Horcruxes - Les Reliques de la Mort
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 SUNDAY AVERY * LIKE THE SUN

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Sunday N. Avery
Elève en 6ème Année à Gryffondor
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Sunday N. Avery


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SUNDAY AVERY * LIKE THE SUN Empty
MessageSujet: SUNDAY AVERY * LIKE THE SUN   SUNDAY AVERY * LIKE THE SUN Icon_minitimeMer 20 Fév - 14:46


    SUNDAY NATALIA AVERY
    SUNDAY AVERY * LIKE THE SUN Ohpaintbrush_set25-059 SUNDAY AVERY * LIKE THE SUN Ohpaintbrush_set25-092

      « Il faut croire qu’il suivra une malédiction aux descendants de la Cerise. Elle nous a transmit sa beauté, de ce que notre famille nous dit, elle nous a également donnée sa malédiction. Je suis Sun, le soleil. Belle comme un rayon de soleil, enivrante comme son coucher. Alors je comprends ce que ma mère ressentait à mon âge… Je ne me sens pas rayonnante, je suis Sunday, une simple fille. Mais vous savez ce que font les réputations… Alors je suis le soleil, la jumelle du vent, et la fille de la si jolie Cerise et du farceur Grayson. »


    ONE. TWO. FREE.


    S comme Sincère. Tel fut et est l’amour de mes parents. Ma mère, Sky O’Carley et mon père, Grayson Peers, se sont rencontrés lors de leur première année, mais n’ayant jamais vu en l’autre, une quelconque possibilité d’amitié ils n’avaient chercher a se connaître. En effet ma mère était et demeure encore aujourd’hui la cerise. Mise en valeur par sa famille, personne à Poudlard n’ignorait qui elle était. Timide et peu sure d’elle, elle se pliait toujours en quatre pour pouvoir plaire et satisfaire tout le monde en oubliant ses propres envies, et son propre bonheur. Tout le contraire de mon père, à Poudlard, lui, il était plutôt du genre très farceur avec mon oncle Peers. Toujours fourrés ensemble, tout le monde les connaissaient pour leur dossier énorme gardé précieusement chez le concierge qu’ils s’amusaient à torturer gentiment. Ce fut par une journée hasardeuse lors de leur sixième année qu’ils se rapprochèrent. Restant une longue année amie, mon père m’a expliqué qu’il avait eu peur de blesser ma mère, de ne pas être a la hauteur de la Cerise. Et celle-ci disait tout le temps, que jamais quelqu’un d’aussi farceur que Grayson n’aurait pu aimer une fille comme elle, avec un destin su d’avance. Et pourtant Cupidon n’était pas de cet avis, et ils se sont aimés, ils se sont vus, et finalement, une fois ils ont cessées de nier à l’évidence. Et ce ne fut plus la Cerise et le farceur, mais le couple Cerise-Grayson. Encore aujourd’hui ils nous arrivent d’en rire à la maison lorsqu’on voit avec quelle force ils pouvaient s’aimer depuis la première minute, mais qu’il leur a fallut un an pour se l’avouer. Pour ma mère je met cela sur le dos de sa timidité, quand a mon père, c’était le manque de maturité peut être…

    Quoi qu’ils en soient depuis ce jour ils ne se sont pas quittés. Se mariant dès leur sorties de Poudlard, ils sont entrés ensemble dans le cursus de Défense contre les Forces du Mal, et on passer leur années d’études tranquillement. Et puis vint le jour de ma naissance. Un premier février, tout aussi hasardeux que l’était celui de leur rencontre. Il faut croire que chez les Avery tout est une question d’hasard. Je suis née la première, et ils m’attribuèrent le nom de Sunday. Il n’a pas réellement de signification, mais ma mère a toujours aimé la mélodie de celui-ci, quand à mon père il ne rate jamais une occasion de m’appeler Samedi. On ne change pas un farceur dans l’âme, même avec de la maturité et des années en plus… Il pleuvait et toute la petite famille était là, surtout les O’Carley. Vous comprenez les premiers enfants de leur petite Cerise. La plus belle, la plus intelligente pour eux, ils ne pouvaient ne pas être la. Lorsque j’ai poussée mon premier cri, Peers mon oncle, m’a alors dit que le temps gris s’en est allé, et qu’un magnifique soleil vint nous couvrir de ses rayons, et c’est pour cela que j’ai hérité du surnom de Sun. Ensuite vint ma sœur, Chelsea, qui dès sa naissance, fut plus forte que le pire des ouragans. D’après les grands parents O’Carley, elle peut être douce comme une brise et forte comme une rafale, et c’est pour cela qu’elle devint Wind. Notre mère n’était pas réellement contente que sa famille est donnée des surnoms à ses filles, car malheureusement, elle connaissait la suite l’ayant vécue, et le vivant toujours. Je suis devenue la fille du soleil, et Chelsea la fille du vent.



    U comme Utopie. Chelsea me dit souvent que je suis quelqu’un d’utopiste. Elle veut me protéger je le sais, mais moi je ne peux m’empêcher de tout idéaliser. Alors dans l’avenir, je la vois conquérir le monde du Quidditch. Je me vois devenir une excellente Auror. Je vois mon père se remettre de la mort de mon oncle Peers. J’aime me dire que demain serait un jour meilleur, même si je suis souvent déçue. Je ne suis pas quelqu’un de fataliste, j’aime voir le meilleur et ne pas penser au pire. Malheureusement je pense que j’oublis bien souvent qu’en toute personne il y a des qualités, comme des défauts. Moi-même j’en ai j’en suis bien consciente, et je les vois très bien, mais celle des autres je me les cache. Je ne veux pas juger, alors je ne me fais aucun a priori, et je me dis que cette personne ne peut être qu’exceptionnelle. Mon père se moque souvent de moi, et me dit qu’étant petite j’ai un peu trop forcer sur les dessins animés, et qu’ils auraient du me restreindre lui et ma mère. Mais je ne comprends pas pourquoi il me taquine sur ce sujet ? Je ne trouve pas que cela soit une mauvaise chose. Je crois en la vie, en la chance et au bonheur. Je me dis que malgré tout ce qui peut se passer, je sais qu’il y a une partie positive, et tout cela m’aide à ne pas tomber, à me lever tous les matins, et à continuer ma vie.

    Par exemple je me souviens du jour ou ma mère a eu ce grave accident, après une mission. Je ne sais pas exactement ce qu’il s’est passé, j’étais assez jeune, je n’avais que huit ans. J’avais beaucoup pleurée, mais j’avais finit par m’arrêter. Toujours à Ste Mangouste, on ne savait pas exactement ce qu’il lui était arrivé, et mon père ne cessait de pleurer. Il me disait tout le temps : « J’aurais du être la bas, j’aurais du la protéger Sunny. Je lui ai toujours promis que plus personne ne lui ferais de mal, et regarde… ». Chelsea était dans l’incapacité de dire quoi que ce soit, les larmes lui coupant la parole. Alors je m’étais rapprochée de mon père, et je l’avais serrée dans mes bras, de toutes mes forces. Je ne supportais pas de le voir si triste et ma sœur non plus. Je n’aime pas voir les gens que j’aime souffrir. Ni même les gens que je ne connais pas. Pour que j’en veuille a quelqu’un il faut vraiment aller très loin, et c’est souvent avec l’encouragement de ma sœur que je finit par m’énerver. Enfin, quoi qu’il en soit, j’ai plongée mes yeux dans les siens et je lui ai dit : « Papa, il ne faut pas tu pleures. Il faut que tu sois fort. Maman t’aime et elle se bat pour revenir à tes côtés. Mais si quand elle revient elle voit que tu n’as pas cru en elle, elle ne sera pas contente. » Je ne sais pas pourquoi, mais je n’ai jamais voulue entrevoir la possibilité que ma mère aurait pu nous quittée a ce moment. Notre famille était déjà très fragile de par la disparition de l’oncle Peers, je n’aurais pas supporté le fait de perdre une autre personne. Je trouve que l’on devrait épargner ce genre d’épreuves aux enfants, mais encore une fois c’est sûrement l’un des nombreuses utopies à laquelle je crois dur comme fer.



    N comme nécessité. Parce que vivre sans elle, n’est pas envisageable. Elle est moi, et je suis elle. Chelsea n’existe pas sans Sunday, tout comme Sunday n’imagine pas sans Chelsea. Elle est mon bouclier, mon oxygène, mon tout. Je ne peux même pas décrire ce que je peux ressentir pour ma sœur. Elle est à la fois ma meilleure amie, ma sœur, ma jumelle, ma confidente. Elle est tout, pour faire court. Lorsqu’on la fait souffrir, j’ai mal avec elle. Lorsqu’on ne l’aime pas, alors on ne m’aime pas non plus. On ne peut aimer l’une des jumelles Avery, sans l’autre. Sans Chelsea, je suis comme vidée d’une énorme partie de moi-même, et lorsqu’elle est loin de moi, alors plus rien ne va. Elle est toujours la pour me défendre car je n’ai pas parfois pas le courage de blesser les gens. Moi je suis la pour lui remonter le moral avec mes utopies, et lui prouver que finalement, la vie n’est pas si moche. Chaque relation entre jumeaux est différente. Je qualifierais la nôtre de fusionnelle même plus. Il n’y a pas de mots pour décrire ce lien, cet amour, cette amitié. On dit que le soleil n’aime pas le vent car il abîme ses rayons et envois sur lui les nuages. Alors je ne suis pas d’accord, car je ne suis jamais plus rayonnante que lorsqu’elle est à mes côtés. Alors si nous réellement la fille du soleil, et la fille du vent, réécrivons l’histoire a notre façon. Le vent et le soleil s’accordent, et l’un ne peut vivre sans l’autre.

    Le mot nécessité n’est pas choisit à la légère, car je ne sais ce qu’il y a, mais des que l’une de nous deux va mal, alors l’autre le ressent immédiatement. Pas besoin de paroles, on le ressent point. Notre relation est bien différente de celle de ma mère, ou que mon père avaient pu avoir avec leurs jumeaux respectifs. Chez les O’Carley c’était Sky, la cerise, puis Kaitlyn. Ma mère et ma tante me disent souvent qu’elles avaient du mal à se comprendre a cause des différences que leur famille faisait à leur égard. Je suis heureuse que ce ne soit pas le cas entre Chelsea et moi, car si jamais nous venions a nous disputée je n’imagine même pas dans quel état est ce que je pourrais être. Avec le temps ma mère a su vivre avec son image de Cerise, de perfection chez les O’Carley, et ma tante à se défaire de sa famille, et leurs rapports se sont arrangés. Pour mon père, cela nous ressemble beaucoup plus. Avec oncle Peers, il était toujours prêt à faire les quatre cents coups à Poudlard, et leur complicité était d’une solidité impressionnante. J’ai même l’impression que depuis que mon Oncle est décédé, une partie de mon père est décédé avec ce dernier. C’est triste, mais moi, je trouve que c’est fantastique de voir à quel point il pouvait et peut aimer son jumeau. Il n’y a pas de plus preuve que celle-ci, pour l’amour qu’on peut porter a une personne. Moi je crois que j’ai su le montrer a Chelsea, le jour de son premier match. J’étais dans les gradins, et je ne regardais même pas à ce moment. Je parlais à une amie, Jane. Et puis je suis tombée dans les pommes, exactement au même moment, ou ma sœur se prenait un cognard dans le ventre. Nous nous sommes réveillées à la même seconde dans l’infirmerie.


    D comme Destin. Ma tante Sally, la meilleure amie de ma mère et épouse de mon oncle Seth, me dit souvent que même si les autres ont décidés le destin de ma mère et qu’ils font de même pour Chelsea et moi, je ne dois pas les écouter. Pourtant, j’aimerais leur dire que malgré leur crainte, je deviendrais Auror, qu’importe ce qu’ils peuvent penser. Mais je n’y arrive pas. Je trouve ça si absurde… Lorsque ma mère était jeune elle se serait fait reniée si elle n’avait pas choisit cette voix, alors que moi je ne peux plus. Sous pretexte que ma mère a frôler la mort, tous les O’Carley sauf Seth et Sally, m’interdisent d’office de choisir cette voix. Non. Leur nouvelle lubie est de me voir dans le Quidditch, très ironique quand on sait que j’ai le vertige. Ou bien dans la médecine, chose qui ne m’interesse pas du tout. Je trouve cela quand même surprennant qu’ils trouvent cela tout a fait normal. Ils choisissent mon destin, et je ne dis rien. Mais je me dis, que tout cela leur passera et que lorsqu’ils me verront épanouie dans mon travail, ils seront heureux pour moi. Je préfère garder l’espoir, sait-on jamais… Encore une chose qu’ils ont décidés a ma place, je me marierais à un Gryffondor. Je n’avais que six ans, lorsque ma grand-mère s’est approchée de moi et m’a dit : « Mon soleil, tu verras tu seras heureuse quand tu seras grande… Tu épouseras un Gryffondor, et surtout pas un Serpentard, ils ne sont pas acceptés dans la famille. » Alors l’oncle Seth s’était emporté car il descend de cette maison, et moi je le trouve adorable. Je suis sure que peu importe la maison, toute personne mérite d’être connue. Le comportement des parents ne plait pas du tout a mon père, et il se dispute souvent avec. Je me souviens même qu’une fois grand père avait lever la main sur mon père, et que c’était ma mère qui s’était interposé, ejectant son propre père a l’autre bout de la pièce, et lui ordonnant de sortir. En même moi je les comprend. Je n’aimerais pas que l’on décide le destin de mes enfants. Et puis comme ils ne s’interessaient qu’a ma mère, a présent il n’y a que Chelsea et moi. Et j’ai l’impression qu’ils en oublient Peers et Johanna.

    Remarque eux ils ont de la chance. Ils sont tranquille, heureusement que parfois ils sont la pour nous soutenir et se moquer de la grand-mère. Surtout Peers. Ce qu’il peut me faire rire lorsqu’il met ses lunettes et qu’il fait mine de chercher quelque chose. On dirait réellement que c’est elle. N’allez pas croire que je n’aime pas la famille de ma mère, mais c’est juste qu’ils sont très compliqués. J’ai l’impression que malgré tout ce que je pourrais faire, cela ne sera jamais assez bien pour eux. Je veux, j’essaye parfois, mais rien ne marche, ils en redemandent toujours plus. Moi je fais tout pour leur plaire, on dira que je tire un peu plus de ma mère, alors que Chelsea est beaucoup plus libre que moi. Je l’envie lorsque je la vois voler dans les airs et descendre en flèche alors que grand père s’époumone en lui criant qu’elle va se faire mal. Mais de quoi ils ont peur ? Qu’on abîme notre si « joli » visage ? C’est bon, après tout c’est celui de Chelsea, c’est le mien, et on peut faire ce qui nous chante dessus. Enfin, je dis ça, mais je sais très bien que si je n’ai pas ma sœur pour me pousser, je n’oserais jamais rien faire. Ma mère m’aide beaucoup, parce qu’elle ne veux pas que je vive le même enfer qu’elle. Mon père aussi m’aide a prendre de l’assurance, quoi que taquineur comme il est, il ne cesse de me dire : « Tu sais c’est aussi le statut de ta mère qui m’a plut. En même temps à Poudlard a notre âge c’était un défi de conquérir la Cerise. Et tu vois c’est moi qui est réussie a voler son cœur. » Mais en même temps, il sait qu’a cause de ce surnom ma mère avait perdue son assurance, et c’est aussi ce qu’il m’arrive j’ai l’impression. Heureusement que Chelsea est là. Si je ne sais pas encore ce qu’est mon destin, je sais qu’automatiquement elle en fera partit.


Dernière édition par Sunday N. Avery le Lun 25 Fév - 0:37, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: SUNDAY AVERY * LIKE THE SUN   SUNDAY AVERY * LIKE THE SUN Icon_minitimeDim 24 Fév - 20:48

    A comme Action. Je déteste restée assise avec un bon bouquin à lire. Non. Moi il me faut de l’action, de l’aventure. Aller dans les endroits interdits, braver les limites de l’impensable. Un peu d’adrénaline dans une vie bien monotone… Je n’ai peur de rien, et j’ose tout essayer au moins une fois. Même ma peur du vertige ne m’empêche pas de voler comme une fusée, même si la plupart du temps, je ferme les yeux au bout d’un moment. J’aime me dire que la meilleure des solutions contre la peur, est tout simplement de l’affronter. Bien sur je pense qu’il y a des peurs que nous ne pouvons affronter et que nous sommes dans l’incapacité de comprendre. Moi par exemple je ne supporterais pas de perdre quelqu’un que j’aime. Mais assez dérisoire car je suis toujours la première à mettre ma sœur dans des situations pas possible. Comme lors de notre seconde année a Poudlard ou je l’avais convaincue d’aller dans la forêt interdite avec moi, un soir de pleine lune. Il faut dire que j’ai toujours des idées qui ne peuvent attirer que les ennuis. Je ne sais pas par quoi nous avions été poursuivies mais je sais que mon cœur s’était arrêtée de battre, manquant quelques battements. Une sensation de peur intense comme si cela aller nous coûter la vie. Un mélange d’excitation et de frayeur. Mon père me dit souvent que je suis une vraie peste qui n’écoute rien, et que s’il on me dit que c’est dangereux, j’aurais toujours ce besoin d’aller vérifier moi-même. Encore une fois c’est peut être c’est habitude que j’ai prise a me faire un avis personnel sur tout, sans jamais me fier a ce que l’on peut me dire. Quoi qu’il en soit je n’ai jamais réellement obéit aux ordres, et si l’envie me prend d’alimenter ma vie d’un peu d’action, alors je trouverais toujours un moyen.

    Une fois alors que j’étais en première année, j’avais alors décidée de trouver les passages secrets de Poudlard. Mon père me disait que je n’arriverais jamais à tous les trouver, et que je ne battrais jamais son record. J’étais si déterminée que j’ai passé une semaine à me balader toutes les nuits pour les trouver. Et finalement j’en ai trouvé pas mal. Et au cinquième, c’est la que tout se compliqua un peu. J’avais trouvée comment entrée, mais pas comment sortir, et je suis restée coincée. Le concierge m’a trouvé au bout de quelques heures. Je vous épargne les insultes et la tête qu’il a tirée, mais je vous assure que cela en valait la peine. Il m’a alors traînée dans son bureau en me tirant par la manche de mon haut. Avery, Avery… Finalement mon père n’avait pas mentis, et lui et l’oncle Peers avaient réellement marqué le concierge puisqu’il s’en souvenait Alors ce soir là, moi aussi j’ai eu le droit à mon dossier. Sunday Natalia Avery. Maintenant je pense qu’il commence a s’entasser un peu, sachant qu’il a liée le mien a celui de ma sœur, car nous faisons pratiquement toujours les conneries ensemble. Et finalement, vous savez quoi ? Je connais plus de passages secrets que mon père.



    Y comme Ysaline. Elle était mon amie, ensemble nous avons partagées des rires, des larmes, des cris et des chuchotements. Elle était un peu mon amie la plus proche après ma sœur. Je me souviens même que parfois Chelsea était jalouse d’elle, alors qu’il n’y avait aucune raison. Nous devions avoir six ans, j’allais sans cesse chez elle. Elle était une personne fabuleuse, que je suis honorée a présent d’avoir pu rencontrer. Vous savez ce genre de personne qui ne laisse jamais quelqu’un lui dicter sa conduite, une vraie rebelle qui vis sa vie comme si c’était un conte de fée. Elle était mon amie, et je n’ai rien pu faire pour l’aider. Comme très souvent je dormais chez elle ce soir là, Chelsea aurait du venir aussi, mais elle était malade. Nous avons jouées pendant des heures avant de nous coucher, seulement vous savez entre filles on discute de tout de rien et on ne dors pas. Alors le temps a passer. Ses parents dormaient en bas, c’était deux Aurors très réputés et respectés dans la communauté magique. J’ai toujours voulue faire une aussi belle carrière que la leur ou celle de mes parents. Bref. Quoi qu’il en soit, nous avons tout d’un coup entendues un gros « BANG ». Effrayée elle a sautée dans mes bras, et je l’ai forcée a me suivre. Passant dans la salle de bain près de sa chambre j’ai fermée a clef, quelque chose d’inutile qui m’a fait perdre du temps. Nous avons entendues des cris en bas, elle pleurait, et je l’accompagnais. J’avais peur pour ses parents, pour elle, et pour moi. Puis nous avons entendues quelqu’un monté l’escalier, et mon cœur s’est emballé. J’ai ouvert la fenêtre et je l’ai fait allée sur le toit, la précédent de quelques secondes. Ma maison était la voisine a la sienne, et je ne pensais qu’a sauvée nos vies et prévenir mes parents pour qu’ils nous protègent et qu’ils sauvent ses parents, même si c’était trop tard, je ne voulais pas me l’avouer. Puis je ne sais pas c’était la panique générale. Sa main serrée dans la mienne, j’ai marchée, elle a glissée. Et je n’ai pu la rattrapée.

    Parfois je me dis que tout est de ma faute, que si je n’avais pas eu cette idée stupide d’aller d’un toit a un autre, elle ne serait jamais tomber. Le reste de l’affaire est très flou pour moi, et je sais juste que je me suis réveillée serrant ma sœur dans mes bras et mon visage envahit par les larmes. Ne faisant que répéter le prénom d’Ysaline. Tout de suite tout m’est revenu comme un espèce d’éclair qui vous transperce le cœur, tellement vos souvenirs sont douloureux. Les cris, la peur et la panique se sont réveillés en moi. Alors j’ai lâcher ma sœur, elle m’appelait mais je ne répondais pas. Je n’avais que son prénom en tête. Ysaline. Qu’est ce qu’elle était devenue ? Dans toute cette panique j’avais sûrement finit par perdre le fil des choses durant quelques secondes. J’étais entrée par la fenêtre de ma sœur a peine quelques minutes avant. Sortant de la maison suivies de ma sœur, puis de mes parents… J’ai courus dans la rue, allant jusqu'à l’endroit ou nos mains s’étaient lachée, et c’est la que je l’ai vue. Je n’avais pas réussie a la tenir, a ne pas la lâcher, a la maintenir en vie. Alors j’ai pleuré, crié, pris sa main dans la mienne. J’ai couvert son petit corps du mien, pour que plus personne ne lui fasse du mal. Je n’ai pas du la protégée, la sauvée, tenir ma promesse d’être la pour elle. Et maintenant ma jolie Ysaline est morte. Elle est morte, et il n’y a pas un seul jour ou elle ne me manque pas.


WELCOME IN MY WONDERLAND.


    QUALITES :: Sunday est une personne très courageuse qui ne fuira jamais devant l’adversité, et qui sera toujours prête a se battre peut importe l’adversaire si elle trouve la cause juste. Elle n’a pas froid aux yeux, et n’a la plupart du temps, pas la notion du risque qu’elle peut prendre. C’est une personne passionnée qui pourrait donnée sa vie pour sauver celles des gens qu’elle aime. Souriante, elle toujours la pour faire rire, pour faire le clown et amuser la galerie. Elle ne supporte pas de voir un visage triste, car elle peut ensuite se sentir coupable d’être si heureuse de son côté. C’est une personne entière et franche qui n’hésitera jamais a dire ce qu’elle pense, excepter sur certains point sensible, comme le fait que la famille de sa mère décide de tout pour elle, sans jamais la consultée. Il arrive parfois que les mots se perdent et qu’elle se trouve dans l’incapacité de parler, ce qui est très rare chez l’étudiante à Poudlard, et très surprenant. Sunday également une personne très attachante car elle n’est pas une seule seconde superficielle et qu’elle se fiche bien de l’image qu’elle peut dégager, de si oui ou non elle respecte ce que la rumeur dit d’elle. Les larmes et le rire peuvent se mêler sur son visage durant la même minute. Sensible comme pas deux, il lui en faut très peu pour être touchée. Son côté utopiste qui ressort beaucoup en fait, elle ne voit que le meilleur et faire abstraction du reste. Enfin je rajouterais, que Sunday a une détermination à rude épreuve qui peut être considérée comme un défaut, mais pour elle c’est une qualité, car elle ne la pousse pas jusqu’au vice, et qualifie celle-ci comme son moteur qui l’aide a persévérer dans ce qu’elle veut accomplir. C’est une personne qui lorsqu’elle commence quelque chose, n’abandonne jamais en cours de route même si elle n’a plus le cœur a le faire, elle terminera jusqu'à ce que cela arrive a ce qu’elle souhaitait au départ. Sunday n’a qu’une parole et c’est ce qui la rend si attachante.


    DEFAUTS :: Sunday est une personne très susceptible qui peut se vexer pour un rien. Ce n’est pas qu’elle n’accepte pas les critiques mais celles qui sont mal placées ou inutiles la blesse, et alors elle devient très vite rancunière. La patience n’est pas un problème pour la jeune Avery, et elle pourra alors attendre le temps qu’il faut pour prendre sa revanche sur quelqu’un. Cette partie du caractère de la jeune femme s’est surtout développée lors de sa quatrième année ou elle était tombée follement amoureuse d’un garçon qui au final n’avait fait que joué avec elle, et c’était toujours moqué d’elle, de ses sentiments. Son pari avait été de sortir avec Sun, la fille du soleil, il avait réussi, brisant en même temps le cœur de la demoiselle. Alors depuis ce jour lorsqu’on la pousse a bout, elle cède a sa colère comme le lui conseille souvent Chelsea qui n’aime pas la voir se torturée interieusement sous prétexte qu’elle gardait tout pour elle pour ne blesser personne. De plus lorsqu’elle est en colère, les paroles de celle-ci peuvent vite devenir très crues, et elle ne mâche pas ses mots. Si elle a quelque chose à dire, elle ne se fait pas prier, ne pensant pas aux conséquences que cela peut entraîner. De plus lorsqu’on touche à sa sœur c’est comme si on avait abîmé la huitième merveille du monde, car c’est comme cela qu’elle considère sa sœur jumelle. Sun peut aussi parfois se servir de l’attention qu’elle accorde a quelqu’un pour s’en servir contre celle-ci. Prendre son point faible et attaquer dessus sans remords. Enfin, la détermination de la jeune femme peut être un défaut, car lorsque Sunday a quelque chose dans la tête, c’est tout de suite et maintenant. Sa détermination la pousse toujours a ses fins, bien sur la jeune femme s’en sert pour faire le bien autour d’elle, mais par exemple Chelsea s’inquiète au cas ou l’âme influençable de sa sœur tombait entre des mains mal intentionnées.


    POINT FORT :: Le point fort de la jeune femme est sa capacité à pouvoir s’habituer a n’importe quelle situation. Peu importe qu’elle soit au courant ou non, Sunday arrive toujours a s’intégrer ou quel soit, et quelque soit le soucis, elle sauta creuser au cœur de celui-ci pour le régler au plus vite. Sunday n’aime pas contrôler les évènements, alors elle fait toujours en sorte de trouver une solution, et c’est bien cela son point fort. Réfléchir a toute vitesse, garder du sang froid et de la discrétion. Quelque chose qui n’est pas donnée à tout le monde, et que Sunday est assez fière de contrôler. Il n’y a pas souvent des situations dès qu’elle elle ne sait pas se sortir, car généralement c’est « Mademoiselle j’ai la solution à tout ». Depuis toute petite Sunday a toujours été celle qui mettait sa sœur dans le pétrin, mais également celle qui l’en sortait. On peut alors qualifier la jeune Avery d’un vrai petit caméléon.


    POINT FAIBLE :: Sa sœur. Tout se résume en son prénom. Chelsea. Lorsqu’elle est en danger, Sunday tentera tout ce qui est en son pouvoir, tout ce qu’elle pourra trouver pour la sauver, mais elle perd comme qui dirait tous ses moyens, lorsqu’elle sait qu’elle n’est pas en sécurité. Il est difficile de comprendre comme cela avec de simples mots la relation fusionnelle qui peut unir Sunday à sa jumelle. Mais si vous souhaitez lui faire du mal alors rien ne la blessera plus que si vous vous en prenez à sa sœur. Devenant bien vite une toute autre personne elle peut vite devenir incontrôlable, hystérique et frappez dans tout ce qui se présente devant elle. Lorsque sa sœur est loin d’elle, en danger, souvent par sa faute, alors Sunday devient une vraie chouineuse de première qu’il est impossible de consoler. Et son sang froid s’évapore comme de l’eau exposée a une forte température. Sans Chelsea, Sunday n’est plus.


    EXAMEN :: BUSES

      ASTRONOMIE :: A
      BOTANIQUE :: E
      DCFM :: O
      ETUDE DES MOLDUS :: A
      HISTOIRE DE LA MAGIE :: D
      METAMORPHOSE :: E
      POTIONS :: O
      SACM :: A
      SORTILEGES :: O

    « Au final Sunday aura fait un très bon examen. Sa détermination nous montre a quel point elle peut s’investir dans certains cours, mais elle a encore trop tendance a choisir ses matières. Il est vrai qu’il faut exceller dans certaines pour le métier qu’on voudrait faire a l’avenir, mais pour avoir ses Aspics Sunday ne pourra pas compter que sur quelques matières. Il faut donc qu’elle apprenne a travailler de façon homogène, et surtout qu’elle arrête de lancer des boulettes de papier au professeur Hawkins durant le cours d’Histoire de la Magie. Votre fille a du assister a deux cours entier dans cette matière durant l’an passé. »


    BAGUETTE MAGIQUE :: La baguette de Sunday mesure dans les vingt huit centimètres, faite dans du bois de chêne, elle renferme a l’intérieur un cheveu de vélane qui appartient a la grand-mère O’Carley. Elle en a fait l’acquisition lors de la sortie en famille sur le chemin de Traverse, lorsqu’il fallut acheter ses fournitures scolaires ainsi que celle de Chelsea pour leur première année. Si Sunday est très adrénaline, elle fait cependant toujours très attention a sa baguette. C’est la sienne, elle n’en veux pas d’une autre, alors il faut qu’elle reste en un seul morceau.

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Sunday N. Avery
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MessageSujet: Re: SUNDAY AVERY * LIKE THE SUN   SUNDAY AVERY * LIKE THE SUN Icon_minitimeLun 25 Fév - 0:36



GIVE ME THE CHOICE.


    Avec le temps on apprend que chez les O’Carley on ne choisit pas son destin, si la famille en a décidée autrement. Alors très vite Sunday a comprit que si elle voulait faire quelque chose qui lui plaise dans sa vie, il fallait qu’elle soit rusée et discrète, car si cela venait aux oreilles de la famille de sa mère, elle serait reniée dans la minute d’après. Ce n’est pas l’amour qui manque pourtant, mais c’est un amour étouffant, omniprésent qui fait qu’au final on finit par le détester, comme jamais on a pu haïr quelque chose. Heureusement que de l’autre côté les Avery tiennent la route, mais c’est bien ce qu’on dit, plus les familles sont nombreuses et plus il y a des problèmes.

    Vint le moment de la naissance de Sunday et Chelsea. Tout le monde était aux anges. Les premiers enfants de la Cerise. C’était comme si la jeune mère avait eu un prix Nobel, c’est comme si Sunday et Chelsea avait été bénies des dieux. Grayson et Sky leurs parents ont toujours tout fait pour qu’on les différencie un minimum. Que ce ne soit pas les jumelles, mais Chelsea et Sunday. Cependant au fil des années ce sont elles qui ont tout fait pour être identique, pour être le double de l’autre. Comme si elle se regardait dans un miroir. Chelsea est la personne que Sunday aime le plus au monde, c’est sa jumelle, et personne ne peut mieux la comprendre que celle-ci. Pour elle, Sunday n’a pas de secrets.

    Et puis ce fut le tour de Peers de voir le jour. Le même prénom que le frère jumeau de Grayson. Rieur et farceur, il ressemble comme deux gouttes d’eau à leur oncle, et à un peu près le même caractère a quelque chose près. Lui, fut laisser tranquille par les O’Carley, vous comprenez ils ont déjà Chelsea et Sunday, c’est bien suffisant. Avant Peers pouvait faire tout ce qu’il voulait, sauter dans les arbres, prendre tous les risques que leur père l’encourageait pour qu’il s’endurcisse. Mais depuis que Peers, l’oncle, est décédé, celui-ci a une peur bleue de perdre Peers, son fils. Il fut alors souvent derrière lui, puis maintenant cela va un peu mieux, et avec l’aide de Sky, Peers peut de nouveau vivre sa vie sans la peur de blesser son père qui est encore en deuil de son frère jumeau.

    Rieuse. Si nous devions prendre un mot pour décrire la cadette des Avery ce serait bien celui-ci. Johanna est une personne qui ne cesse jamais de rire, toujours fourré avec Grayson, elle fait souvent des blagues à tout le monde dans la maison, et a force tout le monde est sur ses gardes. Sunday se souviendra toujours du jours ou elle avait inverser sucre et sel, et qu’elle avait manger un bout de pizza sucré. Ce jour là, elle avait des envies de meurtre sur la personne de sa sœur, et de son père car c’est lui et personne d’autre qui peut lui refiler des idées aussi tordues. Enfin…

    Y a-t-il quelque chose de plus important que la famille pour Sunday ? Non. Pour elle la famille c’est quelque chose de cruciale. Et c’est bien pour cette raison qu’elle n’arrive pas à dire aux O’Carley qu’ils ne font que la rendre mal a l’aise avec ce surnom, et que surtout qu’elle a envie de vivre sa propre vie, et non celle qu’il lui prédestine. Cependant, il arrivera sûrement un moment ou elle ne pourra plus supporter tout cela, et ou elle les enverra tous chier d’une façon phénoménal, tournant pour de bon le dos aux O’Carley, comme sa mère l’a fait en se mariant, car elle ne les voient presque plus, heureusement pour Sunday, les fêtes de familles lui suffisent amplement.
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Sunday N. Avery
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Sunday N. Avery


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MessageSujet: Re: SUNDAY AVERY * LIKE THE SUN   SUNDAY AVERY * LIKE THE SUN Icon_minitimeLun 25 Fév - 0:37

    Fiche terminée
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MessageSujet: Re: SUNDAY AVERY * LIKE THE SUN   SUNDAY AVERY * LIKE THE SUN Icon_minitimeLun 25 Fév - 0:50

Très jolie fiche ! Gryffondor ! Re bienvenue !
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MessageSujet: Re: SUNDAY AVERY * LIKE THE SUN   SUNDAY AVERY * LIKE THE SUN Icon_minitime

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