Maxence Snowers | Innocent

I. Identitée Générale.

• Nom + Prénom :Snowers Maxence
  
• Age, Date de Naissance :12 ans, née le 7 juillet 1988
  
• Année à Poudlard :Deuxième année
  
• Etat Civil :Célibataire

II. Identitée Poussée.

• Adresse :Orphelinat de Londres
  
• Origine Géographique : Angleterre, Londres
  
• Niveau de Vie Social : Maxence possède une petite fortune dans le coffre de ses parents mais n’y puise que depuis deux ans : on peut donc dire qu’elle ne manque pas de ressources et pourrait avoir un niveau de vie relativement correct.
  
• Baguette Magique : La baguette de Maxence est en bois d’aubépine, mesure 28. 3 centimètres et contient un crin de licorne femelle. C’est une baguette nettement moins épaisse que la baguette, plutôt rigide et excellente pour les enchantements.
  
• Inventaire : Bavboules, 57 cartes de sorciers et sorcières connus, et un bracelet en argent serti de petites pierres rouges sans valeur qu’elle porte depuis sa naissance.
  
• Famille : Comme toute personne, Maxence possède, ou plutôt possédait une mère puisqu’elle ne l’a jamais connue ; elle sait seulement qu’elle se nomme Violett. Son père lui est également complètement inconnu et elle ignore jusqu’à son prénom. Elle doute d’avoir une autre famille encore en vie, sinon on la leur aurait confiée. Cependant, elle est sûre d’avoir une sœur quelque part et s’est promis de la retrouver un jour. Lorsqu’on lui demande comment elle peut en être si sûre, sa réponse est : « Parce que ces choses-là se sentent, je sais qu’elle est là … »

III. Physique.

[*] Description : Comme précisé ci-dessous, on prendrait plutôt Maxence pour un garçon, erreur due à son physique plutôt masculin et à son prénom convenant indifféremment aux deux genres, sûrement choisi intentionnellement par le directeur de l’Orphelinat. Pourtant, le mot qui conviendrait pour la décrire simplement serait sans aucun doute « mignonne », non pas belle, ni jolie car il n’en est rien. En effet, elle possède des traits très fins, s’accordant parfaitement avec sa taille plutôt élevée et sa corpulence qui laisserait penser qu’un coup de vent suffirait à la faire tomber. Ses yeux sont d’un vert profond, virant parfois au bleu-vert selon la luminosité sur lesquels tombent les jolies mèches blondes de sa courte chevelure rarement coiffée et plus souvent laissée telle quelle, c’est-à-dire dans le désordre le plus complet, contrastant avec son visage pâle d’ange-enfant. De Maxence émane une sorte de douceur et une innocence infantile qu’elle n’a pas encore perdue et qui fait tout son charme, tout comme le dynamisme qu’elle possède à chaque instant de la journée et les sourires creusant ses joues en d’adorables fossettes à n’importe quelle occasion.
La demoiselle a la particularité de marcher en une sorte de sautillement lorsque son impatience commence à se faire sentir et elle ne tient rarement plus d’une heure sur une chaise à écouter un professeur déballer un cours sur les Guerres des Gobelins s’étant produites il y a à peu près 500 ans sans se ronger frénétiquement les ongles qu’elle n’a quasiment plus ou en enroulant une mèche de cheveux, ce qui produit le plus souvent un résultat catastrophique pour ces derniers rendus encore plus emmêlés. En conclusion, elle possède le physique d’une enfant plus jeune qu’elle ne l’est réellement et qui attendri généralement les adultes, charme qu’elle sait utiliser. Il est impossible de ne pas la trouver adorable mais ses airs garçonnets mettent parfois mal à l’aise car on ne sait pas vraiment comment la considérer. Elle, en tout cas, se pense fille jusqu’au bout des ongles avec certes un petit plus qu’elles sont rares à avoir …

[*] Signes Particuliers : Maxence ne possède aucun signe particulier, cependant, le fait qu’elle semble plus ressembler à un garçon qu’à une fille (accentué par son prénom qui convient aux deux genres) est souvent mit dans cette catégorie. C’est pourtant quelque chose dont elle ne se préoccupe et qui, de toute manière, la rend bien plus mignonne.
[*] Style Vestimentaire : : Maxence n’a pas encore de style vestimentaire bien établi : il dépend de son humeur ou de son envie du jour. Elle ne portera jamais de jupes ni de robes et s’habille soit de tons très pastels, soit de couleurs vives, avec une préférence pour des vêtements plutôt près du corps et élégants. La mode n’est en aucun cas un critère de sélection, elle la trouve d’ailleurs affreuse et préférera se vêtir dans de petites boutiques pour Moldus en plein cœur de Londres. Les personnes les moins agréables la traiteraient volontiers de ringarde mais elle ne porte que ce qui lui va le mieux et ignore toutes les remarques que l’on pourrait lui faire.

IV. Caractère.

• Description : : Maxence est avant tout autre chose quelqu’un d’extrêmement optimiste : rien ne lui enlèvera l’idée qu’il y a toujours pire et qu’il-ne-faut-pas-désespérer ! Elle le répète chaque fois qu’un de ses amis est triste et c’est sans doute sa phrase favorite : elle est relativement douée pour remonter le moral aux autres et réussirait à faire sourire le cas le plus irrécupérable. Il est très rare de la voir pleurer ou de se plaindre car elle est de nature joyeuse et pleine d’entrain : essayez donc de la fatiguer, c’est impossible, elle tient toujours la forme, qu’il soit six heures du matin ou minuit. Il n’y a qu’elle pour parler durant dix minutes d’affilé, un grand sourire aux lèvres pour raconter une anecdote complètement inutile et inaudible tant elle rigole. l est donc bien difficile de la décourager à atteindre ses objectif puisqu’elle a un moral de béton et passe complètement à côté des remarques blessantes ou des insultes et possède même un bon réservoir de répliques acides à leur lancer, qu’elles existent ou non. La demoiselle est également très naïve et ne voit pas le mal : elle ne voit pas pourquoi des gens chercheraient à la nuire, elle ou d’autres : tout le monde est beau et gentil, n’est-ce pas ? À cause de cela, elle a déjà vécu bon nombre de désillusions mais n’a apparemment pas retenu la leçon, elle fait confiance à n’importe qui pour le regretter ensuite et se fourre toujours dans des situations impossibles dont on doit venir la tirer avec un soupir de résignation :
  
  | F r i e n d | Max, c’est la troisième fois ce mois-ci que tu te fais enfermer dans une salle de classe parce que tu traînes …
  
  Enfin, ce trait de caractère est sûrement normal, ce n’est encore qu’une enfant pas du tout prête à grandir et préférerait rester jeune toute sa vie. Sur ce point, on ne la changera certainement pas.
  Maxence a généralement le cœur sur la main et est plutôt serviable, sans se faire exploiter : il suffit de demander gentiment et d’être aimable, c’est une personne plutôt extravertie qui ne verra aucun problème à rendre service à quelqu’un, à discuter et à s’amuser avec, même si elle ne le connaît absolument pas. Inconsciente ? Peut-être un peu, mais après tout, ce sont les risques du métier, on ne va pas s’arrêter à cause de ça. Autre particularité, mademoiselle a une mémoire de poisson rouge, elle oublie dans la minute ce qu’on lui dit si ça lui déplait ou si ça ne l’intéresse pas et arrive fréquemment en retard en cours parce qu’elle a oublié de mettre son réveil. On peut parfois se demander comment la supporter, mais ses bons côtés arrange tout et son côté « pot de colle » la rend plutôt attachante, non ?
  
  
• Qualités : Optimiste, joyeuse, généreuse, courageuse, extravertie, souriante, intelligente, déterminée, attachante.
  
• Défauts : : Naïve, tête en l’air, désespérante, « pot de colle », distraite, n’a pas de mémoire, immature
  
• Facultés Spéciales : Aucune
  
• Réaction face aux Dangers : Maxence n’est pas quelqu’un que l’on effarouche facilement et il en faut généralement beaucoup pour lui faire perdre son sang-froid. Si elle se retrouvait face à une menace quelconque, elle ne prendrait peut-être pas beaucoup de temps pour réfléchir mais garderait dans tous les cas son calme et pourrait même se révéler on ne peut plus efficace. Il faut dire que même s’il ne lui arrive pas d’ennuis quotidiennement, la demoiselle a déjà su se tirer de situations assez inconfortables et le danger ne l’effraie pas : en effet, sans être vraiment casse-cou, elle possède un certain cran et n’hésiterait pas à prendre des risque pour ses amis.
  
• Peurs, Phobies : Maxence n’a pas vraiment de phobies, elle sait se maîtriser, mais être dans le noir ne fait partie des situations dans lesquelles elle aime se trouver : si ce cas se produit, elle s’assied par terre, ferme les yeux de toute ses forces sans oser allumer sa baguette et attend que la lumière se rallume d’elle-même ou que quelqu’un vienne la tirer de là. Par contre, elle a réellement peur de ne pas retrouver sa sœur ou que cette dernière la repousse, et aussi de se retrouver seule. En effet, même si elle est d’un naturel joyeux et ne manque pas de camarades, sa crainte est qu’ils la laissent tomber aussi peut-on la trouver parfois un peu « collante », puisqu’une fois qu’elle s’entend bien avec quelqu’un, il n’est plus question de le lâcher !

V. Biographie.

• Histoire Juvénile : Maxence ne sait pas exactement à quelle date elle est née puisqu’elle fut amenée à l’Orphelinat de Londres un beau matin d’été par sa mère qui ne jugea pas utile de donner cette précision au personnel. La femme était venue seule, vêtue d’un pantalon beige en toile et d’un tee-shirt de marque rose jurant horriblement avec la ceinture pour enfant verte qu’elle avait maladroitement passée autour de sa taille : c’était là à coup sûr l’accoutrement d’une sorcière peu accoutumée aux vêtements Moldus, mais personne n’aurait pu s’en douter et on se contenta simplement de la regarder de travers. Elle portait dans ses bras un enfant âgé de dix jours, tout au plus, enveloppé dans un linge chaud et trépignant dans son couffin, réclamant son lait. Personne n’avait su pourquoi cette mère apparemment si intentionnée avec son enfant refusait de s’en occuper mais on ne lui posa pas de questions. Elle précisa simplement qu’elle s’appelait Violett, qu’il ne fallait pas que sa fille porte son nom, qu’elle n’avait pas de prénom à lui donner, puis détacha un petit bracelet d’argent serti de pierres rouges qu’elle portait autour de son poignet pour le mettre à celui du nouveau-né avant de partir.
  
  Jusqu’a leur six ans, les enfants de l’Orphelinat dont on ne savait le prénom étaient appelés par un numéro –c’était sans doute bien plus simple à retenir- puis passé cet âge, le Directeur lui-même leur en choisissait un. Après s’être entendue hélée pendant plusieurs années ainsi « 713 ! N’as-tu pas bientôt fini de gesticuler ainsi ?! » la petite fille, dont les airs masculins ressortaient déjà, fut appelée Maxence. C’était un prénom dont elle aimait la consonance et l’adopta vite, rappelant à ses camarades qui utilisaient encore le diminutif de 713 qu’elle était à présent nommée autrement et qu’ils avaient intérêt à cesser l’utilisation de ce sobriquet ridicule.
  
  Son enfance se déroula sans encombres, car même si sa vie aurait pu se dérouler aux côté de ses parents, elle n’était pas quelqu’un qui se plaignait à longueur de journée et appréciait d’ailleurs l’endroit où elle passait ses journées, songeant qu’elle n’aurait pas été plus heureuse autre part. Sa nature joyeux et optimiste faisait qu’on l’appréciait généralement et était souvent bien entourée de camarades dans le même cas qu’elle et tout ce petit monde s’entendait à merveille. On considérait souvent, dans les livres, que les orphelinats étaient des lieux terribles où les enfants n’avaient pas leur place et souffrait nuit et jour, mais ce n‘était pas le cas. Certes, la discipline était obligatoirement et indispensable, mais jamais la petit n’eut jamais à se plaindre de mauvais traitements. La seule chose qui l’ennuyait un peu, c’était son avenir : voudrait-on de quelqu’un sans famille, dont le prénom et le nom avaient été inventés et qui n’avait rien de bien extraordinaire, rien à apporter aux autres ?
  
  Elle était persuadée que la réponse ne pouvait être autre que non, mais à l’âge de 11, elle cessa d’être ordinaire lorsque sans le vouloir, un garçon plus âgé qui s’était moqué de son apparence se prit les pieds dans un fil invisible et tomba dans l’étang qui bordait le bâtiment. Riant aux larmes de cet incident, elle ne se douta pas une seconde que c’était elle qui l’avait provoqué mais reçut quelques semaines plus tard une lettre. Cette dernière avait été glissée dans une enveloppe un jeu jaunie qui portait un sceau bien étrange : elle lue les lignes qui avaient été tracées à l’encre verte d’une écriture stylisée et n’en revint pas. On l’invitait à se rendre dans une école de sorcellerie pour y suivre des cours puisqu’elle était une sorcière. Ce dernier mot résonna longuement dans ses oreilles et elle n’osait pas croire cette étrange missive. Une sorcière ? Poudlard ? Avouez qu’il y avait de quoi de douter, mais plus pour longtemps. En effet, désirant vérifier de ses propres yeux l’existence d’un tel lieu, ou plutôt de la magie, Maxence s’enfuit de l’orphelinat pour un soir : ce dernier était en plein cœur de Londres et le pub nommé « Le Chaudron Baveur » qui devrait l’aider à se rendre sur le Chemin de Traverse n’était pas très loin.
  
  Suivant les indications qui lui avaient été données, la demoiselle arriva bientôt devant une porte noire devant laquelle tout le monde passait sans la voir, ce qui devait être fait exprès. Elle poussa donc la lourde porte et se retrouva dans un bar où de nombreuses personnes, assises autour de tables, fumaient, discutaient ou buvaient, tous vêtus de capes étranges de diverses couleurs. Certains, à l’aide d’une sorte de bout de bois faisaient tourner leur boisson et à côté, les tables se nettoyaient toutes seules. Les yeux agrandis par ce spectacle fascinant, elle ne put douter de l’existence de Poudlard et retourna dans sa chambre après de longues minutes d’admiration muette.
  
  Le directeur de l’école s’était apparemment arrangé avec celui de l’Orphelinat car lorsqu’elle fit ses valises, le Premier Septembre –après ses achats sur le fameux Chemin de Traverse- pour se rendre à la Gare de King Cross, tout le monde lui souhaita bonne chance pour sa vie au pensionnat de Los Angeles. Le trajet pour rejoindre l’école lui parut durer une éternité puis, enfin, la locomotive écarlate s’arrêta et tous les élèves plus ou moins âgés sortirent des wagons pour se diriger vers le château imposant qui se dessinait au loin et elle les suivit, un nœud d’excitation et d’inquiétude dans le ventre : elle s’avançait vers une nouvelle vie …
  
  Quelques minutes plus tard, Maxence découvrait la Grande Salle. L’endroit dépassait tout ce qu’elle avait imaginé, de par sa longueur et surtout par le plafond auquel avaient été suspendues des centaines de chandelles comme pour éclairer le ciel noir et nuageux que l’on voyait puisqu’il ne semblait pas y avoir de toit. À l’intérieur, tous les élèves plus âgés que leur petit groupe étaient assis à quatre tables, départagés par des maisons nommées Serpentard, Gryffondor, Serdaigle et Poufsouffle, avait-elle lu et semblaient pressés de pouvoir attaquer les montagnes de nourriture qui s’étalaient devant eux. Enfin, le Directeur prit la parole et annonça la Répartition. La jeune fille avait également lu quelque chose à ce sujet et se souvenait qu’un certain Choixpeau Magique allait choisir quelle maison lui conviendrait le mieux : c’était un moment important car cela se faisait en fonction de notre caractère et déterminait aux côtés de qui est-ce que les élèves passeraient l’année. Après de nombreux camarades, on prononça enfin son nom et prénom et elle s’avança d’un pas rapide, un sourire aux lèvres, vers le tabouret avant de s’asseoir dessus et de poser le couvre-chef miteux sur sa tête, comme tous l’avaient fait précédemment. Elle fut aussitôt plongée dans le noir, car ses bords lui cachaient les yeux et attendit que le chapeau lui rende son verdict. Elle l’entendit quelques secondes murmurer des mots incompréhensibles mais ne parut pas hésiter longtemps avant de s’ouvrir au moyen d’une large déchirure qui devait être sa bouche et de se préparer à crier un nom …
  
  
• Histoire Scolaire : L’histoire scolaire de Maxence n’est pas très longue, étant donné qu’elle n’a pour l’instant passé qu’une seule année à Poudlard. Cependant, sa découverte du monde de la sorcellerie a été un véritable enchantement et le fait de se retrouver libre, de pouvoir aller à peu près où elle voulait et quand elle le voulait, l’a beaucoup changée. L’orphelinat lui avait appris à obéir, à ce que tout soit en ordre et la liberté était un luxe qu’elle n’avait jamais pu s’offrir, bien que cela ne lui manque pas. On l’avait donc vue tout sourire dans les couloirs du château, l’explorant dans tous les recoins –qu’elle avait pu trouver- d’une démarche légère et n’avait pas tardé à faire plus ample connaissance avec ses voisins de maison, ce qui avait abouti à bon nombre d’amis. Du côté de ses cours, mademoiselle se montrait peut-être un peu fainéante par moments mais on ne pouvait lui reprocher son sérieux et obtint des notes assez corrects sans avoir besoin de beaucoup travailler. C’est au cours de cette année qu’elle fit ses premières sorties après le couvre-feu, souvent à cause d’un pari qu’elle tenait absolument à gagner et reçut bon nombre de punitions pour quelques bêtises pas bien méchantes. On peut donc dire que cette première découverte se déroula dans la joie et la bonne humeur, avec quelques chagrins inévitables et une seule ombre au tableau : le retour à l’orphelinat pour les vacances d’été uniquement, puisque tout son personnel la croyait partie pour un pensionnat en Amérique.
  

VI. Notes Scolaires :

[*]Options choisies à Poudlard : Soins Aux Créatures Magiques et Étude des Moldus


VII. HRP.

• Prénom : Séverine
  
• Age RP : 14 ans
  
• Commen trouvez vous le forum ? Superbe, surtout le graphisme. J’aime bien l’intrigue aussi, elle donne beaucoup de possibilités d’évolution !

[désolée du changement Est-ce qu'un administrateur pourra changer le nom de mon compte, s'il vous plait ?]

Changement de pseudo effectué ^^

Bienvenue sur Horcruxes - Très très belle fiche!
Sans aucune hésitation, Gryffondor. =)

Je valide.

Lex"