EVERYBODY SAY GOOD BYE * (UC)

JAMES MIGUEL HARADA
EVERYBODY SAY GOOD BYE * (UC) Stephe10

« Ma mère m’as toujours dit, que les gens finissent toujours par dire au revoir, qu’on les aime ou non, il nous tourne le dos. Au début je ne la croyais pas, mais maintenant, je comprend bien mieux ce qu’elle voulait dire. Elle est partit un matin, sans rien dire, pas un mot, pas une lettre. Pourquoi m’a-t-elle tournée le dos ? Je ne sais rien d’elle. On me dit toujours « Tu as les yeux de ta mère », ou bien on me fait des remarques sur elle comme « Calme toi Harada ou tu finira par avoir la même vie que ta mère. ». Et mon père, mon pauvre père, ne s’en ait jamais remit. Je sais que je devrais l’aider, que je devrais être a ses côtés, mais j’aimerais le faire réagir pour qu’il arrête ses conneries. Et pourtant rien n’y fait… Il faut que je retrouve ma mère, c’est une question de survie pour moi, pour Dakota, pour notre famille… Je peux vous paraître égoiste, mais je remuerais ciel et terre, pour pouvoir la revoir de nouveau. Cette beauté qui a aveuglée mon père, cette femme qui s’est battue pour moi, pour ses idées. Mais je ne trouve pas que je suis égoiste car si je m’embarque dans cette recherche folle, c’est également en partie pour mon père. Car malgré ce qu’il penser, je l’aime plus que tout. Notre vie n’est plus la même sans la mystérieuse Yuki Harada, et j’ai l’impression qu’elle est la clef. »

CHAPITRE I :: TOUT N'EST QU'ILLUSIONS

« FERME LA SHEPARD ! »
« Sinon quoi ? Comme si tu allais me faire peur… »

Il n’en fallut ni plus, ni moins a James pour sauter sur le fameux Shepard. Le faisant tomber par terre, callant ses genoux de chaque côté de son corps, il leva son poing, et lui enfonca son poing dans son visage. On aurait dit a s’y méprendre Dakota lorsqu’il avait l’âge de son fils. Une expression de dégout sur son visage, James detestait que l’on parle de sa famille que ce soit Harada ou bien Almadovar. C’est la famille et on y touche pas. Une fois que l’on a comprit cette petite règle, alors on a déjà moins de chance de se faire casser la figure par l’héritier de la famille Harada. Silence. Se relevant, il fit qu’il avait sûrement casser le nez de Shepard. Un rire froid se dégagea alors de sa gorge. Qu’il souffre, mais au moins, il comprennait qu’on ne parlait pas des gens qu’aimait James, sans en payer les conséquences. Dures conséquences. Se relevant, il se passa sa main sur son visage, puis tourna les talons. Il n’avait pas non plus que ça a faire, que d’admirer ce qu’il avait pu infliger a cet imbécile. Silence. Non. Il avait bien d’autre préocupations en tête. Il ne fit pas attention aux personnes qui l’appelait, car la seule et unique personne qu’il avait envie de voir en ce moment c’est Olivia la seule qui le comprennait encore un tant soit peu. Silence. Tout avait basculé ces derniers temps. Son père, lui quid’ordinaire évitait de lui parler de sa mère, comme s’il avait peur de lui dire quelque chose, depuis quelques jours ne voulait même plus entendre son prénom. C’était incompréhensible, lui qui avait toujours dit a James que Yuki était la perfection, la femme la plus merveilleuse qu’il avait pu connaître, la femme de sa vie. Non. Tout cela avait changer depuis quelques temps, et James avait même l’impression que celui-ci finissait par haïr sa mère. Mais pourquoi ? Quel est ce mystère qui se cache derrière cette femme ? Personne ne voulait lui en parler, et cela commencait a agacer le jeune homme qui n’avait jamais été de nature très patient, tout comme ses deux géniteurs. Il fallait qu’il sache, il fallait qu’il la connaisse malheureusement personne n’avait l’air de comprendre ça, et personne ne voulait lui dire quoi que ce soit. Silence. Fermant doucement ses yeux, il s’arrêta a un angle, avant de réfléchir quelques instants. Ou est ce qu’elle pouvait bien se trouver. Peut être avec Dasha, peut être a la bibliothèque. Le château était tellement grand. Merde.

S’engageant dans un premier escalier, il quitta alors le hall d’entrée, lieu de la bagarre, puis arriva un premier étage. Deuxième, troisième. Puis il vit enfin la jolie blonde qui tournait dans un autre couloir. Commencant a courir de toutes ses forces, il fallait qu’il lui parle, qu’il essaye de lui dire ce qu’il avait sur le cœur. Malheureusement, de ce côté il était un étrange mélange de son père. Il pleurait, mais ne savait pas dire ce qu’il pouvait éprouvait, ce qui ne facilitait jamais la chose. Un. Deux. Trois. Enfin il se trouva a la hauteur de sa belle, posant doucement sa main sur son épaule, un léger sourire, un baiser, puis il l’entraina près d’une fenêtre. Une main dans les cheveux soyeux de la jeune bleue et argent, il laissa son regard se poser dans le vague. Ses yeux gris cherchant du soutien dans les iris bleu de sa dulcinée. Il était plus que perdu en ce moment, mais personne ne voulait lui en parler. Pas même William qui était le meilleur ami de sa mère et son père. Non. Pas même lui, ne voulait lui apprendre quelque chose sur sa mystérieuse mère disparue. Il commenca a soupirer. Cela l’embetait en même temps de parler de ses problèmes a Olivia, car il savait qu’elle était très amie avec Dasha, et pourtant, leur famille respective se haïssait. Du moins les Almadovar detestait les Mustang. Du côté Harada, il n’en savait rien, comme toujours il faut dire. Un dernier sourire, puis il se décida enfin a prendre la parole. Cassant ce lourd silence, qui ne laissait rien prévoir de bon.

« Olivia, j’en ai marre que personne ne me parle de ma mère. J’ai besoin de la connaître, pourquoi est ce que personne ne peut le comprendre ? Je ne peux pas croire qu’elle ne nous aimait pas moi et mon père. C’est impossible pas ma mère, non, elle ne ferait jamais ça. »
« James… Parfois il nous ait difficile de croire la réalité lorsqu’on souhaite autre chose. Pourquoi ton père ne te parlerait pas de ta mère s’il n’y avait que du positif ? »
« Non pas toi. Pas toi, Olivia. Tu te mets de leur côté ? Ma mère reste ma mère, je porte son nom merde. Je veux savoir qui me l’a arrachée dans mon enfance. Je veux savoir ce qui lui ait arriver. Je veux savoir si elle est encore en vie. »« Tout ce que je sais James, c’est que les Harada sont l’une des plus puissante famille dans le domaine de la magie noire… »

Tout se passa très vite dans le cerveau du jeune Harada. La magie noire ? Mais son père était dans l’ordre, il avait aidé a la chute de Mustang, alors comment sa mère aurait pu être dans l’autre camps ? Pourquoi ne lui en avait il jamais parler ? Tant de questions qui restait sans réponse. Retirant bras qu’il avait enroulés autour des épaules d’Olivia, il secoua la tête en signe de négation, puis partit en courant. Il en avait marre que personne ne lui dise explicitement ce qu’il se passait. Qui était cette fameuse Yuki Harada. Marchant au hasard, il se perdit très vite dans le château, mais cela n’avait aucune importance pour lui. Dix ans. Dix longues années, que sa mère n’avait pas refait surface, et lui que devait il faire ? il était indigné de voir qu’autour de lui, personne ne se bougeait le cul pour la retrouver. C’était un scandale tout de même. Silence. Portant sa main a son cou, il sentit alors entre ses doigts le médaillon que son père lui avait offert pour ses dix sept ans. Le médaillon de sa mère, une petite pomme ou était inscrit le mot Apple. Le fuit défendu, comme dans le passé, son père lui en avait vaguement parler. Apparement, a présent, il était assez mature pour l’avoir, et son père lui en avait fait cadeau. Mais ce présent, donnait encore plus l’envie a James de connaître sa mère, de savoir ce qui lui était arriver. Car il restait persuader qu’avec le retour de sa mère dans le foyer familial, le bonheur serait de nouveau au rendez vous, et il pourrait de nouveau reformer une famille, le rêve de James. Silence. Seulement il n’avait que très peu d’indices, et le chemin vers la vérité s’annonce difficile et périlleux. Mais cela ne fait pas peur au jeune vert et argent, puisque celui-ci se montre aussi manipulateur que sa mère, et aussi entêté que son père. Silence. Arrivant a la tour d’astronomie. Il franchit la porte, histoire de demander conseil aux étoiles. C’était peut être bête, mais James avait toujours cru en sa bonne étoiles, même si depuis de longues années elle ne brillait plus, il ne cesse de croire en un retour en force de la part de celle-ci. N’as ton pas vu rejaillir les flammes de l’ancien volcan qu’on croyait trop vieux. Si. S’avancant jusque devant la grande baie vitré, il posa ses main sur le petit rebord, plongeant son regard gris dans l’immensité du ciel. La noirceur avait prit le pas sur la lumière, depuis quelques minutes, et ces petits points dorés apparaissait, doucement, un par un.

A certains moment, le silence est la meilleure des paroles.

CHAPITRE II :: LE BONHEUR NE TIENT QU'A UN FIL

« Papa, quand je serais grand je serais comme toi. »

Un sourire. Le tableau parfait. La petite famille n’était levée que depuis quelques minutes, James avait rejoins ses parents, se faufilant sous la couette, se nichant doucement entre la douceur de sa mère, et la protection de son père. Depuis qu’il était tout petit, James avait toujours voulu faire comme Dakota, et dans n’importe quel situation, il était rare de ne pas avoir ce petit bonhome derrière la silhouette imposante de Dakota. Yuki, elle s’était levée, se dirigeant vers la cuisine, pour préparer le petit déjeuner. Un dimanche comme les autres, enfin pas tellement, puisqu’aujourd’hui James avait sept ans. Le dernier anniversaire, qu’ils ont fêtés tous les trois ensemble. Alors que Yuki entendait James chahuter avec son père, elle laissa un sourire apparaître sur ses lèvres, alors qu’elle sortait un gateau au chocolat, et trois bols. En plus de tout ce que l’on peut manger au cours d’un petit déjeuner. A l’aide de sa baguette, elle versa tout d’abord du chocolat chaud dans celui-ci de James, un café normal pour Dakota, puis un extrêmement serré pour elle-même. Rangeant sa baguette, elle sortit une cigarette, qu’elle comenca a fumer, comme elle le faisait tous les matins. Puis, la dégageant de ses lèvres, elle appela James et Dakota pour qu’ils rappliquent dans la cuisine. Une journée comme les autres.

« Joyeux anniversaire James. »
« Et mes cadeaux ? Ils sont ou ? »
« Des cadeaux ? j’en ai pas moi et toi Dakota ? »
« Allez Yuki ne le fait pas languir, regarde il ne tient plus en place. »

Excité comme une puce, James sautait littéralement sur place en attendant ses cadeaux. Yuki sortit alors de nouveau sa baguette, et a l’aide d’un sortilège d’attraction, un bon petit paquets de cadeaux arrivèrent et se posèrent en douceur aux pieds de James. Alors que celui-ci était occupé a les ouvrir, elle passa son bras autour du bassin de Dakota, mettant sa tête sur son épaule. James regarda ses parents alors quelques secondes, après avoir déballer tous ses cadeaux. Tapant dans la main de son père, et embrassant sa mère, il pris d’ailleurs la cigarette de celle-ci pour l’éteindre dans le cendrier. Des félicitations de la part de Dakota, un léger rire de la part de l’ancienne bleue et argent. Décidement, il était aussi têtu que son père. Un sourire angélique se dessina doucement sur les lèvre du jeune Harada, qui s’asseya a table, pour commencer a manger, ses parents suivirent. Silence. Alors qu’ils étaient tous en train de prendre leur petit déjeuner, quelqu’un frappa a la porte. Alors que Dakota allait se lever pour ouvrir, Yuki lui demanda de rester avec James, alors qu’elle, se dirigeait vers la porte d’entrée. Silence. Sur le pas de la porte se trouvait Chloé. Surprise, mais ravie, Yuki la convia a entrée. La belle blonde s’avança alors dans la cuisine, saluant d’un signe de tête Dakota, et adressant un énorme sourire a James, celui-ci eu son visage qui s’illumina lorsqu’il apperçue sa marraine. Silence. Courant dans les bras de la jeune Wilde.

« TATAAAAA ! »
« Hey toi ! Joyeux anniversaire ! »
« Merci… Oh papa regarde c’est un balais. Viens on va aller voler. Viens papa, allez vite. »
« Attends, je mange… Quelle idée Chloé, il va me faire tourner en bourique. »
« Allez papa, arrête de manger, tu vas devinir gros et maman t’aimera plus. Allez viiiite. »

Rires. Résolu Dakota suivit alors son fils hors du jardin. Une longue, peut être même feux s’écoulèrent, avant que James, ne rentrent de nouveau dans la demeure familiale, son père sur ses talons. Durant tout ce temps, Yuki était restée avec Chloé, fumant de nouveau une cigarette, elle n’avait pas entendue les deux hommes de sa vie entrer, et continuait donc sa conversation plus que serieuses avec Chloé. James, qui aimait beaucoup espionner sa mère et Chloé, se cacha alors derrire la porte, collant son oreille, pour ne rien louper, il vit que son père s’était mêler a son jeu. Malheureusement, Dakota ne doutait pas encore de ce qu’il allait entendre, et donc ce qu’allait entendre James par la même occasion. Silence. Chloé s’était levée, faisant les cents pas devant Yuki, qui restait toujours aussi calme qu’a son habtude, ses iris gris, posé sur une photo d’elle, Dakota et James, au dernier Noël. Chloé reprennait la parole.

« Tu ne comprends pas Yuki… Jake et James… On finira par les perdre si nous n’arrivons pas les contrer. Il faut faire quelque chose, j’ai peurs Yuki… »
« Je ne laisserais personne m’enlever mon fils. Et personne ne te prendra le tiens Chloé, je t’en fais la promesse. Je cherche, je te le jure, mais je ne comprend, il y a quelques chose qui cloche au Ministère. J’ai l’impression qu’il veulent se débarasser de nous. Mais pourquoi ? Ça reste un mystère. »
« Tu penses qu’ils sont au courant pour Ashley et April ? »
« Possible. »

Dakota, attrapa alors James par la taille, lui mettant sa main sur sa bouche pour empêcher le garçon de faire du bruit, et qu’ils soient repérer par Yuki. Entrainé par son père dans la chambre de ses parents, il fut poser sur le lit, puis croisant le regard de son père, il comprit qu’il ne fallait pas rigolé. Dakota, laissa quelques injures espagnoles s’échappées de sa gorge, puis s’approchant de son fils il passa son bras sur ses épaules, et le serra contre lui, embrassant ses cheveux d’un geste affectueux. James qui déjà a cet âge là était un brin manipulateur avait dans l’idée que d’essayer d’extirper des informations a son père, sachant qu’avec sa mère ce n’était jamais possible. Sa mère était d’une fermeté qui laissait james admiratif. En effet, Yuki ne flanchissait jamais, lorsqu’elle avait décidée quelque chose, pas même devant la bouille angélique de son fils. Silence. Enfin. Alors qu’il a commencer a poser des millions de question a son père, celui-ci lui mit son doigts sur sa bouche, pour prendre lui-même la parole.

« James il ne faudra pas parler de ce que nous avons entendu a maman, ou elle ne serait pas contente. C’est notre secret. Je te connais, n’essaye pas d’en savoir plus, ou tu auras a faire a moi. »
« Mais papa… »
« Y’a pas de mais papa qui tienne. James, tu dois m’écouter d’accord. Maintenant, si tu allais jouer au nouveau video que tu as eu ? »
« …D’accord. »

Bien que cette journée marquait déjà un tournant dans la vie de James, celui-ci ne comprit jamais, et même encore aujourd’hui ne comprend pas, qui sont ces Ashley et April, qui apparement inquiétait tellement sa marraine. Silence. Cet épisode de sa vie, reste un de ses secret, qu’il n’a jamais révélé a personne. Il n’en a jamais reparlé a son père, craignant de l’enerver. Silence. A présent, cela lui laisse le chemin de la vérité encore plus entraver, puisque Dakota, n’est pas du tout du genre a irriter en ce moment a cause de ses problème de drogues, et son impulsivité qui n’a fait que grandir depuis la disparation de Yuki. Quand a celle-ci, et bien il ne peut rien lui demander puisqu’elle a disparue, tout comme sa marraine Chloé. Quoi qu’il se passe, il reste persuadé que si les deux jeunes femmes ont disparus en même temps ce n’est pas une coincidence. Silence.

Chloé, protège ma mère s’il te plait.

CHAPITRE III :: ON A TOUS BESOIN D'UN HEROS

Ce souvenir là, James l’a vécue alors qu’il était âgée de quinze, soit il y a deux ans. Silence. Nous nous trouvons dans la demeure familial, plongée dans la pénombre, le silence règne. BOUM. BOUM. BOUM. Alors que James venait de coucher son petit frère et que Dakota preparait a manger dans la cuisine, de grand coups s’abbataient sur la porte d’entrée. Intrigué, le jeune Harada descendit, suivant son père, sans faire un bruit. Il vit que Dakota avait sortit sa baguette. Ils étaient en danger ? un frisson parcouru alors le corps du vert et argent. Eteignant la télé a l’aide de la commande qui se trouvait non loin de lui. Il jeta un rapide coup d’œil a la fenêtre sous la demande de son père. La pluie se deversait de toutes ses forces sur la terre, comme si elle avait entreprit une guerre avec cette dernière. Regardant qui frappait si fort a leur porte, il appercu de nombreux Aurors. Ils étaient au moins cinq ou six. Silence. Informant son père, il vit celui-ci ranger sa baguette, et ouvrit doucement la porte. Les aurors pénétrèrent alors dans la demeure. Se dirigeant dans le salon en compagnie de son pères et de ses étrangers, James restait sceptique. Qu’est ce qu’ils pouvaient bien leur vouloir ? S’asseyant près de son père, il resta silencieux, ne disant rien. Il serait quand même mal venu, que ce soit un ado de quinze ans qui démarre une conversation, alors qu’ils se trouvaient entourer d’Aurors. Silence.

« Almadovar, vous feriez mieux de demander a votre fils de disposez, c’est au sujet d’Harada. »
« De ma mère ? Qu’est ce que vous savez ? Qu’est ce que vous lui avait fait ? Ou est elle ? Et ma tante Chloé ? »
« Calla te James ! File dans ta chambre. »
« Mais papa… »
« Dégage. »

Comme le jour de ses sept ans. Montant avec désinvolture les marches de l’escalier qui menait a l’étage superieur, il claqua la porte de sa chambre, après avoir pénétrer dans celle-ci. Allumant la musique a fond, il se laissa tomber sur son lit, contemplant d’abord le plafond. Puis soupirant, il attrapa le premier livre qu’il trouva, et commenca a lire. Mais la concentration n’était pas du tout la. Au contraire, il aurait tellement voulu être en bas avec son père, et entendre ce qu’ils pouvaient bien dire sur sa mère. Mais non. Encore cette histoire de « Je fais tout ça pour toi James, tu comprendras un jour. » Ouais. D’accord. Mais c’est quand ce jour ? Il venait tout de même d’avoir quinze ans, ce n’était plus le petit enfant pleurant sa mère du haut de ses sept ans. Il avait gagné en maturité, mais apparement, son père n’avait pas l’air de le remarquer. Pourtant, c’était bien lui qui s’occupait de son frère, alors que Dakota ne rentrait qu’au petit jour, avec une femme differente a chaque fois, des grammes de drogues dans les veines, qui le rendait complètement incontrolable. C’était bien James qui supportait cette situation, qui pourtant était si intenable.

Alors que l’héritier des Harada, était perdu dans ses pensées, il fut bientôt ramené à la réalité, par un réel boucan qui provenait de l’étage en dessous. Instinctivement, james pris peur pour son père, descendant quatre a quatre les marches de l’escalier. Il resta abasourdis, devant la scène qu’il était en train de voir. Face a lui se trouvait les cinq Aurors, baguettes levées, de l’autre côté, leur faisant face il y a avait son héros, son père. Prenant position a côté de lui, et sortant sa baguette, il était prêt a défendre sa famille. Silence.

« Elle n’est pas la. Vous pouvez pas nous fouttre la paix ? J’ai pas vu Yuki depuis dix ans maintenant, et même si elle était la, je ne vous la donnerais pas. »
« Si tu mens Almadovar tu vas finir par avoir le même destin tragique que ta petite femme ! »
« Ne parle pas de ma mère comme ça, cabron ! »

Un sortilèges fusèrent alors des baguettes d’un peu tout le monde, et James fut comme pétrifier, lancant ensuite quelques sortilèges, il fut stopper par son père, interdit pour les sorciers de premier cycle. Silence. S’il n’avait pas le droit d’user de la magie, il se servirait de ses poings. Foncant dans le tas, il attrapa un Auror, et tous deux commencèrent a se rouler par terre. Et si James se prit de nombreux coups, il en fut de même pour cet imbécile, qui avait mal parler de sa mère. La famille c’est sacré. Je serais bien incapable de vous dire combien de temps la lute durra, mais celle-ci prit enfin fin, lorsque les Aurors, furent appeler pour rentrer au quartier général. Un vague « On en a pas finit avec les Harada et les Almadovar ! », puis la porte claqua de nouveau. James allait avoir de nombreux bleus demain, mais cela n’avait aucune importance a ses yeux, et il fixait son père, qui apparement avec aussi recu des coups dans cet affrontement. L’aidant a s’asseoir dans un fauteuil, il partit ensuite dans la cuisine, ou il prit des glaçon pour en poser un sur l’arcade couper de son père. Un léger sourire ironique sur ses lèvres, mais tout le serieux du monde dans son regard si gris, si Harada.

« Qu’est ce qu’ils veulent à maman ? »
« Je sais pas James… Diàz n’est pas réveillé ? »
« Non, sinon on l’aurait entendu, il a une grande gueule comme toi. »

Rires. La tension qu’avait créer la bataille se dissipait légèrement avec l’humour foireux de James, qu’il avait hérité de Dakota. La complicité qui unissait les deux mexicains, refit surface en quelques secondes a peine. Se rapprochant de son père, il se serra alors avec force dans ses bras, comme il ne l’avait pas fait depuis pas mal de temps. Malgré ce que Dakota pouvait penser, James n’a jamais cesser de le considerer comme son héros. Il n’a jamais cesser d’être fier de lui, même s’il n’accepte pas certains de ses actes. Il n’a jamais cesser de l’aimer tout simplement. Mais ce manque de vocabulaire pour expliquer ses sentiments, typique des Harada, bloque énormément James, pour détendre l’atmosphère entre lui et son père, qui est souvent tendu. Mais ce soir était une occasion a ne pas rater. Desserant son étreinte, il s’asseya de nouveau dans le fauteuil en face de celui de son père, puis reprenant la parole. C’était comme si les mots s’echappait sans qu’il y réflechisse de bouche. Comme si il avait ce besoin existentiel de lui dire, pour se sentir mieux, pour que tout s’arrange. Silence.

« Papa, je… Je sais que tu te fais la vie dure, et qu’on s’engueule souvent mais… Mais ça veut pas dire que je t’aime pas… C’est juste que c’est dur sans maman, et je sais pas comment combler ce vide, c’est horrible comme elle me manque, tu sais. »
« Je comprend James, ta mère me manque chaque jours, chaque minutes, chaques secondes. Et je prit el dios tous les soirs, qu’elle soit encore en vie, et qu’elle aille bien. Je t’aime aussi, ne l’oublis jamais, et sois toujours fier de ta mère. »

Un sourire échangé entre eux, puis ils s’enlacèrent de nouveau. Comme si James avait de nouveau sept ans, comme si cette cassure, ce malheur qui s’était abbatut sur eux n’avait jamais eu lieu. L’espace d’une soirée, ils se dévoilaient de nouveau l’un a l’autre, et c’était plus qu’appréciable pour le vert et argent. Alors qu’ils allaient se coucher, James se posta devant sa chambre, sa main sur la poignée de la porte de sa chambre. Un regard vers son père.

« Papa ! Tu restes mon héros… »

Comme quoi certaines choses, restent éternelles.

Yuki, fiche terminée ou pas ? Y'a encore le [UC], comme tu m'avais demandé de la validée^^

Invité

Fiche terminée, tu peux finir la validation Guillaume.

Je valide dès que j'ai l'inventaire.
Très belle fiche, très bien écrit !

Euuuh je sais pas l'inventaire, met n'importe quoi xD

Rapeltout, Plume à vérificateur d'orthographe et Pendu réutilisable (jeu magique). Ca te va ? Si oui, je te valide :p Après, Serpentard :

Ouis c'est bon

Ok je valide !

» Only Good Bye - Almadovar