Quete 1 [Reservée aux participants et aux MJs]

Mana se baladait dans le Pré-au-Lard depuis le début de l'après-midi. Elle avait prévu de se servir de ce moment pour refaire ses stocks pour l'année scolaire, parchemins, plumes et tout ce dont elle aurait besoin. Elle aurait pu faire ses courses au fur et à mesure tout au long de l'année, puisqu'elle pouvait sortir quand elle voulait de l'école, mais elle avait peur d'oublier certains trucs à chaque fois. Elle avait donc fait sa liste pendant tout l'été pour tout acheté d'un coup et faire des réserves. Ca serait plus pratique comme ça. Ce jour-là, elle avait le même physique que d'habitude, ses yeux avaient juste viré au vert. Elle portait une robe de sorcière noir et elle abandonner son chapeau à l'école. Il suffisait d'un tout petit coup de vent pour le faire s'envoler et ce n'était pas l'idéal d'aller courir après avec des sacs.

Le soir était tombé sur le village sorcier quand Mana retrouva enfin une petite rue qui débouchait sur l'allée principale du Pré-au-Lard, elle s'était juste un tout petit peu perdue. Elle hésitait maintenant à rentrer à Poudlard ou aller se reposer quelques instants dans l'auberge des Trois Balais. Elle se décida finalement à aller poser ses sacs un peu (on ne croirait pas comme ça mais ça pèse lourd du parchemin, des plumes et de l'encre!) quand les lumières commencèrent à s'éteindre partout dans le village. La métamorphomage s'arrête, surprise en regardant partout. Il n'y avait plus la moindre lumière. Elle se pencha pour poser ses sacs par terre et elle essaya de voir quelque chose dans l'obscurité. Ca aurait été plus pratique si elle avait eut des yeux de chats. Tiens, il faudrait qu'elle essaie un jour, cela pourrait être pratique...

Mana commença à chercher sa baguette dans ses poches, sans la trouver. Elle allait ré-explorer ses poches une troisième fois quand elle leva le nez. Elle resta un instant immobile. Le ciel était magnifique sans lumière, on voyait très bien les étoiles! Mais... C'était peut-être pour ça qu'on avait tout éteint! Pour pouvoir mieux voir les étoiles, elle ferait mieux de ne pas faire de lumière alors, elle dérangerait plus qu'autre chose. Elle renonça alors à chercher sa baguette. S'il elle ne pouvait pas faire de lumière, elle ne lui servirait à rien. Alors qu'elle se pencha pour récupérer ses sacs, la lumière se fit ans son esprit. Mais bien sûr! Elle avait glisser sa baguette dans le sac avec les plumes. Elle s'accroupit donc à côté d'un de ses bagages pour récupérer sa baguette, pour au moins la mettre dans sa poche, c'était toujours plus pratique quand elle en avait besoin. Une dizaine d'exclamations de douleurs plus tard -ça pique une plume- elle sortit enfin sa baguette et la glissa dans la poche de sa robe. Au moins une chose de régler. Mais maintenant, comment allait-elle faire pour rentrer à Poulard, sans faire de lumière pour ne pas déranger, et sans rentrer dans tous les obstacles entre cette petite rue du Pré-au-Lard et l'école? Dur question. Le professeur de métamorphose resta donc immobile un moment. Elle se décida finalement à avança lentement, pour éviter les problèmes. Après tout, elle avait finit par se faire à l'obscurité et elle voyait un peu les choses, ça irait bien à la clarté des étoiles.

La métamorphomage déboucha enfin sur l'allée principale du Pré-au-Lard, et là des gens paniqués couraient de ça et là en disant que les mangemorts attaquaient et que c'était la fin du monde et de la galaxie, ou un truc du genre. Mana leva les yeux. Il n'y avait nul part un signe pour montrerait qu'un mangemort était passé dans le coin, et il n'y avait personne qui lançait des sorts. Il fallait vraiment que les gens arrêtent d'avoir trop d'imagination, cela créait tout de suite la panique [et c'est elle qui pense ça xDD].

Mana se décida finalement à retourner à Poudlard quand elle apperçut de la lumière. Et un fauteur de trouble qui empêchait le bon déroulement de la soirée "on regarde les étoiles dans le noir". Elle se décida de faire un détour avant de rentrer, en plus, cela lui permettrait de voir un peu où elle mettait les pieds. Plus elle se rapprochait et plus elle était éblouïe mais en battant rapidement des yeux, elle s'y faisait. Elle arriva enfin derrière une élève de Poudlard. Avec ses cheveux rose, elle n'était pas trop dur à reconnaître.

"Mademoiselle Leafgreen, qu'est-ce que vous faite?"

Sous-entendu: pourquoi allumez-vous votre baguette en dérangeant tout le monde? Vous voyez bien que tout le monde vous fuit à cause de ça. Mais alors ce sous-entendu là, il fallait vraiment être très fort pour le comprendre. Comme pour comprendre Mana quand elle commençait à partir dans ses petites histoires.

HRP : Superbe

Code:

Les rumeurs, telles des feuilles d'automne s'envolant au vent, ont semé la panique parmi les habitants. On se bouscule, on crie et on transplane à tout va, bien que personne ne sache réellement ce qu'il se passe...

Un souffle de vent violent, trop soudain pour être naturel, éteint comme une chandelle la baguette de Nyla. Qu'elle essaie de la rallumer, mais tous ses efforts seront vains, l'obscurité est vraiment totale et aucun moyen magique ne saurait changer la donne. Doucement, les cris s'estompent et disparaissent : tout le monde est parti se mettre à l'abri, dans la sûreté de leurs demeures ou loin de Pré-au-Lard. Seules quelques personnes errent encore ça et là, sans but précis et sans comprendre.

C'est alors qu'un cri déchirant perce le silence, non loin du groupe de quatre personnes qui semblent se connaître, et de nouveau, un vent violent leur claque au visage, si soudain qu'il les projettent presque à terre. D'ailleurs, ceux qui ne s'y attendaient pas ou qui ne possèdent pas d'équilibre se retrouvent les quatre fers en l'air... Iront-ils voir ce qui se passe ?

INSTRUCTIONS : _ Si votre personnage se dirige vers les cris, il tombe nez à nez avec une sphère blanche et lumineuse, située dans une impasse. C'est de cette boule d'energie que proviennent les cris.
_ Si votre personnage décide de ne pas aller voir, il doit se séparer de ceux qui auront choisi la solution ci dessous. Et je m'occuperais personnellement de ces cas là...

Vous pouvez poster à la suite, il n'y a pas de tour à respecter et personne à attendre ! Bon Jeu !

Mana regarda Jared tomber sans vraiment comprendre d'habitude c'était elle qui tombait, pas les autres. Elle eut sa réponse quand le Serpentard parla. Au moins, c'était de sa faute s'il était tombé, les choses ne se déréglaient pas complètement. Mais depuis quand elle était contente de faire tomber ses élèves?! Elle poussa un petit cri étonnée.

"Je suis désolée de vous avoir fait tombée, vous n'avez rien de cassé au moins?"

Mana se ramassa pour récupérer son sac tombé à terre. Méchant sac, cela ne se faisait pas de renverser ainsi les gentils élèves! Elle ne prit même pas la peine de vérifier s'il y avait quelque chose de cassé. En fait, elle n'en eut pas le temps, une de ses collègue de travail fit une charmante entrée en terminant d'accabler Jared, qui n'avait plus qu'à faire le deuil de sa sucette. Elle non plus ne savait pas ce qui se passait, et elle semblait penser que cela venait des élèves. C'était impensable! Comment auraient-ils pu préparer à eux deux un tel événement pour regarder les étoiles?

C'est ensuite que les choses basculèrent. Un grand vent glacial se mit à souffler et la lumière s'éteignit. Bien sûr, Mana était tombée, surprise par le coup de vent. Elle avait essayé de se rétablir n battant des bras mais finalement, ses fesses avait percutés le sol d'une façon peu délicate, ses sacs éparpillés autour d'elle. Elle avait un titre de meilleure maladroite à tenir après tout. Elle se releva tant bien que mal pendant que Nyla cherchait sa baguette. Elle aurait sûrement un beau bleu demain vu comment cela lui faisait mal. Elle allait dire à son élève que tout allait plus ou moins bien quand le cri inhumain retentit, figeant le professeur de métamorphose un instant.

Avant même qu'elle ait pu réagir, les deux élèves étaient partis voir la lumière de plus près. La métamorphomage ne savait pas trop quoi faire, mais ces cris ne présageait rein de bon, autant aller voir ce qui se passait de plus près. S'il arrivait quelque chose aux deux adolescents, elle s'en voudrait beaucoup. Ne prenant pas la peine de ramasser ses sacs, Mana partie donc en courant suivre la lumière. Cela lui rappelait vaguement quelque chose, une Alice qui courait après un lapin ou un truc du genre.

Arrivée face à la boule de lumière, le professeur s'arrêta, ne sachant pas quoi faire. Maintenant, il y avait un élève supplémentaire, mais à cause de la lumière éblouissante, elle ne voyait pas grand chose de plus que des ombres. Elle essaya de se protéger les yeux avec un main, sans grand succès mais c'était mieux que rien. Les cris étaient vraiment affreux, la personne qui criait devait vraiment avoir de bon poumon pour tenir aussi longtemps. Mana n'avait aucune idée de ce qui se passait devant elle, mais dans le bénéfice du doute, elle préféra classer cet événements dans « étrange et bizarre à se méfier ».

Elle se rapprocha des élèves, et passa devant eux au cas où. Elle prit sa baguette dans sa main et resta hésitante. Elle avait entendu un élève parler de peur, autant essayer d'apporter une présence rassurante, même s'il elle n'en savait pas plus qu'eux. Elle ne voyait pratiquement rien, et niveau ouïe, ce n'était pas beaucoup mieux à cause des bruits. Pour la première fois depuis longtemps, l'imagination de Mana était prise en défaut. Elle n'arrivait pas à trouver une explication à ce phénomène qui soit "crédible".

HJ: désolée du retard pour le début de la quête, pouvais pas repondre avant, je rattrappe.

Ce soir là, les jumeaux sont à prés-au-lard, près de la tête de sanglier et attendent. Leur objectif ? Tuer un homme qu’ils ont repérés et traqués depuis de nombreux jours. Son nom? Howard Bigump. Un homme d'une trentaine d'année qui travaille au ministère au sein du département des transports magiques. Aucune capacité spéciale recensée à ce jour le concernant. En bref ce n'est pas un gros challenge mais certainnement suffisemment pour être reprérés par les mangemorts et être acceptés en leur sein. Après quelques verres, la victime sort de l'auberge et quelques rues plus loin c'est un:

Cathleen - AVADA KEDAVRA!

Qui se fait entendre dans la nuit sombre, seulement éclairée par un petit réverbère.
C'est Cathleen qui l'a lancé. Elle fait demi-tour et, suivie par son frère, quitte l'endroit laissant seul le cadavre de Bigump, gisant dans le caniveau asséché devant sa maison.

L'air de rien, les frangins se dirigent à l'opposé de leur crime. Soudain, l'un des deux s'aperçoit que c'est l'obscurité totale: tous les réverbères sont éteints et très vite c'est la débandade dans les rues et ruelles du village. Beaucoup fuient. Visiblement ce sont des mangemorts qui ont fait le coup... enfin c'est ce que disent certains affolés. Tranquiles, les jumeaux tournent enfin au coin de l'auberge de la tête de sanglier. il y en a tout de même qui ne perdent pas la raison. Sereine, Cathleen murmure à son frère:

Cathleen - ils ont fait vite... tu crois que c'est pour nous?
Cathan - Tu penses vraiment que c'est eux?
Cathleen - En tout cas tous le croient!
Cathan - Ca serait bien notre veine!

Termina Cathan.
C'est alors qu'une lueur faible fait son apparition à l'autre bout de la rue et un cri se fait entendre. D'un regard entendu, les jumeaux décident, bien entendu d'aller voir ce qui s'y passe... mais en faisant le tour. Inutile de trop se montrer. Ils font alors demi-tour et longnt la rue de derrière, se retrouvant ainsi derrière ce qui ne semble pas être des mangemorts au final. Une grosse boule lumineuse flotte dans les airs et d'elle jaillissent des cris de peurs et de terreur, visiblement des cris humain. Une jeune fille, ou femme, on ne vois pas bien dans la pénombre, semble s'être approchée de la chose. Quelle inconsciente! Puis très vite une deuxième personne, un jeune homme, puis un troisième... et quoi? enfin ce qui semblait être une adulte. Cette dernière venait se mettre devant des jeunes comme si elle voulait les proteger de cette chose dont finalement tout le monde ignorait tout.
A voir leurs vêtements d'un peu plus près, Cathan peut reconaître quelques élèves de Poudlard et donc la bonne femme devait être avec eux... ou pas.
Cathleen, animée de curiosité, sortit de sa cachette et fit signe à son frère de rester dans l'ombre. Tranquille, avec une démarche presque féline, les mains dans les poches, elle s'approcha de l'orbe devant elle. Assez près, elle l'observa d'abord et la jeune femme derrière elle ensuite. Elle s'adressa alors à Mana de la sorte:

Cathleen - Vous savez ce que c'est?

Demanda t'elle nonchalement, les mains toujours dans son jean et en parlant un peu fort pour couvrire les cris de l'orbe. Claire qu'elle était interessée mais elle ne semblait pas effrayée le moins du monde. C'est pour dire, elle n'avait même pas sortit sa baguette. En revanche, Cathan, lui, l'avait sortit pour couvrire sa soeur en cas de problème...

[Je joue Khâlina en PNJ, pas le temps de faire un RP]

Code:

Tout le monde a suivi l'orbe lumineuse, même Khâlina qui se sent responsable de tout ce petit monde de Poudlard. Les cris cessent au niveau de l'orbe et elle disparaît dans une lumière aveuglante et un POP sonore, laissant là les spectateurs. Quand les personnages peuvent à nouveau voir, ils se retrouvent confrontés à un Epouvantard. C'est sans doute lui qui a créé l'orbe lumineuse ou bien il en est sorti. Chacun se trouve confronté à sa plus grande peur...

Instructions : _ A la fin de ce post vous devez vous être débarassés de l'Epouvantard.
_ A la fin de ce post vous devez vous être blessé ou avoir blessé quelqu'un lors de votre combat contre l'Epouvantard.
_ Dante ne sachant pas se débarasser d'un Epouvantard, il est nécessaire que quelqu'un le fasse pour lui. Une des personnes qui postera après lui, au choix

HRP : Apparemment je ne suis pas noté inscrit mais on m'a dit de venir ici quant j'ai demandé au Journal des Quêtes donc je poste...

Quelle soirée tranquille et paisible. Assis au fond d'un fauteuil au quartier des Aurors, Jotaro lisait un petit livre de Runes Anciennes pour se remémorer tous ces trucs farfelus depuis Poudlard. les Runes n'avaient jamais étées son fort et il regrettait à présent de ne pas les avoir étudier convenablement. La plupart des sortilèges les plus puissants et les plus secrets n'étaient écrits en aucune langue parlée couremment, mais en Runes antiques ou en langage oubliés. La alle était bien chauffée, et Jotaro portait un de ses vêtements de fonction qu'il avait lui même fait faire pour que l'on reconnaisse en public son appartenance aux Aurors. Habillé d'une longue robe bleue nuit en soie, le jeune homme avait fait gravé un magnifique "A" à l'emplacement de son coeur, lettre dorée représentant toute sa fierté d'être Auror. Tournant les pages de plus en plus rapidement sans prendre le temps de lire, il finit par se lasser au bout de quelques minutes et et se leva pour poser le livre dans la minuscule bibliothèque qui siégeait dans la salle. En ce moment rien de spécial du côté affaire à part des personnages complètement tarés essayant de devenir des Seigneurs des Ténèbres malgré leur stupidité...

Après ses nombreuses années à avoir travailler pour le ministère, 2 en tant qu'apprenti et 6 en tant qu'auror, il avait son propre bureau depuis 4 ans et s'occupait à le personnaliser le plus possible pour qu'il s'y sente un jour comme chez lui. Se dirigeant vers son espace, il poussa une porte avec son nom dessus et entra dans la pièce tranquillement, refermant derrière lui avec délicatesse, contemplant cette pièce exclusivement à lui. Jotaro était un peu bizarre, adorant posséder des choses immatérielles comme des pièces ou des idées... Les murs du bureau étaient de couleur bleu clair, des fenêtres magiques reflétant en cette soirée des étoiles dans un ciel dégagé. Un bureau de taille moyenne trônait au milieu de la salle, avec dessus un petit pot en bois où se trouvaient des crayons et des stylos ainsi que quelques dossiers bien rangés. Jotaro alla s'asseoir sur sa chaise avec tranquilité, se retrouvant face à la porte et à deux chaises encore plus banales que la sienne. Sur son côté gauche, le jeune Miyamoto pouvait voir une petite étagère où tous ses dossiers classés étaient rangés par date de résolution, sur l'étagère étant posée une radio à transmission magique ne lui appartenant pas, chaque bureau d'auror en contenant une au cas où une annonce serait à passer. Jetant un coup d'oeil à celle ci, aucun son n'en sortait et Jotaro reporta alors son attention sur son bureau. Saisissant son dernier dossier en date, celui qui lui avait été confié surotut pour ses compétences de métamorphomage. il devait suivre un dangereux criminel et le coincer sans dégâts. Pas une mince affaire tiens donc....

Ouvrant le dossier, le jeune homme n'eut pas le temps de lire un seul mot de celui ci, bien qu'il le connaissait. La radio grésilla un bon coup pendant quelques secondes et le jeune auror se leva d'un bond en refermant le dossier, s'approchant de la radio avec rapidité, se demandant ce qui pouvait arriver aussi tard en cette soirée à part une attaque de mangemort. Une voix résonna, celle d'un de ses collègues. Celui ci avait la voix beaucoup trop saccadée pour qu'il s'agisse d'une petite connerie. Commençant à parler à une allure très rapide, Jotaro se demandait tout de même si celui ci n'allait pas s'étrangler avant qu'il n'ait finit de parler...

Collègue - Ici n°8 je demande à Jotaro de répondre à cet appel dans les plus brefs délais, car la seule personne se trouvant dans cet endroit à cette heure ne peut être que lui. Est-ce que tu m'entends Jotaro ?

Jotaro - Oui, je reçois 5 sur 5. C'est quoi le problème un endroit est attaqué ?

Collègue - Non mais dépêches-toi, il y a des problèmes à Pré-au-Lard, tous les habitants sont paniqués et les rumeurs prétendent que les mangemorts attaquent ! Nous savons évidemment que c'est faux puisque aucun sort ne fuse mais des évènements bizarres se produisent et plus aucune source de lumière ne fonctionne, même pas les "Lumos" ! Tu es la seule personne de libre aors dépêche toi d'y aller avant qu'il n'y ait une émeute et trouve le problème !

Jotaro - Bien reçu j'y vais de suite !

Laissant la radio allumée et ne faisant plus attention à rien, le jeune homme souffla un bon coup et sortit de son bureau pour vérifier que personne ne se trouve dans la salle, auquel cas il aurait eut un compagnon pour remettre de l'ordre dans cette pagaille. Mais personne ne se trouvait dans la salle, comme le pensait Jotaro, et il transplana sur le champ près de la Taverne des Trois Balais, rencontrant cette fameuse surprise à laquelle il s'attendait : plus aucune lumière n'éclairait les environs et tout le monde courait le plus loin possible pour fuir ce danger inconnu et surtout inexistant. Fier d'être là pour incarner le héros qui vient remettre la situation en place, Jotaro aperçoit alors un petit groupe de personne près d'une boule lumineuse d'origine inconnue. Ne connaissant d'aucune sorte cette chose, il se dit que els gens n'étaient pas assez méfiants et s'approcha vivement du petit groupe. Le petit groupe est assez bizarre et composé de toutes sortes de gens : des élèves, dont une aux cheveux roses, des adultes dont des jumeaux et une femme qui semble à la tête de ce petit groupe. Ouvrant la bouche pour parler, le jeune Miyamoto n'a pas même le temps de parler que l'orbe s'illumine de plus en plus et l'oblige à détourner le regard quelques secondes. lorsque il regarde de nouveau, l'orbe à disparut et il se retrouve face à une horreur, la chose dont il ait réellement peur malgré la faible menace : un chien, énorme comme un cheval avec des dents acérées, un regard rouge sanglant et de la bave coulant de sa gueule frémissante. Un frémissement parcourt le corps de l'auror pendant quelques secondes, quelques secondes de trop malheureusement : la créature fait un bond dans sa direction, et malgré le fait que le jeune homme se blança sur le côté, une griffe lui lacéra l'épaule gauche, celle dont il ne se servait quasiment jamais, bein que même inutile actuellement elle le faisait surtout souffrir atrocement, comme si un venin était contenu dans les griffes. Brandissant sa baguette avec un geste magistral en direction du chien, il lança le sort approprié avec un soupir de contentement.

Jotaro - Ridiculus !

Le chien commença alors à retrécir et son visage devint de plus en plus mignon, celui d'un bébé chien. Le chiot en question tenta de marcher pendant quelques secondes puis disparut dans d'atroces cris. Fier de son travail mais grinçant un peu des dents à cause de sa brûlure il remarqua alors que malgré qu'il ait vaincu sa peur sans trop de dommages les autres se battaient aussi contre leurs pires cauchemards, la plupart avec courage et détermination, un bon début...

Plusieurs personnes s’étaient ajoutées au deux premières personnes. Par la voix, Dante cru identifier Professeur Phimya… Mais rien n’était précis, près de cette boule de lumière.

Sauf peut-être sa douleur au pied. Il avait buté sur quelque chose sortit de nulle part. En fait, on aurait la source même de la lumière…

Mais, bizarrement, alors qu’il sortait à cloche pied, le jeune Serpentard s’aperçu qu’il n’avait plus de cris. Ils s’étaient arrêtés aussi rapidement qu’ils avaient commencés. Mais, pour être franc, il s’en foutait complètement. Son talon lui faisait si mal…

Mais la lumière devient de plus en plus éblouissante, avant qu’un bruit de transplanage. Il entendit "ridicule", mais ce n'était pas tout à fait ça... Dante ouvrit difficilement les yeux quand la lumière le lui permit.

Et c’est le choc. Devant lui se trouvait… sa mère. Mais pas celle qu’il a toujours vu depuis presque 10 ans… Non. Sa mère, sa vrai. Minerve Rosenberg à son sommet.

Elle commença par lui sourire, ce que Dante fit aussi. Tout lui semblait si irréel… Il était tant habitué à la voir assise sur une chaise, dans sa chambre, sans pouvoir faire le moindre geste…

Mais, le sourire se fana sur les lèvres de sa mère. Elle se dressa sa grandeur, avant de croiser des bras sur la robe verte. Son regard devient hautain. Dante ne su plus où se mettre.

- Tu me déçois, Dante…

Les voilà, ces paroles dot il avait si peur. Même si elle n’était pas là, c’était la dernière chose qu’il désirait. Elle laissa passer un temps.

- J’avais cru… visiblement à tort… que tu serais capable de… d’être un Rosenberg. Un vrai.

La douleur au talon? Elle avait disparue depuis l’apparition de sa mère. Mais là… Il se sentait transpercé par une lame de bord en bord. Il avait été indigne d’elle, sa mère… Elle avait déjà fait tant de chose, à son âge, et lui, maintenant… Il était rien. Un grain de poussière. Une minuscule chose. Il aurait pu l’honorer, mais il n’avait rien fait…

- Je me suis renseignée…

Il releva les yeux vers elle. Minerve lui semblait si magnifique… Elle était habillée de la robe qu’on lui avait toujours désignée comme sa préférée… et avec une rose comme pendentif. Exactement comme on lui avait tant décrit… Mais il croyait que les récits étaient exagérés… Visiblement, ce n’était pas le cas. Il ouvrit la bouche : il voulait savoir comment il pouvait se faire pardonner.

- Tais-toi. Je me demande Je me demande si la meilleure place pour toi serait pas chez les Moldus…

Dante papillonna des yeux. Il l’avait déshonoré à ce point? Les yeux commencèrent à se remplir de larmes.

- Une chance, au moins, que ton père ne sache pas… il en serait horrifié.

Une larme coula sur la joue du sorcier. Il n’était plus apable de rien entendre. Il en avait déjà trop entendu, en fait. C’était au-dessus de ses forces. Sa mère remarca la goutte d’eau salée.

- Non seulement tu ne me réponds pas, mais tu pleures! J’étais, moi une fille, plus forte que toi…

Elle avait sifflé les dernières paroles. Dante n’arrivait plus à faire un geste. Sa mère fit un pas en arrière, s’éloignant avec dégoût de sa progéniture, qui n’eut comme réaction qu’un petit pas vers elle.


[Si un certain Matthew veut donner un coup de point à Minerve, qu'il n'attende pas... XD]

[Hj : Hello, je viens vous rejoindre ^^]




Un samedi soir sur la terre, et les lumières du monde qui doucement venaient s’incliner devant l‘obscurité naissante. Telle était la mise et la coutume en cet endroit du Nord de l’Ecosse, là où les nuits étaient maîtres et ce dès Septembre.
Pré-Au-Lard était un charmant petit village, à peine plus grand qu’un hameau, et dont la réputation enchantait toute les régions du Royaume-Uni ; Pré-Au-lard, le lieu où se rendaient dès qu’ils le pouvaient tous les élèves de Poudlard, Pré-Au-Lard qui était bien plus que le Hall de la terre la plus magique du pays, Pré-Au-Lard et ses mystères, ses légendes, ses héros….

Malgré toute la symbolique et la signification d’un tel lieu Pré-Au-Lard était définitivement resté ancré dans ses habitudes de solidarité et de compagnonnages : tout un chacun se connaissait à Pré-Au-Lard et il n’y avait rien de plus charmant, de plus accueillant, que les bonnes gens du coin pour vous faire sentir comme étant dans une grande et bonne famille. C’était le charme et la gentillesse innée de tous qui faisait qu’on ne pouvait envisager le village sans une émotion certaine et ce fameusement pincement au cœur ; la sérénité et la paix régnaient à Pré-Au-Lard. C’était la magie de ce lieu, son empire et son royaume.

Un samedi soir sur la terre, à Pré-Au-lard, et Henri qui traversait ses rues. Son pas était prononcé, mais point rapide ou nerveux : lui aussi goûtait la quiétude du village, lui aussi appréciait cette bienveillance dans l’air. Il aperçut beaucoup de monde, essentiellement des gens de Poudlard pour changer. Il y avait là Mana Phymia, sa collègue de métamorphose, 2 élèves de 7ème année Serpentard qu’il avait l’habitude de voir en cours, ainsi qu’un autre beaucoup plus jeune et qui semblait découvrir le village comme pour la première fois ; il reconnut brièvement les jumeaux directeurs de Gringotts (qui étaient une petite célébrité rien qu’à eux ^^) ainsi qu’un autre personnage, un auror, qu’il ne connaissait guère. Et enfin il y avait Khalina, cette chère et fameuse Khalina dont il partageait certains intérêts et une même douloureuse blessure…

Pour l’heure Henri était venu à Pré-Au-lard pour une raison précise ; il commençait à le connaître très bien ce village, depuis toutes ses années de professeur à Poudlard, et il appréciait également que ses habitants soient parmi les seuls à n’avoir jamais cru qu’il était un mangemort. C’était vraiment agréable de ne pas croiser certains regards à Pré-Au-lard, et de savoir qu’on était accepté.
Mais cette seule impression ne suffisait pas à réconforter Henri ; veuf depuis toutes ces années il en avait développé une certaine petite routine destinée à palier la perte d’affection. Oh bien sur, le sens moral, la coutume et les bonnes manières eussent voulu qu’il resta à se morfondre et à chérir la mémoire de son épouse décédée mais il n’était pas ainsi. Et c’était pourquoi chaque samedi soir, ou parfois un peu plus, Henri allait dans cette fameuse rue de Pré-Au-Lard où il y avait cette fameuse maison et il y trouvait cette fameuse affection.
Depuis toutes ces années de cette « routine » on avait commencé à beaucoup l’apprécier : il était charmant, respectueux, se donnait à fond, et payait double tarif. Que des bonnes raisons de voir le « Comte » venir faire son devoir. Et ce ne n’était un secret pour personne.

- « Oooooh c’est not’e sieur De Hurlevent qui vient voir ses pécheresses »
- « ce s’ra ‘vec qui c’soir Henri ? Tu m’avais promis que ce serait mon tour ! »
- « l’écoute pas chéri, cette nuit tu es tout pour moi pas vrai mon bijou ? »

N’allons pas croire que ces jolies, et jeunes, femmes étaient irrésistiblement attiré par lui : l’argent était une puissante motivation, rien de plus. Il ne les jugeait pas, c’était leur vie et il avait la sienne. Chacun savait qu’à Pré-Au-Lard la liberté et le respect régnaient, et c’était suffisant pour sa conscience.

Henri – « Vous êtes charmantes comme toujours mes toutes-belles, ce serait bien de vous décevoir. Si vous en avez tant envie je peux peut-être essayer de vous satisfaire ensembles, pour éviter les jalousies…. »

Il n’eut cependant guère le temps de s’entendre développer le reste de cet alléchant programme car un événement bizarre eut soudainement lieu. Pré-Au-Lard était un village lumineux, très éclairé, resplendissant des lumières de chaque boutique et de chaque maison qui le composaient. Pourtant, quartier par quartier, tout s’éteignait et laisser place à une profonde obscurité…
Pas normal du tout tout ça.

Henri – « Mesdames, rentrez et barricadez-vous le plus possible. Envoyez des hiboux à Poudlard et au bureau des Aurors, je crains qu’il ne se passe quelque chose de grave…. Surtout n’ouvrez à personne à moins de n’être tout à fait certaines. »

Il sortit quand à lui sa baguette et entreprit d’aller découvrir ce qui se passait. Normalement il aurait du utiliser « Lumos ! » mais il ne souhaitait absolument pas se faire remarquer. Le village semblait désert, et l’agitation ambiante morte. C’était vraiment inquiétant……

Par là-bas il lui semblait apercevoir une lumière ; oui, une sorte de sphère lumineuse, avec pas mal de monde autour. Fichtre, c’était justement tous ceux qu’il avait croisé avant de poursuivre son chemin. Bon au moins il n’était pas tout seul. Quand à cette sphère lumineuse que diable pouvait-ce être ?
En un éclair elle illumina le pâté de maison et chacun d’entre eux, comme un soleil qui aurait explosé ; des cris se firent instantanément entendre, hurlements de douleur et de peines. Puis il n’y eut plus rien, et tout aussi soudainement la sphère disparut.

L’instant d’après il voyait un immense chien faire face à l’un des sorciers, celui qui était un horreur. Quelle horreur, il fallait battre cette bête sur le champ. Mais avant qu’il n’ait pu faire quelque chose le chien avait soudain rapetissé, et disparu. Henri se calma instantanément, comprenant que le soi-disant chien devait être autre chose. Une hypothèse commençait à trotter dans sa tête, et l’action suivante confirma ce qu’il pensait.

Une femme venait en effet d’apparaître, une femme qu’il connaissait bien : Minerve Rosenberg, une ancienne élève et une ancienne alliée en des temps très révolus. Elle parlait au jeune Serpentard, ou plutôt lui disait des atrocités, de quoi détruire psychologiquement et à jamais le gamin.
Henri avait confirmation : c’était un épouvantard qui se tenait devant eux. La créature qui se nourrissait de leurs peurs et retournait leurs phobies contre les sorciers. Lui-même n’était pas très sur de comment il gérerait la situation face à cela mais le jeune gosse, Dante si il se souvenait bien, ne pouvait pas être laissé ainsi.

Ok, allons essayer de l’aider.

Henri – « du calme Dante, je connais ta mère et malgré son caractère épouvantable et l’opinion que j’ai d’elle je sais qu’elle ne pourrait jamais être aussi horrible. Tu es devant un épouvantard Fils ; allons reprends-toi, respire à fond : tu es entouré d’amis, tu ne crains absolument rien. Maintenant je veux que tu regardes cette chose et que tu la combattes comme tout bon Serpentard peut et sait le faire. Vas-y fiston, aie confiance ! »

[HJ: Derrière moi, quand j'ai lu ton texte, i avait eut un de mes personnnages qui m'a crié aux oreilles: Quel caractère épouvantable?]

– Du calme, Dante, je connais ta mère et malgré son caractère épouvantable et l’opinion que j’ai d’elle je sais qu’elle ne pourrait jamais être aussi horrible. Tu es devant un épouvantard Fils ; allons reprends-toi, respire à fond : tu es entouré d’amis, tu ne crains absolument rien. Maintenant je veux que tu regardes cette chose et que tu la combattes comme tout bon Serpentard peut et sait le faire. Vas-y fiston, aie confiance !

Dante avait-il entendu les paroles du Professeur De Hurlevent? Rien n’était moins sûre. Une deuxième larme glissa le long de sa joue. Minerve ria.

- Moi, un épouvantard? Il ne sait pas sûrement pas ce que c’est, de toute manière…

Il avala sa salive. Sa mère ne s’était pas trompée. Elle semblait avoir la possibilité de lire chaque une de ses pensées, et c’était tout de même gênant, en plus de cette situation. Il releva la tête. Elle s’était rapprochée, et le regardait froidement.

- Relèves-toi…

Bien évidemment, il obéit. Une question pointa cependant dans son esprit : comment était-elle sortie de sa folie? Il avait été la voir, le jour de son départ à Poudlard, pour s’assurer qu’il avait malheureusement aucune chance qu’elle sorte encore pendant quelque temps.

- Mère… Comment êtes-vous sortit de…

Le corps se raidit, puis approcha. Elle prit avec ses doigts chauds le menton de Dante, qu’elle souleva un peu.

- Ça te donne au moins une allure de fierté, maintenant… On ne pose pas ce genre de questions, si ce n’est pas la personne qui a été frappée qui amène le sujet. Si tu ne le savais pas, ton éducation est réellement incomplète.

En plus de tout ce qu’il venait de faire, et avait fait auparavant, il venait de la blesser. C’était réellement horrible. Comment avait-il osé, lui Dante Rosenberg, faire quelque chose comme cela? Pourquoi? Il n’était pas celui que tout le monde voulait qu’il devienne. Même sa mère, celle qu’il vénérait pour un si grand sacrifice, était déçue…

Non, il ne méritait pas sa vie. Oncle Elias le lui avait bien dit, n’est pas?

POURSUITE DE LA QUÊTE, ALLEZ LA COMPAGNIE PAR ICI !

Code:

Il apparait clairement que rien ne se fait par hasard. Avec un cri strident, l'Epouvantard disparait, laminé par ces attaques successives. Et c'est là que l'on entend d'autres cris, lointains, embrouillés, difficiles à déchiffrer, mais qui tous semblent crier la même chose : << Les Centaures ! Les Centaures se révoltent ! >>. Tout le monde se regarde et toute personne connaissant un minimum les lois comprend la logique de cette révolte. Depuis toujours les Centaures se sont refusés à être classés dans une quelconque catégorie de Créatures Magiques selon la classification du Ministère. Ils ont voulu faire un coup d'éclat. Et apparemment se sont montrés assez persuasifs pour rallier à eux d'autres créatures et mener une attaque sur Pré-au-Lard, le seul endroit où ils ne trouveraient que des sorciers.

Dans la ruelle, derrière le groupe de nos joyeux drilles, se font entendre des hennissements de colère et des bruits de sabots frappant les pavés. Les Centaures approchent. Une flèche siffle au dessus du crâne de Dante Rosenberg pour se ficher dans un mur quelques mètres plus loin. Une voix rauque s'écrie alors : << Par ici ! Il y a un groupe de sorciers juste là ! >>. Des grognements de colère lui répondent. Il vaudrait mieux éviter de s'attarder ici...

INSTRUCTIONS :
_ Echappez aux Centaures qui vous poursuivent par n'importe quel moyen (sort ou fuite).
_ Il est déconseillé d'attaquer un Centaure car cela donnera lieu à un combat singulier qui ne vous laissera pas indemne (foi de MJ). Mais si vous aimez avoir mal ou vous prendre pour un héros, n'hésitez pas.
_ N'hésitez pas à vous scinder en plusieurs groupes : soyez logiques, vous ne leur échapperez pas en restant tous ensemble.
_ Pour les adultes, sachez que votre bon coeur vous empêche de transplaner. Il y a avec vous des élèves qui n'ont pas encore cette capacité. C'est votre devoir de les protéger.
_ Une fois sauvés, arrangez vous pour vous trouvez dans un endroit calme, et un autre danger vous apparaitra.

Il reste deux posts du MJ avant la fin de cette quête. Courage. Ceux qui auront participé jusqu'à la fin de la Quête remporteront les objets mis en jeu.

[ Niaaaaaaaaar... Enfin fini de message! ]

- Tempus Oris.

Dante retenait sa respiration. C’était comme si on lui avait compressé l’air tout autour de lui, formant ainsi un immense étau qui l’empêchait de faire le moindre geste. Il se sentait mal. Et c’était peu dire.

En plus, il avait terriblement honte. Comment pouvait-il se laisser ainsi en public? Et aussi, comment pouvait-il avoir autant déçu sa mère, sa propre mère qui avait fait le maximum pour dans les possibilité qu’elle avait? Il était si indigne…

- Ecoute Dante, un épouvantard est une créature terrifiante mais tu peux le vaincre. Ce n'est pas ta mère que tu vois là bas, c'est simplement ta plus grosse crainte. Tu n'as pas le choix, tu dois la vaincre. Il faut prendre sur toi. Pense à quelque chose de drôle. Je sais pas moi, ta mère avec un gros nez rouge, ou avec des oreilles de lapin et lance le sort Ridiculus. Tu dois le vaincre Dante, c'est ta seule chance.

Oh, ce n’était QUE ça… Dante était ironique. Il se devait de l’être. Il était un Rosenberg.

Mais un indigne.

Ou encore, un Rosenberg indigne qui va chercher un peu de dignité.

Et puis, qu’avaient-ils donc à tous connaître son nom?

Il regarda la créature – car, apparemment, c’en était une. Il chercha sa baguette sur lui. Il avait l’impression d’être extrêmement rapide, puis très lent. En effet, le monde, qui bougeait pour une raison inconnue au ralenti, se mit à accélérer. Autour de lui, on allait à la même vitesse que lui.

- Que cherches-tu, progéniture indigne?

La dignité était de plus en plus en jeu… Mais, remarqua une petite partie du cerveau de Dante, son langage était loin d’être dans le commun des sorciers. Il acceptait qu’elle ait manqué un chapitre ou deux de l’histoire moderne de la sorcellerie, mais ce n’était pas énorme… Après tout, ses professeurs parlaient correctement, n’est-ce pas?

Sous ses doigts qui prenaient une allure pressante sous la présence de plus en plus proche de la créature se forma enfin une bosse longue et effilée. Il prit sa baguette et l’empoigna presque solidement. Il hésita à la pointer sur sa mère.

- Crois-tu pouvoir m’attaquer? J’ai participé à des batailles dont tu n’oserais même pas imaginer… et toi? Qu’as-tu fait?

Dante avala la salive qui s’était écoulé dans sa bouche par cause d’activité mentale nulle. Que devait-il faire, maintenant? Sa main se leva sans qu’il ait le temps d’y penser réellement.

- Ridi…

Que devait-il dire après? Il ne s’en souvenait plus. Sa mère prit une tête absolument haineuse. Ce qui lui fit immédiatement pensé à Kelly, sa petite cousine, et à ses éternels caprices comme elle seule savait comment en avoir.

Puis, le bout de formule finale qu’elle avait entendu lui revient en mémoire.

- Ridiculus.

Le sort frappa. Ainsi, tout le monde put voir apparaître une petite fille de sept qui portait la même robe et la même expression que la fausse Minerve Rosenberg.

- Maintenant, vas-tu poser cette baguette et m’obéir? Ne t’es-tu pas déjà assez…

- Tais-toi, mini Kelly.

Dante n’avait pas envie de rire. Mais ça sortit tout seul. Après tout, il riait de Kelly à chaque fois qu’elle faisait une de ses crises du je-suis-le-centre-du-monde. Et là, c’était particulièrement… amusant, non?

Il n’eut pas le loisir de rire bien longtemps. En effet, la créature attaqua une autre personne. Dante en profita pour s’éloigner un peu du centre d’intérêt, à défaut de se fondre dans l’ombre, car cet élément n’existait pas si proche d’une boule de lumière…

Le temps lui sembla passer rapidement. Puis, tout le monde vaincu son… c’était quoi, le nom, déjà? Professeur De Hurlevent l’avait dit, mais enfin, ça avait peu d’importance. Il savait qu’on le lui apprendrait plus tard. Enfin, pour en revenir à nos dragons, il semblerait qu’il était le seul ignorant dans tout le groupe. Comment avait-il pu avoir été dupé aussi facilement? Après tout… il avait bien vu un chien, avant sa mère.

La réflexion aurait pu durer longtemps. Pourtant, elle fut écourtée par des cris absolument… inhumains. Trop embrumé par le sommeil qui avait prit avantage de son épuisement psychologique, il ne put identifier immédiatement ce que c’était. Mais il trouva tout de même.

Il avait des centaures dans le coin.

Il regarda tout autour de lui. Il ne voyait rien. Mais il pensa vaguement aux cris du début. Il recommença à regarder de tous bords, tous côtés. Étaient-ils tombés dans un piège? Il était plus que préférable que non…

Mais, oui, il avait des centaures qui venaient. Le premier réflexe de Dante fut de courir. Ce n’était pas très courageux, mais il n’était à Gryffondor, n’est-ce pas? Et puis, c’était tant mieux ainsi, à quelque part… Sa lignée aurait été complètement reniée si ça aurait été le cas.

Il lui sembla que la course fut longue. Mais, en même temps, il courrait de toute la vitesse que pouvait lui permettre ses jambes. Et ce n’était pas rien. Mais tout de même… il savait que sa petite taille avait comme énorme avantage qu’il pouvait se glisser plus facilement que le ferait une personne adulte. Pour une fois qu’il était content qu’il soit petit, et ça devait arrive en pareille occasion…

Finalement, au bout de son souffle, il s’arrêta. Il avait parcouru des rues et ruelles qui lui avait parut terriblement sombre. Après tout, la lumière n’était toujours pas de retour dans le village…

Il semblait que tout était calme… son subconscient lui souffla un « pour l’instant ». Il ne voulait pas écouter de genre de chose.

[Et ça ne parraît même pas que ça fait plus de 2 pages Word... ]

tj d'actu?

J'attendais l'arrivé d'un message d'une autre personne...

De façon à être 3.