Samara Kurylenko

SAMARA KURYLENKO

I. Identitée Générale.

Nom Prénom :Samara Kurylenko
Age, Date de Naissance :23 décembre 1977
Profession :Gardienne de Dragon
Etat Civil :Célibataire

II. Identitée Poussée.

Adresse :
Origine Géographique :Russe, elle est née à Moscou et a été élevée dans la plaine Sibérienne.
Niveau de Vie Social : Mêlé,elle est en partie Vélane par sa mère. Elle n’a pas d’héritage ou quoique ce soit, elle vit uniquement de son salaire.
Baguette Magique : bois de rose ( marron très sombre, rosé tirant vers le rouge) elle mesure 23 centimètres, de fins entrelacs de mithril serpentent sur la garde et remontent tout le long pour converger à l’extrémité de la baguette. Elle contient une plume d’Abraxan.
Inventaire : un coffre à sept serrures
Famille :

> Dorofey Kurylenko était Auror au Kremlin côté sorcier (évidemment). C’était un grand sorcier noir au crâne rasé, il portait un anneau d’or à l’oreille gauche. C’était un sorcier de sang pur, d’origine russe malgré les apparences.

>Ovsanna , sa mère, était une Vélane des hauts plateaux Arméniens mais la famille était depuis longtemps implantée en Russie. Elle était magnifique évidemment, élancée, voluptueuse, les cheveux châtains et de grands yeux d’eau envoutants.

>Anyanka une petite vieille toute recroquevillée. La tante de Samara, celle qui l’a élevée.

III. Physique.

Description :
C’est une jeune femme très séduisante (ça va sans dire) ses cheveux sont châtain brun, elle fait dans les 1.75m, son corps est parfaitement sculpté (le contraire eut été étonnant) mais si vous n’avez pas vu ses magnifiques yeux vous n’avez rien vu du tout.
Samara a de grands yeux changeants et captivants. D’ordinaire brun vert clairsemé d’or, il peut arriver d’y surprendre des tons tirants plus sur le gris voir presque le bleu.
Impossible de ne pas les remarquer, ils vous attrapent pour ne plus vous lâcher.
Signes Particuliers :
Un genre de tatouage au creux de ses reins en bas du dos qui est en fait une marque de naissance qu’elle tient de sa mère.
Son patronus est un Nundu comme celui de tous les Kurylenko.
Style Vestimentaire :
Samara a beaucoup de goût pour s’habiller mais son travail fait qu’elle porte très souvent de grands manteaux (qui reste très class et féminin) et de quoi la protéger. Sinon quand elle n’a pas la contrainte du travail elle porte de tout tant que c’est féminin et élégant.

IV. Caractère.

Description :

Samara est une jeune femme forte. Elle a une volonté de fer et une détermination à toutes épreuves. En fait autant carrément dire qu’elle est têtue (mais non mais non…si peu. Où allez vous chercher ça ? )
Ce n’est pas une prétentieuse pourrie gâtée contrairement à ce que les gens pensent des demie-vélanes par contre si elle est persuadée d’avoir raison vous avez intérêt à vous accrocher pour la faire changer d’avis.
Du fait qu’elle est en partie Vélane, elle a appris très tôt à avoir du répondant (prétendants et ennemies obligent) et à se méfier un peu en amour mais comme elle reste quelqu’un de très sympathique.

Elle sait montrer ce qu’elle ressent (même si ce n’est quand même pas à n’importe qui) et obtenir ce qu’elle veut en général.

Elle est plutôt sociable et ouverte aux autres.
Réaction face aux Dangers :

Samara a était confronté au danger très jeune et comme n’importe quel enfant à cette époque elle avait fuit de son mieux mais aujourd’hui c’est différent. Même consciente de ne pas avoir le dessus, poussée à bout sans aucune solution de repli, elle préfèrerait se battre jusqu’à la mort plutôt que d’abandonner.

Elle n’aime pas la violence même si elle saurait se défendre parfaitement bien ce n’est pas non plus Wonderwitch !
Peurs, Phobies :
La vue du sang en grande quantité lui provoque une réaction de rejet, elle a tendance à paniquer même si elle se contrôle de son mieux. En fait ça lui rapelle trop la mort de ses parents.

Elle garde aussi une certaine méfiance à l'égard des Norvégiens à crêtes mais c'est une bonne gardienne elle sait se contrôler et elle s'en sort très bien peu importe le dragon.

Hormis ça elle n'a pas de réelles phobies ou peur à part celles que n'importe qui aurait du genre voir mourrir ses proches, ce genre de trucs...

V. Biographie.

[list]
[*]Histoire Juvénile :

OVSANNA-Samara calme toi cinq minutes ma chérie. Sa suffit maintenant.

La petite fille stoppa net, baissant le menton, ses yeux levés sur sa mère. De grands joyaux adorables et déjà animés d’une flamme reconnaissable entre toutes.
Ovsanna posa les mains sur les hanches, attendrie. Une petite moue sur les lèvres, elle prit sa fille de 6 ans sur ses genoux.

OVSANNA-Soit sage sinon tu vas encore dire que je te tire les cheveux.
SAMARA-Mais mamaaaaaan…
OVSANNA-Tu ne veux pas que papa te trouve jolie ? Bon. Alors cesse de gigoter comme ça, c’est l’histoire d’un petit coup de baguette…

Ce soir, Dorofey Kurylenko rentrait chez lui après un long mois d’absence, comprenez que sa petite fille soit si impatiente. Une vraie pile électrique depuis le matin. Il était employé du Kremlin en tant qu’Auror.
Le petit appartement de Moscou allait être en fête ce soir. Ovsanna regarda sa fille avec amour. Elle aussi n’y tenait plus…

Trois petits coups à la porte et un CRAC.

La petite terreur avait déjà sauté dans les bras de son père, très vite rejointe par sa maman. Un flot de questions s’échappa de la bouche de Samara :

DOROFEY-Hey mais ma petite princesse n’a pas perdu sa langue pendant que je n’étais pas là à ce que je vois’, il lui déposa un bisous sur le front et après avoir embrassé sa femme il reprit, ‘ devine quoi ? J’ai une surprise pour toi…’
SAMARA- C’est quoi ? C’est quoi papa ?

Dorofey alla farfouiller dans son sac et en tira un petit paquet

DOROFEY-Ah je ne suis pas sûr que tu le mérite… On va demander à maman…
OVSANNA-Allons arrêtes de la faire maronner. Elle ne tient plus en place depuis qu’elle s’est levé à cinq heure ce matin.

Dorofey sourit encore. Il n’y avait rien qu’il aimât plus que sa femme et sa fille. Leur petite vie tranquille même si parfois son métier d’Auror lui faisait faire des cauchemars. Mais il était aussi très méfiant et il prenait des précautions énormes. Pas question de mettre sa famille en danger.

Samara ouvrit le paquet sans déchirer le papier. Ses grands yeux plongés dans ceux de son père. C’était une gamine alors un cadeau pour elle c’était toujours merveilleux mais pas autant que de se retrouver assise sur les genoux de son papa.
C’était une petite boîte. Samara avait cette expression de gosse émerveillée. Elle souleva le couvercle. Une petite musique s’éleva tandis une rose d’un rouge intense apparaissait, grande et fraîche. Elle tournait doucement sur elle-même et faisait une douce lumière.

DOROFEY-Voilà, tu n’auras plus peur du…

Dorofey s’interrompit, son visage se ferma.

SAMARA- Qu’est ce qu’y a Papa…

L’Auror posa doucement sa large main sur la bouche de sa petite fille. La serrant dans ses bras, il se leva et fit signe à sa femme. Il avait entendu quelque chose. Il l’emmena à pas de velours dans la chambre.

DOROFEY- C’est un nouveau jeu ma chérie. Tu restes cachée là sans faire de bruit…
SAMARA-Maman elle me gronde tout le temps quand je vais sous le lit. Elle dit que c’est pas propre.
DOROFEY-Je sais ma chérie je sais. Mais là c’est papa qui l’a dit. Tu ne dis rien jusqu’à ce que maman t’ai trouvée d’accord ?

Samara sentait évidemment que quelque chose n’allait pas. Elle entendit sa mère ouvrir la porte à quelqu’un.

SAMARA-Il est pas marrant ce jeu papa. Moi je veux rester avec toi et maman.

Dorofey jeta un coup d’œil rapide par-dessus son épaule, attentif au moindre son comme s’il avait été à la porte avec Ovsanna. Sa grande main caressa le visage de sa fille en même temps qu’il l’embrassait sur le front. Il la serra très fort dans ses bras.

DOROFEY-Samara écoute papa : tu reste cachée là un point c’est tout. Tu bouges pas d’ici. Tu ne fais pas un bruit, je ne veux rien entendre. Je viens te chercher très vite c’est promis. Je vais éteindre la lumière…

Elle obéit et son père éteignit la lumière d’un coup de baguette avant de transplaner dans le salon pour ne pas attirer l’attention vers la chambre.
Cachée dans le noir, sans sa rose lumineuse (son père l’avait laissée au salon), elle avait peur. Mais elle voulait que son père soit fier d’elle alors elle se concentra sur les voies dans le salon pour oublier le noir. Elle ferma les yeux.

Il y eut de grands éclats de voix. Celle de son père tonna à faire trembler les murs et il y en avait qu’elle ne connaissait pas. Sa mère cria. Samara se pinça la lèvre pour se retenir de désobéir à son père. Son petit cœur battait à cent à l’heure.
Puis la porte claqua.

DOROFEY-NON LAISSEZ LA !

Elle s’ouvrit à la volée et la lumière se ralluma. Samara rouvrit les yeux. Elle voyait sa mère en pleurs. Un homme la tenait fermement. Deux autres entrèrent avec Dorofey. Ils se battaient. Dorofey était blessé, il y avait du sang sur son tee-shirt mais il tenait encore le coup. D’un seul coup il envoya un de ses assaillant par la fenêtre. Samara réprima un cri d’horreur. Un autre homme entra.
Pourquoi ne tiraient-ils pas leur baguette? Samara n’aurait jamais la réponse à cette question.

Il y eu un bruit métallique suivi d’un craquement sinistre et Ovsanna qui cria. Sous le lit Samara était terrorisée. Dorofey fit trois pas en arrière, le grand type face à lui retira une longue dague pleine de sang. Un sourire malsain éclaira son visage puis il se retourna vers un autre homme qui se tenait un peu en retrait pour observer.
Samara le dévisageait. Chaque détail, chaque seconde resterait à jamais fixé dans sa mémoire, capturé par deux opales étincelantes.

Dorofey s’effondra. La dernière chose qu’il vit se fut ses deux magnifiques opales, son trésor caché sous le lit. Ils ne l’avaient pas trouvée. Il sourit tendrement, puis son regard se figea.
La petite fille plaqua ses mains sur sa bouche pour ne pas qu’on l’entende appeler

SAMARA-Papa…

L’homme qui s’était tenu à l’écart jeta Ovsanna sur le lit et du seul coup l’acheva.
Samara c’était mise à pleurer. En silence. Elle ne pouvait plus fermer ses grands yeux. Les larmes coulaient silencieuses sur ses joues ambrées. Puis se fut le sang d’Ovsanna qui tomba en perles chaudes et épaisse sur le visage de l’enfant.
Ils s’en allèrent. Elle n’avait pas bougé. Elle avait obéi et elle n’avait pas bougé.

Traumatisée, elle se retrouva debout dans le salon, loin de la chambre de ses parents. Tout était brisé. Par terre le petit coffret que Dorofey avait offert à sa fille était brisé aussi. Samara ramassa la rose qui commençait soudain à faner…

DOROFEY-Voilà, tu n’auras plus peur du…
SAMARA-… noir

[*]Histoire Scolaire :

Après l’incident avec ses parents, Samara est partie vivre dans les landes sibérienne chez sa tante Anyanka qui était déjà une femme d’âge mûr. Par on sait quel procédé cette dernière parvint à faire entrer Samara au prestigieux Institut Durmstrang et cela malgré qu’elle ne soit une sorcière de sang pur (peut-être le directeur de l’époque considérait-il un sang mêlé Vélane comme moins impur que le sang mêlé moldus, allez savoir).

Répartie a Ayracta, Samara fut une élève de bon niveau, elle n’était pas plus douée qu’un autre mais elle était relativement travailleuse.
Bref, après 7 années à Durmstrang la jeune fille se dirige vers le métier de gardien des Dragons. Elle entre comme apprentie dans un élevage de Magyars à Pointes en Roumanie malgré les protestations de sa tante Anyanka qui a toujours un œil sur elle. En plus elle gagna assez vite de quoi être indépendante et de quoi aider un peu Anyanka.
C’est en Roumanie qu’elle fit la connaissance de Venceslas…

[*]Histoire Après Ecole :

SAMARA-Vence ?!… Vence !!!!!!

La voix de la jeune gardienne résonna dans le loin. La forêt était humide et il faisait rudement froid. La jeune femme fit un tour sur elle-même. Enveloppée dans son long manteau noir (pas l’idéal pour chasser le norvégien mais pour ce qui était du froid…).
Un Norvégien adulte mâle semait la terreur dans les environs de Novgorod. Comment était-il arrivé là ? Aucune idée.
En tout cas ça faisait quatre jours que les deux jeunes gardiens avaient été envoyés en Russie et qu’ils le pistaient.

Samara scrutait l’obscurité. Venceslas avait disparut depuis prêt d’un quart d’heure. Ils étaient l’un à côté de l’autre puis comme par enchantement il avait disparut…

VENCE-Bouh !

Samara fit volte face, la baguette dans une main, l’arbalète qu’elle tenait dans l’autre alla d’instinct sous la gorge du garçon. Puis elle baissa ses armes :

SAMARA-Tu m’as fait peur espèce de crétin ! Tu sais que tu n’es vraiment pas drôle en plus de ça. Ca aurait pu être n’importe quoi, imagine que j’ai la détente facile.

Venceslas afficha un petit sourire de mafioso.

VENCE-Allez vas ! Regarde ce que j’ai trouvé. Plus tôt on aura coincé cette saloperie de Norvégien plus tôt on pourra aller se caller quelque part, j’en ai marre de marcher. Tu m’as dit que ta tante habitait pas trop loin.

Samara opina. Elle jeta un coup d’œil à une lanière calcinée que Venceslas lui tendait. Pas de doute, le Norvégien ne s’était pas fait la malle tout seul. On l’avait relâché. Délibérément.

Venceslas était sur une piste. Samara lui emboîta le pas silencieusement.

VENCE-Je me demande si elle va m’apprécier …

Samara fronça les sourcils.

SAMARA-De quoi tu parles Vence ?
VENCE-Ta tante… Je me demande si…
SAMARA-Je suis pas persuadée que ce soit le moment.
VENCE-Quoi ? t’as peur que le Norvégien aille le répéter à quelqu’un ?
SAMARA-Ce que tu peux être con quand tu t’y mets.
VENCE-Je croyais que c’était ça qui te plaisait !
SAMARA-Si tu continue je dirais à ma tante de te faire passer la nuit dehors. Elle en serait capable tu sais.
VENCE-Arrête de te payer ma tête…

Ils se turent un instant. Les arbres étaient calcinés et sous leurs pieds le sol semblait vibrer légèrement. Ils y étaient. Vence tira son arbalète magique (de quoi capturer un Norvégien sans trop de mal –pour lui surtout).
Samara lança le signal pour que les autres rappliquent. Ce genre de dragon avait bien besoin d’une dizaine de gardiens. En attendant il fallait le tenir à l’œil. Impossible de le stupéfixer ou quoi que ce soit.

SAMARA- J’étais sérieuse pour ma tante. Elle te laisserait à la porte.

Venceslas eut une petite moue moqueuse. Il n’en croyait pas un mot. Il appréhendait un peu de rencontrer Anyanka mais bon il n’allait pas se cacher toute sa vie non plus. Tôt ou tard il faudrait bien qu’il rencontre la tante de Samara et puis la sorcière semblait y tenir.

Il y eut plusieurs « CRAC ». L’équipe de Seraph était au complet cette fois. Seraph, le gardien en chef eut un petit clin d’œil pour ses deux jeunes apprentis pour leur montrer qu’il était fier d’eux. Vence eut un vague sourire. Il n’aimait pas Seraph. Pas seulement parce qu’il était jaloux et qu’il n’aimait pas la façon qu’il avait de regarder Samara parfois.

Seraph eut un mouvement de la main. Formation en étau. Les gardiens abaissèrent leur centre de gravité pour rendre leur pas plus silencieux et encercler le Norvégien qui roupillait dans son coin de forêt fraîchement calcinée.

Crac. Venceslas leva les yeux vers Samara. Il venait de marcher sur une brindille. Seraph lui jeta un regard réprobateur, tout le monde se figea.
A quelques mètres seulement, un souffle brûlant et rauque gronda et une fente jaune d’or se laissa apercevoir.
Les gardiens craignaient le pire. Mais l’œil disparut de nouveau, le dragon grogna et se rendormit. Tous se sentirent soulagés.
Samara regarda Seraph. Il avait plus d’expérience, son visage n’affichait rien mais elle se doutait déjà qu’il aurait quelque chose à dire quand tout serait fini.

Marissa pointa sa baguette vers le ciel qui se dégagea. Ils auraient une meilleure visibilité.
Un petit son désagréablement aigu se fit entendre dans la nuit glaciale. Une espèce de sifflet. Le Norvégien ouvrit son œil jaune et se redressa.
Quelqu’un le contrôlait, c’était bien du trafic de dragon ou quelque chose dans ce goût là.
Seraph gueula une flopée d’ordres, les gardiens obéissaient comme un seul homme, les baguettes tiraient, les arbalètes prêtes à servir.
Tout se passa très vite. La forêt se remis à flamber. Des sortilèges fusaient de tous les côtés. Entre ça et le Norvégien, pas de quoi se la couler douce.

SAMARA-Stupéfix !

Un de leurs assaillants étaient neutralisé au moins mais ce n’était pas suffisant.

SERAPH-Repoussez-les.

Elle savait ce qu’il avait prévu comme n’importe lequel de ses hommes. Les expelliarmus, expulso et autres sortilèges du genre fusèrent puis les gardiens se concentrèrent pour former un bouclier juste assez grand pour eux et le Norvégien. Situation particulièrement dangereuse. Il allait falloir agir vite si ils ne voulaient pas finir tous rôti.
Le Norvégien fouettait l’air de sa queue, balayant quelques gardiens au passage. Le cercle de protection était trop petit.
Les dix gardiens jetèrent leur sort de stupéfixion ensemble évitant du mieux les coups de queue de pattes et autres…
Finalement le Norvégien s’immobilisa et les carreaux des arbalètes magiques volèrent dans sa direction pour le museler et le ficeler. Plus de danger de ce côté-là.
Juste au moment où le bouclier céda.

Seraph envoya les plus expérimentés alentour mais les braconniers avaient déjà décampés depuis un bon bout de temps. Igor ramena cependant le bougre que Smara avait stupéfixé.

SERAPH-On s’en occupera après. On va le transporter avec le Norvégien.
SAMARA-Ma tante habite un peu plus au Sud.
SERAPH-Très bien’, fit-il d’un ton paternel, ‘GARDIENS !’

Tous se regroupèrent parmis lequels Marissa, Mareck, Vadim et Lyvia qui semblaient sérieusement blessés.

VENCE- J’aurais préféré un Opaloeil.

Samara sourit.

SAMARA-Ouais moi aussi, le problème avec les bra… Vence !!!!!

Elle se retourna vers lui. Il avait l’épaule mal en point.

CRAC ! Seraph avait donné l’ordre de transplaner, il fallait s’exécuter.
Ils arrivèrent à quelques distances d’une petite maison esseulée dans une grande plaine enneigée. Une trainée blanche s’élevait de la cheminée et on voyait la lumière filtrait pas les petites fenêtres.
Une petite vielle ouvrit la porte. Elle salua sa nièce puis détailla chaque visage malgré que sa vue aie fortement baissée depuis les dix dernières années.

SAMARA-On a eu un problème Anya, est-ce que…
ANYANKA-Allez ne sois pas bête ! Entrez.

La vieille dégagea le passage en claudiquant sur son vieux bâton noueux et tortueux.
On aurait dit qu’Anyanka les attendait. Elle avait déjà tout préparé et posé le couvert pour 9. Samara le remarqua. Ce n’était pas la première fois que sa tante la surprenait. Elle avait ses petites bizarreries à elle, il ne fallait pas poser de questions. Tandis que Seraph avait la mauvaise idée de l’ouvrir…

VENCE-Finalement avec tout ça je passe assez inaperçu. Tu vois qu’elle ne m’a pas laissé dehors.
SAMARA-Vence laisse moi regarder.

Il avait l’air un peu pâle et sur front commençaient à perler de grosses gouttes de sueur.

VENCE-Ca va c’est rien je te dis.

Il lui caressa les cheveux et l’embrassa doucement sur le front.

SAMARA-Ouais c’est ça.

Elle le poussa doucement contre le mur du couloir à l’abri des regards et, utilisant son charme naturel, elle parvint à lui faire enlever sa cape et son pull sans qu’il proteste trop.

SERAPH-Vous nous attendiez ?
ANYANKA-Pas du tout.
SERAPH-Vous attendiez du monde alors ?
ANYANKA-Pas du tout.

La petite vieille leva les yeux sur le Gardien tandis qu’elle servait la table.

ANYANKA-Vous posez beaucoup de question pour quelqu’un arrivé à l’improviste. Je n’attend personne, je savais que vous alliez venir et c’est tout. Maintenant à table.
SERAPH-Je…
ANYANKA-Pas de discussion !! A table.
SERAPH-Vous voulez que je vous aide à finir de mettre la table ?
ANYANKA-Elle est mise… mais Venceslas ne mange pas avec nous et moi j’ai déjà mangé. Samara !

La petite vieille claudiqua jusqu’au couloir. Sa canne donnant de petits coups appuyé sur le vieux plancher.
Samara avait ses grands yeux rivés sur l’épaule gauche de Venceslas, horrifiée.

ANYANKA-Vas manger, je vais m’occuper de lui…
VENCE-Tu vois je t’avais dit qu’elle ne me mettrait pas dehors.
ANYANKA-Ce n’est pas dit que je ne le ferais pas !

Elle tira sa baguette et l’emmena dans la chambre de Samara. La jeune fille voulu suivre mais Anyanka était intraitable. Mieux valait aller dîner et raconter aux autres pour pouvoir rejoindre Vence au plus vite.
Le dîner fut silencieux. On se serait cru à une veillée funèbre.

Dès qu’ils eurent fini, Samara se précipita vers la chambre mais Anyanka la retint doucement par le bras. La vieille était un peu bougonne mais elle avait le cœur tendre et aimant.
Samara compris. Elle prit une profonde inspiration avant d’entrer.

Il dormait. Elle s’allongea à côté de lui, attendant qu’il se réveille. Elle épongea deux ou trois fois son visage. Le teint de Vence avait viré presque gris.
Il ouvrit un œil.

VENCE-Je t’avais dit qu’on aurait du prendre un appart ensemble aux antipodes… saleté de Norvégien.
SAMARA-On ira…promis, on ira aux antipodes. Les Norvégiens ça a jamais été mes préférés.
VENCE-Je sais… Tu as toujours un petit côté Magyar femelle en train de couver…surtout quand tu es en colère.

La bonne blague. Samara esquissa un pâle sourire. Le Norvégien à crête faisait partie des dragons venimeux. Une morsure et c’était foutu dans la plupart des cas. Anya était une bonne guérisseuse mais si elle était déjà sortie de la chambre c’était qu’il n’y avait rien d’autre à faire.
Les gardiens passèrent dans la chambre un a un puis Samara se retrouva à nouveau seule avec Vence. Il fatiguait à vu d’œil. Pourtant il n’avait vraiment presque rien. Une éraflure. Avec un magyar il n’aurait même pas eu à passer à l’infirmerie.
La nuit sibérienne était très longue. Il faudrait attendre le printemps pour en voir la fin.
Venceslas attira Samara à lui jusqu’à ce que leurs lèvres se touchent. Samara ferma les yeux en même temps que lui pour lui donner ce dernier baiser mais ses lèvres ne reçurent rien en retour…il était mort.

[/list]

VII. HRP.

[list]
[*]Prénom :Hello !
[*]Age RP :20 ans
[*]Comment trouvez vous le forum ?franchement… Samara Kurylenko 264741