MA BLONDE ATTITUDE FASHION TENDANCE (pv Errrika)

Pétasse-Salut... qu'est ce que tu veux ?

Non mais regardez moi ça. Erika affichait une apparence amicale, mais à l’intérieur elle avait envie d’exploser de rire. Elle la regardait entourer son chewing-gum autour de son doigt, si seulement elle avait pu s’étouffer avec ! Cela la priverait d’une intense partie de plaisir, mais elle était assez conne pour que cela lui arrive. Cependant Erika répondit de la façon le plus faux cul inimaginable. En voyant son regard, elle eut un doute pendant une seconde. Était-il possible qu’elle ne soit pas aussi idiote et qu’elle ait vu clair dans son jeu. Mais… Hey ! Elle fait quoi la ? La voilà qui lui attrape la main et qui la traine avec elle. Mon dieu. Ah non, ça elle n’aimait pas du tout. Elle tentât de garder un regard neutre, mais difficile de cacher son aberration.

Pétasse-Pas de problème ma chérie tu vas voir je vais t'arranger ça. Tu as bien fait de t'adresser à moi. Vraiment te voir habillée de la sorte ça me fait mal au cœur et tu sais ce qu'on dit dans ces cas là ? Une pour toutes et toutes pour le shopping. Allez viens tu vas voir on va s'amuser comme des petites folles. Pas vrai boxer ? On se fait la bise ?

Ma chérie ? Erika retenait une furieuse envie de rire à l’écouter parler. Finalement, elle était drôle, même si cela lui donnait envie de vomir, Erika lui sourit. Elle tentait de dégager sa main, mais impossible de faire quoi que se soit. Et la voilà qui parler a sa petite boule de poil rose fluo. Elle s’apprêtait à lui répondre non merci, mais déjà l’autre cruche lui collait quartes bises sonores sur les joues. Bon il fallait qu’elle reste calme, elle ne pouvait tout de même pas la tuer ici devant tout le monde, pourtant, elle en mourrait d’envie pour que cette sale… Argh… Lui lâche la main.

Pétasse-Tu sais il faut toujours aider son prochain alors on fait table basse du passé! Give me five, je connais plein de coin super. Bon je sais pas si tu seras prête pour ce soir, parce qu'il y a du boulot, mais Boxer et moi on va t'aider! A et pendant que j'y pense...

Ya du boulot ? Mais elle ne se rendait pas compte que c’était dans son cerveau Qu’il y avait du boulot ? Erika tentait de se calmer intérieurement. Rare était les personne sur sa liste l’ayant autant exaspéré.

Pétasse-Règle numéro 1°: toujours avoir l'haleine fraîche!

Erika – Euh… Ok…

Jouons la grande copine puisque c’est ca que tu veux. Erika accepta le chewing-gum et… Mais quel gout affreux ! Oh putain il allait lui en falloir du courage pour supporter ça pendant plus de dix minutes, mais bon. On continu… Ma chérie. Toujours se sourire sur son visage. Une personne censée aurait remarqué qu’il était resté bloqué sur la même position, entre le « je me fou de ta gueule » et le « mon dieu qu’est ce que t’est conne ».Mais non, elle, elle continuait tout simplement. Elle lui tendit alors un exemplaire de magazine. Erika l’attrapât sans un mot. Encore une chose qui aurait pu la faire tilter, une autre qu’elle aurait parlé, mais il lui était impossible de le faire sans exploser de rire, ou tout simplement sans lui demander d’arrêter et de fermer sa gueule.

Pétasse-Garde le, j'te jure que ça me fait plaisir et puis de toute façon j'achète toujours les exemplaires en double au cas où j'ai une amie dans le besoin. Il faut savoir s'entre aider! Ca c'est la règle n° deux! Et aussi règle n°3:toujours lire Riot's magazine! Je lis avec beaucoup d'attention tous les articles d'Arya, tu sais c'est une journaliste qui a énormément de sensibilité. Enfin je dis pas ça parce que c'est ma belle sœur...

Bla bla bla… Erika écoutait à moitié ce qu’elle lui disait, mais une seule information traversât son esprit. Arya… Etait il possible qu’il s’agesse de la Arya du collier de Yon ? Au moins cruchasse aurait peut être un reel intérêt.

Erika – Oh… Arya… j’en ait vaguement entendu parler. Alors si c’est ta belle sœur, c’est certainement la sœur de Yon c’est ça ?

Toujours commencer par la flatter, la laisser penser que oui, elle est bien en couple avec Yon. Une furieuse envie de rire. Non mais vraiment qui aurait réellement pensé que cela était possible. Elle et Yon… Mais laissez-moi rire un peu. Elle avait d’abord pensé à la conduire direct dans sa dernière demeure, mais apparemment sa conne attitude pouvait l’aider à en apprendre un peu plus, et même si cela la répugnait, elle se laissait entrainer vers le royaume de la pétasse.

Gagnez dix gallions en me frappant - Oui c'est ça! La pauvre elle est très timide alors elle se réfugie dans l'écriture. Le riot's a du être salvateur pour elle, pauvre petite. Bla bla bla bla

C’est fou ce que ça en devenait barbant. Erika avait déjà débranché, elle savait juste ce qu’elle voulait savoir, pas la peine d’écouter le reste. Et vas-y que ça continu bla bla bla, et les grands gestes qui accompagnent. Plus vite sa fin arriverai, mieux elle se porterait, peut être même qu’elle commencerait par lui couper la langue, tout simplement. Ne plus parler de « moi, moi, moi et encore moi », finirait bien par la tuer.

Bla bla girl -...mais c'est mon SEUL défaut! Tiens et si on rentrait là. Oui se sera déjà bien pour toi. Après on ira chez l'ongle magique. C'est eux qui on la meilleure french manucure de tout le pays, je te jure!

Erika – Hein ? Oh oui bien sur…

Elle répondait uniquement pour faire joli n’ayant pas écouté un mot, elle était tellement stupide qu’elle penserait qu’elle avait écouté. Avant d’avoir pu dire ouf, Erika se retrouvât propulsé dans un magasin qui lui arrachât une grimace. « Pia pia pia pia pia » Holà, ca allait un peu trop vite pour elle. Un tas de vêtement lui tombèrent sur les bras, et avec un grand désespoir, elle passât l’heure à faire le mannequin, ne pouvant évidemment pas la tuer comme ça, en public et en présence des vendeuses, même si elles aussi se seraient senties soulagé.

Après une Heure d’essayage intensif, elle se retrouvât dans une onglerie magique. Encore un peu, elle n’avait pas le choix de ce qu’elle voulait, mais malgré les protestations de gna gna gna de Bridget, elle ne pliât pas. Déjà elle avait des faux ongles c’était pas mal, et ca poussé au ridicule, alors non pas de rose flashy comme elle le lui conseillé.

kick me -Non non non. Pas ça! FBI: fausse bonne idée! Tiens essaye plutôt ça! Non? Bon comme tu veux mais je te préviens que c'est pas avec ça que tu pourras accrocher un homme comme Yon! N'est ce pas Chichi?

Mais elle croyait quoi ? Bien sur qu’elle allait accrocher Yon, mais pas avec ça, avec son cerveau et pas son vide intersidéral comme elle, avec sa classe et non pas sa pétasse attitude.

Kill me -Oh et tu sais pas la meilleure?! Je peux te le dire à toi Riri, ce soir je vais chez Yon, je pense qu'il va me demander en mariaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaage!

Riri ! Non mais c’est pas vrai, achevé la de suite, pauvre Erika. Mais la meilleure était encore la dernière. Il allait la demander en mariage. Erika ne put retenir son éclat de rire stupéfait devant tant de naïveté, qui fut couvert par les félicitations de toute la salle. Erika subit encore quelques instants de kiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, et observât le résultat final. Une jolies french manucure blanche sur fond noir, représentant à merveille l’instant qui allait suivre.

Dehors, la nuit était tombée, les rues semblaient se vider peu à peu. Erika sentait approcher le moment d’apothéose dans la vie de la blondasse, celui ou elle disparaîtrait enfin, pour libérer le monde de son idiotie congénitale. Et la voilà qui recommence a parler, mais cette fois, c’était fini la bonne copine, elle allait vite le comprendre.

Sauver la terre, tuer moi -Alors qu'est ce que tu veux faire Riri chérie?! Je connais un super...

Erika – Bon tu vas la fermer oui ?

Erika venait de la plaquer au mur en l’attrapant d’une main par la gorge avec vigueur, serrant légèrement, histoire de lui faire comprendre qu’elle ne rigolait pas. Erika la fit transplaner dans une ruelle sombre et à l’abri des regards. Et la jetât au sol avec force.

Erika – C’est fini les bla bla bla, on passe aux choses intéressante maintenant…

La petite phrase qu’elle venait de sortir avait eu tout son effet. La blondasse tombât la bouche, presque à toucher le sol, c’était assez comique ma foi. Mais Erika avait bien compris son système. Nier l’évidence, tout simplement. Elle s’attendait déjà au « Yon m’aime, et bla bla bla bla… » S’en était désespérant, et en plus elle ne se trompait pas vraiment.

JET-Pfff! C'est pas la peine de mentir! Je sais très bien que Yon ne t'as pas touchée. Déjà l'autrefois il n'avait pas envie, je lui ai demandé pourquoi, il m'a dit qu'il se réservait avant le mariage! Alors hein!

Alors celle la, elle est vraiment tordante. C’est fou comme en passant du temps a « discuter » avec une personne, on peu en apprécier une autre trois fois plus. Oui, plus elle l’entendait parler de son preux chevalier, plus elle aimait à s’imaginer avec lui. La blonde était trop débile pour saisir la nuance dans ce que lui disait Yon, et il faut avouer qu’il avait un humour à revendre. Se réserver pour le mariage. M’étonnerait pas qu’il ait largement au plus qu’une conquête, puis c’est pas l’impression qu’il lui avait donné la semaine dernière, lorsqu’elle l’avait abandonné à moitié nu sur le canapé.

JET-Je sais très bien que tu ne l'intéresse pas! T’es pas son style: trop timbrée.

Et vlan, un coup de poing dans la gueule, et Erika n’y allait pas de main morte. Ah tient ? Voilà qu’elle venait de comprendre. Birdget se mit enfin à courir, pour faire… Trois mètre et s’étaler comme une grosse merde. Erika se mit à rire. Pourquoi ne c’était elle pas lancé à sa poursuite ? Parce que allait savoir pourquoi, mais, elle s’y attendait. C’était d’un comique. Elle se mt à hurler de douleur. Halala, fallait avouer que c’était bon d’entendre ça. Erika vit un patronus sortir de sa baguette. Tient, Yon allait avoir un message, intéressant. Le sac de la cruche partie dans sa direction. Elle avait enlevé ses chaussure, et commençait a partir en sautillant telle une bourrique. Allé, avance encore un peu… Voilà, tu y es presque… Le coin de la rue approche, et…

Erika - ACCIO CONASSE.

Bridget s’étalât à nouveau de tout son long, et repartit en arrière, trainant sur le sol. Lorsqu’elle fut arrivée devant elle, Erika posât son talon sur son torse, pour l’empêcher de s’enfuir.

Erika - Ah oui c’est sur, je ne suis pas son style. Et comment tu explique cela ?

Erika sortit de sa poche une petite chaine, au bout de laquelle se balançait une petite fiole, portant le prénom d’Arya.

Erika – Il faut au moins qu’il se soit retrouvé dénudé pour que j’ai pu voir ça, et le prendre, tu ne croit pas ?

Elle enfonçât son talon plus profondément dans sa poitrine, avant de lancer :

Erika – Allé maintenant on s’amuse… ENDOLORIS.

JET-Oh mon dieu!! Riri! Tu sais pas ce que je viens de rêver, c'était vraiment l'horreur alors on était en train de faire du, shopping...

Erika laissât échapper un petit rire…malsain. C’est pas possible ce qu’elle pouvait être conne. Elle pensait qu’elle avait rêvé. Eh bien prépare-toi ma chère Bridget, car c’est un cauchemar qui commence. C’est même le dernier que tu connaîtras et tu le vivras éveillée… Voyant qu’elle était attachée, elle semblât saisir que son rêve n’en était pas réellement un. On pouvait lire la panique sur son visage, dans ses yeux, elle transpirait la peur et s’en était jouissif. Bouhouhou, et la voilà qui commençait à pleurer, elle n’arrangeait pas son cas. Il ne manquait plus qu’elle se mette à la supplier, et la belle Hongroise serait au comble de l’extase.

Et pourtant, elle était conciliante. Quand Erika lui demandait de sourire, on pouvait voir qu’elle essayait, mais quoi qu’elle fasse, tout ceci n’était qu’un jeu destiné à faire monter la peur en elle. Rien ne pouvait plus la sauver… Il était d’ailleurs prévu qu’elle meure dès le jour de leur rencontre. Et voilà qu’elle y arrivait enfin, aidé par Erika. Voilà au moins une chose qu’elle réussirait à merveille. Une belle mort comme la chasseuse les aimait…

JET-Non, non arrêtes j't’en supplie fais pas ça, j'ai de l'argent, j'ai...j'ai tout ce que tu voudras j't’en prie, j't’en sup...

Oui supplie moi ma belle. Il n’y avait rien de mieux pour faire accélérer la chose. Un geste vif et précis. Erika avait l’habitude. Son arme n’était que le prolongement naturel de sa main. Son instrument de mort… Elle pouvait très bien la poignarder en plusieurs endroit sans lui faire perdre la vie, elle savait pu frapper pour faire souffrir et ou frapper pour tuer. Pour l’instant elle était plutôt penchée vers la souffrance… Elle beuglait comme un porc, faisant répandre son sang plus rapidement encore. Erika approchât le poignard à de ses lèvres, et passât sa langue dessus.

Erika - Alors tu ne dit plus rien ? Dommage j’aimais beaucoup ta discutions.

Erika s’approchât de son visage alors qu’elle ne cessait de pleurer et de pousser des cris de douleur. Elle se penchât au dessus d’elle, s’approchant à quelques centimètres seulement. Elle passât sa main dans ses cheveux, une main qui se voulait rassurante, et qui glissât sur son front dans une caresse voluptueuse. Du bout du doigt, elle effleurât sa blessure lui arrachant de nouveaux cris de douleur.

Erika – Shuuuuuuuuut ma belle… Du calme, tu verras tu va souffrir un instant, mais je te libèrerais assez vite je pense. Et puis arrête de gueuler, personne ne peux t’entendre d’ici, et la seule chose que tu réussis à faire c’est me mettre les nerfs…

Sa voix était devenue beaucoup plus sérieuse. Oui Erika adorait entendre hurler ses victimes de douleur, mais elle s’en devenait presque insupportable. Tien une idée. Voilà une chose qu’elle n’avait jamais tentée à ce jour. Elle se devait de vérifier, si cela ne marchait pas, elle pourrait toujours tester autre chose. A votre avis est ce qu’une personne qui perd sa langue peut toujours hurler comme un bœuf ? Qui vivra verra. Erika toujours penché au dessus du visage de Bridget lui adressât un sourire. Elle se penchât légèrement, et déposât un baiser sur ses lèvres.

Erika – Ouvre… Ne résiste pas chérie tu risquerais d’avoir encore plus mal… Bon tu m’y force alors…

Erika entrât sa main de force dans sa bouche, tirant allègrement sur les entailles qu’elle lui avait faites plus tôt. Au moins, cela facilitait le passage. Elle attrapât sa langue et d’un geste la tranchât. Le sang se remit à couler de plus belle.

Erika – Outch… Ca, ça doit faire mal…

Alors crie toujours ou pas ?