec. Lorsqu’il écartât son visage du sien, de petites étoiles brillaient dans le fond de ses yeux. il la voyait comme au premier jour, lorsqu’il l’avait aidé a chercher sa chouette. Lorsqu’il l’avait trouvé après son cauchemar dans la salle commune. Leur premier baiser après la sortie à pré au lard. Leur première fois. L’annonce qu’elle était enceinte. Sa demande en mariage. La naissance d’Alec, et aujourd’hui le mariage. Il revoyait tout ses instants dans les yeux de sa belle.

Un léger sourire se dessinât sur son visage. Il passât sa main dans ses cheveux, faisant glisser l’autre dans son dos, et la serrât contre lui. Lorsqu’il la relâchât, il lui tendit la main, et l’entrainât dans la chambre. Une douce odeur flottait dans les airs. La pièce était décorée tout en pourpre, donnant un aspect sombre et tamisé à l’aide des bougies. Il l’attirât a nouveau a lui, passant une main dans sa nuque pour déposer un baiser sur ses lèvres. Il savourait avec délice sa douceur. Laissant glisser ses lèvres dans son cou, il se délectait des effluves de sa peau. Remontant au creux de son oreille il murmurât simplement :

Je t’aime…

Les bougies de la suite nuptiale, préparer spécialement pour les jeunes mariée donnait à la place une ambiance des plus romantique. Mais à vrai dire Anne y fit attention, ses lèvres était sceller avec celle de son jeune époux et le temps semblait comme figeait. Elle avait attendu de pouvoir se retrouver seule avec lui, depuis qu'il lui avait dit" Oui ", plusieur heures auparavant dans cette jolie église du doux nom de " Cupidon ". Elle l'aimait de tout son coeur et enfin aujourd'hui son rêve le plus beau c'était réalisé : se marié avec lui.

Ils étaient tout les deux enlaçer, plein de tendresse et ne semblaient pas vouloir ce lacher. Ce soir c'était leurs nuit de noce et pour l'occassion leur adorable petit garçon avait était confier à Loris. Il est vrai que depuis la naissance du petit blondinet le couple n'avaient pas eut beaucoup de moment d'intimité et ou de tranquilité. Voilà pourquoi Anne appréciait encore plus de se retrouver là avec Chad.

Il se montrait tendre, attentionnait, prévenant, amoureux. En bref, il était comme elle l'aimait, l'homme parfait. Le jeune homme souriait et semblait heureux. Anne de même, elle gardait se sourire radieux qu'elle n'avait pas quitter depuis qu'elle le connaissait. Etrange, mais défois elle bénéssait le ciel d'avoir était renvoyer de BeauBaton. Car sinon elle ne l'aurait pas connue et elle aurait vécue son connaitre son âme soeur.

Chad passa Sa main dans ses cheveux et la serra dans ses bras. Elle souria de plus belle, ravie par se geste de tendresse. La nuit promettait d'être belle et forte en émotions. Il l'embrassa doucement et ses lèves descendirent dans son cou. Elle se mordit ldoucement la lèvres, preuve qu'elle appréciait ce baiser.

- Je t’aime… lui chuchota-t-il a l'oreille.

Elle frissonna, ses simples mots suffissait à chaque fois pour la mettre dans tout ses états et à faire bondir son coeur dans sa poitrine.

- Je t'aime aussi.

Elle connaissait la suite des évènements car bien entendu elle était loin d'être vierge sinon Alec ne serait jamais venu au monde. Mais elle préférait prendre son temps, ne rien précipiter et surtout laisser Chad tout diriger.

LECTURE INTERDITE AU MOINS DE 17 ANS !

- Je t'aime aussi.

Au son de sa voix, il fermât les yeux un instant, levant son visage. Il savourait ses mots, et bénissait les cieux de lui avoir donné une femme parfaite. Lorsqu’il reposât son regard sur elle, les étoiles brillant dans son regard bleu azur. Il la serrât un peu plus contre lui, déposant un baiser emplis de fougue sur ses lèvres. Cela faisait longtemps, trop longtemps pour qu’il puisse ne pas mettre autant de passion dans ce qu’il allait faire. Mais il voulait que la nuit soit exceptionnelle pour elle comme pour lui. Se retrouver seul, enfin après tant de temps. Il se laissait emporter par sa folie, sentant son corps se raidir, ses muscles se crisper peu à peu. Il savourait déjà ces lèvres comme une étreinte pouvant le mener à l’extase.

D’un geste, il défit son chignon, libérant sa belle crinière. Il enfouit son visage dans cette douce cascade doré, se délectant de son odeur douce et sucrée, collant totalement avec la douceur de sa peau de pèche. Faisant lentement glisser ses bretelles, il déposât un baiser sur son épaule. Ses mains glissèrent dans son dos, la frôlant du bout des doigts afin de faire monter le plaisir chez elle. Il commençât lentement à défaire les lacets qui fermaient son corset, pour pouvoir profiter de toute la surface. Il joignit a nouveau ses lèvres aux sienne, plus passionné encore, sa respiration se faisant difficile au fur et a mesure qu’il ne tenait plus d’attendre.

Il retirât le corset pour en découvrir… Un autre. Il sourit légèrement, l’observant en se mordillant la lèvre, avant de partir à l’assaut du suivant qui lui délivrerait enfin le fruit de sa passion. Se pressant contre elle, il la fit reculer de deux pas, pour qu’elle se retrouve le dos collé au mur. Il entreprit a lors de parcourir les parcelles de peau qu’il avait déjà mit a nu, du bout de ses lèvres, ca langue se mêlant parfois au balai. Mais pourquoi les filles portent des choses comme ça, trop difficile a retirer, pourtant, après de longues minutes passé a parcourir son corps et de la couvrir de baiser, il était enfin parvenu a dégrafer tout l’attirail de la jeune mariée. Lorsqu’il se fut retrouvé au sol, ses mains se joignirent a ses lèvres, descendant vers son bas ventre avec douceur, pour lui faire ressentir le maximum de sensation. Son ascension se fit langoureuse, ses mains remontant pour glisser sur sa poitrine. Tous son corps était en transe, pourtant, ses geste qui étaient certainement devenu plus brusque que d’habitude a cause de l’attente, restaient tout de même délicats. Sa langue balayât le bout de ses seins, pour revenir se glisser au creux de son cou.

Chad défit ses cheveu et elle afficha un sourire taquin charmeur que seul lui avait l'occasion de voir en ces moments d'intimité, car elle n'était pas de nature séductrice. Il fit glissait les bretelles de sa robe et elle se laissa éfleurait gentiment sans rien dire. Savourant égoistement et silencieusement le contact des doigt de Chad sur sa peau qui était plus sensible que jamais. Il l'embrassa avec fougue et cette fois-ci encore elle se laissa faire, complétement dévoué au plaisir qui commençait a monter en elle et qui ne demander qu'a grandir.

Elle s'avoura se baiser comme un fruit rare à consommer sans modération. Un fruit dont on devient vite dépendant et dont on a rapidement du mal à se passer. Un fruit dont un savoure le gout avec lenteur et satisfaction. Il l'avait poussait contre le mur à son plus grand étonnant mais ce n'était pas pour lui déplaire, bien au contraire. Cela lui donnait encore plus envie de voir jusque où l'originalité de Chad pouvait aller .

Chaque caresse était un plaisir, une douceur, et la faisait chaviré davantage. Il connaissait son corp par coeur et il savait quoi faire pour la satisfaire. Le corset semblait donnait du mal au jeune homme mais Anne savait bien que le bout de tissus ne l'empecherait à arriver à ses fins. Une frisson la parcourut lorsqu'elle sentit ses mains sur sa poitrine. Son coeur tambouriner furieusement au dessous et il avait du mal à battre tellement Anne commençait à avoir la respiration saccader. Ses mains a elle était poser contre le mur, elle s'appuyer a celui-ci pour essayer de se donner une contenance . La froideur du mur s'opposait à merveille avec la chaleur de son corp . Chad était remonter au creu de son coup et elle avait incliner la tête, parcourut de désir. Le corp en émois, la jeune fille plus totalement maitre de soie-même. Elle lui laissait mener la danse et elle savait qu'il y prenait autant plaisir qu'elle. Elle avait torse nu mais Chad portait toujours son costume qui lui donnait cet air de gentleman qui faisait littéralement fondre sa femme.

Elle se redressa légèrement et attrapa le jeune homme par sa cravate pour l'attiré vers elle afin de l'embrasser de nouveau. Pendant que leurs lèvres était sceller doucement elle défit les boutons de son pantalons. Ainsi fait, elle se recula et le regarda avec un air mutin, de petite fille sage, un moue espiègle sur les lèvres, l'invitant ainsi à revenir chercher se qui lui était dut.

Elle se laissait gentiment faire, et il s’enivrait de la sentir frémir sous ses doigts. Il la dévorait au sens littéral, mais il ne lui aurait pas fallut beaucoup plus pour en croquer un bout. Il Pouvait sentir son cœur battre à l’unisson avec le sien, sous ses doigts, cela ne le rendant que plus fou d’amour pour elle. Il voulait que tout soit parfait, pourtant, il s’y prenait d’une manière différente, plus sauvage qu’à l’accoutumé, et elle semblait apprécier. Lorsqu’elle l’attrapât par la cravate pour l’attirer à elle, un sourire se greffât sur ses lèvres, alors qu’il dégustait la pulpe de se fruit.

Il sentait un flot de frissons envahir son corps, et ceux-ci s’intensifièrent alors qu’elle glissait ses mains vers son pantalon pour le déboutonner. Il intensifiât son baiser, caressant sa langue du bout de la sienne, mordillant sa lèvre au passage, avant qu’elle ne se recule. Il se passât la langue sur la lèvre, essayant de calmer un peu ses ardeurs pour faire durer le plaisir. Il lui rendit son sourire, sans un mot, et avec un mouvement de sourcil, il retirât sa veste. D’habitude, il aurait pris soin de la plier, et de la ranger correctement, mais elle valsa à travers la pièce.

A nouveau, il se rapprochât d’elle, l’embrassant avec passion. Il se laissait envahir par cette euphorie qui prenait place lentement, mais qui n’était qu’n prélude à la suite des événements. Il fit glisser ses mains au creux de ses reins, faisant glisser la fermeture éclair qui maintenait la jupe sur les hanches de sa femme. Il s’écartât lentement, lui tendant une main, pour la faire enjamber la jupe et le jupon qui glissaient lentement sur ses cuisses. Il la laissât faire, l’admirant avec fierté. Elle était radieuse. Difficile de s’imaginer que peu de temps auparavant, elle avait donné naissance à son fils. Elle portait un joli porte jarretelle blanc, encore un truc qu’il allait falloir apprendre à défaire. A nouveau, ses lèvres se joignirent au siennes. Il la faisait lentement reculer, jusqu’à ce qu’elle bute contre le rebord du lit. La, il la regardât avant de la pousser légèrement en arrière, un sourire espiègle sur le visage.

Avant de la rejoindre, il laissât ses mains glisser sur son corps, voulant la faire monter plus haut encore avant d’en venir au moment tant attendu. Il laissât son pantalon tomber au sol, et l’envoyât plus loin d’un geste du pied. Il posât alors ses lèvres sur sa peau de pèche, remontant lentement en partant des pieds, insistant dans certains endroits plus sensible. Une lente ascension vers le plaisir, pour finir par rejoindre à nouveau ses lèvres, son corps serré contre le sien, lui démontrant toute l’envie qui l’emplissait.

Il l'embrassa encore et son corp apprécia de nouveau, se délectant de cet échanges qui ne fesait qu'accentuer la passion qu'elle avait pour lui. Le baiser était encore plus passionner que le précédent et elle pouvait ressortir une sauvagerie qu'elle ne lui connaissait pas. Cette pensée lui arracha un sourire, elle aussi était d'humeur à être plus joueuse et malicieuse qu'a l"accoutumé. Le jeune homme lui enleva son jupon avec un savoir faire étonnant. Vu ses ardeurs le porte jartelle de la jeune mariée ne tardererait pas à rejoindre la veste de Chad au sol.

Anne se trouvait à présent contre le lit, poussait par les baissé du blondinet. Elle émit une sourire de satisfaction lorsqu'il baisa ses pieds pour remonter doucement plus haut. Elle avait l'impression d'être une princesse. Elle frissona bien que son corp soit en sueur et plus brulant de la braise. Elle était contre le lit, la poitrine a l'air, n'attendant que les caresses satisfesante de son tendre époux. Elle s'avourait chaque instant et mémorissait chaque sensation réssentit comme un trésor qui n'appartenait qu'a elle .

Chad rejoingnit de nouveau ses lèvres alors qu'elle affichait toujours se sourirent plein de satisfaction. Ils étaient serré contre l'autre, et Anne avait la poitrine compriner contre le torse de son homme. Le jeune blondinet n'avait pas encore le torse nu mais la blondine s'atteler deja à la tache pour dévêtir davantage son cher et tendre. Du bout des doight, légèrement tremblante par l'envie qui se faisait de plus en plus pressant, elle déboutonna le chemiser de celui qui faisait battre son coeur. Pour ensuite lui enlever assez rapidement à vrai dire. Son torse était luisant, savament musclé, et quelque goutte de sueur perler. E

lle prit un air espiègle et se déroba. Ce n'était pas parce qu'ils étaient marié à présent que la routine devait s'installait. Chad se retourna et la suivit du regard. Elle recula et en même temps fit bouger son index pointait vers elle, un index pour dire à Chad d'approcher, un sourire malicieux sur les lèvres. Il l'a suivit, en la dévorant toujours du regard.

Elle se retrouva de nouveau dos au mur et elle s'avança vers alors rapidement vers pour lui mordiller son oreille. Une extravagance qu'elle avait toujours trouver amusante dans les films et qu'elle s'était toujours promise d'essayer le jour de son mariage. Aujourd'hui c'était chose faite. Elle lacha son oreille et le transperça de son regard bleuté. Silençieuse, muette, plus amoureuse que jamais, elle attendait qu'il prenne de nouveau les choses en main.

Il la laissât déboutonner fébrilement sa chemise, son cœur accélérant ses battements progressivement. Il la dévorait du regard, un petit sourire envieux sur le visage. La chemise parti rejoindre les affaires laissée au sol, dévoilant son torse aux yeux de sa belle. Son petit sourire le faisait littéralement craquer. Il s’apprêtait à fondre a nouveau sur elle pour la couvrir de baiser, mais elle se dérobât de son assaut. Un sourire amusé vint se fixer sur ses lèvres, suivit d’un petit rire, alors qu’il se retournait pour la suivre du regard. Madame était joueuse, parfait, ils étaient dans la même idée.

Elle reculait vers le mur, et lui fit signe du doigt pour qu’il approche. Il se mordit la lèvre, la dévorant déjà dans son esprit. Il se levât, prenant tout son temps, pour la rejoindre, le regard fiévreux. Tous ses sens étaient en ébullition, et malgré l’assurance dont il faisait preuve, ses mains tremblaient légèrement. Il n’eut pas le temps de la rejoindre, que déjà, elle revenait vers lui. Elle s’approchât de son oreille pour la mordiller. Il sentit un frisson monter en lui, alors qu’il fermait les yeux. Il appréciait ses initiatives, espérant qu’elle n’en resterait pas la. Elle plantât son regard dans le sien, et sans attendre, il l’attrapât par la nuque et l’embrassât follement.

Il laissât son autre main glisser sur ses belles formes pour parvenir à la cambrure de ses reins. D’un pas, il la fit reculer rapidement, et il la plaquât contre le mur. Son regard transperçant, et empli d’ivresse, il la fixait. Il joignit ses mains aux siennes, plongeant son visage au creux de son cou pour le couvrir de baiser. Il maitrisait totalement son corps, l’empêchant de bouger. Il glissât sur son épaule, la mordillant au passage. Il relevât un de ses bras, pour continuer ses baisers en terminant par un baise main. Il se laissât glisser le long de son corps, pour faire disparaître avec quelques efforts le porte jarretelle. Il fit lentement glisser le premier bas sur sa jambes, et retirât le second dans la foulé. Il s’accroupit face à elle, et comme le voulait la tradition, il fit glisser la jarretière à son tour, avec les dents. Il fit glisser sa langue sur sa peau en remontant, accompagné de ses mains. Arrivé au niveau du bassin, il fit glisser la dernière barrière qui la protégeait de lui.

Un corps de déesse s’offrait à ses yeux. Il remontât lentement, ses mains remontant sur son bas ventre, et déposât un baiser sur son intimité. Elle voulait de l’originalité, il lui en offrait. Voilà une chose qu’il ne lui avait encore jamais fait découvrir. Sa langue la caressait tendrement, ses mains se serrant sur ses hanches. Il laissât monter en elle le plaisir quelques minutes, avant de cesser son balai incessant, terminant par un baiser. Il remontât alors en passant par son ventre, remontant entre ses seins, venant à nouveau se loger au creux de son cou. Son souffle chaud caressait la nuque de sa belle, alors que ses mains étaient restées accroché à ses hanches, la tenant fermement contre son bassin.

La tension se faisait plus forte. Il savait que dans quelques minutes, il pourrait la savourer entièrement, mais pour cela, il faudrait encore qu’elle retire le mince bout de tissu qui les séparait encore. Il replongeât son regard dans le sien, et dans ses yeux se lisait tout un message : « A ton tour de me surprendre. »

Il l'a planquaau mur et elle le devora littéralement du regard. Son regard doux de l'habitude était devenu un regard de louve pres à mordre, sauvage, elle voulait que Chad assouve ses désirs et soit plus ferme que d'habitude. Une envie étrange de se faire dominer peut-être... Envie d'une jeune marié qui avait accoucher il y a peu. Anne avait peu d'expérience et ce soir elle avait envie de coucher avec un Chad qu'elle ne connaissait Chad, ce montrait qui se montrait si brillant face à l'ennemi. Elle aussi elle avait envie de lui montrer une Anne qui n'avait qu'entreperçut. Une Anne pour se trouvait trés féline, attirante, sexy, bien loin gentille Gryffondor neuneu comme certain la voyait encore à Poudlard.

Elle se mit à sourire, amuser par la situation, lorsqu'il enleva ses bas et qui lui fit un baise. Chad avait toujours était un gentleman, son gentleman. Elle se mordilla la lèvre lorsqu'il lui enleva son porte jarretelle avec les dents. Bizarrement tout à coup elle n'avait plus du tou envie de rire. Peut-être était-ce dut au contact de la jartièrre qui la chatouiller gentiment. Dans tout les cas, il savait y faire car le mur devenait de plus en plus contrastant ave la chaleur de sa peau. La tête légèrement en arrière les mains de nouveau appuyer sur le mur, elle se bouillonnait de l'intérieur. Elle sentait la langue de Chad en elle, la caressant doucement avec tendresse et elle laissa echapper un gemissement de satisfaction. Depuis qu'ils se connaissaient ils n'avaient pas encore tester ce genre de chose, mais cela ne deplaissant pas à Anne. Bien au contraire... La langue de chad était devenu l'outil de son bonheur, l'accomplissement du plaisir intense. Mais ceci n'était qu'un avant gout du plaisir de la chair qui vous transporte et vous rapelle pourquoi vous aimez l'autre .

La carresse langoureuse cessa, et la langue de son époux se faufila sur son corp pour son plus grand plaisir. Anne était completement nu, offerte totalement à celui pour qui son coeur battait . Mais Chad était malheureusement encore caleçon, mais ceci pour encore peu de temps. Car déja la blondine glissait ses mains ou il fallait pour délivrer son chevalier de son armure afin qu'il puisse assouvrir les fantasme de sa princesse, a l'idée de son instrument savament afuter. Anne émit de nouveau une moue de fausse petit fille sage, faisait semblait d'être impressionnait par le sexe de Chad qu'elle avait deja vu depuis lontemps.

Ses lèvres cessèrent tout baiser, alors qu’il sentait les mains de sa femme glisser vers son caleçon. Il poussât un long soupir, se mordant la lèvre pour ne pas la mordre elle. Son visage enfouit dans sa belle chevelure blonde, son souffle caressant son cou, son épaule, il retirât ses mains qu’il avait laissées sur ses hanches pour lui laisser le champ libre, et les posât contre le mur au dessus de ses épaules. Il plantât son regard dans le sien, alors qu’elle le débarrassé de ce morceaux de tissus superflu, laissant apparaître l’objet de son désir. Sa petite moue elle fit craquer, elle savait comment faire pour le rendre fou.

A nouveau, il se pressât contre elle, collant son bassin au sien sans pour autant lui donner encore ce qu’elle désirait tout autant que lui. Il voulait faire durer le plaisir au maximum. Il se devait de rendre cette nuit inoubliable. Il la décollât du mur, juste quelques centimètres, pour pouvoir glisser ses mains dans son dos. Il les fit glisser jusqu’au bas de ses reins, raffermissant sa prise, la serrant plus fort que jamais. Un petit sourire taquin sur son visage, il voulait la faire languir. A nouveau, il lui offrit ses lèvres avec passion, la dévorant littéralement.

La tension était insoutenable, son cœur battait a tout rompre, il mourrait de désir pour elle. Il glissât ses deux mains sur ses cuisses, la saisissant fermement pour lui faire quitter le sol. Il les calât sur ses hanches alors qu’il lui plaquait à nouveau le dos au mur, pressant son torse contre le sien. Il enfouit son visage dans son décolleté, l’embrassant de toute part, mordillant le bout de ses seins avec douceur, ses mains sur ses cuisses, glissant vers ses hanches pour assurer la prise.

Il lui adressât un regard fiévreux, et il prit enfin possession de son corps. Il poussât un soupir d’extase, ses yeux se fermant d’eux même, un sourire apparaissant sur son visage. Il frissonnât de tout son long, savourant pleinement ce qui lui avait tellement manqué. D’un mouvement lent, il s’adonnait a lui faire ressentir autant de plaisir qu’il pouvait lui même en avoir. La partie était lancé, mais il ne tenait qu’à elle de changer les règles du jeu, ce soir, il lui donnerait tout se dont elle avait envie, même dans ses rêves les plus fou. Il suffisait d’un signe…

Il l'avait décollé légèrement du mur et ses mains parcourait son dos qui se courber légèrement au moindre de ses caresses. Sa peau frémissait et appréciait le tactile délicats de sesdoigts. Il semblait vouloir la faire languir car il l'embrassa au lieu de faire communions avec elle. Elle lui mordit alors doucement le bout de la lèvres alors que leurs baisers céssèrent pour lui faire comprendre que le désir était plus qu'omniprésent en elle, et qu'elle n'allait pas finir par exploser s'ils n'atteignaient pas leurs but trés vite.

Chad saisit alors ses cuisses et la souleva du sol . Elle ne put s'empecher de pousser un soupir de plaisir, trop ravie de voir ses inniatives. Sans aucun doute, elle aurait dut mal à oublier cette soirée si la suite des évènements se passait aussi bien que le début. Les cuisses de Anne entouré son époux et ses mains était dans son dos . Elle le serrait si fort qu' il allait surement finir par avoir la marque de ses ongles. Il la plaqua de nouveau contre le mur et elle soupira de nouveau. La pression se faisant de plus en plus grande et le désir de plus en plus incontrolable. Il plongea dans son décolleté et elle pencha la tête en arrière, tout en fermant les yeux, tellement celà lui fesait du bien. Elle se mordillait la lèvre avec envie tendit qu'elle sentait sa langue sur son sein. Il la regarda et enfin il rentra en elle. Il était temps d'ailleurs car elle n'en pouvait plus de l'attendre. D'un mouvement lent mais assuré il lui donnait se qu'elle attendait, c'était même mieux que ce qu'elle n'avait pas imaginer quelque seconde apparavant. Tout son corp transpirer et elle était comme en transe. Elle ne tarda pas à gémir.

- Chad....

Elle lui laissait les commande, le laissant dominer comme elle le voulait, se contentant seulement d'être dévoué et docile comme elle l'avait toujours était. Elle remonta ses mains dans son cou pour finir par les laisser glisser dans ses cheveux, s'aggripant à eux avec fureur et plaisir avant de l'embrasser à pleine bouche. Chad étant toujours en elle, Anne avait de plus en plus chaud et elle sentait que l'orgasme n'allait pas tarder à arriver. Elle se sentait rougir, enflammer de l'intérieur.

Son corps était en transe, sa passion débordante. Les sensations qu’il ressentait surpassé même ce à quoi il s’était attendu. Ce n’était pas bien différent d’avant, mais maintenant, elle était sa femme, a croire que se tout petit détail le transcendait encore plus. Son bassin s’activait, lentement, avec douceur, calculant pour qu’elle puisse y ressentir un maximum de plaisir. Il ne la quittait pas des yeux, se si doux visage qu’il aimait tant, et qu’il avait aimé depuis le premier jour sans vouloir se l’avouer. Maintenant, ils n’étaient plus qu’un, uni pour le restant de leur jours. Ses mains la serraient avec force, alors qu’il tentait de maitriser les battements de son cœur autant que son corps pour prendre son temps.

- Chad....

Se simple gémissement lui fit oublier ce qu’il avait entreprit avec douceur. Ses mains le saisirent par les cheveux, et elle l’embrassât fougueusement. Il lui rendit se baiser plus rageusement que jamais, voulant la dévorer entièrement. Aussitôt, il mit plus de fougue dans son mouvement, se laissant envahir par le plaisir suprême qu’elle lui procurait. Tantôt accélérant, tantôt ralentissant pour faire durer au maximum. Ses mains se crispaient sur ses cuisses, et il retenait a grand peine ses gémissement de plaisir qui ne demandaient qu’a sortir.

Il décollât ses lèvres des siennes pour rapprocher son torse du sien, et enfouit son visage dans son cou. Son souffle chaud se déposant sur sa peau, un gémissement passant ses lèvres alors que d’intenses vagues de plaisirs le parcouraient de toute part. Dans un ultime effort, il mit autant de fougue que le lui permettait encore son corps pour parvenir enfin a l’extase. Un gémissement plus sonore s’échappât de ses lèvres alors que tout son corps relâchait la tension. Son visage toujours enfouit dans son cou, il tentât de reprendre sa respiration qui semblait s’être bloqué un instant.

Sans la lâcher, il la décollât du mur, la maintenant d’une main sous sa cuisse, l’autre remontant dans son dos. Il se dirigeât vers le lit, et l’allongeât délicatement, la libérant enfin. Il vint se glisser contre elle, ses lèvres parcourant son buste pour remonter a la base de son oreille. Il revint planter son regard fiévreux dans le sien, ses lèvres tremblant légèrement, il lui offrit un de ses baisers emplis de passion et qui vous font passer tout les sentiments de l’autre en quelques secondes. Il laissât sa main glisser sur sa hanche pour rejoindre sa nuque et maintenir fermement son visage contre le sien, ne voulant pas briser ce baiser. A bout de souffle, il se laissât reposer contre elle, venant juste murmmurer au creux de son oreille :

Je t’aime…

Terminé

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