Horcruxes - Les Reliques de la Mort
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 Perdus cette nuit - PV *

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MessageSujet: Perdus cette nuit - PV *   Perdus cette nuit - PV * Icon_minitimeSam 15 Déc - 16:34



    La fatalité. Celle où Cendrillon meurt empoissonner, celle qui n’existe nullement dans les contes. Mais Cendrillon mourrait bel et bien, enfermée dans cet empire qu’elle s’était créée. Ce rêve revenait sans cesse, celui où la jeune Autumn meurt dans une pièce sombre, presque étouffée par son propre souffle. L’insomnie prenait possession d’elle, depuis un certain temps. Quelques jours, quelques semaines, ou quelques mois…elle n’aurait su dire combien de temps, mais cela paraissait une éternité. Mais pas vraiment de quoi dramatiser : elle passait le temps. Traînant ses pieds sur le sol glacial, la jeune Serpentard manqua de peu la chute, se rattrapant au bord de son lit en baldaquin. Il fallait qu’elle soit la plus silencieuse possible, et ça commençait assez mal. Une des filles de son dortoir se réveilla brusquement, émettant un soupir des plus brefs. Se relevant peu à peu, elle dévisagea la jeune Perkins, jusqu’à retomber sur son lit à la vitesse de l’éclair. Waw ! Elle avait échappé à l’interrogatoire pour la première fois de sa vie. Aucun « où tu vas ? », aucun « si tu te fais prendre, t’auras ce que tu mérites. ». La jolie blonde entraîna son corps vers la porte de sortie, frémissant sous le poids du froid. Elle tira la chemise qui lui servait de pyjama vers le bas, essayant de recouvrir la moindre parcelle de peau. Mais elle avait toujours aussi froid. Pas question pour la jeune Serpentard de faire demi-tour : elle partait. Il était près de minuit, et par la fenêtre, on voyait que la Lune était pas mal entamée. Sourire aux lèvres, Autumn continua son chemin, se glissant dans les couloirs comme pour ne pas se faire prendre sur le fait. Elle avait assez d’heures de colle, pour le moment, et en aucun cas elle ne voulait avoir des problèmes. Mais ils venaient à elle comme un rien, sans qu’elle ne demande quoique ce soit. L’ironie du sort, sans aucun doute.

    Cendrillon parcourait, à ce moment même, le Deuxième Etage. Une fois de plus, elle s’était perdue, trop prêt des rêves que de la réalité. Non seulement elle se perdait dans ses pensées, mais aussi dans sa destination finale. Sans un mot, sans un bruit, elle continua son chemin vers son nulle part. Le silence éblouissant fut stoppé quelques instants plus tard. Un gros boum ! qui la fit sursauter, mais elle restait toujours aussi silencieuse. Puis cette lumière, si soudaine, mais à la fois si apaisante. Un Lumos ! , certainement. Sans trop savoir comment, elle était prise au piège, ou du moins, virtuellement. Autumn ne tarda pas à se cacher derrière une immense pierre, plissant les yeux pour voir de qui il était question. Une silhouette plutôt grande, suivit d’une plus petite. Impossible. Elle était trop près du but pour qu’ils l’achèvent ainsi, surtout à cet endroit. La jeune Perkins prit donc ses jambes à son cou, se dépêchant de courir dans le sens opposé. Elle n’avait pas réfléchit, et était partie. Difficile d’y voir clair, dans le noir. Et il lui était tout aussi difficile de voir où elle mettait les pieds, et dans quel endroit elle allait. Mais il fallait qu’elle attende avant de faire quoique ce soit. Attendre d’être assez loin pour ne pas se faire prendre, être assez loin pour être enfin en sécurité. Un, deux, trois. A présent, les secondes défilaient rapidement. Des secondes de plus en plus importantes. Mais la Septième Année était toujours autant perdue, encore plus qu’au départ. Elle s’aidait de ses mains pour ne pas tomber, mais ce n’était pas suffisant… Et plus elle avançait, plus la belle Cendrillon avait peur. Même au toucher, elle ne pouvait savoir où elle avait mit les pieds. Un, deux, trois. Loup, y es-tu ?

    Pas un instant à perdre, la jeune Serpentard prit sa baguette et murmura un léger Lumos qui fit apparaître, sur le bout de sa baguette, une étrange lueur jaune. La lumière lui fit découvrir un couloir étroit, et qui plus est, une silhouette qui passait au loin. Elle ne pu voir qui s’était, la seule chose qu’elle savait, c’était qu’elle n’était plus seule. La jeune blonde entendait son souffle d’ici, essayant d’imaginer qui cela pourrait être. Elle se rassurait, se disait que ça ne pouvait être qu’un élève. A quoi bon espérer, elle n’avait plus qu’une chose à faire : rentrer au dortoir. Mais saviez-vous que la curiosité est un vilain défaut ? Sûrement, mais elle non. Alors la jeune Cendrillon décida, de son plein grès, d’aller voir qui s’était. Et les secondes passaient de nouveau à la vitesse de l’éclair, comme ci de rien était. Etrangement, elle était calme et se replongea dans l’obscurité. L’aventure, cette chose magnifique, l’avait attirée dans ses filets. Sans un regard, Autumn avait été possédé parce que l’on appelle couramment l’adrénaline. Ce plaisir qu’on ressent dans les plus hauts dangers, ce plaisir qu’on puise dans le stress le plus intense. Elle ne risquait rien, à part peut être sa place à Poudlard, ou bien encore des heures et des heures de liberté. Mais cette fameuse envie de braver le danger, de braver l’interdit avait prit son esprit en otage. Des bruits de pas vinrent brutaliser le silence glacial. Puis un souffle différent de celui de la jeune Autumn. Elle alluma de nouveau la lumière, ses jambes tremblant à chaque fois que l’air glacial venait les caresser. Sous l’effet de surprise, elle accorda à cet inconnu un regard différent des autres fois. Pas de doute, il y avait eut plus de peur que de mal.


    « Tu m’as fait une de ses peurs ! Et puis, qu’est ce que tu fais là à une heure pareille ?! »

    Smiley était mal placée pour lui dire ça, mais elle ne trouvait rien d’autre à dire. Manque d’inspiration, manque d’envie, et surtout manque d’enthousiasme. Pourtant, elle devait être contente d’avoir échapper au pire…Mais rien. Elle n’accorda plus un seul regard au jeune homme. Autumn réfléchissait, mais sa réponse était toute faite. Cet inconnu, ce Serdaigle ne pouvait être que Tristan. On lui avait parler de lui, un de ces jours. D’ailleurs, c’était une des rares fois où elle écoutait ce que les filles de son dortoir lui disaient. Blah, blah, blah. Comment ces filles font pour ne pas s’y perdre ? Elles étaient incompréhensibles, pire que la jeune Perkins.

    « Tu devrais rentrer dans ta salle commune, O’Bryan. Les murs ont des oreilles, et il serait plus que dommage que ta jolie frimousse se retrouve en colle. Simple conseil. »

    Blanchit devant ce grand ciel noir, tout devient vite desillusoir.
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Tristan O'Bryan
|Préfet| Elève de 4ème Année à Serdaigle
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Tristan O'Bryan


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MessageSujet: Re: Perdus cette nuit - PV *   Perdus cette nuit - PV * Icon_minitimeSam 15 Déc - 17:28

Il était presque de minuit. Tous les garçons dans le dortoir des Serdaigle dormaient à poings fermés. Tous ? Non, tous sauf un. L’éternel rêveur, le romantique, le musicien, le passionné, Tristan O’Bryan.
Quand s’habituerait-il enfin à dormir dans cette école ? Au bout de sa quatrième année, n’avait-il pas encore posé ses marques dans ce château ? C’était confus et incompréhensible. Tout comme l’était l’esprit du jeune homme.

Il regardait vaguement le plafond, se tournait dans le lit, cherchant en vain une position adéquate. Mais celle-ci ne venait pas. Il avait chaud, donc dégager ses draps. La seconde d’après, il tremblait de froid, donc se cachait entièrement sur les couvertures. C’était terriblement énervant. Ce manège dura plusieurs minutes.
Puis le jeune homme se lassa, impossible de retrouver son sommeil. Il se décida donc à se lever. Il s’assit au bord du lit. Il avait trop chaud à présent et était stressé. Il ressentait un manque, une envie de liberté. Même dans un immense château comme celui-ci, on pouvait se sentir si prisonnier parfois...

Le bleu et bronze se leva donc doucement de son lit. Il se dirigea vers la porte du dortoir puis se stoppa instantanément. Il baissa les yeux et contempla son corps presque nu. Il n’allait tout de même pas se promener en boxer dans les couloirs. Bien que cela ne le dérangeait pas vraiment. Il se foutait de choquer la bonne morale. Puis à cette heure-ci, il n’y avait personne dans les couloirs. Mais il se ravisa pourtant de sortir avec un simple boxer. S’il rencontrait le concierge, il n’avait pas trop envie de se faire reluquer de la sorte, avec un pauvre petit bout d’étoffe sur le corps...
Le jeune homme enfila donc un jean noir, un peu délavé et rapiécé. Pas qu’il était sal et usé, non c’était un style voilà tout. Il aimait ce jean. Vêtu d’un pantalon, c’était bien assez.
Puis, de toute façon, dans le noir de la pièce, il ne trouvait rien. Il ne voulait pas prendre le risque de réveiller ses camarades.

Puis il se rendit compte, enfin, qu’il n’avait plus de cigarettes... Le paquet était désespérément vide... Il avait envie de taper dans l’armoire, de pousser des jurons. Il se retient à la dernière minute. Il fallait qu’il fume bordel...

Tristan sortit du dortoir. Il était un tantinet énervé, il fallait qu’il prenne l’air. Il étouffait cloitré ici, bêtement entre quatre murs. Pas d’air, pas d’espace, pas de clarté. Tout cela le stressait, ou semblait le stresser.
Mais dans ces cas là, le manque de nicotine rend toute chose insignifiante, les plus stressantes qu’il soit...

Le Serdaigle sortait à présent de la salle commune. Il se dirigeait lentement vers le couloir. Mais où aller à cette heure-ci ? Dehors, oui il avait besoin de respirer. Mais il allait se faire prendre... Tant pis, côté rebelle avant tout. Le je m’en foutisme à l’état pur...
Ainsi, il descendait donc doucement et lentement les marches de l’école, les longs escaliers. Heureusement que cette nuit ils ne semblaient pas décider à n’en faire qu’à leur tête... Oui c’était bien connu, les escaliers de Poudlard étaient assez joueurs.
La tour des Serdaigle était si haute. Toutes ses marches à descendre, en pleine nuit en plus. Il n’allait tout de même pas allumer sa baguette au beau milieu des escaliers. A part s’il voulait être certain d’être repéré. Ah braver, l’interdit entre peur, prudence et excitation. C’était bon.
Le voilà arrivé au troisième étage. Il y avait une salle de cours ici, mais il ne se rappelait plus laquelle. Lorsque sa mémoire commençait à lui faire défaut, ce n’était pas bon signe...


Le brun aux yeux clairs marchait toujours de cette même allure. Il entendit du bruit soudainement pas très loin de lui.
Il prit la direction inverse de ce bruit, ne voulant pas attirer l’attention. Il marchait à présent à reculons, dans un couloir inconnu. Il ne lui semblait pas être déjà passé par là. Au fur et à mesure qu’il avançait dans le couloir obscur, c’était clair dans son esprit. Non, jamais O’Bryan ne s’était aventuré dans ce lieu.

Le bruit semblait s’être évaporé, lorsque tout à coup, il tomba nez à nez avec une personne. Il s’agissait d’une élève. Tristan fut surpris. Il émit d’une faible exclamation. Puis la fille prit la parole.

« Tu m’as fait une de ses peurs ! Et puis, qu’est ce que tu fais là à une heure pareille ?! »

Ben il pouvait lui retourner la question d’ailleurs. A ce qu’il savait, elle n’était pas préfète, alors elle n’avait rien à lui dire. Elle était dans l’interdit, tout comme lui. Alors aucune raison de s’inquiéter. Le jeune homme n’eut pas le temps de répondre quoique ce soit, même s’il n’en avait guère l’intention. Puisque la jeune fille reprit.

« Tu devrais rentrer dans ta salle commune, O’Bryan. Les murs ont des oreilles, et il serait plus que dommage que ta jolie frimousse se retrouve en colle. Simple conseil. »

Oh alors comme cela, elle connaissait son nom. Puis indirectement, ses paroles pourraient presque passer pour un compliment. Par contre, lui n’avait aucune idée de l’identité de la jeune fille. A vrai dire, son caractère de solitaire asocial n’avait pas vraiment joué en sa faveur à Poudlard... Il restait trop souvent avec pour seule compagnie sa guitare, ou bien ses feuilles blanches et son crayon.
Quoiqu’il en soit, il répondit enfin, d’une voix légèrement hésitante :


| Tristan | - Merci du conseil. Mais cette nuit, j’ai préféré m’en éloigner.

Puis, il ajouta sans trop savoir pourquoi :

| Tristan | - J’ai le sommeil très léger ici. Et toi ?

Ce n’était pas une très belle entrée en matière. Mais les rapports humains, que c’était dur pour le brun aux yeux clairs...
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MessageSujet: Re: Perdus cette nuit - PV *   Perdus cette nuit - PV * Icon_minitimeDim 16 Déc - 1:07

    « Merci du conseil. Mais cette nuit, j’ai préféré m’en éloigner. »

    Autumn esquissa un sourire, toujours aussi tremblante. Elle regardait le jeune Serdaigle avec une attention hors norme, ne pensant plus à rien. Dans son esprit, c’était le vide total, un trou noir qui l’aspirait un peu plus chaque seconde. Et ces secondes paraissaient des heures et des heures. Cendrillon ne pouvait rien faire, à part sourire. Rien faire faire à part faire face, comme d’habitude. Ses iris bleus se posèrent tout à coup sur le sol douteux, presque poussiéreux. Ce carrelage glissant et salit qui la dégoûtait. Elle ne trouvait rien à lui dire, car au fond, elle avait eut tord de s’emporter de la sorte. Car elle aussi n’avait rien à faire ici, et elle en était consciente. Mais son côté impulsive avait reprit le dessus, cette partie qu’elle avait essayé de cacher. Silence. Il s’éloignait de sa salle commune ? Alors comme ça, il ressentait peut être ce qu’Autumn ressentait ? Ce vide incessant, cette impression de routine, de n’être rien, de ne servir à rien et d’être de trop parmis des gens qu’on n’espère ne jamais connaître. Ce qu’elle éprouvait à l’égard de la majorité des élèves était de l’indifférence total, mais la jeune Perkins ne pouvait s’empêcher de se dire qu’elle était fautive. Qu’ils n’y étaient pour rien, et que c’était elle seule qui avait fait qu’elle ne pouvait pas les voir en peinture. Mais elle avait beau se répéter ça des milliers de fois, le fait restait là ; elle ne s’habituait toujours pas à leurs visages. Merde. La voilà qui repense à tout ce qu’elle venait de fuir. La voilà qui est encore en train de se torturer l’esprit pour des gens qui n’ont aucune importance. La Septième Année jeta un bref coup d’œil à ses jambes pleines de marques. Elle tira doucement sa chemise sur celle-ci, mais n’arriva qu’à cacher le haut de ses cuisses. Dommage. Parce qu’au fond, ce qu’elle espérait cacher s’était…la réalité.

    « Je suis dans le même cas… »

    Pas un mot de plus, Cendrillon en avait déjà trop dit. Elle n’osait plus rien faire, sa main se forçant sous le poids de sa baguette. L’envie de tomber au sol lui effleura l’esprit, mais elle ne fit rien de tout ça. Elle resta immobile, toujours en frémissant de toute part, incapable de regarder autre chose que le sol. Avant même qu’il n’ait le temps de prendre en compte ce qu’elle venait de dire, le jeune Serdaigle prit la parole en disant qu’il avait le sommeil léger. Autumn fit un sourire sincère, éprouvant un peu de compassion. Elle était dans le même cas, depuis un certain temps. Elle se réveillait tous les soirs, presque à la même heure et en faisant le même cauchemar. Le hasard faisait bien les choses, quelques fois. Mais la jeune Perkins n’avait pas cherché à comprendre ce qui se passait dans sa tête, c’était trop compliqué pour qu’elle ne comprenne, de toute manière. Un, deux, trois. Autumn en oubliait presque son interlocuteur. A tel point qu’elle lui avait tourner le dos, faisant les cents pas dans le couloir si étroit qu’il en était surprenant. Elle tenta, à quelques reprises, de s’accouder au mur. Mais en vain ; elle ne tenait plus en place. C’est comme ci elle venait de prendre une dose énorme de caféine et qu’elle était de nature surexcitée : le bon mélange, quoi. Mais ça n’était rien de tout ça, elle se remettait seulement de ses émotions. « Cendrillon perdue dans ses pensées, reviendra bientôt dans la réalité. Le prince charmant s’est envolé pour dire adieu au conte de fées ». Si vous saviez à quel point ces paroles lui correspondait. Si vos saviez ce qui trottait dans sa tête depuis un moment, vous comprendriez pourquoi elle était ainsi. Car ce n’était que le commencement.

    « Je compatis. Depuis un moment, je trouve plus le sommeil. Et dès que je l’ai, je… »

    Voilà qu’elle se confie à un parfait inconnu. Le monde tourne à l’envers, mais à ce point là ? Non, sûrement pas. Autumn leva légèrement la tête, nichant ses doux iris bleus dans ceux du jeune O’Bryan. Pas de sourire, juste cette envie de s’enfuir en courant.

    « Oublies. T’es en Quatrième Année, c’est ça ? On m’a parlé de toi pas plus tard qu’il y a deux jours. Alors comme ça, t’es passionné par la musique ? »

    Smile.
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