~ Quand l'inévitable arrive {Mars 1990}

Entre les potions mal négociées, les petites brûlures sans gravité, les bobos de quidditch, les journées de Loris Antony à Poudlard se ressemblent comme deux gouttes d'eau. Pas un seul évêment important pour pimenter la vie monotone du jeune infirmier. Depuis un an et demi déjà, l'ancien Gryffondor est revenu dans le château de son enfance pour acquérir de l'expérience avant de devenir Médicomage. Enfin, c'est ce qu'il souhaiterais devenir mais pour l'instant, il se contente de l'école de sorcellerie anglaise. Pas très passionnant mais c'est touours un revenu qui tombe à la fin de chaque mois et c'est pas négligeable.

Loris finit rapidement de donner ses instructions à l'autre infirmier qui reste au château pour la nuit avant d'enfiler sa veste et de quitter son lieu de travail. Le château n'a pas vraiment changé depuis son départ et même s'il en gardait de bons souvenirs, son avenir n'était pas là et il se lassait de voir continuellement les mêmes murs, les mêmes professeurs, les mêmes élèves. Maintenant, sa ie n'état plus ici et il s'en rend compte un peu plus chaque jour mais que faire lorsqu'on lui refuse continuellement l'entrée à Sainte Mangouste en tant qu'interne ? Attendre, c'est la seule solution. Et pendant ce temp, il était bien obligé de travailler

Directement, il transplana. Manchester, 19H. Non pas chez lui mais chez une amie. Il arriva juste devant une petie villa qu'il connaissait bien. Depuis maintenant quatre ans, c'est là qu'il passait le plus clair de son temps libre et c'était loin de lui déplaire. Un sourire se figea sur son visage avant d'aller frapper à la porte. Une petit voix se fit entendre à l'interieur. Alec. Ce petit ange qui avait maintenant 7 ans. Quel bonheur de le voir régulièrement même si le jeune homme aurait préféré que le père de ce garnement soit plus présent pour lui.

Bang ! Anne Grimaça et accourut dans la chambres de ses adorables enfant. Enfin pas toujours aussi adorables que ça a vrai dire... La jeune femme se mit à sourire, la petite Sarah avec ses adorables boucles se trouvait au sol entrain de déssiner. Sa mère, Anne abserva la scène avec un air lègérement sévère afin de déterniner ce qui s'était passer. Alec était debout et tenait une épée en carton qu'il cacha immédiatement derrière son dos lorsqu'il croisa le regard de sa mère. Il savait que sa maman avait horreur de la voir jouer à la gue-guerre comme Alec disait.

Une licorne en porcelaine casser se trouvait sur le sol. A en croire la mine innoncente du jeune enfants de sept ans, Anne ne mit pas lontemp à comprendre d'ou venait le bruit qui l'avait alarmer quelque minute auparavant. Elle s'approchant de son fils avec un sourire mais tout de même avec sérieux.

Anne - La licorne de ta petite soeur ne te plaisait plus Alec ? dit-elle avec un sourire pour le taquiner. Elle ébourrifa ses cheveux de sa main par tendresse et le jeune enfant souria alors à son tours. Aller file faire tes devoirs au lieu de faire des bêtises. Loris devrait passer se soir tu auras tout le loisir de jouer avec lui tout à l'heure, mais seulement si tu as fini.

La jeune femme lui fit un tendre baiser sur le front et l'enfant s'exécuta avec gentillesse, en s'assayant à son bureau pour commençer ses exercices de lecture. Sarah quand à elle était toujours assisse au sol entrain de griffonner une maison et un cheval ( a moin que se ne soit un chien ? ) sur une feuille de parchemin.

- Je vais préparé des cookies . Tu viens avec moi ma jolie ? demanda Anne avec un large sourire.

La petite sourire semblait plus qu'enthousiasme à cette idée et attrapa la main que sa mère lui tendait. Anne aimait beaucoup cuisiner avec sa fille, bien sûr c'était surtout elle qui faisait tout le travail mais elle n'aurait échanger ces moments de complicité pour rien au monde. Puis l'ancienne rouge et or adorait voir Sarah la bouille pleine de chocolat . C'était tellement attendrissant.

Par chance aujourd'hui Anne n'avait pas travaillé, St Mangouste étant plutot désert. Ainsi elle avait put profiter de son jour de repos pour ranger un peu la maison et s'occupper de la paperasse en retard. En rangeant elle était tomber sur des photos qui trainer de ci de là, la plupart étant avec Loris, Alec, Sarah et elle. Normal, le jeune infirmier de Poudlard faisait pratiquement partie de la famille depuis le départ de Chad. Et Anne lui serait éternellemnt reconnaissante d'avoir était là lors de l'accouchement de Sarah .

Anne et la petite blondinette se trouvait donc dans la cuisine entrain de préparé de delicieux cookie tandit que Alec faisait ses devoirs. Le laits, la farine, les oeufs, les ingrédient ne tardèrent pas à se mélanger sous les yeux ébahie de la petite Parker. Anne étant en train de donner leurs formes aux cookie à l'aide des ses mains lorsque Alec les rejoind dans la cuisine.

- Maman tu vien m'aider pour lire ?

Anne s'apprêtait à répondre lorsque quelqu'un frappa à la porte. Mince, cela devait sûrement être Loris. Anne avait les mains pleine de pâtes à cookie, les cheveux en bataille et elle portait un tablier de cuisine. En somme elle n'avait pas du tout l'apparence adéquate pour recevoir. A vrai dire, elle pensait que le jeune Antony viendrait plutôt leurs rendres visite vers les alantours de 19h. Tans pis, elle laissa tout en plans pour aller ouvrir la porte aprés avoir demander à Alec de surveiller sa jeune soeur. Elle ouvrit donc la porte et elle ne put s'empecher de sourire. contrairement à elle Loris avait fière allure.

- Salut dit-elle avec un sourire, je ne t'attendais si tôt . Comme tu peut le remarquer j'étais en train de cuisiner. Mais va y rentre dit-elle gentiment.

Elle lui fit la bise et le jeune entra. Mais soudain la jeune maman attendit du bruit provenant de la cuisine. Inquiète elle se dirigea vers à l'endroit où les enfants étaient rester, suivit de prés par Loris. La blondine laissa échappa un cris de stuppeur en voyant l'états de la pièce. En son absence, Sarah avait eut le temps de jouer avec la farine et la petit blondine était couverte de féculent des pieds jusqu'a la tête. Alec lui aussi apparament avait participer au jeu. Les murs de la cuisine en avait aussi patit.

Alec - C'est pas moi qui est commençé dit-il avec un air espiègle.

Et à en croire la grand sourire de Sarah, Alec disait vrai. Anne croisa ses bras devant elle et pris un légèrement facher. Légèrement, car elle n'était pas réellement en colère a vrai dire, elle trouvait la situation plus comique qu'autre chose.

Anne - Bande de petits monstres leurs dit-elle plein d'affections. Elle les aimaient plus que tout. Je ne peut même pas m'absenter plus d'une minute on dirait ! Elle se tourna vers Loris. Une idée de se qu'on pourrait faire d'eux ? dit-elle avec un sourire espiègle et un regard complice envers son ami.

Anne. Cette jeune fille de maintenant 25 ans était vraiment une personne sensationnelle que Loris avait eu la chance de bien connaître. Au départ, rien ne prédisait qu'ils deviennent aussi bons amis. La première fois même que Chad lui en avait parlé, il avait trouvé son comportement inadmissible, mais depuis elle était remonté dans son estime et tenait une place vraiment importante dans son coeur. Ils s'étaient soutenus durant le coma de Chad, ils avait étudié la même matière, la blondine n'hésitant pas à lui prodiguer bon nombre de conseil, et puis, ils s'étaient retrouvés à travailler dans le même hôpital, Sainte Mangouste. De quoi tisser de bons liens mais cela ne s'arrêtait pas à une simple camaraderie, Loris était toujours là lorsque la jeune maman avait besoin de lui et elle savait que la porte de Loris serait toujours ouverte pour elle.

Beaucoup de choses avaient basculé lorsque Chad avait quitté le domicile familiale pour une mission, puis quitter définitivement sa femme et ses enfants. L'ancien Gryffondor s'était retrouvé dans une impasse ne voulant touner le dos ni à l'un, ni à l'autre. Avec Chad, il lui en avait beaucoup voulu de ne pas avoir donné de ses nouvelles durant son expédition mais maintenant, c'était oublié et ils se voyaient régulièrement. Mais concernant Anne, Loris avait été doublement présent. Il voulait pas l'abandonner avec un enfant à charge et, juste après le départ de Chad, un deuxième. Aussi Lors avait pris l'habitude de venir voir son filleul régulièrement et d'aider Anne à ne pas s'enfermer. D'ailleurs, il avait quelque chose à lui proposé pour le week-end prochain et aucun doute qu'Alec et Sarah seraient heureux.

Le fait de frapper à la porte à n'importe quel moment, et en étant sûr d'être bien accueilli était un véritable bonheur pour le jeune garçon qui préférait venir voir Anne et les deux bambins plutôt que de sortir en boîute draguer des filles. Voilà pourquoi, il n'avait plus de copines depuis un bon de temps. Juste des aventures mais pas plus. Connaissant le caractère sensible de Loris, on est en droit de se demander pourquoi aucune filles n'a su toujours son coeur. Peut-être qu'Anne et les enfants prennent beaucoup de places dans sa vie pour laisser quelqu'un d'autre y entrer.

Lorsque la jeune maman vint lui ouvrir la porte, il sourit et lui fit la bise. Il ne pu s'empêcher de penser qu'elle était belle même avec les cheveux en bataille et les mains toutes blanches. Il chassa rapidement ces pensées là. Anne était avec Chad. Enfin pas concrètement mais il savait que ces deux là étaient fait l'un pour l'autre.

~ Anne : Salut. Je ne t'attendais si tôt . Comme tu peux le remarquer, j'étais en train de cuisiner. Mais va y rentre.

Il entra comme elle le lui avait proposé et posa son blouson sur le dos du canapé. Il était à présent en T-shirt et jeans. Style décontracté mais c'était un style qui lui allait plutôt bien.

Lorsqu'il entra dans la cuisine, il ne pu s'empêcher de rire lorsqu'il vit la scène. Alec. Il lui faisait tellement penser à Chad mais le jeune homme avait beau faire ce qu'il pouvait ni Chad, ni Anne ne souhaitait reparler de cela. Dommage.

~ Anne : Bande de petits monstres. Je ne peux même pas m'absenter plus d'une minute on dirait ! Une idée de se qu'on pourrait faire d'eux ?

~ Loris : Je pense qu'on devrait les mettre au lit, immédiatement pour avoir fait un telle bêtise. Dommage pour eux, je compais leur proposer de venir au parc d'attraction avec moi ce week-end. Tant pis, j'emmenerais Romane.

Bien sûr, même Alec ne pourrait penser que son parrain était sérieux vu que Loris avait un grand sourire mais c'était juste pour l'embêtr un peu. Il y avait beaucoup de compliité entre les deux garçons et cela ne semblait pas déplaire à Anne.

~ Loris : En plus, tu viens même pas dire bonjour à ton parrain, je vais repartir tout de suite alors.

~ Loris : Je pense qu'on devrait les mettre au lit, immédiatement pour avoir fait un telle bêtise. Dommage pour eux, je compais leur proposer de venir au parc d'attraction avec moi ce week-end. Tant pis, j'emmenerais Romane.

Anne affichait un large sourire, Loris réagissait toujours comme il le fallait avec les enfants. Elle appréciait le fait qu'il soit pour l'aider à les éduquer en quelque sorte. Etant donner le large sourire, de l'ancien Gryffondor il était évident que la " punition " n'allait jamais être mise à exécusion. Loris semblait beaucoup trop aimer les deux banbin pour être réellement sévère.

~ Loris : En plus, tu viens même pas dire bonjour à ton parrain, je vais repartir tout de suite alors.

A peine le jeune homme avait-il dit celà que Alec se précipita dans les bras de Loris pour lui faire un calin. Anne quand à elle s'approcha de Sarah qui semblait un peu jalouse et déposa un baiser sur son front. Mais la toute petite blondinette ne tarda pas à rejoindre les deux jeune hommes pour avoir à son tour de l'affection. Leur mère pendant se temps enfourna les cookies au four, et rangea la farine avant que les deux garnements n'ai la bonne idée de mettre encore plus de pagaille. Elle sortit sa baguette et avec un sortilèges et rapide geste du poignet, elle remit la cuisine en états. Une demi sourire s'afficha ses lèvres, elle était satisfaite du résultats, la magie avait vraiment du bon parfois. Elle se tourna vers Loris qui était presque étouffer par les deux banbins.

Anne - C'est bon c'est bon ça suffit dit-elle en rigolant . Vous ne voyaient pas que vous êtes en train de l'empecher de respiré ? Alec et Sarah s'accartèrent alors gentiments. Tu mange avec nous bien sur ? dit-elle par politesse mais elle connaissait déja la réponse. En effet Loris mangeait fréquament avec eux, et il était rare qu'il refusait les bon petit plats que lui préparé souvent la jeune mère. Aller les hommes retourner travailler, moi et sarah on s'occupe du diner dit-elle en souriant.

Ces derniers s'exécutaires et Anne attrapa des assiettes afin de mettre le couvert. Sarah avait les fourchettes en main ( le moins dangereux pour son age ) et aider sa maman . En quelque minute la table était mise. De ravissante assiette bleuté se trouvait sur la table, des fleurs fraichement coupé horner celle-ci.

Anne - A Table

Anne était toujours au fourneaux entrain de vérifier la cuisson des lasagnes, pendant que les hommes étaient toujours en train de s'occuper des devoirs de Alec.

Loris savait bien qu'en reprochant au jeune garçon de ne pas venir lui dire bonjour, celui-ci allait lui sauter dans les bras et c'est bien ce que l'infirmier voulait. Il adorait Alec et pouvoir le serrer dans ses bras était un grand bonheur. Lorsqu'il vit le petit Parker commencer à courir, Loris se baissa à sa hauteur, ouvrant ses bras pour accueillir le jeune garçon. Dès qu'il entra en contact, l'ancien Gryffondor referma ses bras et fit tourner Alec sur lui même avant de le serrer dans ses bras. Une chose est sûr, le jour où Loris aurait des enfants, il les voulait comme ces deux bambins. Avec une maman comme Anne, ce serait parfait. Et voilà que les pensées de Loris partaient encore dans une mauvaise direction et l'arrivée de Sarah dans ses bras le lui fit comprendre. Anne ne sera jamais à lui, d'ailleurs, il se sentait mal d'en arriver à fantasmer sur elle. Mais que voulez vous, elle est parfaite, libre et surtout il s'entend bien avec elle que demander de plus ? Ben le problème, c'est qu'il sait qu'elle et Chad sont amoureux et puis Chad est son meilleur ami, il ne peut pas lui faire cela.

~ Anne : C'est bon c'est bon ça suffit. Vous ne voyaient pas que vous êtes en train de l'empecher de respirer ? Tu mange avec nous bien sur ?

Loris posa alec par terre. Il commençais à être lourd du haut de ses sept ans mais le jeune infirmier oubliait son poids dès qu'il s'agissait de le prendre dans ses bras. Alec et Sarah étaient les seuls en ce moment à donner un peu d'affection à Loris, alors il n'allait pas se plaindre. Bien sûr, il y avait aussi les filles qu'il rentrait des fois en boîte ou dans un bar mais cela n'avait rien à voir. D'ailleurs, il detestait cette vie mais il n'avait pas le choix. A croire qu'il n'avait encore pas trouver chaussure à son pied. Après un baiser sur le front, il déposa à son tour Sarah sur le carrelage avant de reporter son attention sur Anne. Il hocha la tête affirmativement. D'ailleurs, cela était une question plus de politesse qu'autre chose car elle savait bien que Loris ne dirait pas non. Silencieusement, ils avaient conclu un pacte. Loris l'aidait à s'occuper des gamins et à les divertir et elle laissait toujours sa porte ouverte lorsqu'il avait envie de venir. Personne ne semblait s'en plaindre.

~ Anne : Aller les hommes retourner travailler, moi et sarah on s'occupe du diner

On dirait une véritable famille et il n'était pas le seul à penser cela. Souvent alec lui demandait pourquoi il ne venait pas habiter avec eux pour qu'il ait un vrai papa. Même si l'infirmier adorait entendre cela, cela lui faisait mal au coeur pour Chad car il ne doutait pas que son ami souhaiterais être davantage présent pour son aîné. Ce fut le petit garçonnet qui attrapa la main de Loris pour l'entraîner dans sa chambre. Il avait une page de lecture à fair et ce fu plutôt rapide, de quoi leur laisser le temps de parler un petit peu. Et c'est en rigolant qu'ils rejoignirent les filles dans la cuisine. Ils s'installèrent et Loris prit la parole.

~ Loris : Tu sais Anne, ce n'était pas des paroles en l'air tout à l'heure. Si vous ne faites rien ce week-end, je voulais vous emmener au parc d'attractions. Je pense que cela fera plaisir à Alec même si Sarah est un peu petite, on pourrait y aller tout les trois

Loris sentit le regard suppliant d'Alec sur sa mère tandis que le visage de Sarah semblait demander pourquoi elle n'en avait pas le droit. Aussi, Loris, pour pas faire de jaloux lui proposa quelque chose.

~ Loris : Toi Sarah, je viens te chercher demain après ta sieste pour t'emmener manger une grosse glace et faire un tour de manège du centre commercial. si ta mère est d'accord.

Les trois visages étaient tournés vers Anne. A elle de décider maintenant.

Loris et Alec arrivèrent en rigolant. Anne émit un sourire, elle avait plaisir à les voirs aussi complice. On aurait dit un père et un fils, et a vrai dire c'était un peu le rôle qu'occuper Loris depuis le départ de Chad. Chad... Anne faisait quotidiennement des éfforts pour ne pas penser à lui. S'il était définitivement partit s'était entièrement de sa faute, et elle s'en voulait pour cela quand elle se mettait à regretter le passer, alors que ça ne servait absolument à rien. Le plus important désormais était le bonheur de Alec et Sarah et rien d'autre. La jeune femme s'installa à table en compagnie de ses enfants et du jeune homme.

~ Loris : Tu sais Anne, ce n'était pas des paroles en l'air tout à l'heure. Si vous ne faites rien ce week-end, je voulais vous emmener au parc d'attractions. Je pense que cela fera plaisir à Alec même si Sarah est un peu petite, on pourrait y aller tout les trois

Anne avait une sourire resplendissant sur les lèvres et une lueur dans le regard. Loris était une jeune charmand et d'une gentillesse hors norme. De nombreuses jeunes femmes devaient sûrement lui proposer souvent de sortir en boite, mais au lieu de se divertir l'ancien rouge et or semblait préféré aller au parc avec elle et ses enfants.

Anne ne comprenait pas cette réaction de sa part, de son point de vue ça lui semblait trop beau pour être vrai. Bien sûr elle lui était trés reconnaissante de veiller sur elle et les enfants mais elle avait un peu l'impression de voler la jeunesse de Loris et elle se sentait un peu coupable. Elle régréttait parfois ( seulement parfois car elle aimait ses enfants plus que tout ) d'être tombé enceinte aussi jeune et ne pas avoir profiter pleinement de sa jeunesse, elle ne voulait donc pas que le jeune infirmier fasse les même erreurs qu'elle.

Anne - Tu es sur que tu n'a pas mieux à faire ? dit-elle timidement.

Bien sûr elle était ravie de passer du temps avec lui et la porte serait toujours ouverte pour le jeune Antony . Mais elle ne voulait pas être un boulet, elle tenait trop à lui pour ça . Et elle ne voulait surtout pas qu'il se sente obliger de quoique ce soit juste parce qu'il était le parrain d'Alec. Déja qu'il en faisant énormementet. D' ailleurs Anne lui en serait éternellement reconnaissante.

~ Loris : Toi Sarah, je viens te chercher demain après ta sieste pour t'emmener manger une grosse glace et faire un tour de manège du centre commercial. si ta mère est d'accord.

Anne souriait toujours. Loris ferait vraiment un père parfait plus tard lorsqu'il aurait une femme dont il serait assez amoureux pour lui donner des enfants. C'était vraiment attendrissant pour elle de voir à qu'elle point il prenait soin d'eux. Elle avait beaucoup d'estime pour Loris et adorait sa compagnie. Tout les regard était fixé sur la jeune mère, et de toute évidence tout le monde attendait sa réponse avec impatience.

Anne - Si tu préfére vraiment passait ta journée avec nous plutôt que de t'amuser je n'y vois pas d'inconviéniant dit-elle avec un sourire, s'avouant vaincu.

Le repas se passa dans la joie et la bonne humeur, agrémenter par de fréquent éclats de rire. Notamment dut au faite que Sarah avait à présent beaucoup plus de sauce italienne sur elle que sur ses lasagnes. En effet la petite fille de quatres ans s'en était mis partout et Anne n'avait put s'empecher de rire aux éclats en voyant celà. Alec quand à lui semblait innoptissé par Loris et écoutait chaque mots de se derniers avec attention. De toute évidence, l'anxien rouge et or était en quelque sorte le mentor du jeune Parker. La jeune mère se leva et ramassa le couvert et s'avança vers l'évier pour faire la vaisselle. Bien sur il y avait la magie, mais étant à moitié moldus elle aimait bien éffectuer quelque tache ménagère de manière conventionnelle.

Anne - Loris tu veus bien aller coucher les enfants s'il te plait pendant que je m'occupe de la vaiselle ? J'arrive dans deux minute pour les border dit-elle avec son habituelle sourire calme, sage et réconfortant.

A force de passer tout son temps avec Anne de plus en plus régulièrement, il a l'impression de connaître et de comprendre ses envies presque avant elle. Rien qu'à voir son sourire, il savait que cette proposition était au goût de l'ancienne Gryffondor et que l'idée de passer du temps à s'éclater sans penser à rien d'autre sera un bon moyen d'oublier les problèmes. Loris sait prendre soin des personnes qu'il apprécie et en ce moment même personne ne compte plus pour lui que Anne et ses enfants. Aussi, il prend soin de trouver toujours des idées de plus en plus originales pour qu'Alec se sente bien et ne pense pas à l'absence de Chad et pour qua la jeune maman ne tombe pas dans une routine qui pourrait la faire veillir plus vite que son âge.

~ Anne : Tu es sur que tu n'a pas mieux à faire ?

Il comprend parfaitement la réaction d'Anne. mais comme à chaque fois, il lui répond la même chose. La jeune femme a l'impression d'être un poids pour l'ancien préfet et qu'il fait cela cela uniquement par obligation. Mais c'est faux. Loris aime Anne (peut être même plus qu'il ne devrait), il aime Alec et ne veut pas que son filleul se sente abandonner par son parrain en plus d'être abandonné par son père. Et puis, Loris préfère largement passer du temps avec cette famille plutôt que de sortir en boîte, draguer un gonzesse et coucher avec elle juste un soir. Loris, le sentimental, aimerait tomber sur une femme bien qui l'aime vraiment mais pour l'instant ce n'est pas le cas et à vrai dire, il ne fait pas tout pour vu qu'il passe tout son temps libre avec la famille Parker.

~ Loris : Je t'assure Anne que je ne peux rien avoir de mieux à faire que de passer du temps avec vous.

Il remarqua le sourire d'Alec qui était à présent sûr que dans quelques jours, il se retrouverait dans le parc d'attraction qui la toujours fait rêver mais où il était toujours trop petit pour y aller. Aujourd'hui, du haut de ses sept ans, il se sentait grand et semblait impatient d'être ce week-end. La lueur de bonheur dans son regard suffit à persuader Loris que le petit garçon est heureux. Rien ne pourrait faire plus plaisir à l'infirmier.

~ Anne : Si tu préfére vraiment passait ta journée avec nous plutôt que de t'amuser je n'y vois pas d'inconviéniant

Et voilà qu'elle essayait de se cacher derrière les insistations silencieuses d'Alec pour ne pas dire qu'elle était ravie de passer ce week-end en sa compagnie. Mais le jeune infirmier n'était pas dupe et il savait qu'Anne était toujours aussi contente d'avoir quelqu'un pour la divertir et lui faire oublier un peu ses obligations de mère même si elle ne veut pas obliger Loris à le faire. Ce qu'elle ne sait pas ou ne veut pas comprendre, c'est que Loris le fait uniquement par plaisir.

~ Loris : Oui je préfère cela parce que c'est avec vous que je m'amuse le plus. Et puis, cela fait combien de temps que tu n'est pas aller dans un parc d'attractions ?

Clin d'oeil complice en direction d'Alec et le sourire de ce dernier s'élargit encore plus avec un geste de victoire en direction de son parrain. Voilà, cette partie là était faite, et le reste du dîner se passa comme toujours dans la bonne humeur avec Loris qui racontait sa journée et quelques anectodes sur son passé qui faisait bien rire les enfants. Les assiettes furent rapidement vides et Loris avait le ventre bien rempli. Tandis qu'Anne commençait à ranger les assiettes, Loris se leva pour essuyer la bouche de Sarah et complimenta Anne sur le repas.

~ Loris : C'était vraiment délicieux Anne.

Sourire encore. A vraiment, des fois, Loris aimerait avoir une famille comme cela mais il n'a personne dans sa vie, enfin pas de femme, pas de femme avec qui cela dure mais simplement des aventures courtes, rapides et presque sans aucun sentiment.

~ Anne : Loris tu veus bien aller coucher les enfants s'il te plait pendant que je m'occupe de la vaiselle ? J'arrive dans deux minute pour les border.

~ Loris : Allez viens là canaille.

Le jeune homme attrapa Sarah par les aiselles avant de mettre ses mains sous ses fesses pour la tenir dans ses bras. Alec ne fit une une, ni deux et il descendit de sa chaise, s'essuya la bouche avec sa serviette et la posa sur la table avant de prendre la main de son parrain, direction la chambre du plus grand.

~ Alec : Parrain, tu nous lis une histoire ?

~ Sarah : STP Loris

Comment résister à deux anges qui vous font les yeux doux ? Loris n'a pas encore trouver le moyen et il accepte dès que les deux bambins seront en pygama. Il n'en fallait pas plus. En quelques secondes, Alec se retrouva sous sa couette et Sarah aidée de Loris le rejoignit juste après.

~ Alec: Tiens, je veux que tu nous lise celui là

Loris lui sourit, prit le livre et s'installa aux pieds des deux enfants. Le jeune homme prenait très au sérieux son rôle de parrain surtout depuis que Chad n'était plus présent. Alec le vivait très mal et la présence presque quotidienne de Loris l'aidait à supporter cette absence. Le jeune infirmier commença la lecture et il n'en était qu'à la moitié lorsque Anne entra dans la chambre.

~ Loris : Oui je préfère cela parce que c'est avec vous que je m'amuse le plus. Et puis, cela fait combien de temps que tu n'est pas aller dans un parc d'attractions ?

Ce qu'il venait de dire fit énormément plaisir et réprésenter beaucoup pour Anne. Elle souria de nouveau. A croire que c'était habituelle lorsqu'il était là. C'était vraiment un garçon exeptionnelle et c'était toujours une grande joie de le voir. Il lui faisait presque oublier le manque de celui pour qui son coeur battrait toujours malgrés la séparation. Une grande complicité s'était installer entre Loris et la jeune mère depuis la grossese de Sarah et voilà pourquoi elle était plus que ravie de passer une journée avec lui au parc d'attraction.

- Anne - Une éternité dit-elle avec un petit rire.

Il est vrai qu'étant jeune elle était plus souvent plongeait dans les livres ou occupait avec les couches d'Alec, que sur les parc d'attractions. D'ailleurs elle ne souvenait même plus si elle y était déja aller un jour. Probablement que non.

Le repas se termina et Loris emmena les enfants dans la chambre. Pendant qu'elle terminer la vaiselle.

Anne se posta à l'encolure de la porte, et sans un mots pour ne pas les interrompre, elle obsersa la scéne. Ce qu'elle voyait lui réchauffa profédément le coeur. Elle était admirative devant le savoir faire de Loris et devant son don innée pour s'occuper des enfants. Elle avait vraiment de la chance l'avoir pour ami, et elle le savait. Alec et Sarah semblait heureux avec leurs parain autour d'eux, et Anne ne pouvait s'empecher de sourire tellement elle était ravie d'autant de complicité. Le bonheur de ses enfants comptait avant tout pour elle, ils comptaient même avant son propre bonheur. Voilà pourquoi ses derniers temps elle avait beaucoup plus de mal à chasser les penser qu'elle avait envers Loris.

En effet, curieusement quand elle avait peur ou qu'elle se sentait triste, elle avait tendance à rever de ses bras, de sa voie ou encore de son odeur. Elle essayer cependant de se convaincre que c'était la solitude qui avait cet effet sur elle, et que ça finirait forcément par passer. Ou plutot qu'il FALLAIT qu'sa passe car bien qu'ils soient séparé elle avait promis à Chad en ce 15 juillet 1983 de l'aimer et de le chéris et cela jusqu'a ce que la mort les séparent . Elle portait d'ailleurs toujours son alliance mais elle n'osait plus la regarder a cause de la tristesse que cela lui engendré.

Anne entra alors dans la chambre, un peu à régrés d'interrompre la scéne idéalique qu'elle avait observé en silence.

Anne - Désoler mes petits anges, mais il est temps d'éteindre la lumière dit-elle en s'approchant de Sarah.

Elle déposa un baiser sur son front et remonta les couvertures sur sa fille. Elle s'appréta a faire de même avec Alec quand la petite blondinette insista pour que sa mère fasse aussi un bisou à Bibou, son ourson en peluche. L'anxiènne et rouge s'éxucuta avec un sourire plein d'amour avant de border Alec a son tours. Elle se dirigea vers la porte en compagnie de Loris et adressa un dernier sourire à ses enfants avant d'éteindre la lumière.

Une fois dans le salon, Anne soupira elle était un peu fatigué, mais comme toujours elle ne voulait rien laisser paraitre et donner l'apparence que tout à aller bien . Puis surtout elle ne voulait pas rester seule. Elle avait déboucher une bonne bouteille de vin et un feu crépiter dans la cheminer. En bref, de quoi passer une bonne soirée entre amis, une soirée entre elle et Loris.

Anne - Tu reste un peu ? On m'a donnée une bouteille et tu sais que je ne bois pas....et que j'y connais cassiment rien donc...au moins la bouteille ne sera pas totalement gacher fit-elle avec un sourire amical .

Elle n'avait pas sortit la bouteille pour noyer sa solitude dans le vin, et encore moins essayait de séduire Loris. Non rien de cela. Elle voulait seulement agrémentait un peu la soirée et vider un peu sa cave qui allait littéralement finir par exploser si ça continuait. En effet il était fréquent que des membres du ministère lui offre de bonne bouteille car Chad était un homme responsable, un bon auror et blablabla....

Loris était tellement concentré sur sa lecture, s'efforçant d'y mettre le ton et de modifier quelque peu sa voix en fonction de la personne qui parlait qu'il ne remarqua pas la silhouette d'Anne sur le pas de la porte. Sarah commençait à avoir ses yeux qui se fermaient tout seul tandis qu'Alec avait un grand sourire aux lèvres. Très attentif, il avait toujours aimé la façon dont son parrain lisait les histoires surtout lorsqu'il imitait le grand méchant loup ou la sorcière. Généralement le jeune garçon riait aux éclats en entendant la drôle de voix. Qu'est ce qu'il était adorable ce gamin et aucun doute que Loris appréciait sa compagnie. Incontestablement, le jeune infirmier avait aussi le sourire et aimait bien passer son temps dans cette maison chaleureuse avec des personnes qui l'appréciaient réellement.

~ Anne : Désolé mes petits anges, mais il est temps d'éteindre la lumière.

Alec protesta doucement. Il aurait tellement aimé prolonger ce moment avec son parrain, entendre la fin de l'histoire mais il savait aussi qu'il ne devait pas contredire sa maman et que des moments comme cela, il en aurait encore beaucoup d'autre. L'idée d'aller au parc d'attraction le réjouissait et nul doute que ses rêves allaient être ponctuer de montagnes russes et autre bateau pirate.

~ Alec : Tu reviens demain ?

~ Loris : Je sais pas, je veux pas vous déranger mais de toute façon, on se voit ce week-end.

Le jeune infirmier fit un clin d'oeil au garçonnet avant de refermer le livre, de le poser au pied du lit (signe que l'histoire sera fini un jour ou l'autre) et de se lever. A la suite d'Anne, il les embrassa tour à tour sur le front et quitta la pièce le sourire aux lèvres. Il ne peut s'empêcher de leur dire une dernière fois bonne nuit avant de fermer définitivement la porte et d'éteindre la lumière dans la chambre de ces deux adorables enfants. Alors qu'ils arrivaient dans le salon, Loris ne pu s'empêcher de dire à Anne combien il les aimait et combien ils étaient gentils.

~ Loris : Tu as vraiment de la chance d'avoir deux enfants aussi adorables même si ce ne dois pas être facile tout les jours.

Heureusement qu'il était là pour l'aider car lorsqu'on a 25 ans, il n'est pas toujours évident de faire passer ses enfants avant son propre bonheur surtout lorsqu'on est seul et que de temps en temps on préfèrerait passer du temps entre copines. C'est là l'avantaged'avoir un ami aussi dévoué que Loris toujours présent en cas de problème ou de déprime.

~ Anne : Tu reste un peu ? On m'a donnée une bouteille et tu sais que je ne bois pas....et que j'y connais quasiment rien donc...au moins la bouteille ne sera pas totalement gacher.

Oulala, cela était extrêment rare de voir Anne ouvrir une bouteille de vin lorsqu'ils étaient tous les deux. Généralement, ils se contentaient de discuter un petit moment et Loris rejoignait son minable appartement. Cela intrigua l'ancien préfet et il hocha la tête pour acquiescer. Il sortit deux verres à ballon du placard et rejoignit Anne sur le canapé. Tandis qu'elle servait, Loris prit le temps de l'observer. Depuis le temps qu'il la connaissait, elle ne pouvait presque plus rien lui cacher. Aussi il commença par lui demander.

~ Loris : Alors qu'est ce qu'il va pas ?

Devant son air supris, il ajouta avec un sourire.

~ Loris : C'est pas dans tes habitudes d'ouvrir une bouteille de vin. Un coup de déprime ? Tu sais si t'as besoin de parler je suis loà et si t'as besoin de pleurer aussi. Je comprend que ce ne dois pas être facile tout les jours mais je serais toujours là pour toi et pour les enfants.

Loris sortit des verres à ballon, des verres tout à fait approprié pour le vin et vint s'installer sur le canappé à coté d'elle. Le jeune homme l 'observait et Ane se demandait pourquoi.

~ Loris : Alors qu'est ce qu'il va pas ?
Anne - Ah.... Sa se voit tant qu'sa ?... dit-elle avec une légère grimace. J'me sens un peu seule c'est tout. C'est rien.... dit-elle avec un sourire qui se vouler rassurant et joyeux mais qui au final était plus crispé qu'autre chose.

Elle essayer de le rassuré car elle ne voulait surtout pas lui montrer sa tristesse pour ne pas l'inquièter. Il était tellement gentil et elle, tellement à fleur de peau que s'il insistait elle n'allait surement pas tarder à se confier où à éclater en sanglots. Et éviter cela à tout prix car elle n'aimait pas se plaindre. Voilà pourquoi elle espéra que sa réponse suffirait et qu'il changeré de sujet. Elle espéré cela mais elle le connaissait si bien qu'elle savait que ça ne serait pas le cas.

~ Loris : C'est pas dans tes habitudes d'ouvrir une bouteille de vin. Un coup de déprime ? Tu sais si t'as besoin de parler je suis là et si t'as besoin de pleurer aussi. Je comprend que ce ne dois pas être facile tout les jours mais je serais toujours là pour toi et pour les enfants.

En entendant ses mots si rassurant et si plein d'attention, elle éclata en sanglots. Elle fut elle-même étonner par sa réaction car depuis le départ de Chad elle s'interdissait totalement de craquer devant les gens. Mais Loris n'était n'importe qui, c'était quelqu'un envers qui elle se sentait trés proches et elle lui faisait entièrement confiance. Elle avait sangloté car les mots plein de tendresse qu'il avait dit ne faisait que lui rapeller sa solitude qui était omniprésente se soir. Mais déja elle s'en voulé et seule quelque larme eurent le temp de couler sur ses joues avant qu'elle n'eut le réflex de les essuyer du bout des doight. Elle se sentait extrènement conne a ce moment là. Elle avait l'impression d'être redevenue cette Gryffondor idiote qui pleuré pour un oui ou pour un non pendant sa septième année à Poudlard.

Anne - J'suis désolé j'dois avoir l'air complétement idiote à pleuré ainsi pour rien dit-elle en remettant nerveusement une mèche de ses cheveux derrière son oreille.

Elle aurait aimé ne pas avoir à en dire plus, mais elle savait que le jeune homme s'inquièterait davantage si elle ne disait rien. De plus aprés tout, peut-être que ce confier lui ferait du bien et s'il y avait bien quelqu'un avec qui elle pouvait parler librement s'était Loris.

Anne - En fait ce n'est pas grand chose, c'est juste un peu de Solitude. Tu vois je fait tout mon possible pour essayer d'être une mère parfaite, et défois j'ai l'impression que le seul but de ma vie soit mes enfants. Ne va pas croire que je ne les aime pas , c'est tout le contraire et tu le sait surement . Mais Alec a déja sept ans et Sarah quatre, et je redoute le moment où ils vont partir et faire leurs vies ailleurs, en me laissant seule. C'est stupide n'est-ce pas ? dit-elle un peu honteuse. Elle avala un peu de vin pour se donner une contenance et servit un verre à Loris qu'elle lui tendit. .

Anne savait bien que de toute façon, elle ne pourrait rien cacher à Loris et que celui-ci ne partirait pas tant qu'elle ne lui aura pas dit la vérité. Mais elle devait savoir aussi que Loris est un ami sur qui on peut compter et qui se fout pas mal de la voir pleurer. Ce qu'il veut, c'est simplement le bonheur d'un amie qui compte beaucoup pour lui. Aussi, il trouva normal de lui demander de ce confier et il savait aussi qu'elle ne résistait que rarement à lui parler de ses problèmes. Que de souvenirs cela lui rappelait. Le coma de Chad où ils avaient appris à faire connaissance et où ils s'étaient aidés mutuellement à surmonter cette épreuve. Le jour où Chad lui avait annoncé qu'il entrait dans l'ordre. Là aussi, elle n'avait pas hésité à sonner à la porte de chez Travis et Megan pour trouver l'épaule réconfortante d'un ami.

~ Anne : Ah.... Sa se voit tant qu'sa ? J'me sens un peu seule c'est tout. C'est rien....

C'est tout ? C'est rien ? Elle ne pensait pas tout de même pas réellement s'en sortir avec ces mots là. Ou alors elle connaissait très mal Loris. L'ancien Gryffondor n'était pas du genre à partir, c'était le genre de mec à vouloir tout faire sortir ce que vous avez sur le coeur, à passer des heures à vous écouter, à tenter de vous réconforter et à ne penser à lui que lorsque tout ses amis vont bien. Se rapprochant de la jeune fille, il lui sourit tendrement comme l'aurait fait n'importe quel ami cher. Il ne pensait pas tout de même la voir éclater en sanglots et cela le conforta dans l’idée qu’il avait bien fait d’insister pour qu’elle parle. Comme un ami, il passa son bras autour de son cou pour l’attirer à lui et tenter de la consoler et pour lui montrer qu’il serait toujours là pour elle quoiqu’il se passe.

~ Anne : J'suis désolé j'dois avoir l'air complètement idiote à pleuré ainsi pour rien

~ Loris : Arrête Anne, ce n’est pas pour rien que tu pleure, il y a toujours une raison et je pense qu’il est normal que tu craque de temps en temps et cela ne sert à rien de tout retenir. Tu sais que je suis là et si t’as besoin de parler, je t’écouterais volontiers. Je n’aime pas te voir dans cet état.

Tandis qu’elle relevait les yeux vers elle, une lueur se passa dans son regard. Il aura juste fallu que leur yeux se croisent un dixième de seconde pour le cœur de Loris se mette à s’accélérer d’un coup sans raison apparente. Il continuait de lui sourit, tentant d’être rassurant mais il sentait son cœur tambouriner contre sa poitrine.

~ Anne : En fait ce n'est pas grand chose, c'est juste un peu de Solitude. Tu vois je fait tout mon possible pour essayer d'être une mère parfaite, et des fois j'ai l'impression que le seul but de ma vie soit mes enfants. Ne va pas croire que je ne les aime pas, c'est tout le contraire et tu le sais surement. Mais Alec a déjà sept ans et Sarah quatre, et je redoute le moment où ils vont partir et faire leurs vies ailleurs, en me laissant seule. C'est stupide n'est-ce pas ?

Loris n’écoutait qu’à moitié ses paroles perturber par un drôle de sentiment qui s’emparait de lui. Quelque chose qu’il n’avait ressenti que très peu et seulement en compagnie de deux autres personnes. Il tenta de chasser cette idée de sa tête et répondit à la jeune femme mais sa voix était beaucoup moins assurée et son sourire quelques peu crispé.

~ Loris : C’est normal que tu te sentes seule, pourquoi crois-tu que j’essaye de te faire sortir au maximum. Pour éviter que tu t’enferme dans la routine, pour éviter que tu regrette ces années, pour faire en sorte que tu t’amuse et que tu profite de cette vie avec ces enfants.

La tête de la jeune femme était calée dans son cou et il sentait son parfum lui arriver jusqu’aux narines. Un parfum enivrant qui ne fit qu’augmenter son envie. Alors qu’elle releva une nouvelle fois la tête vers lui avec un sourire chaleureux sur les lèvres, il ne pu s’en empêcher. Ses lèvres se déposèrent sur celle de la jeune femme avec beaucoup de douceur mais de passion. Aussi rapidement qu’il ne l’embrassa, il s’éloigna d’elle, conscient de ce qu’il venait de faire.

~ Loris : Je … Je n’aurais pas dû.

Un moment lui revint à l’esprit. Ce jour de juillet 1983 où ce fut Anne qui failli l’embrasser. A ce moment là, Loris ne ressentait rien d’autre qu’une profonde amitié pour elle mais ce peut-il que ses sentiments aient changé à ce point. Apparemment oui car il la désirait plus que tout à ce moment là et si ce n’avait pas été Anne, il lui aurait sauté dessus pour la couvrir de tout l’amour qu’il avait en lui. Loris déposa le verre sur la table et détourna le regard d’Anne.

Edit Chad : Toi, tu vien de signer ton arrêt de mort ~ Quand l'inévitable arrive {Mars 1990} 255795

JE SUIS PAS D'ACCORD MAIS ALORS PAS DU TOUT D'ACCORD ~ Quand l'inévitable arrive {Mars 1990} 491546

ENLEVE TOUT DE SUITE TES SALE PATTES DE MA FEEEEEEEEEEEEEMME ~ Quand l'inévitable arrive {Mars 1990} 561133

[Edit Anne : j'te protègeré Loris ~ Quand l'inévitable arrive {Mars 1990} 322925

! Je t'aime Chad ~ Quand l'inévitable arrive {Mars 1990} 322925

]

Re Edit Chad : Toi tu file dans ta chambre ~ Quand l'inévitable arrive {Mars 1990} 255795

Edit Loris : depuis quand vous avez le droit de squatter mon post ? Chad va t'en tout de suite. Anne

Loris se moqua pas d'elle parce qu'elle avait pleuré et elle apprécia ce geste bien qu'elle n'en attendais pas moins de sa part. Il mis une main autour de son cou pour la consoler, elle n'aurait pas put demander mieux. Décidément il était toujours là et savait toujours quoi faire dans ce genre de situation pour lui redonner le sourire.

~ Loris : C’est normal que tu te sentes seule, pourquoi crois-tu que j’essaye de te faire sortir au maximum. Pour éviter que tu t’enferme dans la routine, pour éviter que tu regrette ces années, pour faire en sorte que tu t’amuse et que tu profite de cette vie avec ces enfants.

Anne ne savait pas quoi dire tellement entendre celà lui faisait du bien. Elle était contre lui et déja elle se sentait mieux . Recroquevillé dans ses bras elle se sentait à l'abris. Sans qu'elle puisse y faire quelque chose son coeur s'était accéléré et tabourriné dans sa poitrine. Ses mains étaient devenus moites et elle avait peur de la suite des évènements. Elle avait peur de se laisser déborder par ses émotions. Mais il lui faisait oublier sa solitude. Elle leva la tête et le regarda avec une étrange lueur dans le regard, et un sourire. Il était si prés d'elle, si attentionner qu'elle avait envie de.... non elle préféréré ne pas penser à ça.

La dernière fois qu'elle avait eut ce genre de penser c'était en juillet 1983, et lorsqu'elle avait essayé de l'embrasser il avait tourner la tête sans ménagement. Elle se souvenait encore de la honte qu'elle avait ressentit. Donc malgrés son envie, Anne préféra ne rien faire et seulement continué à fixer les yeux du jeune homme qu'elle n'avait jamais trouver aussi beau. C'était plus résonnable. Mais tout à coup l'anxien Gryffondor s'approcha d'elle et leurs lèvres se touchèrent doucements. Le coeur de Anne fit un triple bond dans sa poitrine et elle n'eut pas le temps de réagir que déja Loris c'était éloigner.

~ Loris : Je … Je n’aurais pas dû.

Elle ne savait pas quoi dire. Elle ne c'était pas attendu à ce geste de sa part. C'était surprenant de la part d'un garçon qui n'était pas de nature volage. De plus, elle c'était elle-même surprise à savourer ce baiser bien plus qu'elle ne l'aurais dut . Bien sûr qu'ils n'auraient pas dût puisqu'elle était marié toujours à Chad. Mais elle en avait eut si envie qu'il lui était impossible de lui en vouloir. Loris n'osait plus la regarder, et elle ouvra la bouche pour dire quelque chose mais que son ne sortit. Elle était chambouler par les évènements et ne savait plus trop quoi penser. Le jeune homme reposa son regard sur elle. Il s'appréter a dire quelque chose ( sûrement des excuses ) mais Anne l'en empêcha. Comme toujours dans ce genre de situation elle écoutait son coeur plutôt que sa tête.

~ Anne : Tais- toi lui dit-elle doucement dans un souffle.

Dans un élan de lucidité ou peut-être de folie, elle s'élança alors vers Loris tenant sa tête avec ses mains et elle l'embrassa à pleine bouche sans qu'il n'est eut le temp de l'en empêcher. Ils s'embrassèrent . Anne apprécia celà comme un fruit éfendu, un fruit dont on savoure le gout mais un fruit et dont est pas sûr de d'avoir le droit d'y gouter où même si on n'aura l'occasion de le manger de nouveau un jour. Elle restait accrocher à ses lèvres, savourrant le baiser avec délice. Elle ne voulait pas se décoller de lui car elle avait peur qu'une fois que le baiser cesserait, le temp de explication et de la gène occasionné arrive. Et elle voulait à tout prix éviter ça.

Edit Chad : mais non c'est un fruit pourri ~ Quand l'inévitable arrive {Mars 1990} 255795

Loris se sentait vrai ment mal à l'aise. Comment avait-il osé faire cela ? Embrasser la femme de son meilleur ami. Franchement, tu ne respecte rien mon pauvre. Mais que voulez vous, pour une fois qu'il écoutait son coeur et pas sa raison et pour tout vous dire, à ce moment même, Chad est à milles lieues de ses pensées. Mais cette putain de conscience revenait au pas de charge, ce qui n'empêchait pas son coeur de battre la chamade et à un faible sourire de s'installer sur ses lèvres. Vraiment, il avait apprécier ce baiser même s'il n'avait pas eu le temps de le savourer. Mais qu'est ce qui l'avait poussé à commettre cet acte qu'il jugeait déloyale. Peut-être la solitude. Parce qu'Anne n'est pas la seule à se sentir seul. L'ancien Gryffondor a beau avoir sa famille, avoir Alec, Sarah et Anne, il se sent continuellement seul car ce n'est pas ainsi qu'il imaginait sa vie. Mais à entendre son coeur, il existe une tout autre raison qu'il l'ait poussé à embrasser la jeune femme. Ses sentiments. Aujourd'hui, il se rendait bien compte qu'il éprouvait plus que de l'amitié pour elle mais il s'était toujours retenu par égard pour Chad. Mais là, devant sa faiblesse, devant sa tristesse, il n'avait pas pu résister.

Alors qu'il tourna la tête vers elle pour s'excuser à nouveau et pour lui dire qu'il ferait mieux de partir. Il avait besoin de faire le point sur ses pensées, sur ses sentiments car Loris n'était pas du genre à agir sans réfléchir. Oui, mais c'était sans compte Anne. La jeune femme ne semblait insensible à son charme naturel mais il la sentait un peu crispé. Normal. Alors que le jeune infirmier s'apprêtait à partir, il aperçu le sourire de la jeune femme et la suite lui fit oublier tout ce qu'il se passait autour de lui.

~ Anne : Tais- toi

Il sentit la main douce et fraîche de la jeune fille se poser sur sa nuque et un frisson de plaisir le parcouru. toujours raide, il fallu que leurs lèvres se touchent à nouveau pour que sa consicence disparaissent au moins l'espace de cette soirée. Il passa son bras autour de la taille de la jeune femme et appréciait tout comme elle ce baiser tendre mais animé d'une certaine ardeur largement palpable. Lentement, la langue du jeune homme s'étendit pour venir caresser celle de la jeune femme. Loris avait fermé les yeux pour savourer. cela faisait tellement longtemps qu'il n'avait pas embrassé quelqu'un avec tant de générosité et d'amour. Lui non plus n'avait pas envie de quitter ses lèvres douces. Lui non plus n'avait pas envie de parler. A bas les interdits. Aujourd'hui sera une soirée inoubliable.

Elle continuait de l'embrasser et pourtant elle savait que se baiser ne pouvait pas durer éternellement. Bientôt ses lèvres se décollèrent de celle de Loris et elle plongea son regard bleue azur dans celui du jeune homme . Son regard était plein de sentiment et de tendresse qu'elle n'expliquait pas, sur lesquels elle ne pouvait pas mettre de mots.

Ce soir elle avait envie de tout oublier. Oublier qu'elle était mariée . Oublier que son coeur appartennait à Chad. Oublier qu'il lui avait fait deux magnifique enfants . Elle ne voulait ce souvenir que d'une chose : Loris avait toujours était là pour elle depuis qu'ils se connaissaient . Et en fin de compte ce soir là c'était la seule chose qui comptait. Elle avait envie de lui, de son corp, de sa chaleur, de sa tendresse, de sa gentillesse....

C'était une envie préssante et urgente. Une envie qui ferait peut-être disparaitre la solitude qu'ils devaient tout les deux ressentir. Elle avait toujours son regard planter dans le sien, n'entendant qu'une seule chose : qu'il se déscide enfin à aller plus loin. Car ce n'était pas dans sa nature de faire le premier pas, et de toute façon elle était beaucoup trop émotive pour le faire.

- Ne n'abandonne pas toi aussi, j'ai beso... envie... de toi lui dit-elle avec un léger sourire.

Elle n'avait pas besoin d'en dire plus, et surtout elle n'avait pas ENVIE d'en dire plus. Si lui aussi la désiré, les simples mots qu'elle venait de prononcer lui suffirait. Elle n'avait pas envie de s'expliquer davantage. La coeur de la jeune fille tambouriner toujours dans sa poitrine. Elle avait l'esprit embrouillé et ne savait plus que trop penser. Mais peu importer car sa tête s'était tût et elle n'écoutait plus que son coeur. Son coeur qui lui criait le nom de Loris et qui couvrait la voix de Chad qui se trouvait au loin, beaucoup plus long, beaucoup trop loin.....

RATING LECTURE INTERDITE Aux -17 ans

Etait-ce un fantasme qui se réalisait enfin pour le jeune Antony ? Cela il ne pourrait pas le dire mais c'était souvent, surtout ses temps-ci qu'il se prenait à l'imaginer dans ses bras, qu'il s'imaginait en train de l'embrasser, qu'il la trouvait de plus en plus belle et désirable. Malgré tout, il y avait Chad mais pas ce soir. Ce soir, ils n'étaient rien que tout les deux, à profiter de cette soirée, à soulager leurs solitude communs dans les bras de l'autre, à s'adonner à l'autre, à abandonner leurs vies l'espace de quelques instants.

Lorsque leurs lèvres se quittèrent, trop rapidement au goût du jeune homme, Loris eut peur de voir Anne reculer. Ils avaient toujours cette épée de Damoclès au dessus de leur tête. Que se passerait-il s'il l'apprenait ? A bas les questions, pour l'un comme pour l'autre, pour aujourd'hui.

~ Anne : Ne n'abandonne pas toi aussi, j'ai beso... envie... de toi

~ Loris : Jamais je ne t'abandonnerais et surtout pas ce soir

Il lui murmura ces quelques mots dans un murmure et passionnément, il entreprit de l'embrasser encore une fois. Un baiser empli d'amour et de douceur. Sa main droite se mit à remonter le long de son dos pour lui caresser la nuque, puis redescendre jusqu'au bas du dos. Il ne voulait pas aller trop vite, il voulait profiter de cet instant le rendre magique. D'un coup, san prévenir, il se leva. Il sentit le regard surpris d'Anne posé sur lui et d'un sourire, il la rassura. Il passa une main dans son dos et l'autre sous ses genoux pour la porter telle une mariée, telle la princesse qu'elle était aux yeux de Loris. Il approcha ses lèvres de son oreille et murmura.

~ Loris : Tu ne voudrais tout de même pas que les enfants nous surprennent.

Décidement, il pense vraiment à tout. Même s'il était persuadé que cela ferait plaisir à Alec de voir Anne et Loris s'embrasser. D'ailleurs, n'était-ce pas le jeune garçon qui l'avait suggérer le premier à Loris ? Oh si, lors d'une enième promenade dans le parc, il lui avait dit qu'il aimerait beaucoup le voir habiter à la maison et devenir son papa. Cela voulait tout dire dans la bouche d'un garçonnet de sept ans. Ah, s'il savait. Mais malheureusement pour Alec, il se saura jamais.

Lentement, Loris emmena Anne jusqu'à sa chambre et la déposa sur le lit encore bien plié. D'un coup de baguette, il femra la porte à clef. On est jamais trop prudent et il s'assit à côté d'Anne. Son corps au dessus du sien, ses lèvres au dessus des siennes, sa main sur la sienne et l'autre sur sa taille, il la dévorait du regard. Lentement, sa main quitta la taille pour se glisser sous les vêtements d'Anne et venir caresser son ventre doux et frais. Il remontait amoureusement jusqu'à ses seins et entreprit de les caresser. Ses lèvres descendirent jusqu'à la bouche de l'ancienne Gryffondor avant de glisser dans son cou. Il la désirait ardemment, son corps était en émoi comme la première fois qu'il l'avait fait. Il était tout excité mais devait aussi retenir ses ardeurs pour ne pas la decevoir.

~ Loris : Jamais je ne t'abandonnerais et surtout pas ce soir

Aucun autre mots n'aurait put lui faire plus plaisir, il l'embrassa de nouveaux et elle se fit plus tendre sachant à présent que pour se soir ce baiser ne serait pas le dernier. D'ailleurs étant donné la tournure des évènements, il y avait fort à parier que bientot ils se passeraient plus qu'un simple baiser entre eux. Il remonta sa main dans son dos, et un tendre sourire s'agissa sur le visage de la jeune fille. Puis à coup il se leva, surprise elle se demandait bien ce qui pouvait le faire fuir ainsi, ce qu'elle avait put faire de mal. Mais le visage de Loris restait toujours aussi gentil et rassurant que tout à l'heure.

Plus curieuse qu'inquiète à présent, elle l'observait afin de déterminer pourquoi il s'était lever. Il se pencha alors vers elle pour la porter dans ses bras et un sourire s'afficha sur ses lèvres. Ce geste rappellait à Anne que Loris était un gencleman ce qui le rendait deux fois plus attirant à ses yeux.

~ Loris : Tu ne voudrais tout de même pas que les enfants nous surprennent. lui chuchota-il à l'oreille pendant que son coeur faisait un triple saut.
- Anne - En effet dit-elle toujours avec un sourire.

Anne n'était pas du genre à s'afficher et elle émit un petit rire en pensant à la tête qu'elle aurait faite si les enfants les avaient trouvé a moitié nu, le lendemain sur le canapé. Décidément il pensait vraiment à tout. Il était attentionner et aussi séduisants qu'un homme pouvait l'être. Elle n'aurait put rêver mieux... enfin à part peut-être Ch.. non... ce soir elle ne penserai plus à lui...

Elle observait Loris avec une lueur dans le regard et un air tranquile et serein. Ce soir elle voulait être à lui et lui apporter tout l'amour dont elle était capable de donner, et il en avait beaucoup. Il la posa délicatement sur le lit et ferma la porte à clé d'un tour de baguette. Une preuve une fois de plus qu'il pensait vraiment à tous. Il était au dessus d'elle et son regard planter dans le sien elle se sentait exeptionnelle à travers lui. Il avait ce don de lui donner confiance en elle et de la rendre belle. Elle avait envie de lui, et son désir ne faisait que de commençait à se réaliser.

Ils étaient main dans la main, les doight de Anne fermement agrippé pour lui empecher à quelque sorte de s'échapper. Elle avait si peur d'être abandonné une nouvelle fois. Ils s'embrassèrent et dans se baiser il sceller le secret de cette nuit d'amour qui n'appartenait qu'a eux . Leurs lévres étaient devenus la clée de cette confidence qui seraient pour toujours écrit dans leurs coeur, comme un livre qu'on s'avoure avec plaisir mais qu'une fois finie on attend avant de le relire de nouveau, bien qu'on est trés envie.

Il passa sa main sous son tee-shirt et la caressa doucement. Elle s'offrer totalement à lui, et se sentait déja grissait sous ses baisers. Chaque caresse était une délivrance à cette tendresse qu'elle avait toujours éprouvait pour lui. Son coeur battait à tout rompre, et la passion qu'elle éprouvait avait fait augmenter la température de son corps.

Loris savait qu'en se levant de la sorte, il crérait la surprise chez Anne mais c'est ce qu'il cherchait. La faire angoisser une demi-seconde pour accentuer ce désir ardent. Se rendre indispensable pour cette soirée qui promettait d'être inoubliable. Il voulait qu'elle le désire comme elle n'avait jamais désirer personne, comme lui la désirait depuis plusieurs jours, plusieurs semaines, voir plusieurs mois.

La chambre. Pour Loris, c'était l'une des premières fois qu'il pénétrait dans cette pièce de la maison et cela représentait beaucoup. En acceptant de le recevoir ici, elle lui ouvrait un peu plus son intimité, son coeur et bientôt son corps entier. Le cerveau de loris ne marchait plus. Il ne pensait à rien, à personne. Seuls ses sens de gentleman étaient en action et fait tout pour que la jeune femme soit bien, soit heureuse. Rien qu'un sourire sur ses lèvres faisait fondre le coeur de Loris, un coeur qui battait à tout rompre.

Lorsqu'il était ado, il n'aimait pas aller à l'encontre des règlements mais aujourd'hui, c'était son côté enfantin qui ressortait. Le Loris qui n'obéissait à personne et faisait tout ce qu'on lui interdisait. Le Loris qui était doux mais qui pouvait aussi se transformer en véritable animal.

En passant la main sous les vêtements d'Anne, il la sentit frissonner de désir et la température ambiante était devenue presque insoutenable. Loris appréciait chaque centimètres du corps de l'ancienne Gryffondor. Lentement, il continuait son exploration tandis que ses lèvres faisaient de même. Lorsqu'il releva la tête et vit son sourire, il avait hâte d'aller plus loin, d'assouvir son désir de l'avoir rien que pour lui. Il lui retira son T-shirt et ses lèvres passèrent de son visage, de son cou, à son buste, sa poitrine. Sa langue faisait des cercles sur ses seins et d'une main habile, il lui retira son soutien-gorge et l'envoya valser dans la pièce. a présent, il était allonger sur elle et continuait de faire monter la température. Il glissa ensuite une main dans son pantalon qui déscendit jusqu'à ses parties intimes.

Edit Chad: Enlève tout de suite ta main de là ~ Quand l'inévitable arrive {Mars 1990} 255795

et remet lui son T-sirt immédiatemment ~ Quand l'inévitable arrive {Mars 1990} 255795

JE SUIS PAS D'ACCORD ~ Quand l'inévitable arrive {Mars 1990} 491546

Tout était redevenu calme, paisibles. Les vêtements de deux amants étaient étaler un peu partout et la pièce refléter ce qu'il s'était passer il y a quelque heure . Loris dormait. Anne quand à elle avait les yeux bien ouvert. Son regard bienveillant poser sur lui. Elle l'observer. Il était tellement beau ainsi. Il semblait heureux, et apaiser. Elle voulait garder en mémoire cet instant, ce moment de bonheur passait avec lui car à présent elle savait qu'ils n'en auraient pas d'autre. Elle avait énormément aprécier cette complicité de se soir ave lui, mais le moment de folie passait elle redevenait Anne Parker, épouse lier à jamais à Chad.

Voilà pourquoi il lui était impossible de dormir, trop imnibulé par son passer. Sans un bruit, elle poussa les couvertures et se leva, prenant bien soin de ne pas le réveiller. Il voulait le laisser rêver encore un peu, rêver d'elle.... rêver de leurs avenir peut-être.... Elle attrapa une nuisette blanche qui se trouvait sur une chaise et l'enfila. Elle s'approcha de la fênetre. Elle avair besoin d'air, prés de Loris bizarrement elle se sentait étouffer. Il faut dire que celà faisant si lontemps qu'un homme n'avait pas poser ses mains sur elle. La solitude était tellement devenu une habitude que le contraire lui semblait étrange. Anne ouvrit la fênetre et huma l'air. Au dehors la plaine lune brillait de toute intensité. Les etoiles rendaient la nuit encore plus belle et l'air frais la fit frissonnait légèrement.

Elle regardait les étoiles en pensant que là où il était il les regarder peut-être lui aussi. Peut-être, qu'il faisait pareil qu'elle... penser au passer. Penser aux passer où ils étaient ensembles. Heureux. Unis. Malgrés la présence de Loris pas loin elle se sentit tout à coup trés seule. A croire que ce vide, ce trou à la place du coeur et ses larmes, ne céssèraient jamais tant qu'elle serait loin de Chad. Même pas dans les bras d'un autre....

Nostalgique, elle tendit sa main devant elle et observa son alliance ainsi que sa bague de fiançiailles. Cela faisait si lontemps qu'elle n'avait oser poser ses yeux dessus. Sa bague de fianciailles était une claddagh. Un symbole d'amour. Une couronne, deux mains et le plus important de tous... le coeur.

Doucement, Anne bouger du bout des doight son alliance d'avant en arrière. C'était un geste nerveux. Comme si en touchant cet anneaux elle voulait se rapprocher de lui, et deja se faire pardonner de se qu'elle venait de faire se soir. Elle ne regretter pas. seulement elle aurait préféré que Chad soit à la place de Loris. Elle aimait Loris mais il n'était pas Chad.

Elle releva la tête toujours et observa de nouveau les étoiles. La lune lui rappela le soleil, et le soleil son coucher. Ce jour merveilleux où le Soleil s'était coucher sur Poudlard pour les deux futur marié alors âgés de seulement dix sept ans. Une larme coula sur sa joie, comme si cette larme voulait effacer ses souvenirs et rendre son coeur légers . Mais c'était peine perdue.

- Oh Chad, qu'est-ce que tu me manque.... si tu savais.... dit-elle pour elle-même plus qu'autre chose, la voix pleine d'émotions.

Elle avait un besoin irréfléchit de communiquer avec lui. Mais elle ne pouvait pas. Ils étaient facher depuis si lontemps. Elle attrapa alors sa baguette, et la pointa vers la fênetre. Une biche en jaillit, son patronus.

- Pour toujours et à jamais.

L'animal s'élança alors en direction de là où se trouver Chad Parker. Pour toujours et à jamais. La phrase qu'ils s'étaient dit le jour de leurs unions. L'esprit appaiser, Anne retourna s'allonger prés de Loris. Poussant les couvertures elle se blottit dans ses bras et s'endormit paisiblement.

Loris et Anne. Qui l'aurait cru un jour. Certes, cela faisait bien longtemps qu'ils étaient proches, qu'ils passaient beaucoup de temps ensemble mais jamais il ne serait venu à l'idée de Loris que cela puisse se passer comme aujourd'hui, un jour ou l'autre. C'est avec une délicatesse infinie, avec sa tendresse habituelle, avec tout l'amour dont il est capable, avec beaucoup de fantaisie et de plaisir qu'il fit l'amour à Anne comme cela faisait tellement longtemps qu'il ne l'avait pas fait. Son coeur avait battu à tout rompre durant toute la durée de leurs ébats et il avait ressenti énormément de bonheur partagée allègrement par la jeune femme.

Après la passion, le silence et le calme se refit dans la petite pièce et Loris s'endormi dans le lit d'Anne tout en la serrant dans ses bras. Lorsqu'elle se leva, il ne remarqua rien. Il était dans de doux rêves que peu de choses auraient pu lui faire quitter à ce moment là. Vous ne trouverez sûrement pas cela bizarre mais il était en train de rêver d'une femme merveilleuse, exceptionnelle, qu'il aimait beaucoup. Cette femme se trouvait en ce moment même dans le même lit que lui. Lorsqu'elle se recoucha à ses côtés, il se tourna vers elle et resserra inconsciemment son étreinte sur elle, sentant sa peau douce sur la sienne.

3H du matin. Lentement, le jeune garçon ouvrit un oeil, puis l'autre. Il se jeta un coup d'oeil autour de lui. D'abord sur la pièce qu'il mit du temps avant de reconnaître, puis sur Anne. Son coeur se serra mais un sourire de bonheur se figea sur ses lèvres. Il passa tendrement sa langue sur sa bouche en souvenir de tous les baisers qu'ils avaient échangés durant cette nuit magique, inoubliable. Mais les contes de fées n'existent pas et Loris n'a plus l'âge de croire aux princesses et aux belles fins. Comme souvent, tout fini mal et aujourd'hui encore cela va se reproduire.

Il a beau la regarder, avoir apprécier ce moment, vouloir qu'il y en ai beaucoup d'autre, pour une fois, la raison l'emporta sur son coeur et il regretta déjà ce qu'il venait de se passer. Il retira son bras de sous la tête d'Anne essayant de ne pas la reveiller, il déposa un baiser sur son front et se leva. Rapidement, il enfila un caleçon, attrapa ses vêtements et sortit après avoir sourit une dernière fois en direction de la jeune fille.

Bien sûr, il ne comptait pas rentrer chez lui tout de suite. Il ne voulait pas qu'Anne interprète mal son geste. non, il ne l'abandonnerait pas même après ce qu'il venait de se passer, même s'ils avaient fait un erreur en couchant ensemble. Il resterait toujours son amie et continuerait de l'aider à élever les gamins. En un coup de baguette, il fit apparaître une couverture et un oreiller et s'allongea sur le canapé, les bras derrière la tête réfléchissant à la façon d'agir avec Chad. Et oui, encore lui. Mais il restait le meilleur ami de Loris même s'il devrait renoncer à le voir après lui avoir avouer. Oui, il comptait bien lui avouer car la qualité première du jeune homme est la sincérité et face à Chad, il ne pourrait pas lui mentir.

Perdus dans ses pensées, les yeux fermés, il entendit des petits bruits de pas et quelqu'un vint poser sa main sur la sienne. Une petite mimine comme cela ce ne pouvait être qu'Alec. Loris ouvra alors les yeux et sourit au jeune garçon.

~ Alec : Parrain, qu'est ce que tu fais là ?

~ Loris : On a discuter tard avec ta maman hier et j'ai pensé que ce serait préférable que je dorme ici plutôt que je rentre. Tu sais, le transplanage lorsqu'on est crevé sa peut être dangereux. Sa te dérange que j'ai dormi ici ?

~ Alec : Non pas du tout mais tu sais, il y avait un lit pour dormir.

~ Loris : Lequel ?

~ Alec : Celui de ma maman.

~ Loris : allez viens là

Evidemment, le jeune homme n'avait pas renoncer à l'idée de voir Loris devenir son papa mais cela ne se produira jamais. Quand il sera plus grand peut-être qu'il lui avouera ce qu'il s'est passé aujourd'hui. Mais là, il est trop petit et il faut qu'il apprenne à accepter son père. Loris l'attrapa par les dessous de bras et l'allongea à ses côtés sous la couverture. Les deux garçons s'endormirent pour le reste de la nuit.

HJ Merci de m'avoir permis de faire ça ~ Quand l'inévitable arrive {Mars 1990} 322925

Il était tard. Chad venait juste de rentrer d’une journée particulièrement harassante. Une mission assez délicate à gérer, et toute une succession d’événement qui faisait que cela n’avançait pas comme il l’aurait désiré. Il poussât la porte de son appartement, et pénétrât à l’intérieur sans allumer la lumière. L’allumer pour quoi de toute façon. Pour voir le vide qui s’y trouvait ? Le même vide qui emplissait son cœur depuis bien longtemps ? Pour bien se rappeler qu’elle n’était plus là. Eh merde, encore une de ses soirée qu’il allait passer à ressasser le passé. Bien sur, il n’avait pas oublié, et il ne se passait pas un jour sans qu’il pense à elle.

Sans prendre la peine de manger, il s’allongeât sur son lit, perdant son regard dans le vide. Il était crevé, et pourtant, il savait qu’il allait encore penser de longues heures à penser à elle avant de s’endormir, son cœur se crispant comme chaque fois qu’il pensait aux bons moments qu’ils avaient vécu ensemble, et lorsqu’il réalisait que tout cela était perdu a jamais. Impossible de rester allonger, il ne tenait pas en place, comme bien souvent quand il pensait à elle. Il l’aimait toujours, cela ne faisait aucun doute, mais ils étaient séparé depuis tellement longtemps, qu’il ne trouvait pas le courage de la recontacter même si il en mourrait d’envie.

Il s’approchât de la fenêtre, et l’ouvrit pour laisser passer un peu d’air frais. Il avait chaud, trop chaud, mais ce n’était pas habituel. Il ressentait quelque chose de bizarre, comme si quelque chose venait de se passer, quelque chose qui lui faisait penser qu’elle s’éloigner un peu plus d’elle. Il secouât sa tête pour chasser cette idée de son esprit, et levât les yeux au ciel. Il observât un instant les étoiles, se demandant ce qu’elle faisait en ce moment même. Une douleur le traversât lorsqu’il pensât à son fils qui devait paisiblement dormir dans sa chambre, loin de lui. Il souffrait de cette absence autant que de celle d’Anne. Il avait pour son fils un amour fusionnel, et on le lui avait retiré. Pourquoi devait-il supporter cela. Son fils, si jeune obligé de supporter l’absence d’un père qui l’aimait par-dessus tout, et qui ne pouvait pas lui délivrer cet amour.

Il essuyât une larme qui coulait sur sa joue, il y avait bien longtemps que cela n’était pas arrivé, mais repenser a tout cela, ce soir lui faisait un bien fou. Il n’en parlait jamais avec personne, sauf peut être avec loris, son meilleur ami, le seul sur lequel il pouvait compter, le seul par lequel il pouvait avoir des nouvelles. Pourtant, il gardait tout cela profondément enfoui dans son cœur, et se construisait une barrière pour ne pas craquer. Mais au fur et a mesure, les jours passant, celle si s’effritait peu à peu, et il lâchait les vannes lorsqu’il se retrouvait seul. Chad n’était plus le même depuis bien longtemps. Il n’était plus ce jeune homme qui pleurait pour chaque occasion. Non il intériorisait, même si cela lui faisait encore plus mal.

A plusieurs reprise dans ses moments là, il avait plusieurs fois hésité à aller la voir, a se retrouver face à elle. Mais il savait très bien comment cela se serait passé. Il aurait fini par lui dire au combien il souffrait, et cela uniquement parce qu’elle avait rompu tout contact avec lui du jour au lendemain. Pourquoi ? Comme ça, sans vraiment lui dire pourquoi, lui donner une explication. Il aurait voulu l’entendre lui dire au combien elle était désolée, lui faire ressentir sa douleur. Lui dire que malgré tout il l’aimait, mais la seule chose qui revenait en lui c’était le pourquoi ? Pourquoi elle lui avait fait ça, pourquoi elle l’avait abandonné ainsi, le laissant au fond du gouffre un long moment avant qu’il ne puisse ressortir la tête de l’eau. Bien sur il avait réussit à force, avec le temps à refaire surface, mais même s’il se montrait sous une apparence joyeuse, faisant mine d’avoir oublié, il n’oubliait pas, non il n’oublierait jamais cette sensation qu’il avait ressentit. Sensation d’abandon qui malgré tout le détruisait peu à peu Pourquoi ?

Il observât sa main gauche, son annulaire, là ou autre fois se trouvait son alliance. Pourquoi l’avait il retiré ? A cause de cette souffrance qui l’avait rongé pendant des mois alors qu’il posait ses yeux dessus. Il avait voulut effacer toute trace de sa vie, mais elle n’était pas perdue pour autant. Il se dirigeât vers la commode de sa chambre, ouvrit un tiroir, et en sortit une petite boite. Lorsqu’il l’ouvrit, à nouveau il ressentit une douleur au niveau de son cœur. Pourquoi cela le faisait il autant souffrir de voir quelque chose qui le reliait à elle ? Il aurait du tirer un trait, sachant que peut être il ne la reverrait jamais. Il aurait du oublier, mais comment oublier quelqu’un en qui on a mis sa confiance aussi facilement. Comment oublier quelqu’un, qui malgré la souffrance qu’il vous a fait ressentir, vous avez aimé. C’est une chose impossible a oublier, surtout quand ca vous touche d’aussi prêt. Ca fait mal tout simplement. Ses amis avaient été la pour lui, seulement comment faire face a ce vide dans sa vie. Quand vous êtes habitué à parler à une personne tout les jours, à être présent quand elle va mal, à donner tout ce qui est en votre pouvoir pour la faire sourire quand ca ne va pas, il est difficile d’oublier, et vous vivez avec ce néant qui vous hante chaque jour. Bien sur il y a des moments ou vous remarquez que cela s’efface lentement, mais cela revient de temps à autre et rouvre cette plait béante qui meurtri votre cœur, et qui certainement ne guérira jamais, car dans l’histoire vous avez perdu beaucoup, on vous a prit une part de votre vie, et vous ne la retrouverez jamais. C’est comme si tout cela n’avait été qu’un mensonge, un leurre depuis le début. Il s’était menti à lui même tout simplement.

Il se laissât retomber sur le lit, sortant l’anneau de sa boite pour le contempler. Un des vestiges de cette histoire qui était maintenant fini. Il passât ses doigts dessus, comme pour essayer de retrouver un peu de ce que ça avait été, mais le souvenir était trop dur à retrouver. Cela faisait trop longtemps qu’il vivait avec cette peine sur le cœur. Soudain, une lueur argentée attirât son attention près de la fenêtre. Bien trop occupé par ses pensé, il ne prit pas la peine de vérifier ce que c’était. Cela aurait pu être une embuscade, un sortilège destiné à mettre fin à ses jours. A quoi bon vivre quand on a perdu ce qui est le plus cher a notre cœur. Il se serait volontiers laissé mourir sur le champ, pour pouvoir tout effacer et vivre enfin en paix. Il fermât les yeux un instant attendant le coup fatal qui ne vint pas. Et cette voix s’élevât dans les airs.

Pour toujours et à jamais.

Son cœur fit un bon dans sa poitrine. Il rouvrit les yeux justes à temps pour voir s’évaporer la biche argentée telle une brume. Anne, c’était elle, c’était son patronus, et c’était aussi une promesse. Cette promesse qu’ils s’étaient faites le jour de leur mariage. Que leur amour reste entier, pour toujours et à jamais. Aussitôt, il laissât ressortir tout ce qu’il retenait depuis tellement de temps. Ces larmes se mirent à couler, et il prit sa tête dans ses mains, son poing serrant son alliance avec force. Son corps était parcouru de sanglots incontrôlables. Que devait-il comprendre ? Leur amour avait il encore une chance ? Il lui fallut un certain temps pour calmer son corps qui tremblait violemment, mais ses larmes coulaient toujours à flots, et en y réfléchissant bien, cela lui faisait un bien fou d’évacuer enfin. Il l’aimait tellement, il n’avait jamais cessé de l’aimer. Il se doutait que leur histoire était impossible maintenant, mais il ne pensait plus qu’à une chose. La ou elle était, elle pensait à lui, tout simplement, et ce soir, elle venait de lui prouver que leur amour n’était pas mort. Ne le lui avait il pas dit une fois déjà ? On ne se réveille pas un matin en n’aimant plus. Aimer c’est pour toujours.

Anne… Si tu savais comme tu me manque…

A nouveau, il laissât les larmes bienfaitrices inonder son visage, et soulager son cœur. Il desserrât son poing dans lequel il avait enfermé son alliance et la regardât un instant. Avec un léger sourire, il la glissât lentement à son doigts, comme le jour ou il s’était promis fidélité et amour éternel. Il observât sa main un instant. C’était comme si malgré le fait qu’ils savaient que cela n’était pas prêt a repartir pour l’instant, ils donnaient une nouvelle chance à leur amour de renaître un jour, et c’était le plus important. Lentement, il s’allongeât sur le lit, son cœur apaisé par ce sentiment, et il fermât les yeux, se repassant chaque moment heureux de leur vie à deux. Leur rencontre, leur premier baiser, leur première fois, sa demande en mariage, le jour ou il avait appris qu’il allait devenir père, la naissance de son fils, son mariage… Mais cette fois ci, les larmes ne coulaient plus, et c’était un petit sourire heureux qui se dessinait sur son visage. Au fond de lui, il savait que malgré cette rupture, leurs sentiments n’avaient pas pour autant changer, mais jusqu’à présent, tout cela n’avait été que des suppositions, et maintenant il en avait la confirmation. Et même si pour l’instant, aucun des deux n’était prêt a se lancer, et a affronter sa peur d’aller voir l’autre, peut être un jour cela se ferait il enfin.

Il se laissât alors emporter par le sommeil, sa main posé sur son cœur, se laissant entraîner vers ses rêves, ou bien souvent il la retrouvait elle et leur fils, et alors qu’il sombrait profondément, il laissât un murmure s’échapper de ses lèvres.

Je t’aime…

Le soleil baigner la chambre de la jeune Parker de Lumière. Elle se retourna afin d'observa une dernière fois Loris avant de laisser place de nouveau à leur amitié, mais elle n'apperçut que le vide. Il n'était plus là. Il avait dût rentré chez lui. Elle soupira, elle ne savait pas si elle était soulager ou triste. Peut-être les deux. Quoiqu'il en soit elle savait que leurs amitié était conserver malgrés se qui s'était passer la veillle. Car elle le connaissait par coeur.

Elle se vêtit et se leva pour aller préparer le petit déjeuner. En passant dans le salon elle s'aperçut alors que Loris n'était pas partit et qu'il était seulement aller dormir sur le canappé. Alec était gentiment endormis das ses bras. Elle émit sourire. Ravie de voir que même sans qu'elle n'épouse Loris ou qu'elle soit en couple avec lui, la complicité des deux garçons ne changeré jamais. Le petit blondinet venait d'ouvrir les yeux. Loris commençé a se réveiller lui aussi. Elle lui adressa un petit sourire, un sourire amical comme elle avait l'habitude de lui faire. A croire que la nuit n'avait pas existé bien qu'elle resteré à jamais graver dans sa mémoire.

- Tu n'as pas trop mal dormis sur le cannapé ? lui dit-elle.

Cette phrase n'était pas une boutade, elle voulait juste lui faire comprendre que pour elle il s'était passer ce qu'il s'était passer mais elle n'avait aucune envie de revenir là-dessus. Ils étaient amis et le resteré éternellement, un point c'est tout.

[ je te laisse terminer ce rp ....]

Les rêves de Loris étaient bercés de douceur. Il revivait en boucle cette nuit et cette passion qui les avait animés tout les deux. Pas encore de trace de remords, ils auraient bien le temps d'arriver lorsque Loris aura pris du recul mais pour l'instant, son inconscient ne veux pas lui faire oublier ce souvenir merveilleux dans les bras d'Anne. Même s'il savait bien que dès lors qu'il ouvrirait les yeux, la réalité lui reviendrait à la figure et il devrait assumer ce qu'il avait fait. Mais pour l'instant, c'était toujours un sourire heureux sur les lèvres du jeune homme qui serrait Alec dans ses bras.

Ce fut lorsque le petit garnement se mit à bouger que Loris ouvrit lentement un oeil, puis l'autre pour voir Anne juste devant lui. Il ne pu s'empêcher de lui sourire tendrement comme il l'aurait fait avant que cette nuit ne se passe. Tel un ami, il serait toujours présent pour elle. Il se redressa, tenant toujours Alec dans ses bras et passa une main dans ses cheveux.

~ Anne : Tu n'as pas trop mal dormis sur le canapé ?

Il savait très bien ce que cette phrase voulait dire et il semblait soulagé de constater que la jeune femme aussi ne voulait pas que cette nuit gâche leur amitié. Entre eux, tous restera toujours pareil. Il lui fit un clin d'oeil complice comme il avait l'habitude de faire et lui dit.

~ Loris : Pas trop mal. Heureusement, ce petit gnome est venu me tenir compagnie.

Il passa une main paternel dans les cheveux de son filleul et proposa à Anne d'aller préparer le petit déjeuner à sa place pendant qu'elle allait reveiller Anne. Tous les quatres prirent leur petit dejeuner et ce fut Loris qui deposa les enfants à l'école maternelle et primaire de Londres avant de transplaner à Poudlard pour travailler.

~ RP terminé ~

» Quand Harry rencontre Sally (Yon)