REMEMBER *

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YUKI APRIL HARADA

« Je ne suis plus qu'un souvenirs, oubliée au fond de votre mémoire. On parle de moi au passé, mais je ne suis pas encore morte. On ne se débarasse pas de moi aussi facilement, ou du moins, je ne pensais pas mon instinct de survis aussi fort. Bien sûr que je rêve du jour ou tout rentrera dans l'ordre, ou je pourrais de nouveau m'endormir aux côté de Dakota. Au jour ou je pourrais de nouveau serrer mes enfants dans mes bras. Mais en attendant, il n'y a qu'une personne dans mon esprit. Chloé. Qu'est ce qu'elle est devenue ? Et est ce que je la retrouverais un jour ? Je pense que oui, car d'après la prophétie, nous devons terminée cette histoire, comme nous l'avons commencé, c'est à dire ensemble. Et puis comme le choipeaux, à pu me le dire le jour de ma répartition. On n'échappe pas a son detin... It's not over. »

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ONCE UPON A TIME

L’histoire de Yuki débute le vingt sept mars 1965. Alors que la cadette des trois sœurs Harada ouvrait pour la première fois ses yeux au monde, sa mère, elle se rendormait, alors que ses deux sœurs aînées, elles, collaient leur visage aux vitres qui protégeaient le nouveau né. Son père n’était pas la, d’ailleurs, ce n’était pas très étonnant, car on ne peut pas vraiment dire que c’était une personne aimante. Mais ça, Yuki l’ignore encore, et elle ne l’apprendra que bien plus tard vers ses dix huit ans, elle se fera enfin une raison, et nous en sommes encore bien loin. Quoi qu’il en soit le séjour a l’hôpital dura une petite semaine avant que Yuki ne gagne le foyer familial en compagnie de ses deux sœurs et de sa mère. Toujours aucunes nouvelles de son père, elle n’en n’aurait d’ailleurs jamais. Silence. Yuki n’était pas un bébé capricieux, et plutôt un « amour de bébé » comme le disait toujours Riku. Elle pouvait très bien jouer toute seule, et n’avait pas besoin d’avoir toujours l’attention sur elle. Et lorsqu’elle pleurait, c’était que c’était nécessaire, comme pour annoncer qu’elle a faim, qu’elle a mal, ou qu’il faut la changer. Les premières années de la cadette des trois sœurs Harada se passèrent dans le calme et la bonne humeur. Lorsqu’elle n’était que bébé, celle-ci restait souvent en compagnie de Riku, qui déjà à cette époque a avait le nez plongé dans les bouquins, et lisait donc souvent des histoires à Yuki. La plus jeune des Harada fut toujours très chouchoutée par ses deux grandes sœurs qui la surnommait affectueusement « Ma neige ». A cette époque, Yuki était heureuse, malheureusement pour elle n’aura jamais aucun souvenirs de cette période, simplement pour la bonne raison, qu’elle était bien trop jeune.

Yuki développa très vite une sensibilité hors du commun, qu’on ne lui connaît malheureusement plus aujourd’hui. En effet alors qu’elle était âgée de quatre, la famille fut touchée par un petit malheur qui n’était autre que la mort de Pika, le hamster de Kaori. Une petite boule de poil, qui avait toujours effrayer la cadette des Harada. En effet elle se souvenait encore, comme elle allait se cacher sous sa couette les fesses en l’air, la tête dans ses bras, tremblant de tous ses membres, à chaque fois qu’il la frôlait. Mais simplement parce que Kaori était triste, la cadette des Harada le devint également. C’est comme si elle absorbait les malheurs, les détresses, les peines des gens qu’elle aimait, pour les rendre plus heureux, même si elle, avait de la peine. Ce n’est pas important pour elle. Les relations qu’avaient les trois sœurs Harada entre elles, étaient très étroites, et très fusionnelles. En effet, d’habitude, il y a toujours des disputes, la petite qui énerve les deux grandes. Le besoin d’avoir de l’espace, et de ne pas devoir toujours tout partager. Mais ce n’est pas le cas chez les Harada, qui sont très solidaire, et qui s’aime énormément. Bref. Ce jour la, Kaori et Riku étaient restées a la maison a cause d’un surplus de devoir pour l’école, et c’est en les narguant, que Yuki avait fermer la porte de la maison. Le sourire aux lèvres, un rire avaient été partagé entre les trois sœurs, puis Yuki était partit en compagnie de sa mère. Aujourd’hui, elles allaient faire du shopping. Yuki en était une adepte, malgré son jeune âge, c’est quelque chose de primordial pour elle, et en même temps cela lui permettait de passer des moments de complicité avec sa mère. Toute fois lorsqu’elle sortit de l’immeuble dans lequel elle résidait avec toute sa petite famille, elle fit la promesse a sa mère d’acheter quelque chose a Kaori et Riku, pour les récompenser de travailler si dur a l’école. Silence. S’engageant dans une allée, puis une autre, les deux Harada, mère et fille, arrivèrent très vite dans le centre commercial préférée de Yuki, car oui, celle-ci avait déjà un classement très élaborée ou elle pouvait trouvée les meilleures affaires, ou alors des accessoires pour ses cheveux. « Des trucs de filles » comme sa mère qualifiait cela.

Alors qu’elle sortait d’un magasin, ou elle avait acheté de petites bottines noires à Yuki, et un haut chacun pour Kaori et Riku, Yuki eu la soudaine envie d’aller se dégourdir les jambes au parc. Elles avaient déjà fait pas mal d’achats, et Yuki avait assez de nouvelles affaire pour se faire aux moins trois ensembles ce qui n’était pas négligeable. Sa mère ne pouvant rien lui refusée, elles partirent donc au parc, qui se situait juste a côté du parc ou elles se trouvaient quelques minutes auparavant. Elles n’eu a marcher que quelques mètres, pour y accéder. Alors que Kaede se posait sur un banc, sortant un magazine, pour avoir un peu de lecture, Yuki, elle, courait jusque la balançoire. Une heure. Deux heures. Puis la jeune Harada en eu marre, elle avait envie de rentrer a la maison, de voir comment s’en sortait ses sœurs, elle ne les avaient pas vus de tout l’après midi, et elle lui manquait. C’est donc dans l’idée d’aller rejoindra sa mère, et de lui demander de rentrer, que Yuki descendit de la balançoire et commença à marcher. Mais quelqu’un n’était pas cet avis, en effet, un homme imposant s’était placé devant elle, l’empêchant de passer. Agacer, la petite teigne, révéla toute l’arrogance qu’elle pouvait déjà avoir en elle. Yuki était une personne adorable avec ses sœurs et sa mère, mais voila le problème, elle n’est adorable qu’avec celles-ci.

« Pardon. Vous m'empêchez de passer. »
« Ca te dirait pas d'aller manger une glace ? »
« Non laisse moi passer. »

La réponse de la nippone ne plu apparement pas a l'homme auquel elle faisait face. En effet celui ci l'attrapa par le bassin, faisant basculer son corps, qu'il posa sur l'une de ses deux épaules. La panique s'empara alors de Yuki, qui se mit a crier de toutes ses forces, a pleurer, a mordre, a taper. Tentant de sauver sa vie. Ses longs cheveux bruns lui cachant le bisage, se mêlant a ses larmes, elle réussit tout de même a alerter les passants, alors que celui ci était en train de traverser la rue. Sentant qu'il était repérer, celui ci lacha d'un coup le corps de Yuki, qui vint s'écraser comme une masse sur le sol. Aie. Des égratignures partout, mais elle ne le sentit même pas. Elle avait bien trop peur. A présent, une foule s'était formée autour de la route, certaines personnes appelait au secours. Yuki, réussit tout de même a se frayer un passage jusqu'au devant, et c'est la qu'elle vit le corps de sa mère gisant dans son sang.

« MAMAAAAN »

Yuki courut alors jusqu'au corps de sa mère, attrapant la tête de celle ci avec ses petites mains. Elle retira la, les mèches de cheveux qui cachait le si beau visage de sa mère. Pleurant de toute ses forces, elle savait au fond d'elle que c'était terminer. Kaede était si froide, si raide, si éteinte. Elle resta dans les bras de Yuki durant dix bonnes minutes, avant des policiers arrivent sur place, et qu'il la sépare de force du corps de sa mère. S'en était finit. Kaede partait rejoindre les anges, alors que Yuki, elle, était emmener au poste de police, ou elle du de nouveau tout raconter. Elle se sentait si responsable. Si seulement elle n'avait pas voulue aller au parc, rien de tout cela ne se serait passer, et en ce moment, elle serait avec sa mère, toujours en vie, et ses deux soeurs, en train de faire un défilé pour montrer ses nouvelles affaires. Mais non. C'était finit. Le bonheur s'en était allée, laissant Yuki sur la touche. Elle devait partir dans un orphelinat avec ses soeurs, puisqu'elle avait expliquer aux policiers qu'elle n'avait jamais connue son père.

Une quinzaine de policiers l'accompagnèrent jusqu'a l'endroit où elle avait résider depuis le début de sa petite vie. DRING. DRING. C'est Riku qui vint ouvrir la porte, et qu'il manqua de tomber dans les vappes, lorsqu'elle vit sur le palier, Yuki, avec du sang partout, accompagnée d'une troupe de policiers. La plus jeune des Harada, ne savait pas vraiment comment, expliquer ce qu'il s'était passer cet après midi. Elle avait d'ailleurs supplier les policiers avant de ne se contenter de dire a ses soeurs que s'était un simple accident de voiture, ne voulant pas exposer sa culpabilité aux yeux de ses deux soeurs aînées. Devant le regard interrogateur de Riku, et Kaori qui venait a présent, affolée de voir Yuki avec du sang partout. Celle ci se mit a pleurer, arrivant a peine a articuler.

« Ma... Ma... Maman est morte. »

Riku tomba dans les pommes, et Kaori se mit a pleurer serrant Yuki dans ses bras. Les policiers portèrent Riku, et emmenèrent les trois soeurs Harada a l'orphelinat le plus proche. Tout le monde les regardaient bizarrement, Kaori complètement en larmes, Yuki pleine de sang, qui ne réalisait toujours pas qu'elle ne reverrait plus jamais sa mère, et Riku qui elle était évanouit, porter par un policier. L'orphelinat, les accepta, et l'enfer commenca pour les trois soeurs. A son reveil Riku, cru que c'était un cauchemar, mais Kaori lui assura que c'était vrai, la consolant par la même occasion. Yuki, quand a elle restait dans son coin, elle n'arrivait pas a croire elle même ce qui s'était passer. De plus son secret était lourd a porter, mais elle s'était fait la promesse de ne pas le dire a ses soeurs, sinon, elle avait la peur d'être rejeter par celles ci. Qu'elles lui disent que c'est de sa faute, ce qu'elle croyait déjà a 100%. Les premiers jours a l'orphelinat furent très dur, Riku s'était plongée dans les livres, ayant fait la connaissance d'un certaine Daisuke, qu'elle voulait a chaque fois battre. Kaori, elle, jouait le rôle de la mère, étant la plus âgée. Quand a Yuki, elle s'était beaucoup renfermer, et refusait de parler a quelqu'un dans l'orphelinat, rejetant tout le monde, elle passait son temps a pleurer assise sur son lit. Son innocence s'échappant de son corps petit à petit. Elle se contentait de faire ses devoirs, de manger, puis s'endormait. Comme si elle aurait voulue plongée pour de bon dans ce sommeil que l'on dit éternel. Silence. Le côté obscur de la jeune Harada se developpait a chaque altercation qu'elle avait avec quelqu'un de l'orphelinat. Ne supportant plus qu'on soit gentil avec elle, simplement parce qu'elle avait vue sa mère mourir. Elle n'en n'avait que faire de la pitié des autres. Silence.

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Les années passée a l’orphelinat, furent tout simplement horrible pour Yuki. Elle n’arrivait vraiment pas a se faire a la mort de sa mère, et refusait d’en parler avec qui que ce soit, même avec ses sœurs. De qui elle s’éloignait doucement de par son comportement distant. Elle se sentait invisible. Complètement exclue du monde qui l’entourait et dans lequel elle étouffe a petit feu, sans que personne ne voit ses appels a l’aide. Voila le quotidien de Yuki. Silence. Lorsqu’elle fut âgée de six ans, c'est-à-dire, deux ans après que les trois Harada est gagnée l’orphelinat, la plus cadette se battue violement avec une autre petite fille de l’orphelinat, ses yeux d’ordinaire gris devinrent d’un noir de jais, et des expressions qu’on ne lui connaissait pas parcourait alors doucement son visage. L’innocente, et sensible Yuki, disparaissait, laissant place a une noirceur infinie, a qui elle ne pouvait pas encore donnée de nom. Quoi qu’il en soit, elle fut obligée de se rendre chez l’assistante sociale qui suivait les enfants qui vivaient dans l’orphelinat en attendant d’être avec un peu d’espoir un jour adopté. L’entretien dura des heures, puis elle du allée la revoir durant des jours et des jours, mais jamais un seul son ne sortit de la gorge de Yuki. Elle se contentait de gardée le silence, jusqu'à ce que l’assistante sociale, qu’elle fixait avec fermeté en ait marre, et qu’elle la laisse sortir. Silence. A cette période la de sa vie, Yuki ne parlait a plus personne, elle s’était complètement isolée. Même ses sœurs commencaient a serieusement s’inquiété pour elle, mais rien ne se fit, rien ne fut dit. Et cette petite passe, se prolongea sur des années entières. Seulement après quelques mois de silence complet, Yuki adressa enfin de nouveau la parole a Kaori et Riku, avec qui elle retrouva en une fraction de seconde a peine, la complicité d’autrefois. Dans ce moment de déprime, elle en avait ratée des choses, comme par exemple le premier amour de sa sœur Riku. Celui-ci avait été adopté, et était partit dans un autre pays, mais Yuki n’avait pas vraiment écoutée. Alors sa sœur avait été amoureuse, et elle, bloquée dans son monde, n’avait pu assister a cela. Silence. Tout n’est que fatalité.

Après cet épisode de silence absolu, la vie de Yuki reprit son cours, si on veut. Elle continua de prendre goût a la lecture et au fait d’apprendre grâce a sa sœur Riku, mais suivait également les traces de sa sœur Kaori, dans sa façon d’agir. Elle aurait tellement voulue être comme celle-ci. Silence. Elle aimait beaucoup Riku également, mais Kaori, c’est la plus grande des trois, et le model de Yuki. Elle voulait tout faire comme elle, comme elle le faisait lorsqu’elle avait encore son insousciance, avant la mort de leur mère. Silence. Seulement, son monde s’écroula une nouvelle fois, lorsque Kaori disparue de l’orphelinat, sans donner d’explication, sans aucune nouvelle. Et l’inquiétude qui ronge Yuki, âgée de sept ans a cette époque. Pourquoi fallait il qu’une nouvelle personne qu’elle aimait s’en aille ? Etait ce elle qui provoquait tous ces départs ? Il fallait croire que oui. Elle n’était que source de malheur. Que source d’infortune et de malchance. Elle pensait qu’elle aurait toujours ses sœurs auprès d’elle, mais elle déchanta bien vite. L'année suivante, Riku vint trouver Yuki qui était sur son lit, l'air serieux. Qu'est ce qui se passe encore ? Ca ne présageait rien de bon tout ca. Yuki resta pourtant muette, ne cherchant pas a comprendre quoi que ce soit, elle savait, qu'elle ne tarderait pas a savoir. Riku respira profondément encore une ou deux fois avant de tendre une lettre a Yuki. C'éait une lettre de leur père. Et pourquoi est ce qu'elle n'en n'avait pas elle ? C'était incompréhensible. Toute fois, elle ravala son chagrin, et lut en entier la lettre, reportant son regard gris, sur le vert de sa soeur. Malgré ses dix ans, et les onze de Riku, les deux soeurs étaient très matures, elles eurent donc une longue discussion, et Yuki était pour que Riku y aille. Cela aurait été pour elle, elle n'aurait pas hésiter une seule seconde a rejoindre leur père qu'elle n'a jamais connu. Il fallait que Riku parte, pour elle, mais aussi pour Yuki. Elles allaient se revoir un jour de toute façon, même si Yuki n'était pas une sorcière, Riku lui fit une promesse.

« Yuki... Je te promet que si tu n'es pas comme moi, que tu ne me rejoins pas en Angleterre, je reviendrais... Et je te délivrerais d'ici, dès que Kaori sera majeure. Je la retrouverais, on viendra te chercher. C'est une promesse. »
« Je t'aime Riku. »

Le départ de Riku fut très mal encaissé par Yuki, même si elle remerciait sa sœur de l’avoir prévenue. Seulement, elle, elle était heureuse a présent, dans ce monde qu’était la magie, mais Yuki, elle, restait enchaînée à cet orphelinat, qui ne voulait pas la laisser libre. Et si elle pouvait pour une fois voler de ses propres ailes et montrer au monde entier, qu’elle n’était pas cette malchance qu’on pointait du doigt. Qu’elle n’était pas celle qu’ils pensaient tous connaître, mais une personne totalement différente. La Yuki d’avant. Qui rigolait et pleurait pour un rien. Qui ressentait toutes les émotions qui se dégageaient des personnes près d’elle, mais surtout qui les ressentait également a son tour. Non. Ce temps là, était a présent bien loin, et la jeune femme avait du mal à se faire à sa nouvelle personnalité, sachant qu’elle se sentait opprimée par une autre présence, qu’elle ne savait pas encore, à cette époque, définir. Silence. L’année fut bien longue, et Yuki reprit son système de ne plus dire un mot. Et l’année s’écoula, comme si c’était toute une vie entière qui s’écoulait. Les secondes étaient des heures pour la future bleue et argent. Silence. Puis vint le jour de son anniversaire, comme si quelqu’un dans l’orphelinat allait s’en soucier. Il faut dire ce qui est, elle n’a pas d’amis. Et pourtant ce n’est pas faute, que tout le monde dans l’orphelinat veuille être amis avec celle-ci. Oui, mais non. Elle, elle ne veut pas d’amis. Elle ne veut plus s’accrocher a d’autres personnes qui finiront par la laisser tomber, comme ses sœurs. Qui finiront par mourir par sa faute, comme sa sœur. Qui ne voudrons jamais apprendre à la connaître plus que ça, comme son père. Durant cette dernière année, Yuki s’assombrit considérablement, jusqu'à ne plus laisser voir ses émotions. Elle restait indifférente a tout ce qu’on pouvait bien lui dire, sauf sa colère, qui ne cesse de grandir, et de devenir de plus en contrôlable. Tellement que les yeux de la jeune Harada prennent une toute autre teinte, que son expression n’est plus la même, et qu’elle n’évoque que dégoût, et haine. Puis vint enfin, le jour ou elle eu sa réponse. Elle aussi était une sorcière. Alors qu’elle se trouvait allongée dans son lit, comme la plupart du temps, la femme qui dirigeait l’orphelinat, et qui avait peur des sautes d’humeur de la jeune Harada, vint la chercher, car un homme demandait à la voir. Un petit espoir s’éveilla alors doucement en la petite Harada, mais fut très vite éteint, lorsqu’elle vu les traits d’un hispanique, qui ne lui ressemblait pas du tout. Non. Ça ne pouvait pas être son père. Silence. S’asseyant sur la chaise en face de celle ou celui-ci s’était installée, elle attendit en silence que celui-ci prenne la parole.

« C’est bien toi Yuki ? Oui, ça ne peut être que toi, tu ressembles comme deux gouttes à ton père… »
« Vous connaissez mon père ? »
« Oui. J’ai travaillez avec lui pendant des années, en fait je me présente, je m’appelle Dino Esperanza. Je suis venu te chercher Yuki, tu vas enfin avoir une famille… »

Un sourire bienveillant traversa la face de l’hispanique, et Yuki ne pu s’empêcher de l’imiter. Elle sentait son cœur battre à tout rompre dans sa cage thoracique. Alors elle allait enfin connaître son père ? Et encore mieux, elle allait revoir ses sœurs, et toutes trois, ne formerait plus qu’un a nouveau. Silence. Elle avait de la peine à croire ce qu’elle entendait, mais ça ne pouvait être que cela dans le cœur de la jeune Harada. Se levant d’un bond de sa chaise, tendant les bras, et serrant les poings, elle reprit alors très vite la parole. Avide d’avoir plus de détail, sur cette famille qui l’attendait.

« C’est vrai ? On va vivre avec mon père mes sœur et moi ? C’est fantastique… »
« Euh… Non Yuki, tu ne vas pas retrouvée ton père, et tes sœurs tu ne les reverras qu’a l’école… Non, en parlant de famille je pensais a la mienne. Avec ma femme nous serions heureux d’avoir une Harada parmi nous, et pas n’importe laquelle d’ailleurs. On a un fils également, ce sera ton petit frère… »

Ce fut comme un choc pour la jeune Harada. Elle n’y comprenait plus rien, elle allait appartenir à une autre famille, tout en continuant de s’appeler Harada. Et puis pourquoi est ce qu’elle ne reverrait pas son père ? Silence. Toute fois, elle accepta le fait de partir avec Dino, car même si au départ, elle n’avait aucune confiance en lui, ce qui changera grandement dans le futur, elle y voyait un moyen de s’échapper de cette prison qu’était l’orphelinat pour la cadette des trois sœurs. Le soir même, elle avait fait ses valises, et étaient partit avec Dino, direction l’Angleterre. Silence. Elle fit alors la connaissance de Bella, et de ce petit bout de chou qu’était Dante. Dès la première seconde où elle croisa le regard noir de jais de celui-ci, âgée à l’époque de neuf ans, elle sentit qu’il y avait quelque chose. Que c’était son petit frère. Les mois passèrent doucement, et Yuki reçue au domicile des Esperenza sa lettre pour Poudlard. Folle de joie, elle avait sautée dans toute la maison. Elle avait la confirmation qu’elle était différente, et que peut être à partir de son entrée la bas, elle aurait un avenir. Entrant en trombe dans la cuisine, elle secoua avec douceur et joie la lettre sous le nez de Dino et Bella, puis la lut a haute voix. Elle était si heureuse, comme sûrement elle ne l’avait jamais été. C’était comme un nouveau départ pour la jeune femme, même si elle n’était pas prête de laisser les Esperenza derrière elle. Car en l’espace de quelques mois a peine, elle s’était énormément attachée à cette famille qui l’aimait réellement comme une fille et une sœur. Silence. Yuki avait d’ailleurs pu en apprendre un peu plus sur son père par le biais de Dino. C’était un très grand sorcier, avec des principes novateurs sur la magie noire qui aurait pu faire basculer le monde s’il n’avait pas été assassiné. Silence. Yuki avait également voulue en savoir plus, pourquoi elle n’était pas n’importe quelle Harada, et elle apprit très vite qu’il y avait une prophétie sur elle, mais personne ne voulut lui en dire plus. Et c’est dans le songe, que la jeune femme s’approcha de Dante, qui pleurait le départ de celle-ci.

Ce petit bout, que Yuki aimait plus que tout, avait une force que Yuki n’avait plus, ils laissaient ses sentiments parlés, et c’est cela qui touchait tellement la future bleue et argent. Elle le serra doucement dans ses bras, puis, déposant un baiser sur son front, lui rappela que dans deux ans, il serait la bas également, et qu’ils se reverraient pendant les vacances de toute façon. Qu’il n’y avait aucune crainte à avoir, et qu’elle lui écrirait tous les jours s’il le souhaitait. Sourire. Ebouriffant les cheveux de Dante, elle monta ensuite dans sa chambre préparer ses affaires, il ne lui restait plus beaucoup de temps avant son départ. Les derniers jours qu’elle passa avec la famille Esperenza ce fut sur le Chemin de Traverse, ou elle acheta ses fourniture, et qu’elle toucha pour la première fois sa baguette. Puissante. Très puissante, d’après celui qui lui avait vendu. Peut être même un peu trop, le temps nous le ferait découvrir. Silence. Puis vint le jour du départ, un dernier au revoir sur le quai, et la jeune femme s’engouffrait dans le train. Un long voyage pour enfin arrivée a Poudlard. La traversée du lac en barque, puis la cérémonie de répartition. Tout était tellement nouveau pour la jeune sorcière, qu’elle ne savait plus ou donner de la tête. Lorsqu’elle s’avança dans la grande salle en compagnie des autres premières années, elle posait son regard gris, emplit de curiosité, sur tout ce qu’elle pouvait voir. Puis vint son tour d’être appelée pour s’asseoir sur ce petit tabouret et enfiler le choipeaux, comme on l’avait alors nommé quelques minutes plus tôt.

« HARADA Yuki. »

S’avançant d’un pas anormalement assurée, la jeune femme montrait déjà son côté à se faire suivre par les autres. Silence. S’asseyant avec douceur sur le tabouret, elle laissa alors le professeur lui mettre le choipeaux sur la tête. Puis, pour une raison incertaine, le choipeaux, mit beaucoup de temps à se décider. Pendant ce temps là, Yuki entendait les chuchotements dans les rangées « Oui, c’est elle la dernière des Harada, on dit qu’il y a une prophétie… ». Silence. L’incertitude, et Yuki se mit alors souhaitée profondément ne pas finir comme son père. On ne lui avait jamais réellement parlé de lui, ni d’elle, ni de cette prophétie, qu’elle en avait déjà peur quelque part. Silence. Après plusieurs minutes de silence, le choipeaux reprit.

« Tu apprendras qu’on ne peut échapper à son destin… SERDAIGLE »

Décidement quelque chose ne tournait pas rond chez Yuki, et l’avenir apparement serait inévitable. Mais faute d’avoir plus d’éléments, elle chassa bien vite ses pensées de sa tête, et fêta comme il le fallait les retrouvailles avec ses deux sœurs aînées, Kaori et Riku. Seule Kaori n’était pas a Serdaigle, mais a Serpentard. Silence. Le doute persiste dans la tête de Yuki, mais elle n’arrive pas à approfondir… Quoi qu’il en soit, je clos ici, l’histoire de sa vie, pour vous faire découvrir, l’une des plus belle chose qui ait pu lui arriver dans sa vie. Son amitié avec Chloé. Une amitié que vous n’aurez jamais la chance de vivre, tellement c’est un cadeau du ciel qu’elle soit accordée a deux malchanceuse telles que les deux Serdaigle. Silence. To be continued.

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LA PROMESSE D'UNE AMITIE ETERNELLE

On dit toujours que lorsqu’on vient au monde, une autre personne, n’ importe où sur cette veste Terre, perd la vie. On dit aussi qu’a chaque nouveau né, il y a un nouvelle étoile qui rejoins les cieux, pour veiller sur celui-ci durant sa vie. Je n’y ai jamais crue, jamais jusqu'à ce que je rentre en troisième année, et que je fasse alors l’une des plus belles rencontres de ma vie. Quand je l’ai vue, j’ai su que c’était elle, cette étoile qui devait veiller sur moi, me protégeant lorsqu’il le faut. Au fil de notre amitié, j’ai compris qu’elle était bien plus, et que moi j’étais également importante pour elle. Je ne pensais pas qu’une amitié telle que celle-ci me serait donnée d’être vécue, mais je peux vous dire que je remercie le ciel, de m’avoir accorder cette chance. Et mon étoile brille de toute sa clarté rendant les astres ternes, et la lune jalouse, d’une telle beauté. Mon ange a un nom. Chloé.

Après sa répartition Yuki avait très vite été intégrée dans la maison qu’était Serdaigle, ainsi que dans celle de Serpentard, bien qu’elle n’y soit pas allée. En effet, beaucoup de filles de cette maison n’attendaient que les faveurs de la première année, ce qui la fit bien rire intérieurement. Elle qui n’était rien jusqu'à sa répartition, qu’une pauvre orpheline, elle était a présent l’une des personnes les plus importantes que comptaient parmi eux les élèves. Silence. Cependant, Yuki garda ce même air distant avec tout le monde, discutant avec ses sœurs lorsqu’elles se croisaient, la jeune femme n’était la que pour apprendre. Encore et encore. Rattraper tout ce qu’elle avait pu loupée, en étant piégé au Japon. Lors de sa première année, elle se lia pourtant d’amitié avec Matthew, avec qui elle eu un flirt mais rien de concret, l’amour, elle ne commençait pas, elle était déjà bien trop obsédée par son père. Par cette prophétie. Par son destin. Elle voulait absolument savoir ce que l’avenir lui réservait, mais rien ne la mettait sur la piste. Elle continua encore et encore. Matthew la présenta a certain de ses camarades, mais la jeune Harada, ne réussit pas a s’intégrer dans ce groupe, préférant la solitude. Elle n’avait pas besoin d’amitié dans sa vie, elle n’en n’avait jamais eu et avait très bien survécue. Bien sur, être seule ne l’empêchait pas d’explorer Poudlard la nuit, et puis toute seule, elle se faisait bien moins remarquée. Silence. Sa deuxième année, fut synonyme de la première. Rien de spécial a raconter, si ce n’est ce première année a Serpentard qui ne cessait de l’observer ce qui mettait la jeune femme plus que mal a l’aise, enfin, avec le temps, elle ne le remarquait même plus… Lors de sa deuxième année, elle se ligua d’amitié avec une première personne, Key McLoyd. D’un an sa cadette, elle trouva plusieurs points communs avec celle-ci, mais encore une fois, ce n’était pas l’amitié qu’elle espérait depuis toujours. Celle qui la frapperait en plein cœur, comme en quelque sorte l’âme sœur au niveau de l’amitié. Vous voyez ce que je veux dire ? Le grand truc, ou tout devient flou sauf la silhouette de cette personne. Ou sans échangée un seul mot, vous savez que c’est cette personne. Silence.

Passant avec brillot en troisième année, la jeune Serdaigle fit la rencontre qu’elle attendait tant, dans le train, alors qu’elle était en route pour Poudlard, pour sa troisième année. Silence. Elle avait essayer de retrouvée Dante qui entrait en première année, mais celle-ci l’avait trouvée en compagnie de garçons dans un wagon, et il avait l’air de se faire des amis. Elle lui dit alors simplement bonjour, avant de continuer sa route et de retourner dans son wagon, ou elle était comme toujours seule. Et c’est la qu’elle eu ce flash. Son ange. Sa clarté. Une jeune fille se tenait assise dans le wagon occupé par Yuki à l’origine. Intriguée, la cadette des trois Harada s’avança doucement avec prudence, puis posa ses fesses sur la banquette qui faisait face a celle de la jeune fille, l’observant un instant, leurs regards se croisèrent et elles commencèrent a parler de tout et de rien, comme si elles se conaissaient depuis toujours. Silence. Le voyage devenait tout de suite moins long pour Harada. Celle-ci avait abandonnée son livre à côté d’elle, complètement absorbée par Chloé. Elles ne s’étaient pas vues l’année passée et c’était réellement dommage, mais comme le disait si bien Chloé, elle ferait tout pour rattraper le temps passer. Silence. Un sourire sur ses lèvres, elles en étaient venues à parler de leurs enfances, on ne sait pourquoi, et Yuki qui semblait s’être quelque peu ouverte, s’était refermée telle une huître.

« Dis Yuki… Tu crois au bonheur ? »
« Non. Je n’y ai jamais cru, je n’y croirais jamais. »
« Tiens prend le. C’est mon bracelet porte-bonheur, ou que tu sois il te portera chance et t’aidera à trouver ce que l’on appelle le bonheur. »

Le reste de voyage fut dans la bonne humeur, et il n’y eu plus jamais aucun blanc entre les deux amies. Le bracelet de Chloé, est toujours encore, au tour du poignet de Yuki aujourd’hui même a trente cinq ans. Silence. Lorsqu’elles commencèrent a être inséparable a Poudlard, tout le monde les admira, parce qu’elles étaient les meilleures amies du monde. Et elles n’acceptèrent jamais personne dans leur groupe ne voulant former qu’un duo. Cependant il leur arrivait d’avoir quand même quelques amitié a côté, comme par exemple Michael qui lui aussi était a Serdaigle et qui était un vrai tombeur. Yuki s’amusait d’ailleurs beaucoup a faire tourner en bourique les filles qui lui tournaient autour, en faisant croire a celle-ci, que le cœur du jeune homme ne battait que pour Chloé. Rires. Que de souvenirs. Silence. Yuki fit également la rencontre de Dakota, alors qu’elle était en cinquième année. Oui mais rien n’égalait son amitié avec Chloé. C’était une amitié que vous ne vivrez jamais dans votre vie, simplement parce que vous ne vous appelez pas Chloé, ni Yuki. C’est une relation qui n’a pas de définition tout simplement. Silence. C’est lors de sa cinquième année également, que Yuki initia Chloé aux bierreaubeurre. Que de souvenirs, celles-ci étaient partient dans le pari de celles qui en boirait le plus, a la chaine, et c’était Yuki qui avait gagnée, en allant jusqu'à seize, alors que Chloé s’érait stoppée a quatorze. Silence. Rires. Relevant son regard blanc, laissant prévoir qu’elle serait malade toute la nuit, vers son ange, Yuki se passa une main dans les cheveux, avant de reprendre, avec un peu de mal.

« Mon dieu... J’en avais jamais vu autant d’un coup. Je crois qu’on va réservé les toilettes pour cette nuit. »
« Tu m’étonnes…. Tu es vraiment une mauvaise influence pour une âme naïve telle que la mienne. »

Aux paroles de Chloé, Yuki ne pu s’empêcher d’exploser de rire. Si elle, elle était une mauvaise influence, alors Chloé, elle était quoi ? Puis c’était le dernier souvenirs du bonheur de son amitié avec Chloé. Car après cela tout bascula. Arriva la sixième année de Yuki, ou elle ne vint jamais au château, ne donnant aucune nouvelle. Elle mettait alors un terme a sa relation avec Dakota, mais également, elle mettait son amitié avec Chloé en suspend. Parce qu’elle devait s’éloignée, parce qu’elle commencait a comprendre, ce qu’était la prophétie. Silence. Elle n’était que source de tristesse, a cause de cette autre en elle. April. Qui ne cessait de lui donnée des autres, de prendre sa place, pour faire des atrocités. Silence. Comme lorsque durant cette année, elle était retournée au Japon. Qu’elle avait retrouvée celui qui avait tentée de l’enlever et qui avait tuée par conséquence. April. Une haine féroce. Regardant l’homme droit dans les yeux, avant de prononcer son arrêt de mort. Silence. Puis de nouveau Yuki, avec un cadavre a côté d’elle. Elle ne comprennait rien. Silence. Elle revint a Poudlard, redoublant sa sixième année, mais cette fois ci, c’était Chloé qui n’était plus là. Souffrance. Son étoile. Son ange, son oxygène, sa raison de vivre. Ou était elle ? Pas un mot, pas une lettre. Et April qui prenait de plus en plus de place, sans la présence rassurante de Chloé a ses côté. A Poudlard, on ne faisait que parler du duo de choc Chloé et Yuki, qui se conduisait de façon étrange. Et on n’avait pas finit d’en parler. Silence. La schizophrénie en commun. Silence.

Les années passèrent et Yuki, qui était âgée de vingt ans, lisait tranquillement la Gazette, alors qu’elle était au lit, en compagnie de Dakota, et de leurs fils James, tous deux en train de regarder la télévision. Puis soudain, son regard se figea, et son cœur cessa de battre. Chloé. Sa Chloé. Dont elle n’avait plus de nouvelles depuis tant d’années, elle était en vie. Un article sur elle. Scandalisée, la jeune Harada se leva d’un bond, ne répondant même pas questions de Dakota, et de son fils, elle se rendit immédiatement a Sainte Mangouste, ou elle eu un mal fou, pour se faire entendre, et que finalement, elle ait le droit de voir sa meilleure amie. Des retrouvailles riches en émotions. Chloé lui parla d’Ashley. Yuki lui parla d’April. Silence. Yuki se sentit horriblement mal pour sa meilleure amie, et fit la promesse de retrouvée celui-ci qui l’avait fait enfermée. Seulement, ce fut bien vite April qui prit sa place. Silence. De nouveau des années passèrent, jusqu'à ce que Yuki atteigne ses vingt cinq ans. Cinq ans de recherches, cinq ans d’attente, et elle l’avait enfin retrouvée, le journaliste qui avait fait cet article sur Chloé. April se leva doucement, disant a Dakota, qu’elle reviendrait au lever du jour, qu’elle devait régler quelques détails, rien d’imprécis, puis, elle partit en direction de l’endroit ou résidait le fameux journaliste. Silence. Entrant avec fracas chez celui-ci, elle le fit asseoir sur une chaise avec sa femme, les ligota, puis les obligea a regarder leurs deux enfants souffrir le martyrs sous le sortilège du doloris. Silence. Seulement April n’a pas de limite, et après les avoir fait tout mourir de douleur, elle continua a errer dans le coin, tuant tout ce qui avait une vie, un souffle. Silence. Puis elle se fit prendre. Un combat rude, un combat perdue. Direction Azkaban, ou le gardien lui fit lire, une semaine plus tard, un article qui lui était consacrée mais également, sur Chloé.

« Chloé Wilde, et Yuki Harada, le plus grand duo que Poudlard ait pu acceuillir. Ces deux sorcières redoutable, connaissent a présent un destin tragique. En effet, Chloé Wilde, toujours enfermer a Sainte Mangouste, est diagnostiquée comme étant folle. Quand a Yuki Harada, cette redoutable mangemort, qui était au sommet de sa puissance, a été vue pour la dernière fois, dans un petit village ecossais, tuant la famille du journaliste qui avait salit la « réputation » de son amie, cinq ans plus tôt. Comme quoi la vengeance est un plat qui se mange froid. On ne sait pas si cette dernière est encore en vie ou bien morte, mais pour moi, une sorcière d’une telle puissance, ne peut mourir comme cela du jour au lendemain. Non. Je pense plutôt qu’elle doit être a Azkaban… »

Yuki ne souhaita pas en lire plus, une haine énorme dans ses yeux, elle fusilla le gardien, qui arborait un sourire narquois en sa présence. Pour qui se prenait il, il ne savait décidement pas a qui il avait a faire. Silence. Ne supportant pas d’être enfermée ici, alors qu’elle savait que sa famille et Chloé avait besoin d’elle, elle décida de s’échapper. Seulement, elle ne remarqua qu’après trois ou quatre mois, que le gardien posté par le ministère de la magie ne restait pas la nuit, et que les détraqueurs, ne reperait pas sa présence, lorsqu’elle se transformait en écureuil qui était son animagus. Silence. Elle s’echappa alors ainsi d’Azkaban, tentant de reprendre contact avec ses proches, mais tant qu’elle n’aurait pas déjouée la prophétie qui la concernait elle, et Chloé, elle ne pourrait les approcher en toute sécurité, surtout lorsqu’on sait, comment le ministère lui court après. Ne pouvant rendre cette information publique, puisqu’ils avaient étouffés le fait qu’elle soit a Azkaban. Silence. Des retrouvailles tant attendue. Dit tu te souviens. La promesse d’une amitié éternelle.

Invité

Voila.

Fiche terminée, par contre j'ai modifiée, elle n'a donc pas perdue la mémoire, mais s'est cachée parce qu'elle s'est échappée d'Azkaban. J'ai fais en sorte de respecter l'intrigue comme vous l'avez écris, mais j'arrivais pas a la jouer, sans sa mémoire. J'espere que ca ne gêne pas, la façon dont je l'ai remanier. J'attend la validation. Je vous aime. (L)

C'est magnifique, j'adore. J'aime. Je ... Tant de choses.
Je valide =)

Méchante va ! Tu vas voir si Dakota apprend que tu as fais semblant... -_-"

» Yuki. remember.