Alone another day alone PV

* Apres son cour de métamorphose, qui pour être vraiment sincère n'avait absolument rien suivit, il sortit de la salle en traînant les pieds. Il avait un mal de crâne mais plus qu'abominable, cela avait commencé a repas de midi, a mainte reprise il s'était touché le front il n'était absolument pas chaud, il n’avait ni mal dans ses membres et n'avait pas mal a la gorge non plus. Alors il estima que s'était un manque de repos. Pourtant l'heure de reprise des cours, l'avait complètement cassé. Il avait l'impression qu'on le martelait avec un énorme marteau piqueur. Pour passé se mal, il décida sur un coup de tête d'allé faire un petit tour au lac, l'histoire de respirer un peut d'air frais et pure. Il avait déposé ses affaires dans son dortoir comme un fantôme qui traverse un mur. Il se mit à courir dans les couloirs pour atteindre alors la grande porte. Par chance elle était ouverte il ne perdit donc pas de temps a s'arrêter, et accellera l'allure. C'est légèrement essoufflé qu'il arriva au bord du lac.

Quentin se passa une main dans ses dread et fixa l'horizon d'un regard vide de toute expression. Il commencait a se trouver stupide de la réaction qu'il avait eu vis a vis de Jeremy. Encore une fois il avait fait le con, et en plus de ca il s'etait encor eplus enfoncé qu'autre chose. Sortir sa baguette et la pointé devant son propre frere mais qu'est ce qui peu pousser quelqu'un a etre aussi nul et incontrolable? Et le pire, une chose pouvait être sur, jeremy ne lui en voulait surment pas. Il ne lui en veut jamais, comment arrive t'il, comment peut il toujours lui pardonné, aors que Quentin lui même ne lui pardonne rien? Comment peut il continué a le regardé, alors que quentin lui meme n'ose se regardé. Tellement de chose dans le comportement de Jeremy qu'il n'arrivait a comprendre, Jerem etait plus adoré que Quentin ici bas et pourtant son caractere etait tout aussi bizarre et dure a étudier.

Brefff, dehors, au bord du lac plus ou moins tranquille, Il faisait froid, humide, et quand on levait la tête, vers le ciel, celui était recouvert d'une légère brume. Pas un temps où l'on avait envie de sortir. Mais c'était connu et prouvé, Quentin était de nature contradictoire. Il aimait aller dehors quand il faisait mauvais temps. Même si tout le monde était dedans. Bref, on ne s'étendra pas sur ses envies et ses pensées car franchement... pas intéressant. Il tourna la tête et observa la forêt au loin, enveloppée de brume. Le danger l'avait toujours attiré d'une irrésistible manière, mais là... Là il avait quelque chose à faire, ici vers le lac. Il se pencha en avant et trempa ses doigts dans l'eau. Elle était gelée, tellement qu'elle brûlait presque. Il adorait cette sensation... Retirant sa main, il observa les légers remous à la surface. Un monstre ? Il n'y croyait guère, même si l'idée l'excitait plus qu'autre chose. Ses yeux balayèrent les alentours... Il n'y avait personne. Tant mieux. Ce qu'il comptait faire requérait une tranquillité absolue.

Il s'installa bien au milieu de 2 arbres a coté du lac, puis Il s'essaya par terre, dans la position appelé " position du lotus " afin de médité un peut. Oui il avait besoin de faire le vide dans son esprit pour être un peut plus léger. En faite s'était surtout pour être dans le calme, et tenté de se reposer un peut. Mais bon tout ça pour dire, qu'il en avait vraiment besoin. Et que s'accorder même une petite pose dans cette position ne pouvait lui faire que le plus grand bien. *

Invité

James marchait doucement dans les couloirs du château de Poudlard, tentant à tout prix d'éviter de rencontrer des gens. Il n'en avait pas réellement envie, pour ne pas dire, pas du tout. En effet, l'hispanique, depuis qu'il était revenu du Mexique, était quelqu'un qui était devenu des plus taciturnes et solitaires. Le fait de voir son père dans un tel état le rendait complètement malade. Son père dans le coma, c'était comme si sa vie était mise en pause. Son père avait toujours été là pour lui, ce que sa mère n'avait pas pu ou voulu faire. Il s'en fichait désormais de cette dernière, surtout depuis la lettre qu'il avait reçu de cette dernière. Comment pouvait elle lui demander pardon ? Comment pouvait encore lui dire qu'elle l'aimait ? Et surtout, comment pouvait elle dire qu'elle était amoureuse de son père tout en sachant qu'elle n'était même pas venue le voir à Ste Mangouste ? Ça l'énervait, bon dieu que cela l'énervait... L'hispanique se mordit le poing en voyant le visage de sa mère devant ses yeux. Ça le mettait complètement en boule, il avait la rage, cette envie de lui en mettre une bonne dans la figure pour laisser sortir les émotions qu'il ne pouvait sortir désormais. Lorsqu'il croisa son reflet dans les toilettes des garçons, il ne put s'empêcher de donner un coup de poing dedans avec une telle force, qu'il en cassa le miroir, ensanglantant sa main et les brisures du miroir. Pourquoi avait il fallut qu'il est les mêmes yeux que cette femme ? Pourquoi avait il les mêmes yeux que sa mère ? Jaime soupira. Il s'approcha doucement de la fenêtre, tout en se nettoyant la main avec un papier pour s'enlever le sang et se rafistoler les plaies à l'aide de magie.

L'air qui entrait dans la pièce à la suite de la fenêtre ouverte, lui caressa doucement le visage. Cet chose eut pour effet de le calmer grandement. James referma doucement la fenêtre avant de prendre la direction du parc. Marchant doucement, il s'élança avec douceur et tranquillité vers le hall d'entrée pour parvenir à prendre un bon bol d'air. Sa robe de sorcier flottait doucement derrière lui. Au fur et à mesure de ses pas et des gens qu'il croisait, son regard devenait toujours un peu plus agressif, solitaire, voir hautain, poussant ainsi les gens à ne pas lui adresser la parole, il avait besoin de solitude, pas d'une bande de con qui lui courait après pour lui demander : Pourquoi t'es partit un mois ? Ou tu étais ? Et ton père ? Il est où ? Hein ? Pourquoi le Ministre Mexicain est venu à Ste Mangouste pour prendre son fils sans passé voir la ministre Anglaise ? Bref, tant de questions qui l'aurait énervé. Il donna un grand coup de pieds dans la porte du hall pour l'ouvrir. Lorsqu'il sortit, l'air vint de nouveau lui ébourrifer les cheveux avec douceur. Jaime eut un léger soupir avant de se mettre à marcher pour tenter de tout oublier. Il voulait ne plus avoir de liens avec les gens. Un besoin total de se fermer... Il s'en était tellement fermé, qu'il n'avait même pas vu Quentin qui était assi devant lui. Ce n'est qu'au dernier moment qu'il tenta de l'esquiver et qu'il se prit les pieds dans les siens, le faisant tombé au sol. Il se retourna pour se mettre sur le dos, les bras maintenant son buste légèrement en hauteur, et il lui dit, d'une voix agressive :

- Tu peux pas t'asseoir sur un banc au lieu de casser les couilles à t'asseoir en plein milieu du sentier ?

Il était à cran et cela se sentait.

* S'était dans des moment comme celui la que Quentin faisait attentivement attention a se qu'il entourait. Certes il ne voyait absolument rien, vu que ses yeux étaient fermés, mais il était très attentif aux moindres bruits qui l’entouraient. Le moindre petit bruit à proximité de lui, il l'entendait encore plus que parfaitement bien. Du craquement de branche entre les 2 arbres où il était, que le bruit que faisaient les quelques courageux poissons qui sautaient a la surface de l'eau pour se laisser retombé dans celle-ci, au moindre plus petit bruissement d'herbe. En pleine méditation tous es sens étaient ouvert a l'extérieur; Cependant celui qui travaillait le plus, celui qui était donc le plus en ouverture avec l’extérieur était en outre son ouie, depuis tout petit il avait eu un certain qu'était d'avoir l'ouie très fine, il pouvait entendre des sons que parfois les gens même ne pouvaient pas percevoir. En faite il avait juste eu un peu de chance, car l'être humain composé de 5 sens en avait toujours un plus développé que les autres. Chez Quentin il s'agissait de l’ouie. C’était grâce a cela qui se mettait au courrant des derniers potin grâce a ça qu’il guettait les pas des profs ou autre et encore grâce a ça qu’il pouvait composé des tablatures sur sa batterie et refaire celle de chanson connu. L’ouie, l’oreille musicale… tout ce sens était important.

Autrement dit la il en entendit un, s'était un bruissement d'herbe, puis après quelque secondes écoulé, c'est un léger soufflement qu'il entendit, mais vraiment très léger. Il ne voulait pas bougé, après tout il n’était pas non plus invisible facile de l’éviter même pour un aveugle. Et pourtant un effronté réussi quand même à se prendre les pieds dans ses jambes. Punaise de tous les malchanceux qu’il connaissait le jeune gomme qui venait de se prendre les pieds dans les jambes croisé de Quentin était le pire. Une vraie catastrophe sur patte et ambulante. Il ouvrit alors d'une traite les yeux. Ses pupilles étaient toutes dilatée, mais avec la lumière du jours, celle ce reprirent une taille a peut près normal. Il inspira un bon coup. Il se passa la langue sur les lèvres, Il ne a pas s’énervé non il va resté calme et ne rien faire de provoquant ni d’outrageant vis-à-vis du pauvre élève par terre.
« - Tu peux pas t'asseoir sur un banc au lieu de casser les couilles à t'asseoir en plein milieu du sentier ? »
La s’en était beaucoup trop déjà l’autre lui fonce dedans comme un abrutit, pour ne pas dire comme un troll parce que se serait insulté cette race bien plus évolué mentalement que l’autre réduit a l’état de serpillière affalé lamentablement par terre et voila qu’il se permettait ouvertement de lui gueulé après. Nan mais ou va le monde pour qui se prenait il celui la ? A bout ou pas, Fallait qu’il lui apprenne à mesurer l’ampleur de ses paroles. Il se releva d’un coup, la joue légèrement rosée par le froid, amis très vite devenu rouge par la colère qui avait submergé son être. Regardant le jeune homme celui-ci était sur le dos les bras lui maintenant le buste en hauteur… Il sortit sa baguette, le respect s’apprend quand on dresse *

Incarcerem
* Oui c’était bas de s’en prendre a quelqu’un a terre et sans défense, et ou est le problème ? serpentard reste serpentard ce n’est pas la maison des vils pour rien des cordes sortir de nulle part pour allé ligoté l’élève qui était par terre. Le ligotant contre l’arbre le plus proche, les liens se serrent en sorte qu’il ne puisse touché sa baguette. Il se rapprocha, le regard vide, le visage en colère il détestait être traité de la sorte, si le respect ne lui avait été enseigné, Quentin se ferais un vrai plaisir de le lui montré comment faire sortir, « un pardon, je ferais attention » Proche de lui, la baguette enfoncé bien comme il faut dans le creux du cou du pseudo serpentard, ses yeux croisèrent ceux du jeune homme, il le fixa encore plus qu’intensément. Certes Quentin aussi manquait de respect aux gens mais jamais a ce points la. *

Ne me parle plus jamais comme ça, ne me parle plus jamais sur ce ton la. Ne fait pas ton petit malin avec moi parce que je suis quelques années en dessous de toi. Ne sous estime jamais quelqu’un. Si tu n’assimiles pas très vite ses quelques règles tu pourrais tombé un jour sur un os encore plus dur que toi. Tu es a cran, Je suis a cran, mais va passé ta mauvaise humeur sur quelqu’un d’autre sinon je passerais la mienne sur toi, et ce qu’il restera de toi ne sera pas forcement beau a voir
Diffindo* Le bout de sa baguette s’alluma d’une lueur rougeoyante, le sort permettait de trancher n’importe quoi, oui avec ça on ne peu pas trop mesurer l’ampleur de la chose que l’on va tranché… Il regarda une dernière fois le serpentard dans les yeux avant de se glisser sur la droite et tranché les liens de l’incarcerem pour le délivré. Le serpentard tomba a nouveau au sol, et Quentin s’accroupi a son tour*
De nous 2, Tu es plus savant, tu connais beaucoup plus de sort que moi, tu es plus vif, et plus rapide. Je ne connais pas ton prénom, mais je sais en quelle année tu es, tout ca, je le reconnais et l'assume pleinement. Mais fait attention, prend garde, ce n’est pas une menace mais un message de prévention. Dans les livres on apprend énormément de choses. * Quentin se relève et s’appuis contre l’arbre, il n’ajouta rien de plus, rien de moins, il attendait. Il attendait quoi ? Une riposte, une parole quelque chose qui fasse que ce serpentard ce venge. Tous les serpentard ce venge ils n’aiment pas être humilié. Certes il pourrait ce protégé, le protegeo s’apprend en 2 eme ou 3 eme année. Mais pourquoi se protéger contre lui ?*