Boston.

I. Identitée Générale.

Nom + Prénom : MacKenzie Boston Achille Domitille.
Age, Date de Naissance : 11 mai 1984. 16 ans.
Etat Civil : Célibataire.

II. Identitée Poussée.

Adresse :Manchester.
Origine Géographique : Née à Brighton, Angleterre.
Niveau de Vie Social :Correct.
Baguette Magique : De composition classique, bois de chêne et plus de phoenix, elle est très courte : 16 cm. Souple.
Inventaire: Une plume à papote, un appareil photo magique et un équipement pour batteur.
Famille : Son père, Paul MacKenzie, est né à Boston en 1965. Vers l’âge de ses 10 ans, son père fut muté dans son pays d’origine, le Royaume-Uni. Paul, un sorcier, fit donc ses études à Poudlard où il fut réparti à Gryffondor. Homme passionné, fougueux, impulsif et autoritaire, qui peut se révéler violent. Il rencontra sa femme dans une librairie moldue. Ellen Jacob, une moldue, tenait la librairie. Femme simple, douce, gracieuse, qui se souciait toujours des sentiments d’autrui. Ce fût sa culture qui séduisit le sorcier, venu en quête d’un livre sur la Guerre de Troie. Ils vécurent un amour sans nuages, bien qu’Ellen redoutait les excès de colère de son fiancé, celui-ci particulièrement jaloux. Deux ans après leur mariage, Ellen tomba enceinte. Un garçon. Un garçon ! Rien n’était plus beau aux yeux de Paul. Son désir le plus profond. Inexplicable. Sa femme fut tuée de ses propres mains pour avoir enfanté une fille. Boston. Celle qui l’aimera malgré tout.
Boston est fille unique. Elle ne doit avoir que deux ou trois cousins. Ses grands-parents sont tous morts. Aux dernières nouvelles, son père aurait une nouvelle fiancée.

III. Physique.
- Description : Elle n’est pas extraordinairement belle mais elle a son charme. Et la vision de la beauté diffère : certaines personnes la trouveront mignonne et d’autres non. Un visage rond qui s’affinera avec le temps. Des grands yeux ronds, d’un bleu vif et saisissant. La couleur change selon l’humeur et le temps, passant du bleu-gris au bleu foncé. Ils sont rieurs. Mais surtout par son beau sourire qu’elle fait passer ses émotions. De belles lèvres pulpeuses. Son teint est pâle, aux joues roses, quand elle sourie des pommettes toutes mignonnes apparaissent. Elle n’aime pas son nez : il est trop rond à son goût. Elle possède de longs cheveux châtains bouclés qui lui tombent dans le milieu du dos. Elle aime les colorer en bruns et les lisser de temps en temps. Elle se trouve trop petite : 1m65 mais elle est de corpulence normale pour une jeune fille de son âge, elle doit peser dans les environs des 50 kg. Elle se tient toujours très droite. Ses mains sont étonnamment fines. Elle inspire la douceur. On ne pourrait jamais croire en la voyant pour la première fois, qu’elle est aussi bagarreuse. Elle a un charme enfantin mais féminin.
- Signes Particuliers : : Une petite cicatrice à peine visible sur son bras dû à une brûlure et une autre, vestige d’une bagarre qui date de sa 4^ème année à Poudlard
- Style Vestimentaire : Boston porte le plus souvent une tenue simple : jean et T-shirt, bien que son vêtement fétiche soit le polo. Bleu marine de préférence.. Elle raffole des robes : elle en possède des simples, comme un grand T-shirt porté sur des collants opaques, ou alors des plus élégantes, pour quand y a un bal à Poudlard, par exemple. Il lui arrive de temps en temps, de faire des excentricités, elle ose et assume mais tous les jours, elle trouve ça lassant à la fin.
IV. Caractère.
- Description : Petite, on la décrivait comme fade. Enfant, elle se transforma en garçon. Adolescente, elle en garde les vestiges. Elle n’est pas difficile mais explosive. Elle est courageuse. Qualité et défaut. Sa persévérance peut vite tourner à l’obstination. Jamais elle ne lâchera l’affaire, tant pis si elle se fourre dans le pétrin. Elle s’en sortira toujours. Elle déteste qu’on la contrarie. Bagarreuse, jusqu’à la moelle. Si on la provoque, elle ne va pas longtemps s’en tenir aux mots et elle est d’une force étonnante pour sa carrure. C’est son plaisir. Et si elle n’est pas à l’origine, elle trouvera bien un moyen pour se jeter dans le tas. De nature curieuse, elle adore fouiner, entendre des morceaux de conversations à la volée, qu’on lui révèle des choses croustillantes. Après, il ne faut pas s’étonner que ça se répande comme une traînée de poudre, si vous avez eu un différent avec elle un peu plus tôt. C’est son côté peste dirons nous. Pourtant, elle ne pense pas qu’avec les poings. Elle peut se faire relativement douce et agréable. C’est une « fille sympa » : sociable, drôle, toujours partante pour la fête, généreuse. Elle a besoin de se sentir apprécier, entourée. Seule, elle ne sait jamais trop quoi faire et étudier ça ne la passionne pas plus que ça. Convaincue que rien n'arrive au hasard, elle croit au destin. Elle est née malchanceuse, et elle est maladroite. D'une énergie sans limites, elle aime partir à l'aventure, et l'imprévisible, elle ne pense jamais aux conséquences, au futur. Elle n’a pas de vraies valeurs sauf l’amitié : pour un ami elle pourrait se couper la main. Dénuée de tout sens logique, elle passe facilement du rire aux pleurs. Elle peut aussi devenir agressive si on la tire de sa rêverie, elle râle peut-être trop, elle le sait. Elle est soupe au lait. Elle sait aussi qu’elle n’a aucune ponctualité, organisation, qu’elle remet tout lendemain. Mais elle ne s’efforce pas de gommer ses défauts. Elle bouge partout, c’est une vraie boule de nerfs. Bien qu’impatiente, s’asseoir et regarder les gens passer, parler, rire, manger et boire, faire, est un vrai plaisir pour elle. Des préjugés ? Evidement, elle en a mais elle reste une fille ouverte. Elle contredit souvent son cœur, elle se persuade que tel chose est fausse, qu’elle n’aime pas une personne mais l’autre. Sauf avec elle-même, c’est une fille franche, qui ne tourne pas toujours sa langue 7 fois dans sa bouche avant de parler, qui, pourtant, a du mal à s’ouvrir en amour. Elle va mal ? Elle ne le dira jamais mais ça se ressentira dans son humeur. Elle est d’une intelligence normale avec une bonne culture.
  
  C’est une fille équilibrée, avec autant de qualités que de défauts. Elle n'est ni unique, ni commune.
Réaction face aux Dangers : Elle n’a pas peur. Elle dégaine sa baguette et fonce. Un peu trop téméraire peut-être, elle ne réfléchie pas toujours avant de se lancer. Son impulsivité et son goût du risque peuvent lui jouer des tours.
Peurs, Phobies : Contrairement à beaucoup de personnes, elle n’a pas peur de la mort. Que ses proches la quittent ? Elle n’y pense pas une seconde. Mais elle a une phobie courante : la claustrophobie. C’est un calvaire pour elle de rester une heure dans un espace confiné.

V. Biographie.

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[*]Histoire Juvénile :

« Il s’appellera Achille ! Ou Boston. Tu ne trouves pas que c’est beau ? »

L’homme était accroupi face au ventre de la femme. Elle était enceinte de huit mois. L’homme avait mis ses mains en coupe sur le ventre, la tête posée contre celui-ci. La femme hocha avec douceur de sa tête brune.

« Achille. Hum. C’est original. Boston, ça n’est pas pour un enfant. Un nom de ville américaine, voyons… Moi, je préfère Charles, Richard, un beau prénom avec beaucoup de classe. C’est rare de nos jours. »

C’était un mois de mai comme tant d’autres, avec sa douce chaleur. Charles et Richard étaient des prénoms royaux. L’homme, était féru de mythologie grecque, originaire de Boston. Elle se regarda dans le miroir. Elle avait enlevé sa jupe en lin noir et ouvert sa chemise blanche, pour être plus à l’aise. Vivement qu’elle accouche. Une femme enceinte n’est pas ce qui est de plus beau.

C’était une moldue, elle passa donc faire une échographie. Surprise. Le soir, elle embrassa son mari.

Deux semaines plus tard, le fils prodigue allait naître. L’homme était si excité. En chemin, il se dit que Charles, ce n’était pas si moche. Il avait dû patienter 7 heures. Dans cette salle, pleine de futurs pères, qui tournent en rond, qui stressent. Un homme en blouse bleue arriva enfin. Il vit sa femme. Elle était éprouvée, son visage tiré. Elle refoulait ses larmes.

« Félicitation M. McKenzie ! Voici votre fille ! »

Une fille. Oui, il pouvait le constater sur la chose rose et braillante qu’on lui tendit. Il y avait erreur. Evidement. Il jeta un regard vers sa femme, cette conasse, elle hocha la tête. Il tomba à genoux.

« Boston. Elle s’appellera Boston Achille…Domitille. »

Boston grandit à Brighton. Une petite maison, près de la plage. Sa mère, décida de l’envoyer dans une école moldue. Les gens s’étonnaient toujours en voyant une petite gamine affublée d’un prénom si extravagant. Sa mère lui prodiguait un amour fébrile, ses gestes tendres tremblants, le sourire plein d’excuse. Boston n’en su jamais les raisons. Enfant charmante, mais dont le caractère fut qualifié de fade, tout simplement parce qu’elle se dévoilait peu. Mais de l’autre côté de la rive, il y avait son père. Papa. L’homme qui doit vous aimer comme sa propre vie, comme une princesse. Il ne disait jamais « Ma fille » mais « Mon enfant », le nez plissé. Boston regardait les autres pères amener leur fille, après l’école, manger une glace. Sa chambre était bleue.

Jamais il ne lui acheta une robe, une poupée. Un jour, sa mère lui fit des nattes et la vêtue d’une robe rose assortie aux nœuds qui retenaient sa coiffure. Elle courra vers son père, se tînt droite devant lui.

« -Papa, je suis belle ?

-Non. »

Il ne l’avait pas regardé. Trop douloureux. Il fixait un père et son fils, un ballon de foot sous le bras. Il gardait dans sa chambre tous les vêtements pour garçon, comme une relique. Le bain : un moment de complicité entre les parents et l’enfant. Il refusa de lui en donner un seul. L’unique fois où il vit le corps nu de sa fille, il la regarda de haut en bas. La pris par les épaules et cracha à son visage :

« Répugnant. »

La petite ne chercha pas à comprendre. Elle souffrait juste.

Le dîner, se faisait toujours dans le calme. Elle avait huit ans.

« -Elle doit savoir, Ellen, elle ne peut pas me décevoir encore plus.

-Tu crois ? Tu sais… C’est une sang mêlée…

- Tais-toi. »

Et il lui fit savoir. Il lui apprit les bases de la magie, son monde. Il s’isolait avec elle, pour tout lui apprendre. Et la petite, le soir, elle priait. Priait pour avoir la magie dans le sang. Pour que son père l’aime un jour peut-être.

« -Papa, d’où viennent mes prénoms ?

- Ignare. Evidement que tu n’aurais jamais pu te nommer Achille. Boston, est ma ville natale. Achille est l’un des plus grand héro grec. Domitille, un choix de ta mère, une martyre, je crois »

La mère avait entendue cela. Le soir, dans le lit conjugal, elle se glissa près de son mari et lui murmura à l’oreille :

« Je savais depuis la fin du huitième mois que c’était une fille. Ils avaient mal vu le sexe de l’enfant. Aime la. Elle ne veut que ça. Il n’y a aucune différence que ce soit une fille ou un garçon. »

Elle tremblait. Il se leva sans un bruit. Elle aussi, ses yeux écarquillés de terreur. Elle courra vers lui, les larmes aux yeux. Il la gifla.

« TRAINE. CREVE. CREVE. »

Il la poussa à terre. Pris de démence. Il se mit à califourchon sur elle, qui ne chercha pas à se défendre. Il l’étrangla. Aussi simple que ça. Il creusa sa tombe le soir même. Le matin, il versa un bol de céréales pour sa fille.

« Ta mère est morte. Ne le dis à personne. C’est notre secret. »

Sec et net. Boston avait neuf ans. On savait depuis onze mois qu’elle était une sorcière. Notre secret. Elle tint parole. Un secret avec son père, c’était merveilleux. Ils déménagèrent. Quitter Brighton et sa plage de galets déchira de cœur de la petite fille. Elle serra fort dans ses bras ses amis moldus avant de monter de en voiture. Ils partirent à Manchester. Ville froide&grise. Elle alla dans une autre école tandis que son père transplanait chaque jour au Ministère de la Magie. Elle repensait sans cesse à la mort de sa mère. Son paternel disait qu’elle était « partie sans prévenir et jamais revenue ». Boston pensait que c’était une façon moins douloureuse d’annoncer la mort de sa femme. Elle ne su jamais les sentiments de son père. Elle avait un caractère plaisant et pas mal d’amies. Son père lui interdisait de les inviter chez elle. Tout le monde se disait que la mort de sa femme avait du l’aigrir. Le pauvre homme, si jeune, avec une petite fille à charge.

Un jour, elle brava une règle d’or. Elle pénétra dans la chambre de son père. Elle vit son trésor. Des habits de poupons, de petits garçons. Le temps ne les avait pas terni. L’espoir perdu de son père. Son secret inavouable. Qu’elle n’avait jamais réussit à percer. Il avait tant voulu un garçon. Elle fouilla dans sa mémoire. Rares étaient les moments de tendresses qu’elle avait vu entre ses parents. Il lui en voulait. C’était de sa faute si il avait à présent une fille. Mais Boston ne sera jamais la raison de ce désir. Elle courra dans chambre. De ses ciseaux d’écolier elle coupa ses boucles brunes, une par une. Déchira ses robes.

« Papa. Tu es un sorcier non ? Je veux être un garçon. »

Il était épuisé par sa journée. Il cligna des yeux. Il vit la porte de sa chambre ouverte. Cette fois, ce fut sa fille qu’il gifla. Il regarda son visage. Ses cheveux courts inégaux ne parvenaient pas à effacer la douceur féminine de son visage aux grands yeux bleus. Ses yeux. Son regard d’excuse, le même que sa femme, mais aussi teinté d’envie et d’amour. Elle l’aimait tout de même, elle voulait le comprendre alors que lui, égoïste n’avait jamais tenté une approche. Renaissance. Il tomba une nouvelle fois à genoux et pleura.

Il ne se montra pas plus doux avec elle mais il y porta une attention nouvelle. Elle se comportait comme un garçon, elle jouait au foot, réclamait une console de jeux. Il lui fit connaître des choses extraordinaires, il lui fit visiter l’Amérique et plus particulièrement Boston. Être un garçon, c’était merveilleux.

« - Je t’aime papa.

-Moi aussi fiston. »

Fiston. Paf. Nouvelle révélation pour Boston. Son père aimait juste le garçon. Pour lui, Boston, la fille, n’était rien. Elle lui avait dit deux fois « je t’aime » dans son enfance. Il n’avait rien répondu. Elle caressa ses cheveux, qui avaient repoussé en une sorte de casque brun, elle avait voulu demander à son père d’aller chez le coiffeur. Non, elle n’irait pas. Elle crevait d’amour pour son père mais elle ne changera pas.

Elle avait 11 ans depuis six semaines. Elle reçu une lettre de Poudlard. Son père lui sourie. Et il l’emmena au Chemin de Traverse.

« Tu ne m’aura déçu qu’à moitié. Moins même. »

[*]Histoire Scolaire :

« Travaille bien. Sois sage. Va à gryffondor. »

Une bise sur la joue et la petite Boston était déjà dans ce train. Un train merveilleux, le Poudlard Express. Son premier voyage, elle ne s’en souvient plus tellement. Elle devait être avec plein d’autres gamins et parler avec animation. Poudlard, Quidditch, enfance (sujet rapidement traité pour Boston), parents sorciers ou moldus? Poudlard, animaux etc… Où ils voulaient aller. Où ils ne voulaient pas aller.

« Gryffondor ! »

Boston avait presque crié. Avec défi. Elle devait aller à Gryffondor. Et ce fut chose faite. Sa scolarité ne fut pas particulièrement spéciale. Elle avait des notes correctes, parfois un peu trop moyennes, préférant rêvasser qu’écouter. En potion, c’est une catastrophe ambulante mais elle persévère. L’arithmancie ce n’est pas son fort aussi. Mais elle se révélera particulièrement douée en SACM. Elle se fit trois amies merveilleuses: Heaven, en même année qu’elle, Tallula, plus jeune d’un an et Rose, elle, en 7^ème année. Que dire de ces filles ? Boston pourrait s’arracher un bras pour elles. Après il y a d’autres amis et ennemies. En effet, MacKenzie a le goût de la bagarre. Elle entra dans l'équipe de Quidditch de Gryffondor en tant que batteuse, évidement. Et comme toujours, il y a un garçon, un seul. Elle aura eu sinon un ou deux copains, sans plus. En 5^ème année, elle a passé ses BUSES, elle travailla dur, dur pour avoir des notes plus ou moins bonnes :

Astronomie : A
Arithmancie : P
Botanique : E
Défense contre les Forces du Mal : E
Divination : E
Etude des Moldus : /
Etude des Runes Anciennes : /
Histoire de la magie : A
Métamorphose : E
Potions : D
Soins aux Créatures Magiques : O
Sortilèges : E

Aujourd’hui Boston est en 6^ème année.
VII. HRP.

[list]
[*]Prénom :
[*]Age RP : 15 ans.
[*]Comment trouvez vous le forum ? What a Face

Désolée pour la mise en page désatreuse ^^'

Bonsoir,
Où en est la fiche? Puis-je validé?

Terminée !

Sympa. J'aime beaucoup !

=) Bienvenue sur Horcruxes, Boston (puisque pas de prénom) Razz

!

gryffondor sera ta maison, alors !

Merci !

J'ai hâte de commencer. Boston. 8454

De rien !

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