K.N.N *

Kataryna Nimov Nimovitch
« Jeux d’Enfants. »

Age, Date de Naissance :
SEIZE ANS, QUINZE JUIN
Année à Poudlard :
SIXIÈME ANNÉE
Etat Civil :
CÉLIBATAIRE

II. Identitée Poussée.

Adresse :
Charles Queen Gate, 351, LONDRES.
Origine Géographique :
Pologne.
Niveau de Vie Social :
Aisé.
Baguette Magique :
Faite de bois d’hêtre, la baguette de Kataryna mesure à peine dix-huit centimètres. Sur celle-ci se présente de magnifiques couleurs vertes et brunes. En son sein, règne une plume d’oie.
Famille :
Anyeska Kovalskijw – Elle est une jeune mère de trente deux ans. Retenue en Pologne, Anyeska n’a aucun droit sur sa fille, Kataryna. Dans un monde où la magie ne sert à rien, elle noie sa peine sur des parchemins qu’elle brûle ensuite. Rédactrice pour une piteuse gazette, Anyeska ne gagne que de l’argent pour survivre. Enfermée dans un appartement dont la taille est égale à une cellule de prison, Anyeska Sarah Allia Kovalskijw mettra fin à ses souffrances en n’inhalant du gaz.

Sergei Nimov Nimovitch - Ancien grand joueur de Quidditch, Sergei jouait pour la Bulgarie. Il était un excellent batteur. Sur trois cents matchs, il n’eut que quinze défaites. Un résultat surprenant pour un homme qui se retrouve obligé à présent de rester couché sur un lit. Souffrant d’une maladie des poumons, l’homme s’occupe très peu de sa jeune fille, il l’envoie régulièrement chez sa tante en Pologne pour les grandes vacances.

« Je Suis Juste Une Histoire Comme Ça. »

– En Polonais – « Elle est née, Monsieur Nimov Nimovitch. »

Affalé sur les fauteuils faits de plastique, Sergei se releva droit comme la lettre « i ». Il afficha un sourire glorieux, et gonfla son torse. Il marquait la situation. Le médecin le conduisit jusqu'à la chambre d’Anyeska et Sergei poussa la porte. Endormie, le visage de sa femme était marqué par la fatigue. Mettre au monde un enfant devait être un acte dur, et abominable se disait-il. Lui, qui avait été retenu à un match de Quidditch, n’avait pas pu assister à la naissance.

« Anyeska »

Dit-il d’une voix douce.

Il passa sa main froide sur le visage chaud de sa femme. Lentement, elle ouvrit les yeux. Afficha un sourire, et montra le berceau du bébé. Sergei recula. Il contempla d’abord la petite boule qui se trouvait à l’intérieur et se décida d’y pencher sa tête. Sa petite fille, son enfant, son bébé était arrivé. D’un geste lent et mal assuré il toucha le bout de son nez.

« Sergei ! »

« Il n’est pas encore temps, Anyeska. »

« Si, Sergei. Prends-là avec toi, ramène la en Angleterre ou jamais plus tu ne la reverras. »

« Nous avions tout prévu, Anyeska. »

« Apparemment, non. »

Des larmes coulèrent sur le visage de la mère, sa fille devait être expédiée en Angleterre afin d’assurer son avenir, car en Pologne, Anyeska n’était mère d’aucune petite fille, et Sergei était père du vent. Il fallait s’y attendre, les enfants à la naissance sont envoyés en maison de travaille, afin de leur apprendre les lois de la guerre pour les envoyer sur le terrain. En Pologne, la magie ne sert à rien, Sergei et Anyeska le savaient, ils avaient donc du prendre les devants.

« Kataryna Nimov Nimovitch, en honneur à ta mère, Sergei. »

– En Polonais – « Madame Kovalskijw, vous devez libérer la chambre. »

Le repos fut de courte durée. Sergei saisit sa petite fille, et l’enferma à l’intérieur de sa veste faite de cuir. Un dernier regard pour sa femme, et l’homme tourna les talons. Sergei savait, il savait qu’il ne reverrait jamais plus Anyeska, et qu’a présent il était le seul maître du destin de Kataryna.

Invité

« Quand J’avais Cinq Ans, Mon Père M’A Dit Que J’Avais Des Pouvoirs. Vous Aussi ? »

– En Polonais – « JOYEUX ANNIVERSAIRE, KATARYNA ! »

Joyeuse, la petite fille de cinq ans sautait partout, Sergei, les yeux brillants ne cessaient de la fixer. Il voyait en elle, Anyeska, sa femme. Elles se ressemblaient comme deux gouttes d’eau. Voilà bientôt six ans, qu’elle ne faisait plus partie de leur vie, et le manque affectif d’une mère se faisait réel, Sergei avait beau être présent, jamais il ne serait expliquer à sa petite fille les problèmes qu’une jeune femme subira en grandissant. Pour l’occasion, Patrycia, la tante de Kataryna était venue de Pologne, elle s’occupait de la petite comme sa fille, lui apportait un soutien moral, et physique.

– En Polonais – « Sergei, tu sais. Je pense qu’il est temps que tu parles à Kataryna en Français, sinon, la petite aura de grande lacune dans son futur. »

– En Polonais – « Elle n’a que cinq ans Patrycia ! Laisse moi encore du temps, pour l’instant, elle ne demande rien, elle veut juste en savoir plus sur l’absence de sa mère. La langue, n’est pas une barrière, je te demande encore du temps. »

Patrycia hocha la tête. Elle avait une confiance d’or en son frère, elle avait conscience que la vie pour eux deux ne devait pas être facile, et que sa présence ici était importance. Assis autour de la table, Kataryna frappait dans les mains. Tous ses cadeaux étaient posés sur la table, ses yeux étincelants les fixaient. Un sourire, et Sergei apporta le cadeau. Celui-ci était énorme. Il représentait une fille portant une robe rouge, et au dessus de la tête, était écrit en grand : Kataryna.

– En Polonais – « LES CADEAUX, PAPA ! LES CADEAUX ! »

– En Polonais – « Oui, Katy. Ouvres-les. »

Les mains de la petite fille s’élancèrent alors dans une course folle. Dont, elle voulait être la première. Commençant par le premier paquet, elle pu découvrir que c’était une belle robe rouge, seconde boite. Plus vite que l’éclair, des ballerines rouge. Troisième boite, un serre-tête. Un équipement complet d’habits du dimanche. Des larmes de joies coulèrent de son visage, et Kataryna contourna la table. Elle sauta au cou de son père, et l’embrassa sur le front, sauta sur le sol, et grimpa sur les genoux de sa tante. Un baiser bien placé. Sur la joue. Le respect. Son père disparu quelques secondes. Il réapparu les mains chargés d’une boite. Une petite boite. Une boite rectangulaire.

– En Polonais – « Assieds-toi, Kataryna. J’ai quelque chose d’important à te dire. »

L’obéissance. Elle descendit calmement des genoux de sa tante, et se posa sur une chaise. A cinq ans, déjà, Kataryna écoutait son père comme la voix de la raison. Il était tout pour elle, et à cet instant, elle comprenait que la discussion allait être complexe. Sergei resta debout. Il déglutit, et se lança. Il expliqua à Kataryna qu’elle n’était pas comme les autres, qu’elle avait un plus, qu’en Angleterre, il existait une école pour les personnes comme elle. Et que son « pouvoir » n’était pas une punition du Seigneur, mais bien une bénédiction. A la fin de l’explication, son père déposa la boite sur la table. D’un regard, il ordonna à sa fille de l’ouvrit. Les mains tremblantes, elle ouvrit la boite et découvrit la clef du secret. Innocence.

– En Polonais – « Je ne comprend pas tout, Papa. Mais je pense avoir retenu l’essentiel. »

Me diriez-vous, à cinq ans, les enfants parlent peu. Ne savent pas s’exprimer correctement, mais Kataryna, si. Avec son vécu, la petite du apprendre que la vie ne se construit qu’en apprenant. Sachant déjà lire, et presque écrit. Kataryna entrait dans la catégorie des enfants surdoués. Un atout. Elle descendit de la chaise, et les mains pleines se dirigea vers sa chambre. La baguette en poche, elle volait sur les nuages de ses rêves.

Invité

« Ils Se Moqueront De Moi. J’En Ai La Certitude. »

« NON ! »

« Mais, mais. »

« Vas-y doucement, tu dois y arriver. »

– En Polonais – « Je n’en suis pas certaine, vois-tu. »

« KATARYNA ! »

Les phrases les plus simples, les mots les plus simples, devenait pour Kataryna des phrases complexes. Les mots n’avaient plus aucune valeur, et les phrases ne voulaient plus rien dire. Son père lui apprenait le Français. Chaque jour, elle avait droit à cette tortue. A neuf ans, il était temps. Secouant la tête, Anyeska se voyait en elle. Sergei, se trompait même quelque fois, il l’appelait par le nom de sa femme, ce qui avait pour don d’énerver la jeune fille. Depuis son dernier coup de blues, Kataryna s’était endurcie, elle était devenue plus dure. Voir même, un peu plus froide.

« Répète après moi. »

« Oui. »

« Chaque jour, avec mon père, j’apprend à parler correctement le Français. »

Assimilant les mots, et les prononciations, le cœur de Kataryna fit un bon. Son accent, comment faire avec celui-ci ? Sergei parlait couramment le Français, et donc, son accent s’entendait peu. Mais pour elle, l’inquiétude était mise sur la table. Se décidant, elle plongea dans le vide, répétant avec insistance et rage la phrase, elle finit par la dire correctement.

« Pause. »

Une inspiration, et Kataryna ne s’arrêta pas. Elle prit le livre, et se mit à lire à voix haute. Les mots étaient quelques fois déformés, mais l’acharnement y était. Maladroitement, elle buttait sur certains mots, mais ne s’arrêtait pas pour autant, avec du courage, elle continuait la lecture. Pour l’entrée dans cette école pour les enfants différents, elle voulait être parfaite.

« Tu dois apprendre à Kataryna, l’écriture. »

« Pause, je t’ai dis. »

« Tu dois apprendre à moi, l’écriture. »

Elle fit glisser le livre sur la table, et prit de quoi écrire. Son père toussa. La décadence commençait. Plus de deux paquets de cigarette par jour l’homme fumait. Ses poumons partaient en vrille. Il dicta une histoire, et Kataryna se mit à écrire. Quand la jeune fille n’arrivait pas à orthographier un mot, celle-ci l’écrivait en Polonais, et son père corrigeait par la suite.

Invité

« A Comprendre Ce Que Vous Dites, J’ai Du Mal. »

Jour J. Les mains dans les poches, Sergei attendait Kataryna sur le pas de la porte. Dans sa chambre, la jeune fille bouclait sa valide. Tout était correctement plié. Rien ne dépassait. Pour l’occasion, elle s’était habillée de sa robe rouge, de ses ballerines, et pour faire ressortir ses yeux, elle mit le serre-tête. Enfin prête. Elle laissa glisser la valise, et descendit les escaliers. Son père se retourna. Les larmes aux yeux, il regarda son ancienne petite fille descendre.

« Prête ? »

« J’y pense. »

« Je, Kataryna. Je. »

« Je pense. »

Une tape amicale sur l’épaule. Le bus numéro quinze s’arrêta devant la maison. Sergei ouvrit la marche, les portes s’ouvrirent, il n’y avait plus beaucoup de place, il prit les billets, et fit place à sa fille. Restant debout devant-elle. Le chemin fut long, pendant ce temps, Kataryna lisait un livre. Elle s’entraînait encore et encore. Elle ne voulait pas faire d’erreur. Une boule au ventre, lui offrait une pression immense. A l’arrêt, Sergei sonna. De nouveau, les portes s’ouvrirent, la gare. Kataryna était perdue. Elle n’était jamais vraiment sortie de chez elle. N’avait jamais eu aucun contact avec des filles de son age, elle était tellement réservée.

« Je t’accompagne jusqu’au train. Après, tu devras suivre les autres, Kataryna. »

Les mains tremblantes, elle saisit sa valise, et la main de son père. Pour la seconde fois, elle allait être séparée de sa famille. Son père composait sa vie, il était tout pour elle, il était son organe respiration et en même temps son cœur. La gare était pleine à craquer, pour Sergei, tout ce monde ne servait à rien. Les adieux à l’aide d’un mouchoir blanc étaient minables, et les pleurs devant les vites étaient exécrables.

« Ecoute-moi. Tu montes dans le train. Ton numéro de place est noté sur le billet, tu cherches ton compartiment. Tu déposes tes valises et t’assois. Tu sais le faire, Kataryna. Tu es intelligente. »

– En Polonais – « Papa, tu m’as tout appris, mais il y a une chose que tu as oublié de me dire. Comment dis-t-on je t’aime ? »

Sergei prit sa fille par les épaules. Il l’enlaça avant de la pousser vers la porte du wagon. Retour en arrière. A la naissance de sa fille. Un dernier regard, et il tourna les talons. Sergei savait, il savait qu’il la reverrait. Oui, mais quand ? L’année prochaine.

Le trajet fut calme. Kataryna n’était pas seule dans son compartiment, elle était accompagnée de deux jeunes filles. Elles devaient se connaître depuis longtemps, vu qu’elles se racontaient leurs vacances d’été. Elle n’avait aucune envie de se mêler à la conversation, son Français n’était pas encore très bien, et les moqueries n’allaient pas tarder à faire face. Autant garder encore l’anonymat.

A Poudlard, certains groupes la montraient du doigt. Certes, elle n’était pas vêtue de l’uniforme, mais son père ne lui avait pas précisé cela. Elle portait donc sa robe rouge, la seule dans tout ce bleu. Dans la grande salle, tout le monde avait prit place. Kataryna laissa donc tomber sa valise à un coin, et rejoignis tout ce monde. Elle se faufila, et se laissa tomber sur le sol froid. La directrice fit un discours, et la cérémonie des répartitions commença. Les noms défilèrent, le choipeaux sur la tête, les élèves étaient envoyés aussi vite qu’une lettre à la poste dans leur maison respective.

« Kataryna NIMOV NIMOVITCH ! »

C’était à son tour, le cœur dépassant les cent à l’heure, la Polonaise se releva. La tête rivée au sol, les yeux brillants, elle se déplaça dans la salle. Tout le monde la fixait. Parce qu’elle était différente des autres, mais elle ne savait pas. L’erreur arrive à tout le monde, sachez-le. Un groupe d’élève riaient à tu tête. Un garçon se plaça rapidement devant-elle et d’une voix calme, mais insolente lui répliqua :

« Tiens, le Chaperon Rouge ... C'est plein de méchants loups, ici, tu sais ... »

Elle s’arrêta. Releva la tête, et ses yeux virent se posé sur le jeune homme. Elle était inerte. De marbre. Le jeune homme hurla de rire, et lui lâcha une tape dans le dos, remise en marche. S’asseyant sur le tabouret, le choipeaux sur la tête, Kataryna ferma les yeux. Durant quelques minutes, cette chose parlait sur elle, dévoilait son caractère à toute une assemblée.

Sans comprendre quoi que ce soit, la directrice la poussa. Debout sur l’estrade, elle regardait partout, ne sachant par ou aller, la jeune fille continua tout droit. Une main l’attrapa. Une fille, celle-ci lui lança un sourire et lui fit une place sur le banc.

« Moi c’est Elle Vanessa Swann. Et toi ? »

Kataryna resta muette. Cette fille n’arrêtait pas de lui sourire. En confiance, Kataryna lui rendit le sourire, et lui répondit à voix basse.

« Kataryna Nimov Nimovitch. »

Et les années passèrent, à une vitesse folle. Kataryna se lia d’amitié avec Elle. Les deux jeunes filles passaient des journées entières ensemble à rire. Mais Kataryna parlait peu. Elle préférait écouter cette fille qui semblait savoir parler correctement. Discrète, Kataryna était seule dans sa tour. Aucun Serdaigle n’avait voulu se limier d’amitié avec une fille qui porte une robe rouge le jour de la cérémonie. Seconde année. La première fut réussite avec une mention très bien. Malgré ses lacunes, la jeune fille compensait sur les sortilèges qu’elle réussissait avec exploit. Troisième année. La pire de toute peut être ? Qui sait. Plus Kataryna avançait dans les années, plus la solitude l’a tuait. Renfermée et triste, elle était la source numéro une de moquerie. Les élèves n’en rataient pas une pour la faire pleurer, ou pour lui crier tout haut : « SALE POLAK ».

La quatrième, et la cinquième année passèrent vites, Katy rentrait chez elle pendant les vacances, et racontait à son père tout ses exploit en matière de magie. Mais, jamais ô grand jamais, celle-ci lui racontait les moqueries qu’elle subissait. Elle se contentait de lui montrer ses cours, ses résultats et ses sourires.

« Et C’est Là Que Le Jeu Débuta : Cap Ou Pas Cap, Arrogance ? »

Un soir, après le dîner, Kataryna rentrait tranquillement à la tour des Serdaigle. Un groupe d’élève la bouscula, et ceux-ci se mirent à tourner en rond autour d’elle. A chaque tour, ils lançaient ses cours en l’air, et ceux-ci s’écrasaient sur le sol. Perdue au milieu de cette ronde, Kataryna se laissa tomber à genoux. Les enfants criaient, une fois de plus : « SALE POLAK ! ». Elle se mit les mains sur les oreilles, afin d’oublier la situation, mais ils reprenaient toujours plus fort, toujours avec tant de persévérance. Un jeune homme se faufila. Il s’agenouilla aux cotés de Kataryna et se mit à ranger les papiers qui traînaient au sol. Incapable de faire quoi que ce soit, la jeune fille se focalisa.

« ARRÊTEZ ! »

Kataryna sursauta. Les élèves choqués, s’arrêtèrent. La jeune Polonaise se releva, et récupéra ses affaires. En cet instant, elle ne savait pas quoi dire à ce garçon, ni même comment lui dire merci. Une haine coulait en elle. Se baissant, elle prit son sac, et le garçon lui toucha la main.

« Arrogance, et toi ? »

« Sale Polak. »

« Kataryna c’est ça. »

« Oui. »

« Tiens, c’est un cadeau de mon père. Je te la donne. Tu me la prêteras de temps en temps ? »

Une montre. Une magnifique montre. Kataryna laissa tomber ses affaires au sol. Elle prit la montre en main, et regarda le garçon d’un regard complice. Arrogance & Kataryna, un duo incompréhensible allait naître.

« Cap ou pas cap de frapper le garçon qui a commencé à m’insulter tout à l’heure ? »

Arrogance se leva. Et sans demander son rester, il envoya valser son poing dans le visage du jeune homme. Kataryna éclata de rire. La première fois, son premier rire en six ans. Le jeune homme revint, et Katy lui tendit la montre.

« Tiens. »

Depuis ce jour, Arrogance et Kataryna passaient leur journées et leur soirées ensembles, avec cette montre, ils débarquaient dans la vie des autres, débarquaient avec leur jeu d’enfant. Jusqu'au jour où… Olivia, elle, débarqua dans la vie d’Arrogance.

Invité

FICHE TERMINÉE *

Bienvenue

Bon ben

Serdaigle moi j'dis

Invité