Vendetta familial - A Table ! - PV*

Invité

Doucement, sur l'une des plages de Los Angeles, peut être la plus jolie, on entendit deux craquements sinistres derrière un amas de rocher gris, qui venaient de suivre celui d'un homme particulièrement sombre et aux allures démoniaques. Enrique avait ce petit sourire sur ses lèvres, sentant la douce odeur de la haine et du parfum que dégageait son frère aîné. Il était entrain de vivre l'une de ses jouissances malsaines et particulièrement machiavélique. Celle qui vous fait douter sur l'intégrité du Mexicain aux allures de mafieux italiens avec son pantalon noir à fine rayures. Se mettant en marche, pistant l'aura de son frère qu'il connaissait aussi bien que celle que dégageait celle de Lou qui était sa jumelle, il retroussait ses manches tout en faisant attention à ne pas se mettre trop de sable sur ses chaussures. Lorsqu'il parvint à toucher le sol où les gens faisaient généralement du rolleur, il eut un petit sourire, en évitant l'un de ses moldus qui allaient vite. Enrique se retourna sur son passage comme si ce dernier était en vacance avant d'avoir une moue appréciative. Son frère tournait à droite, Enrique eut un léger sourire avant de tourner son regard vers Chaz l'interrogeant du regard. Sur sa droite, il y avait un type basané, qui parlait un espagnol pas terrible, qui tentait de vendre à une de ses femmes un article de contrefaçon. Le fils de Miguel lui lança un regard assassin tout en lui disant en espagnol d'aller se faire foutre et d'arrêter de souiller une si belle langue pour se donner un genre qui ne lui allait même pas. L'homme commençait à répliquer quelques choses, vociférant. Enrique éclata de rire, avant de le fusiller du regard. A ce moment là, du sang se mit à couler de la commissure des lèvres du type. Le cadet des Almadovar le contourna pour couper à travers le champs, il savait que Chaz était par là. Il connaissait mieux son frère que lui. Il savait quel genre de bâtiment, il habitait. Lui, il ne se reférait qu'à l'aura de son frère.

L'homme qui s'était mis à saigner du nez, était entrain de convulser derrière lui, vivant peut être ces derniers moments. Non, il ne l'avait pas tué. Juste... Amoché. L'hispanique continua son chemin, cherchant son cousin du regard. Il s'était bougé, le petit, encore plus rapide que Dakota semblerait il... Enrique prenait son temps. Il marchait tranquillement, regardant autours de lui le paysage Angelinos. Finalement, on en faisait tout un plat de cette ville mais elle ne valait pas San Franscico, selon lui. Au bout d'un moment, il fut mis sous l'ombre d'un imposant building moldu, puis, continuant sa route, il sentit l'aura de son frère bifurquer sur la gauche. Aussitôt, Enrique s'y engouffra pour entrer dans l'une des grandes bâtisses du monde des moldus. Un grand building avec plein d'appartements uppés. Le beau frère de Chaz cracha au sol, sur la paillasson d'entrer, avant d'ouvrir la porte d'un mouvement de la main, brisant le verre en son coin. Il leva les yeux vers le plafond, puis, il ferma doucement ces derniers et il transplana dans un nuage de fumée noir pour réapparaître devant une porte grande ouverte. Dakota venait de passer dans ce qui semblait être un couloir. Enrique eut un sourire avant de taper ses pieds sur le sol. Savoir vivre quand tu nous tiens... Il se passa une main dans sa petite barbe blanche, le regard tout aussi candide qu'il pouvait l'être. Il allait avoir son plus beau cadeau de noël... La mort du type responsable des bleus de sa soeur, il y a 17 ans. Et avec son frère et son cousin, il pourrait avoir un super spectacle. Mais avant, un petit en cas. Lui.

- Est il là ?
- No.

Chaz entra à ce moment là. Enrique lui jeta un regard avec un léger sourire.

- Mise en scène... Chaz met toi à ton aise sur ses canapés de cuir. Toi, tu sais ce que tu as à faire.

Devant les yeux de Chaz et d'Enrique, Dakota disparut doucement, devenant invisible. Ce dernier, bien que personne ne le voyait désormais, venait de s'assoeir au sol, contre le mur qui faisait face à la porte de l'appartement. Enrique referma la porte d'un mouvement de la tête, puis, erraflant le bois de cette dernière abîmée, il répara la porte tout en la vérouillant, avant de rejoindre Chaz. Enrique s'asseya, croisant doucement ses jambes, le regard flamboyant. Il faisait face à la porte qui menait sur le couloir. Il ne détaillait même pas l'environnement, chose assez surprenante. Mais il savait... Le genre d'Alberto avait toujours été tape à l'oeil et à la mode. Quel pisseux... Les doigts d'Enrique sur l'accoudoir trahissait une certaine impatience.

Les plages de Los Angeles. Un endroit qui pourrait paraître féerique pour beaucoup de monde. Ces longues étendue de sable donnant sur le pacifique. Son lot de jolie fille à moitié dénudée. Cette chaleur caractéristique. Tout ressemble à s’y méprendre à une vielle série tiré de chez les moldus. Cette beauté n’était pourtant que factice dans l’esprit de Chaz. Il n’était pas la pour apprécier la beauté de l’endroit. Il était là pour accomplir tout autre chose. Il venait de transplaner à l’abri des regards, accompagné de son cousin. Dakota les avaient devancés, et Enrique semblait le suivre à la trace. Celui-ci semblait beaucoup plus détendu, tel un vacancier en visite. Cependant Chaz savait que tout ceci n’était qu’une apparence. Chaz gardait un visage impassible. Toute haine avait disparu de son visage, seul ses yeux noirs trahissaient son ressentiment. S’il avait pu déchainer cette haine immédiatement, les vents se seraient mit à souffler, provocant un ouragan tel qu’il détruirait tout sur son passage. Chaz était aveugle à tout ce qui l’entourait. Passant du regard interrogateur de son cousin à la petite altercation qu’il avait avec une de ses saletés d’américain qui donnait une image aux hispaniques peu recommandable. Une seule chose traversait son esprit, Alberto. Il savait ou il allait, suivant les traces de Dakota. Aujourd’hui serait un grand jour. La fin de cette pourriture. Il continuait à avancer sans voir ce qui arrivait à l’autre charlatan. Enrique le rattraperait bien assez vite. Il n’était mené que par un seul sentiment. Et rien ne pouvait le stopper. Une rangée de building. Il n’était plus très loin. Il pénétrât dans l’un d’eux, pour retrouver Dakota. Enrique débarquât à son tour et se chargeât de la porte.

- Est-il là ?

- No.

Chaz pénétrât à l’intérieur. Oh bien sur, il se doutait qu’il serrait vide, mais en son fort intérieur, il sentait son sang bouillir alors que ses mâchoires se crispaient. Toujours aucune expression ne se lisait sur son visage. Il regardait la pièce d’un regard sombre. Cela ressemblait bien à Alberto même s’il ne l’avait pas vu depuis très longtemps, il n’avait apparemment pas changé. Toujours la même raclure, et cette fois il obtiendrait ce qu’il méritait de droit. Une mort toute en beauté. Chez les Almadovar, les affaires se règlent en famille, et il en aurait trois pour le pris d’un. Chaz ne souhaitez qu’une chose. Le voir souffrir autant qu’il l’avait fait souffrir elle. Sa chair, son sang, son âme… Il eut une pensée pour Lou qui devait encore dormir paisiblement sous les effets de la potion sans rêve qu’il lui avait fait ingurgiter. Il n’avait pas de remord, il ne voulait juste pas qu’elle soit mêlée à tout ça. Elle en avait déjà suffisamment subit.

- Mise en scène... Chaz met toi à ton aise sur ses canapés de cuir. Toi, tu sais ce que tu as à faire.

Dakota disparu sous les yeux de ses deux compères, et après un moment d’hésitation, Chaz s’installât dans le canapé. Il était à la fois dégouté de s’installer la ou lui s’était tenu certainement quelques heures plus tôt. Quelques heures avant… Il fermât les yeux pour ne pas exploser de suite. Il fallait qu’il conserve toute cette aine pour le bon moment. Ne pas exploser trop tôt. Il savait exactement comment cela allait se passer. Tout d’abord Enrique s’occuperait de lui. Il avait sa manière particulièrement malsaine de détruire les gens de l’intérieur. Puis Dakota et lui entreraient en scène. Il lui faudrait juste se contenir un instant avant de laisser sa haine déferler sur lui. La chose n’était pas facile car déjà, rien qu’en y pensant, il sentait ses nerfs en feu ne demandant plus que la délivrance. Ses muscles se crispaient, mais il attendrait le bon moment. Les yeux fixés sur la porte, ses poings se crispant sous l’impatience. Il n’était apparemment pas le seul. Tout vient à point à qui sait attendre…

Invité

Pnj Alberto Almadovar

Los Angeles... ville de tous les vices et de tous les plaisirs... sans distinctions. Lui, il se pliait à l'un et à l'autre sans le moindre remord. Drogue, sexe... violence... Cocktail explosif pour un homme qui ne cherchait pas à se détruire mais à assouvir la moindre de ses pulsions. D'ailleurs, il en avait une qui n'était pas encore assouvie... Et c'était la seule. Elle le hantait depuis plus de 10 ans. Un corps de rêve, des boucles noires mettant en valeur un regard d'orage... Sa cousine... Dès qu'il avait posé le regard sur elle, il l'avait voulu. Et elle n'avait cessé de l'aguicher pour mieux le rejeter au cours des cinq ans qu'elle avait passé chez son père. Il n'avait cessé de la vouloir, elle qui semblait si innaccéssible. Elle avait toujours été la seule femme à lui résister, à ne pas vouloir de lui. Et c'était la seule qu'il voulait.

Pas parce qu'il l'aimait mais parce qu'elle était belle et tout ce que lui n'était pas. Il voulait la détruire. Il y était presque parvenu, 17 ans plus tôt, cet après midi aussi, d'ailleurs... Mais à chaque fois, elle lui glissait entre les doigts à peine avait il eut le temps de reluquer ce qu'il y avait sous sa chemise. Et il avait encore échouté. Sa frustration était telle qu'en bon prédateur, il était allé s'enivrer dans une boîte à la mode où il avait rapidement repéré une fille qui ressemblait vaguement à sa cousine. Dans son esprit imbibé, c'était elle. Cette fille aux cheveux noirs mais aux yeux marrons était Lou. Et elle allait souffrir. Un sourire charmeur, un regard langoureux et quelques mots pitoyables... Et elle était à lui.

Moins d'une heure s'était passée depuis qu'il l'avait vue et déjà, il l'épinglait au mur des toilettes de la boîte sans se soucier de son avis. Quelques minutes et quelques morsures plus tard, il l'observait se rhabiller.

Alberto -Aller viens ma belle... La nuit ne fait que commencer.

Fille -Ecoute, je ne crois pas qu...

La fille, elle, était dégoûtée par ce qui venait de se passer. Certes, elle appréçiait les coups d'une nuit mais il l'avait prit pour une moins que rien. Elle voulait partir mais n'eut pas le temps d'achever sa phrase. Dans un mouvement rapide, il s'était approché d'elle et lui avait tiré violemment les cheveux, renversant sa tête en arrière. Il se pencha vers elle et murmura contre ses lèvres.

Alberto -Si tu veux rester vivante, tu feras ce que je te dis, comprit, Lou?

Terrorisée, la fille ne bougea même pas. Elle se contenta d'acquiesser sans mentionner qu'elle ne s'appelait pas Lou. Lui, s'en foutait. Il continuait à boire et à prendre son rail comme si rien ne s'était passé. Du coin de l'oeil, il surveillait celle qu'il prenait pour Lou. Quand elle se redressa, rhabillée, il lui attrapa le bras et l'entraîna. Une demi heure plus tard, ils étaient en bas de chez lui. Ni une ni deux, il lui fit avaler un cachet de force, la menaçant de nouveau. Sans le moindre ménagement, il l'embrassa alors que l'effet de la drogue se faisait rapidement sentir chez la fille. Carrément allumée, celle ci se pressa contre lui alors qu'il ouvrait la porte. D'un mouvement, il la poussa jusqu'au fauteuil avant d'allumer la lumière.

Une surprise l'attendait. Il eut un sourire sûr de lui.

Alberto -Salut vous deux... Content de vous voir.

De sa démarche féline, il s'approcha du bar qu'il ouvrit pour se servir un verre. La fille quant à elle, ne bronchait pas trop, elle attendait son "mâle"

Alberto -Je pensais à vous, il n'y a pas longtemps. J'ai croisé une fille... Les cheveux noirs bouclés, un corps de rêve, des yeux à tomber... et un adorable grain de beauté situé juste au dessus du sein gauche... Tu l'aurais beaucoup aimé, Chaz... toi aussi Enrique... et Dakota encore plus.

Il décrivait Lou. Un sourire narquois sur les lèvres, il se retourna vers eux, trinqua et bu son verre d'une seule gorgée. Il lâcha le verre qui s'explosa au sol avant de se diriger vers la fille. Il la força à se relever et l'embrassa brutalement avant de lâcher.

Alberto -Je ne vais pas pouvoir rester avec vous... J'suis pas mal occupé ce soir.

Invité

- Salut vous deux... Content de vous voir.

Il était entré. Avec elle... Dakota eut un léger sourire. Il sentait ses nerfs le prendre d'un coup, à tel point, qu'il se leva sans réellement faire exprès. Ce n'est que lorsqu'il posa sa main contre le mur qu'il comprit qu'il allait tout faire planter. Sur le visage de l'hispanique, on voyait un mauvais regard. Enfin, on voyait... Il était invisible. La jeune femme, cependant, attira son regard, juste suffisamment pour qu'il comprenne que cette dernière n'était pas dans son état normal. Alberto était entré dans son salon, et il en avait allumé la lumière. Enrique, qui était profondément assis dans son fauteuil, cligna des yeux. Dakota réapparut, sans un bruit. Il fit un signe à la demoiselle de se taire. Enfin, si cela servait... Enrique avait un mauvais regard. Mais son visage était chaleureux... Accueillant.

- e pensais à vous, il n'y a pas longtemps. J'ai croisé une fille... Les cheveux noirs bouclés, un corps de rêve, des yeux à tomber... et un adorable grain de beauté situé juste au dessus du sein gauche... Tu l'aurais beaucoup aimé, Chaz... toi aussi Enrique... et Dakota encore plus. Je ne vais pas pouvoir rester avec vous... J'suis pas mal occupé ce soir.

Enrique transplana. Dakota eut un léger frisson de rage, et il ne put s'empêcher de saisir le col de la chemise d'Alberto avec rage pour le tirer vers lui pour le plaquer contre le mur avec force. L'avant bras sur la gorge, Dakota avait un regard mauvais... Noir. Tout. Tout son oeil, ses yeux, étaient noirs d'encres. Même le blanc des yeux. Noirs. Tout était noir. Noir comme le néant. Noir comme le chaos. Noir comme l'âme de Dakota. Enrique était réapparut, mais pas à côté d'Alberto. Il était prêt de la demoiselle, sur laquelle il déposa sa paume de main sur son front, puis, il ferma ses yeux avec un petit air confiant. La jeune femme lui tomba dans les bras, puis, de nouveau, il transplana pour réapparaître près du grand canapé où il allongea la demoiselle qu'il endormit après lui avoir effleuré ses lèvres avec les siennes.

- Dakota... Laisse Chaz lui réglait son compte. J'ai besoin de toi. Après tout, c'est SON mari. Tu sais, Alberto... Ton frère... Celui qui t'a volé ma soeur... A ta barbe... Il lui fait drôlement bien l'amour... 4 enfants... Et il s'en occupe merveilleusement bien.... Là, elle dort doucement... Dans le pays de morphée sous la protection Almadovar.

Dakota envoya Alberto sur Chaz avant de s'approcher doucement d'Enrique. Il posa doucement sa main sur l'estomac de la demoiselle. Chaz pouvait faire ce qu'il avait à faire, mais le regard que Dakota lança sur son cousin... voulait clairement dire : Laisse m'en un peu. Alors que Dakota mettait la demoiselle correctement, Enrique défaisait doucement le chemisier de la demoiselle avec douceur, comme si cela avait été un poupée. C'est vrai qu'elle ressemblait beaucoup à sa soeur jumelle... Mais...

- Alberto... Tu t'es planté. Lou a la peau plus matte...

Dakota sentait la magie de son frère. Il lui massait doucement le ventre. Dakota s'était relevé, regardant Chaz et son... Frère à leur occupation. Bon dieu qu'ils s'aimaient... Dakota souriait.

Invité

Pnj Alberto Almadovar

Tiens... Dakota était "apparu"... comme prévu d'ailleurs. Lorsque l'aîné des Almadovar le plaqua contre le mur, il ne se départit pas de son sourire de prédateur. Il poussa même le vice à faire voler la bouteille jusqu'à lui et en boire une longue gorgée. Sûr de lui. Il n'y avait rien d'autre à dire. Il n'avait pas peur d'eux et lorsque son regard croisa celui de son cousin, son sourire ne fit que s'accentuer. Monsieur était furieux... Pathétique et tellement prévisible. En revanche, son sourire perdit quelques peu de sa surperbe quand Enrique prit la parole.

Enrique -Dakota... Laisse Chaz lui réglait son compte. J'ai besoin de toi. Après tout, c'est SON mari. Tu sais, Alberto... Ton frère... Celui qui t'a volé ma soeur... A ta barbe... Il lui fait drôlement bien l'amour... 4 enfants... Et il s'en occupe merveilleusement bien.... Là, elle dort doucement... Dans le pays de morphée sous la protection Almadovar.

Il plissa les yeux avant de lancer.

Alberto -Ah tiens... les bâtards savent procréer... Dommage pour vous, vous auriez adoré en profiter... Sa peau... ses lèv....

La phrase mourru sur ses lèvres alors que Dakota le projetait sur Chaz. La bouteille s'écroula sur le sol mais il ne régissait pas, son sale sourire sur le visage.

HJ: A Lilou Vendetta familial - A Table ! - PV* 322925

Alberto -Salut vous deux... Content de vous voir.

Il était là. Sans vraiment s’en apercevoir, Chaz s’était relevé, les poings serrés, le regard noir. Il allait le tuer, lui faire regretter ce qu’il avait fait à sa femme. Lui faire regretter tout ce qu’il lui avait fait. En passant par les petits coups tordus de leurs jeunesses, à la journée d’aujourd’hui. Mais son regard fut attiré par la jeune femme qui l’accompagné. Brune, un air de ressemblance avec Lou, mais ce n’était pas elle. Elle ne semblait pas dans son état normal. Pitoyable. Même pas capable de se lever une fille sans la droguer. Chaz reposât son regard meurtrier sur son « frère ». Pourtant, il restait là sans bouger. Il ne voyait même pas ce qui l’entourait, l’apparition de Dakota, le reste… peu lui importait. Il n’avait qu’une idée en tête. Plus rien ne comptait. Plus rien hormis ses mots.

Alberto -Je pensais à vous, il n'y a pas longtemps. J'ai croisé une fille... Les cheveux noirs bouclés, un corps de rêve, des yeux à tomber... et un adorable grain de beauté situé juste au dessus du sein gauche... Tu l'aurais beaucoup aimé, Chaz... toi aussi Enrique... et Dakota encore plus.

Son cœur se serrât. Lou bien sur. Le fils de pute s’en vantait en plus. Il ne savait pas quel sort il lui destinait. Chaz était prêt à lui foncer dessus, mais c’est Dakota qui s’en chargeât. Il le plaquât au mur avec force, mais Chaz bouillonnait à l’intérieur. Enrique s’occupait apparemment de la jeune fille mais il ne lui accordât pas un regard.

- Dakota... Laisse Chaz lui réglait son compte. J'ai besoin de toi. Après tout, c'est SON mari. Tu sais, Alberto... Ton frère... Celui qui t'a volé ma soeur... A ta barbe... Il lui fait drôlement bien l'amour... 4 enfants... Et il s'en occupe merveilleusement bien.... Là, elle dort doucement... Dans le pays de morphée sous la protection Almadovar.

C’était une chose surprenante que d’entendre ses mots sortir de la bouche de son cousin. Lui qui l’avait longtemps détesté pour ses mêmes raisons. Mais il savait que c’était comme ça qu’il agissait. C’était sa technique propre. Cela n’apaisait en rien sa rage, il était impatient que son cousin le lâchent pour pouvoir l’avoir pour lui tout seul.

Alberto -Ah tiens... les bâtards savent procréer... Dommage pour vous, vous auriez adoré en profiter... Sa peau... ses lèv....

S’en était trop. Il ne supportait plus d’entendre de telles choses. Au moment où il bougeait son pied pour se jeter sur lui, Dakota le lui envoyât dans sa direction. Il le cueillit avec son poing entrant en contact avec sa mâchoire. Pas de mots. Juste sa haine qui passait à travers ses coups. D’un coup de pieds il le propulsât contre le mur ou à nouveau ses poings déversèrent sa rage sur lui. Il le saisit par les épaules pour le jeter au sol, et se jetât sur lui. A califourchon, il distribuait les coups sans retenue. S’ils en voulaient un peu pour eux, il faudrait qu’ils viennent le chercher, car il comptait bien frapper jusqu’à ce que mort s’en suive.

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