Mal barrée p.v. Malhorn

Ils l'ont retrouvée et trainée ici. La balle d'argent s'enfonce, l'empoisonne... Empêche sa faculté de régénération d'agir. De hurlement en hurlement, ils appellent l'Alpha. Essaient de soigner leur soeur tout au loin de la nuit, sous forme lycane c'est un peu ardu, Ils ne retardent que l'échéance.

La lune se couche, rendant à la jeune femme sa forme humaine. Lui donnant un nouveau délai. Les potions sanguines font effet... Avec un peu de chance, l'Alpha va arriver bientôt.

Mais inconsciente, la balle d'argent la tirant tranquillement vers ses pairs morts, elle ne pourra l'acceuillir chaleureusement à son habitude.

Ce soir c’est bouleau, pas de temps pour la chasse, même si le cœur est à l’envie peut-être que sais mieux comme sa. Il est assis, a semi-conscient, une lumière faible tamisée, baisée sur une tonne de papier marquer d’encre noire. Des comptes ? Ba si, il est aller à l’école lui aussi.. Les chiffres il en raffole pas, d’habitude c’est elle qui comptabilise.. Mais aujourd’hui il lui a donner sa nuit.. Qu’elle s’amuse.. Pendant que lui se tape les comptes.

Dans la salle, le crépitement du feu se mélange à la respiration sourd de l’homme, son large dos appuyer contre le cuir rougeoyant du sofa, en portant bonne oreille, on pourrait presque qu’entendre un mince ronflement. Il dort ? Pourtant ses yeux son entre-ouvert.. Non il ne dort pas.. Bien pas vraiment. Seule une partie de son esprit se repose tandis que l’autre reste a-l’aguets.

Se n’est pas l’appelle de la meute qui fini par le réveiller, mais l’inconfort des vêtements qu’il porte pour dormir. Une chemise entre baillée sur la poitrine, blanche manche courbée jusqu'à l’hauteur des coudes, sur des pantalon noir, finement taillée à sa taille, fait sur mesure, manquerait que les mocassin. Pourquoi s’être habiller si chique ? Parais que sa aide a la concentration de monsieur.. Qu’ainsi, il peut se concentrer t’elle un moldus sur des calculs qui non a ses yeux que trop peu d’importance. Comme s’il jouait un rôle.

Amuser par le rêve qu’il vient de faire, un sourire pendu sur les lèvres tandis que le dos se courbe pour le pencher sur la table de bois ou repose l'attirail du parfait petit mathématicien. S’il s’écouterait, il y reposerait sa tête pour retourner rêver.. Bien trop fatiguer. Mais un frisson le traverse lorsque l’appelle arrive jusqu’à lui. Cette fois-ci, il n’a plus le gout de dormir, pour sa non, il est bien réveiller..

Préparer la salle, j’arrive.. Pense t’il, pour la collectivité. Ce qui ne leur laisse pas grand délaie d’agissements, une fraction de seconde plus tard l’étincelle cristalline éclairant dans la pénombre tout près de sa blanche.

Les loups autours du corps d’Yseult on un mouvement de recul, baisse la tête vers le sol.. Redoute la réaction de l’alpha. Mais celui-ci reste pourtant calme, très calme.. Le moment n'est surement pas au explosion de colère..

Couteau, pince.. Et laisser-nous seul.

Les loups acquiescent d’un simple mouvement de la tête, disparaisse dans les coins ombrés de la pièce laissant l’alpha au bon soin de la louve. Seul un homme repasse l’espace d’un instant, laissant dans une assiette couteau et pince suivi d’un ver d’eau pour l’opération qui allait sans suivre.

Il ne lui a pas encore jeter un regard, il ne sans sent pas capable.. Et s’il échouait ? Il na aucune pratique qu’elle qu’il sois dans ses jors d’opération.. Si au-moins j’étais médecin, boucher.. Ou au pire sculpteur! La sueur perlant sur son front.. Il prend une grande respiration.

L’opération dure une longue minute, a ses yeux cela semble être des heures, tandis que les lames de métal traverse la chair, des effluves d’argent vienne lui bruler la joue. L’opération laissera une belle cicatrice, la salle comportant que peu de lumière. Elle semble déjà commencer à cicatrisé.. Il a réussi.

Elle a besoin de repos, lui il a besoin de s’avoir.. Il là tout simplement porter dans un lit, d’une chambre d’une pièce conjointe. C’est placer un tabouret a ses cotée.. Et attend.. Il ne reste plus rien d’autre a faire.. Qu’attendre..

...

Qui ? Qui ta fait sa ?

Elle se laisse hisser jusqu'au Valhalla des lycans. Mais son Alpha en a décidé autrement. L'argent lui est arraché de la chair. La toxine partira.

Elle se sent portée jusqu'à un lit, lit ou elle reposera de longues heures, tout le long du jour, bercée par l'Esprit de la Meute qui lui offre un réconfort inimaginable. Non elle n'a pas peur de mourir. Mais elle devra vivre encore un peu.

A cette pensée, un infime sourire effleure son pâle visage. Malhorn le sent.

Qui ? Qui ta fait sa ?

Une inspiration tandis que l'oeil bleu blanc se pose sur l'Alpha.

Le chasseur... mon enfant... Je l'ai mordu... Un des nôtres.

Sa main va chercher le grand battoir qui est celle de Malhorn. Une lueur de reconnaissance muette dans l'oeil. Elle lui a dit. il décidera si le nouveau lycan est viable ou pas.

Elle prends les doigts, s'y aggrippe avec une reconnaissance et un amour pur et infini.

L’homme assis dans la noirceur a presque totalement perdu tout espoir.. Il est arriver trop tard, elle ne sans sortira pas.. Il commence à le ressentir.. Ce sentiment qui lui est amer.. Puis qui laisse place à la rage, ne rien pouvoir faire.. Ne pas être en état de comprendre, bien que l’odeur du chasseur soit abondante sur le corps d’Yseult.

Il pense à comment le déclarer au autre, essayer de leur faire comprendre.. Lorsque lui-même y reste inconscient.. Les larmes ne lui montent pas au yeux, il rage de l’intérieur, la tristesse viendra ensuite.. Dans sa poitrine son cœur semble s’être arrêter.. Il ne le sent plus, fin bref, il ne ressent plus rien. Plus le sol sous ses pieds, plus le siège qui lui fend le cul depuis le temps qu’il y est assis. Les yeux fermer, son corps pèse lourd dans le vide tandis que les ténèbres consume son humanité.. Son âme semble avoir prit des kilo de trop en un claquement de doigt tandis que sa gorge se noud. Sa doit ressembler à sa se faire pendre.. Se dit-il dans un moment de délire profond. Point serrer, au fond de lui quelque chose vient apaiser sa douleur.. Les paupières s’entrouvrent, le cristal gris humide pivote..

Elle sourie.

On pourrait aisément imaginer la scène.. Il la prend dans ses bras, remercie les dieux qu’il na jamais prier de l’avoir conserver en vie.. L’embrasse et reste coller contre elle pour avoir la seule satisfaction d'entendre se son qu'il pensait étain.. Celui de son cœur a elle.. Qui bas pour le sien.

Mais on est pas dans un roman d’arlequin.. Encore plus vrai lorsqu’on prend conscience qu'on est entrain de parler de Malhorn.. Bien que ses sentiments veuillent exprimer mille choses.. La seule qui en sort est cette fichue question..

Il n’a même pas fini de la poser qu’il se maudit déjà de l’avoir prononcer.. Mais elle ne semble pas avoir été gêner.. Peut-être.. Surement.. Nen n'attendait-elle pas moins de sa part..

Le chasseur...

Dono…Connard….. Jvais le bute…

mon enfant...

Quoi ?

Je l'ai mordu... Un des nôtres.

Pour sa.. Il ne trouve rien a ajouter. La dernière phrase tournant dans sa tête.. Il voie le visage du chasseur réjoui de son acte.. Et il ne veut pas le croire.. Pour lui Donoline doit être aller se cacher dans l’une de ses petites cachette improvisée, un ver de wiski en main entrain de festoyer l’acte qu’il vient de commettre. Et elle.. Qui dit qu’elle la mordue.. qu’il est maintenant l’un des leurs.. Elle doit tout simplement délirer.. Se doit être l’argent.. Voilà.. Il ne peut pas en être autrement.. Non.. C’est impensable. Et puis.. Il son déjà partie à sa recherche.. S’il n'est pas cacher.. Sa ne sera plus long que sa vie s’achèvera. Car la meute ce soir, est enrager..

Il plonge son regard dans le sien, une lueur de pitié dans le cristal, reconnaissance dans ses yeux blancs. Il fini par lui sourire, un sourire muet en coin.. Tandis qu’elle lui agrippe la main. Sert ses doigt pour s'y agripper.. Il sert aussi.. Pour ne plus jamais là lâcher.

Doucement il s’approche d’elle, fait attention de ne pas l’écraser lorsque son torse ce longue sur le sien.. Il voudrait la serrer contre lui, mais décide de rester ainsi a quelque centimètre d’elle.. Le nez dans son coup.

Tes frères vont te venger.. Ne t’inquiète pas.. Lui chuchote t’il d’une voie des plus rassurante au creux de l’oreille. Se sang impur aura commis son dernier acte contre les nôtres ce soir.. Je te le promets.

Regret.. Choix difficile.. C’est lui qui devrait être dehors.. Mais le rôle d’un chef s’arrête parfois avant la ligne de front.

Tes frères vont te venger.. Ne t’inquiète pas.. Lui chuchote t’il d’une voie des plus rassurante au creux de l’oreille. Se sang impur aura commis son dernier acte contre les nôtres ce soir.. Je te le promets.

Non, il ne comprends pas. Elle essaie de le lui dire, mais les forces lui manquent et elle se retrouve de nouveau bercée par les bras de l'inconscience.

**********

Conbien de temps a t elle dormi? Aucune idée. Mais le coton sur sa peau nue la fait soudainement frissonner. Les yeux s'ouvrent tandis qu'elle se redresse, tâte sa cicatrice, l'argent... Elle n'y avait jamais eu droit. La morsure fut cuisante et la lecon réelle.

Le torse nu à la lueur de la lampe, elle cherche soudainement quelque chose, le trouve en Malhorn qui la regarde, appuyé sur ses coude, la veillant avec inquiétude.

Un sourire aussi éblouissant que ses yeux bleus blancs. Doucement, elle écarte les draps et s'asseoit dans le lit, laissant le drap tomber, subermement flambant nue, avec l'innocence propre aux enfants.

Merci...

Dit elle simplement en inclinant la tête pour marquer sa soumission envers son Alpha.

Il a passer toute la nuit a la veiller.. C’est normal.. Il ne pouvait en être autrement.
Il ne fermait tout simplement pas l’œil.. Regardait à la loupe chacun de ses mouvements tandis qu’elle dormait.. S’assurant qu’elle reste avec lui..

Coucher en colimaçons.. Pour ne pas empiéter son espace dans le lit a une place.. Il se maudit de ne pas l'avoir mit dans un lit double qui auraient améliorer sa confortabilitée.. Mais d’un autre cotée.. Être ainsi proche d’elle.. Lui rend un grand bien.. Un sentiment qu’il a du mal a comprendre.. Ba.. Qu’il essaie d’ignorer.. Même si ses agissements en prouvent le contraire.. La face plonger dans son coup.. Respirant l’effluve de son parfum naturel.. Blottie pour sentir sa chaleur.. Tandis que l’inquiétude le ronge. Sa lui apporte un peu de confiance.. Sa le rassure en réalité.

La nuit passe ainsi.. Elle fini par se réveiller.. Bouge plus fréquemment durant son réveil.. Ses mouvements plus vifs lui donnent l’alerte.. Et il se tasse.. Se place tout coller sur le rebord du lit.. Pourquoi ? Il ne le sait pas.. Sa lui est venue par pur instinct.. Elle se retourne vers lui, ses petits yeux entre ouvert marqué par la fatigue, croisent son regard inquiet..

Il fini par relever sa tête, accote sa main contre celle ci prenant appuie sur l’un de ses coudes.. Les draps à moitié couper à la hauteur de ses hanche indiquent qu’il na pas passer la nuit tout habiller.. Normale pour les louloup..

Elle lui sourie.. Il lui répond de la même façons tout en essayant de rester naturel pendant qu’il essaie de tenir en équilibre sur le bord du matelas qui commence à le menacer de le faire tomber. Elle se relève laissant paraître la splendeur de ses traits.. trop tard les vibrement de son déplacement fon bouger le matelas. Et lui idiot, tombe à la renverse sur le sol froid. Quelque seconde plus-tard sa tête refaisant surface au-dessus du matelas, le visage rougeâtre.. Gêner de ce qui vient d’arriver.. Surtout dans les circonstances dans lesquelles elle se son produit.

Maudissant de tous les noms se fichu matelas trop petits.. Cela doit être la première fois qu’Yseult peut voir Ryan dans cet état.. Il fini par se relever de tout son long malgré que son cocsis le fasse souffrir.. Il passe une main dans ses cheveux le regard pencher sur les yeux d’Yseult et ne peu s’empêcher un rire timide avant de remonter dans le lit en tâtonnant le matelas pour être sur de bien être assis cette fois ci.

La rougeur de ses joues s’estompe doucement, tandis que ses yeux restent écarlates.. Les cheveux en bataille sur la tête et la petite lumière tamiser du feu lui donne tout un look. Assis devant elle... Il fini par regarder la cicatrice de la balle.. Un air inquiet sur le visage..

Merci...

Sa te fait mal ?


Elle penche le regard pour lui prouver sa soumission.. Mais ici.. il ne le veut pas.. elle n’a pas a lui prouver.. Passant la main sous sa mâchoire pour relever son visage doucement.. Il lui sourie tout simplement et lui caresse l’une de ses joues pour atteindre du bout des doit ses mèche blonde.. Ses pupilles se dilates, frisonnement dans tout son corps au contact de sa peau.. A vrai dire malhorn ne peut plus l'ignorer.. après cette nuit se sentiment est devenue encore plus vrai.. Au fond de lui, même si il le cache.. Il recent plus que ce qu'il ne devrait resentir a son égard.. Lorsqu'il la pensais mourante, la vue de la voir morte lui était insuportable.. Il aurait donner sa vie pour la sienne si il l'aurait fallu.. Sans hésitation.. A vrai dire.. il était rester a ses cotées pour une seule raison..

Et sa fini par le frapper.. Elle doit avoir faim ? Heureusement tôt se matin l’un de leur frère a penser à leur amener quelque gigot saignant dans une assiette déposer sur le tabouret qu’il a faillie accrocher en tombant précédemment. Ramène le mouvement de sa main vers lui, il lui fait signe de regarder l’assiette.. Se coup si.. c’est lui qui semble soumis.. le regard bas.. comme si ce qui lui avait été servi n’était pas assez bien pour elle a ses yeux a lui.

Si ta faim, le cuistot nous a amener le déjeuner.. Il aurais pu plus se forcer.. Mais bon..
Surtout.. Mange tout .. Tant a plus besoin que moi..

Heu...

Yseult regarde Malhorn d'un air interrogatif, l'assiette sur ses genoux. Faim? Si elle a faim, mais pas de quoi de terrible ni d'urgent. Voyons voir...

Une douce main blanche se tend, touche l'homme au front, se coule dans son cou. Vérifie par des gestes maintes fois répétés au fil du temps qu'ils se connaissent.

Es tu malade?

Demande t elle, de l'inquiétude plein la voix.

Es tu malade?

Malade ? non.. Tout simplement.. Amoureux ? C’est dure a dire.. Ce qu’il ressent.. C’est tout simplement différent.. Inexplicable.. Il avait déjà été amoureux.. D’une femme.. De Mina.. Il y a longtemps.. Il pensait s’avoir ce qu'était être amoureux.. Tout connaître.. Mais avec elle, c’était différent.. En somme.. Être amoureux si c’était bien cela qu’il ressentait à son égard.. Était une maladie.. C’est contagieux.. Sa tape quand on ne sans attend pas.. Et sa semble impossible a dissiper.. Surtout quand il n’y existe pas de remède.. Il serait donc logique de répondre..

Oui..

Idiot.. Non ! Double idiot. Bravo mon cher Malhorn.. Pour perdre tous tes moyens tes un chef. Tu veux en faire un art ? En tk.. Tu es bien partie.

J'ai du attraper froid..

Il la regarde.. Sa se vois.. Elle le sait.. Il y a quelque chose de pas net.. Et cette fichue conscience qui lui dicte de lui dire.. Pour une fois son coté humain pourrait se la fermer.. Laisser le louloup agir.. Déjà lui.. Il sent sortirais mieux.. Mais voilà la pièce du casse-tête qui manquait.. Le loup versus l’humain. Avec Mina, il sans tirais.. Avec tous les femmes qu’il séduit, pour les amener dans son pièges.. Il réussie t’elle un dieu. Pour la simple raison que sa reste un jeu.. Bestiale.. C’est revenir au source.. C’est tout calculer d’avance..Facile et claire.. C’est le loup qui sans occupe.. Pas lui.. Pas l’humain qui réside dans son corps.. Et jusqu’à maintenant.. Encore.. Sa allais.. Sa marchais.. S’était discret.. Impénétrable.. C’était le loup qui sans chargeait.. C’est pour sa que ce sentiment était si bien cacher.. Ignorer.. Son coté humain lui n'avait pas encore succomber au charme d’Yseult.. Mais là.. Oui maintenant tout avait changer.. Depuis cette dernière soirée.. Depuis qu’il avait prit conscience qu’un jour il pourrait la perdre..

Sa lui en avait fallu du temps.. Quoi que normale ! Avec la Sibérie.. Le retour au source.. Et son voyage pour revenir ici.. À Londres.. L’humain n’avait pas eu beaucoup de temps parmi la réalité.. Il sommeillait tout simplement..

Il lui agrippe la main.. Passe son pousse sur sa paume tandis qu’il berce ses yeux dans les siens..

Tu sais.. Ha et non.. Oublie ce que je voulais dire..

Oui..

Les prunelles bleues blanches s'assombrissent. Penchant son svelte corp par en avant, elle renifle, cherche à savoir ce qui ne va pas. La nature de la maladie.

J'ai du attraper froid..

Un sourire amusé éclaire le pâle visage. Elle dit de sa voix douce.

Un lycan qui attrappe froid? Tu n'a jamais eu un rhume de toute la Sibérie Ryan...

Il lui agrippe la main. Elle pose sa main par dessus délicatement, ne voulant pas aggraver sa blessure en voie de guérison. Il passe son pouce sur sa paume tandis qu’il pose ses yeux dans les siens..

Tu sais.. Ha et non.. Oublie ce que je voulais dire..

Elle a l'air très inquiète. Tire doucement, s'étire pour passer le corp de l'homme en revue. Elle l'a soigné tellement de fois en Sibérie et au delà qu'elle connait chaque parcelle de peau par coeur. Se place à genoux devant l'Alpha elle le touche aussi délicatement que les ailes d'un papillon.

Dis moi ce que tu as... Tu m'inquiète. Tu n'es pas blessé pourtant. Tu as pris encore une écharde et ca s'infecte?

Dit elle en examinant une épaule...

Dis moi ce que tu as... Tu m'inquiète. Tu n'es pas blessé pourtant. Tu as pris encore une écharde et ca s'infecte?

Tu te moque de moi là..

Un regard offusquer de cotée qui ne dure pas très longtemps.. Un sourire en coin venant tout défaire son petit plan.. Comment pourrais t’il se fâcher contre elle.. Il ne réussie pas.. Suffit de la regarder.. Qui le pourraient ?

Tandis qu’elle s’approche de lui, ses yeux tournent au dorée.. Il l’agrippe cette fois si par la taille.. Là fait doucement pivoter entre ses bras pour la placer dos contre son torse... Tout en fessant attention de ne pas la brusquer.. Un doux grognement en respirant une bouffée de sa chaleur. Le louloup c’est réveiller.. Elle peut le sentir..

Il vient poser doucement la main contre sa cicatrice.. Ne pèse pas fort mais applique tout de même une certaine pression.

Quesque je deviendrais si tu ne serais plus là ?

Au doux grognement, elle dévoile instinctivement la jugulaire en un geste de confiance pure. Lorsqu'il pose la main sur sa cicatrices fraîche et sensible, elle tressaille d'appréhension.

Yseult sait que Ryan peut être aussi violent que doux. La jeune fille le connait.

Qu'est que je deviendrais si tu ne serais plus là ?

Le grognement, la chaleur de la peau la ferait ronronner si elle étais chatte. Mais elle n'est pas chatte, elle est lycan (roh le jeu de mot.) Instinctivement, elle se blotti contre lui.

Tu continuerais ta vie. Je ne suis pas irremplacable...

Dit elle avec franchise. Yseult ne connais pas le mensonge.

Tu continuerais ta vie. Je ne suis pas irremplaçable...

Si tu ne le serais pas.. Je n’aurais pas tout fait sa pour te garder en vie..

La voie claque.. Il délaisse son étreinte.. Se lève et se mais à se rhabiller.. Aujourd’hui est une nouvelle journée et vue qu’elle ne semble pas se trouver importante.. Il a d’autre chat a fouetter.. Et elle.. Un resto a faire rouler.

Non mais tu tes entendu penser Malhorn ? Et quoi encore.. Plus susceptible que toi on en fait pas.. Et puis quoi.. C’est vrai tu as passer la nuit a la veiller.. Elle ne comprend pas qu’elle est importante pour toi.. Elle ne comprend pas combien elle compte à tes yeux.. Et toi tu te fâche.. Au lieu de lui montrée cette importance..

La main sur la poignée de la chambre, il se stoppe.. Tourne la tête vers elle et ne déni même pas la regarder..

Pour moi tu l’es..

Il la laisse dans son lit.. Ouvre la porte et la referme derrière lui durement.. Reste un instant a coté dos contre celle-ci, ses yeux plonger sur son visage refléter dans un miroir en parallèle. Ses iris argent.. Lui.. Seul.. Face à lui-même..

Quesque tu attends ?
Quesque tu veux prouver Malhorn.. ??? POURQUOI !

Crac.. D’infime gouttelette de sang tombe sur le sol. Les dents serrer.. Les yeux toujours rivés contre son reflet maintenant saccadé, détruit rougeâtre.. Son point profondément entailler..

Quand il part, elle se recouche, semble vouloir dormir... En fait, elle est épuisée, l'argent dans son sang ne s'évacue pas en une nuit de sommeil.

Mais ce qu'il lui a dit lui tourne dans la tête même si elle n'en comprends pas le sens. Dans son innocence pure, elle ne comprends pas. Tout le monde l'a toujours protégée et si il y a des gens qui l'ont plus gardée des choses de la vie encore, c'est bien sa Meute. Ils lui passent tout ses caprices, petite louve blanche tellement aimable et pure.

Mais tout poison égale élimination. Les besoins de la nature se font sentir dirons nous. Se levant, elle avise un large tee-shirt noir laissé là par on ne sait trop qui. Son frère de Meute Mark à en juger par l'odeur, Perdue dedans, elle se dirige vers la porte doucement, combattant les vertiges et les nausées. Puis ouvre la porte au même moment ou le poing de Malhorn s'abat sur le miroir, aspergeant le joli minois de la jeune fille de gouttelettes rougeâtres.

Perplexe, elle cligne simplement des yeux une fois, pour analyser la situation.