Horcruxes - Les Reliques de la Mort
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 To be Continued - PV *

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Aaron Vanna Syl
|Préfet| Elève en 7ème
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Aaron Vanna Syl


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MessageSujet: Re: To be Continued - PV *   To be Continued - PV * - Page 2 Icon_minitimeMar 1 Jan - 4:45

HRP - Cadeau de la Nouvelle Année ? (L)



    Le temps s'évapore. Il n'est plus. Tout change, tout disparaît. Ca s'infiltre dans la terre et la nourrit. Aaron était là, calme, d'un calme que l'on ne lui avait jamais remarquer, lui qui était de nature plutôt bavard, il n'aurait pas été capable de décrocher un seul mot ou une seule remarque à ce moment. C'étai tun autre language qu'ils parlaient. C'est elle et lui, pas les autres. Eux étaient à part de tout, là, tout juste mouillés jusqu'aux os, leurs petits corps frissonants dans un semblant de bonheur, une miette d'amour. Aaron sentait la tendresse et la sincérité comme un enfant sent bon. C'était une odeur particulière qui s'écoulait de ces pores. Lui même le savait, il la sentait cette bonne odeur, tout comme l'odeur des mèches blondes de la Serpentarde sur laquelle sa tête venait de se poser. Il fermit les yeux. Son coeur se mourrait dans sa poitrine, prêt à exploser, à rompre les liens les plus sacrés pour fuir, lâche et moche, frippé et ridé. Aaron savait : il n'était pas capable d'aimer. Pas encore. Peut être jamais. Il était trop brusque, trop colérique. Il plissa le nez, sentant sa gorge se défaire de ce noeud infernal, pourtant il ne dit rien. Il ne pouvait rien dire encore, sa vie ne se résumait qu'à un tissu de mensonge, avait il le droit de dire la vérité, au moins une fois ? Il aurait aimé qu'elle le pousse, qu'elle le rejette et qu'elle fuit. Il lui aurait couru après, il aurait eut peur, il aurait été triste. Mais elle ne faisait rien. Pourtant il savait, il savait qu'elle n'était pas comme ces filles d'une nuit, non, elle était plus qu'elles. C'était sûr. Alors pourquoi ?

    Le jeune Vanna Syl en conclut qu'il se faisait des films, que tout simplement Autumn comptait sur lui comme un grand frère, pas comme le petit ami idéal. Il ne l'était pas de toute façon. Il ne le serait que quand il aurait comprit la douleur et les souffrances, quand il aurait grandit. Il était grand, oui, mais dans sa tête, il était resté le petit garçon qui avait peur du croque mitaine et des loups dans la forêt. Non, il n'avait jamais eut peur des loups garous... Qu'importe. Il la serra un peu plus en sentant sa main serrait la sienne. Voilà ce qu'il voulait : une main à serrer. Pas une main froide et rèche, une main de femme sévère et droite, une main rigide. Non. Lui il voulait cette main, moite et chaude, humidifée par la pluie et les pleurs, douce comme une joue de nourisson, sentant bon. Il voulait Autumn. C'était égoïste, il était égoïste. Et après tout, qui ne l'était pas ? Autumn serait son cadeau, serait un peu tout. Un cadeau de Noël ? Qui sait réellement. Le petit coeur du Vanna Syl se serra dans sa poitrine une autre fois. Plus le temps passait, plus il semblait se perdre dans les rêves qu'il avait tant repoussé. Il avait voulu oublier, devenir grand. Les rêves étaient partis, mais l'enfant était resté. Tu sais, Aaron, que tu n'es qu'un enfant. Ne pleure pas, tout le monde l'est dans le fond. Ces mèches le gênent, collent à son front et barrent ces saphirs d'une manière sauvage. Il ferme les yeux, respire lentement.


    « Alors tu seras toujours quelque chose, car j'pourrais pas t'laisser seule... »
    « De toute façon, ce qui compte aujourd’hui, c’est que je sois quelque chose pour toi… Le reste n’a plus d’importance. »
    « Tu compte pour moi plus que n'importe qui. Comprend le, Autumn. Tu es quelqu'un d'exeptionnel. »

    Il la regarde, là. Petite blonde aux yeux bleux, lui géant brun aux yeux d'orage. Plusieurs minutes dans un silence de plomb. Il lui avait fait du mal, encore. Il culpabilisait, il ne voulait pas faire ça. Il l'avait faite pleurer, de joie ou de tristesse, les larmes avaient tout de même rouler et il n'avait pas eut le courage de demander si c'était lui, si c'était la pluie, pourquoi des larmes. Non, il était lâche. Il n'était pas un de ces courageux Gryffondors qui risquent sa vie pour des millions de gens... Lui, il n'était que le pauvre héritier Vanna Syl a qui la vie a envoyé un ange. Oui, un ange aux ailes tellement légères qu'elles sont pour sa propriétaire qu'un rêve. Démentir. Dis lui, Aaron, que toi tu les vois ces ailes. Il reste là, sans un mot, sans rien dire. Qui as dit un jour que l'on faisait du mal à ce que l'on aimait ? Sans doute avait il oublié de rajouter que l'on aimait ceux qui nous font dumal. Aaron déglutit difficilement, il ne voulait plus lâcher Autumn, plus l'abandonner, non. Il voulait être avec elle, qu'importe le prix.

    « Ne dis plus jamais que tu es seule, Autumn… »

    Comme une épée de Damoclès qui transperce les âmes. Et maintenant ? Vas-tu fuir, petit lion ? Ou affronter tes mots ? Oui, Aaron savait que fuir, c'était la perdre. Non, il ne voulait pas. Bien sûr que non. Qui aurait voulu perdre son seul ange ? C'était peut être la seule chance d'Aaron de devenir meilleur que les siens. Elle... Elle était sa moitié, son oxygène. En quelques minutes, en une, deux, trois heures peut être, elle était devenue sa moitié, sa part indescriptiblement sienne. Oui, Autumn était sienne. Peut être l'avait il rêvé, de longues nuits. Peut être était-ce cette ange qu'il voyait dans ces rêves, bercer de ces bras diaphanes l'enfant perdu. Autumn était tout. Un ange. Une femme. Une futur femme. Une femme heureuse. C'est tout ce qu'Aaron désirait : faire d'elle une femme heureuse et épanouie. Sans doute, que de bonnes attentions.

    « Mais il y a bien un jour où on sera séparé… C’est une évidence Aaron… »

    Sourire pâle et triste. Elle n'a pas tord.

    « Je n'ai pas envie d'y penser, Autumn. Le présent reste mon utopie. Je ne veux pas voir un demain noir et sombre, sans toi. Non. Moi ce que je veux, c'est un présent à tes côtés, à te protéger. Tu comprends, Autumn ? Jusqu'à mon dernier souffle je serais là, pour toi. J'en fais la promesse... Autumn... »

    Peut être avait il raté sa plus belle pièce, mais Aaron ne se rendait pas compte à qui il avait à faire. Cendrillon, bordel. Elle est là, devant toi, Prince, alors emmène là sur ton cheval blanc ! Mais non, tu ne sais rien faire que la dévorer des yeux, te dire qu'elle est tout pour toi. Tes idées ne tournent pas rond, non. Bien sûr que non puisqu'elle a captué ton âme, et toi, tu ne t'en rends même pas compte. L'on n'aime pas se réveiller des plus merveilleux rêves après tout. Il voulait juste qu'elle comprenne qu'il ne rigolait pas, qu'il était sérieux. Que partout où elle irait, il y serait. Que sa vie se jouerait au détriment de la sienne. Oui, il le voulait. Il voulait se nuir, se détruire s'il le fallait, juste pour qu'elle soit heureuse. Il n'avait pas les moyens de lui donner ce qu'elle voulait, pas les moyens d'acheter ce beau château, cet étalon blanc et de se déguiser en Prince Charmant. Non. Et Autumn, elle était sans doute plus jolie que Cendrillon, oui. Mais qu'importe. Il ne voulait pas d'une Cendrillon, lui, à ce moment précis, il ne voulait que le sourire d'Autumn, car seule Autumn comptait. Tant qu'elle ne serait pas heureuse, alors il ne le serait pas à son tour. Il respira net sa respiration, sentant lui venir à nouveaux les larmes. Fausses alertes. Oui. Sans doute.

    « Autumn, je veux t'offrir le plus beau des Châteaux. Je veux que tu sois avec le Plus Merveilleux des Princes Charmants. Je veux que tu vois qu'il a le Plus Beau des Etalons Blancs. T'entends, Autumn ? Je veux que tu sois heureuse. Je... Moi, je veux que ton sourire. Juste ton sourire. Tu es tellement plus jolie quand tu souris, ça me tue de te voir si triste. Souris. C'est tout ce que je te demande... Juste un sourire. Ton sourire. »

    Just Smile, 'cause He Was Made for Lovin'You.
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MessageSujet: Re: To be Continued - PV *   To be Continued - PV * - Page 2 Icon_minitimeMer 2 Jan - 11:26

    HRP - Qu'est ce que ça inspire d'écrire dans son lit ! *sors* J'me suis réveillé uniquement pour toi, t'as vu la classe ! Bon, j'compte aller me recoucher après hein, trop crevée u.u' Là est pas la question, j'espère que ça te plaira, j'me suis amusée à le faire jusqu'à 6H avec le RP de Léa (en jonglant avec le téléphone xD Femme à tout faire, oui c'est bien moi :hey: )


    « Alors tu seras toujours quelque chose, car j'pourrais pas t'laisser seule... »
    « De toute façon, ce qui compte aujourd’hui, c’est que je sois quelque chose pour toi… Le reste n’a plus d’importance. »
    « Tu compte pour moi plus que n'importe qui. Comprend le, Autumn. Tu es quelqu'un d'exeptionnel. »

    Quelqu’un d’exceptionnel ? Il se trompait sans doute de personne. Autumn était loin d’être une fille exceptionnelle, c’était même le contraire. Elle était comme toutes les autres ; lâche. Lâche de ne pas assumer ses sentiments, pourtant, ils étaient des plus clairs. Autumn savait qu’au fond, Aaron n’était pas que le simple chevalier prêt à secourir la belle Princesse en cas de besoin. Il était plus que ce beau Gryffondor qui la rendait heureuse et pleine d’espoir ; il avait su la transpercer en plein cœur... Elle croyait à nouveau au bonheur, à toutes ces choses qui avaient cessées d’exister pour elle depuis bien longtemps. Cendrillon, belle Cendrillon, Douce Cendrillon. Tu touches tes plus grands rêves du bout des doigts, tu effleures le bonheur à mesure que tu sens ta peau sur la sienne, et ce que tu fais, c’est simplement sourire ? Prouve lui ta sincérité en passant outre les principes, arrange toi pour qu’il sache qu’il n’y a que lui et personne d’autre. Qu’en tant que Princesse, tu serais prête à faire des sacrifices rien que pour ses yeux. Dis lui ! Un beau jour, peut être que ton sourire sera sien, et que tes rêves le seront aussi. Fallait-il dire quelque chose ? Certainement, mais la jeune vert et argent n’en trouvait pas la force. Ne dit-on pas que le silence est le plus criant des mots ? C’était le cas, à cet instant précis. Le plus criant des mots, certes, mais aussi de loin le plus beau.

    Se serrant un peu plus contre lui, elle se décala légèrement jusqu’à afficher un sourire à peine percevable. Impossible qu’il s’en aille, ce sourire stupide, elle était trop bien pour de nouveau mentir. Aussi douée soit-elle, il fallait qu’elle cesse de se voiler la face à longueur de journées, car elle n’enchaînait que mensonge sur mensonge chaque jour. Sauf avec Nightmare, et maintenant, Aaron faisait partie de cette catégorie de gens où avec qui la jeune Perkins était vraiment sincère. Mais la sincérité n’a jamais était son fort, elle ne voulait pas se montrer faible et enfin montrer son vrai visage. Pas devant lui. Ne pas lui faire voir qu’en réalité elle n’est qu’une petite fillette douce et innocente Il ne fallait pas non plus qu’elle s’attache…mais ce fût trop tard. Il l’avait prise en otage, et ce qui est encore plus surprenant, c’est qu’elle se sentait comme délivrée. Délivrée de cette carapace affreuse, de cette âme pesante de petite peste. Adieu Autumn, adieu Smiley. Elle avait rendu son masque et on avait d’yeux que pour Cendrillon. Adieu aussi l’insolence, la provocation, tout ce qui faisait d’Autumn une personne loin d’être exceptionnelle. Avec Aaron, elle n’était plus la même, même après de longs efforts… Puis quelques secondes passèrent durant lesquelles la jeune blonde eut le temps de sécher brièvement ses larmes. Le silence était magique, et elle aurait fait tout ce qui était en son pouvoir pour ne pas le rompre durant quelques minutes. Ce silence à la fois pesant et rassurant les avait transportés ailleurs, dans un monde imaginaire très loin des atrocités de cette réalité immonde. Très loin, ou trop loin.

    Ils étaient là, inertes, toujours dans cette même complicité qu’au début. Même la pluie, même les coups de poignard que formaient les mots ne pouvaient empêcher ce fait. Peut être que c’était ça la raison de toutes ces larmes, la réponse qu’Autumn cherchait tant ; l’émotion, le fait de ne pouvoir se contenir face à tant de sentiment. Cendrillon n’arrivait même plus à s’y retrouver, partagée entre l’envie de fondre en larme et de tout lui déballer ou celle de rire aux éclats. Il lui suffisait d’une simple pensée pour réussir à craquer, à pleurer à nouveau comme il y a quelques minutes. Ce n’était pourtant pas son habitude, mais elle était trop à fleur de peau pour s’en rendre compte. Puis à nouveau les mots, son cœur qui s’arrête durant un millième de seconde. Il était là, près d’elle. C’était peut être ça, son conte de fait à elle. C’était même peut être lui.


    « Mais il y a bien un jour où on sera séparé… C’est une évidence Aaron… »
    « Je n'ai pas envie d'y penser, Autumn. Le présent reste mon utopie. Je ne veux pas voir un demain noir et sombre, sans toi. Non. Moi ce que je veux, c'est un présent à tes côtés, à te protéger. Tu comprends, Autumn ? Jusqu'à mon dernier souffle je serais là, pour toi. J'en fais la promesse... Autumn... »

    Quelques secondes, et le temps s'arrête. Elle relève à nouveau la tête, ses iris bleus cherchant en vain ceux de son interlocuteur. Un sourire, un autre, tout aussi piètre et sans vie.

    « T’en fais la promesse, tu dis ? De toute façon, si ce n’est pas toi qui restes à mes côtés, eh bien, c’est moi qui te collerais jusqu’à la tombe. Et encore, si je demande pas à ce qu’on m’enterre près de toi. »

    Autumn émit alors un petit rire, étouffé par la pluie qui battait sans cesse devant eux. C’était pitoyable, mais il fallait qu’elle apaise l’atmosphère, qu’elle dise n’importe quoi pour se rassurer. Pourtant, Aaron était des plus sérieux, et elle voulait en faire de même mais… Il lui était impossible d’y croire. Son cœur battait fort, elle avait la douce impression qu’il se baladait dans son propre corps, qu’il faisait ce que bon lui semble. Des battements tous aussi différents et décalés qui la faisaient mourir durant quelques instants, ou du moins, c’est ce qu’elle pensait. Les yeux dans le vague, toujours contre le jeune Vanna Syl, elle ne pouvait pas s’empêcher de culpabiliser. Autumn Perkins ne mérite pas tout ça. Cendrillon peut être, mais Autumn n’était pas cette jolie Princesse, c’était juste passager. Une fois revenu à la réalité, elle redeviendrait cette petite peste qui prend un malin plaisir à rabaisser les autres pour le seul privilège d’être la meilleure. Mais elle était loin d’être parfaite, loin d’être plus forte. Au contraire, elle n’était qu’une pale copie d’un brouillon complètement ignoble et sans importance, qu’un simple pion au milieu d’un jeu immense. Ses rêves de devenir une Princesse, de croire encore aux contes, tout ça n’étaient que foutaises. Il n’y avait rien d’unique ou de spécial dans ce corps miteux, rien à part un rebu de la Société. Comme les autres, comme tout le monde d’ailleurs. Croire au bonheur, croire aux choses différentes de ce que l'on voit dans la réalité pendant que d'autres meurent. N'était-ce pas de l'égoïsme ? Sûrement. Autumn était égoïste, alors elle allait se le permettre ne serait-ce que durant quelques minutes. Faire en sorte de sourire à la place des autres. Happy Face.

    « Autumn, je veux t'offrir le plus beau des Châteaux. Je veux que tu sois avec le Plus Merveilleux des Princes Charmants. Je veux que tu vois qu'il a le Plus Beau des Etalons Blancs. T'entends, Autumn ? Je veux que tu sois heureuse. Je... Moi, je veux que ton sourire. Juste ton sourire. Tu es tellement plus jolie quand tu souris, ça me tue de te voir si triste. Souris. C'est tout ce que je te demande... Juste un sourire. Ton sourire. »
    « Le plus merveilleux des Princes Charmants n’existe pas, Aaron… Et maintenant, il n’a plus d’importance. Moi, ce que je veux, c’est toi. Pas un inconnu qui aurait tout du beau Prince, non, je m’en fous. C’est toi que je veux, mon Chevalier, mon Ange… Tu peux le comprendre ça ? »

    La vert et argent attrape alors la main de son interlocuteur, comme ci elle ne l’avait pas vu depuis longtemps. Malgré les tremblements et les larmes, elle persistait à croire qu’il y avait encore un espoir. Un infime espoir. Tout en décollant lentement sa tête du jeune Vanna Syl, elle murmura quelque chose, avec la conviction qu’il avait bel et bien entendu. Pas simplement les mots, mais aussi les battements de son cœur et les cris de douleur qu’elle poussait à l’intérieur.

    « Aaron… »

    Une minute de plus et la petite blonde aurait pu mourir sous le poids des mots. Elle s’approcha instinctivement du jeune Gryffondor, posant ainsi ses lèvres sur sa joue gauche, mais avant même qu’il ne puisse dire quelque chose, la belle se remit dans sa position précédente. Merde, Autumn. Reprends toi ! Qu’est ce que te dirait Nightmare si elle te voyait ? Sois forte, alors fais le pour elle. Quelques secondes, puis la jeune Serpentard se décala légèrement, cherchant le moindre contact pour se prouver que ce n’était pas qu’un simple rêve, qu’elle vivait bien dans le réel et qu’elle n’allait pas se réveiller d’un coup en faisant comme ci de rien était. Assez.

    « …T’es mon héro. »

    J'ignore tout de ce désespoir hurlant contre lequel je ne peux rien.
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Aaron Vanna Syl
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MessageSujet: Re: To be Continued - PV *   To be Continued - PV * - Page 2 Icon_minitimeMer 16 Jan - 2:12

HRP - Finish For Me.




    Parfois les mots ne sont plus assez forts pour exprimer ce que l'on veut dire. Ca devient risible, mais l'on n'en rit pas, car ça fait mal. Tu es dépassé. Ne vous êtes jamais fâcher très fort ? Avec cette envie de crier au monde d'aller se faire voir ailleurs ? A ce moment là, la moindre personne qui serait venue troubler son monde en paix, Aaron l'aurait tué sur le champ. La douceur des bras, la chaleur de son corps. Autumn en somme. Jamais le démon aurait cru croiser pareil ange, belle et attendrissante dans sa grâce puérile. Aaron se serait damner pour un sourire d'elle. Mais là encore, il ne pouvait parler. Sa voix était néant, il ne trouvait plus les mots et s'y perdait, comme un flou terrible qui aspire quiconque s'y trouve. L'amour ? Non. Il n'avait pas le droit. Aaron refoulait avec une telle rage ce sentiment pour les faibles. Il en avait peur, comme tout être sur terre, peur de souffrir, d'en mourir aussi. De tous les poisons, l'amour est le pire. C'est ce que l'on dit. Et Aaron, baissant son regard, le plongeant dans celui d'Autumn se demanda pourquoi l'Homme, dans sa puissance, avait il peur. L'Ange devant lui ne pouvait lui faire de mal, après tout. Non... C'était impossible.

    C'était comme accusé les enfants d'être trop faibles. Aaron ferma les yeux, blessé dans son ego le plus profond. Ces joues rougirent. Il ne pouvait pas, il n'avait pas la force de la laisser là, de se faire une fois de plus passer pour ce salop sans coeur qui tirer tout ce que bougeait. Mon dieu qu'il avait mal au coeur, celui-ci s'égosillait pour rien en percutant violement sa cage thoracique. Tout ce flot de sentiment ne pouvait être qu'un rêve, mais elle, elle était bien réelle, elle était là, petite corps entre ces mains à lui, tremblant et se réchauffant doucement avec sa chaleur et sa veste partagée. Pourquoi ne voulait il pas y croire ? Car il a peur. Sans cesse. Il le sait mais ne veut pas se l'avouer. Le démon a peur de perdre l'ange car un Chevalier n'est rien sans Princesse.

    C'était une évidence troublante. Autumn était pour lui la seule fille, mais pourquoi elle ? Il le savait depuis longtemps déjà, mais il l'avait refoulé au plus profond de son être. Tirer les autres en pensant à elle, ça irait qu'un temps, jusqu'au moment propice où il la posséderait, elle. Mais il n'avait pas le droit, il ne voulait pas. C'était lui faire du mal, et ça, il ne pouvait pas. Elle le terrifiait, il avait tellement peur de la briser, comme un de ces vulgaires pantins qu'il avait connu, avant. Hell Ryans par exemple. Non, il n'avait pas le droit de lui faire subir ça. Il serait là, pour elle, n'importe où, n'importe quand, mais jamais plus que ça. Plutôt creuver que de lui faire du mal dans le fond.


    « Mais il y a bien un jour où on sera séparé… C’est une évidence Aaron… »
    « Je n'ai pas envie d'y penser, Autumn. Le présent reste mon utopie. Je ne veux pas voir un demain noir et sombre, sans toi. Non. Moi ce que je veux, c'est un présent à tes côtés, à te protéger. Tu comprends, Autumn ? Jusqu'à mon dernier souffle je serais là, pour toi. J'en fais la promesse... Autumn... »
    « T’en fais la promesse, tu dis ? De toute façon, si ce n’est pas toi qui restes à mes côtés, eh bien, c’est moi qui te collerais jusqu’à la tombe. Et encore, si je demande pas à ce qu’on m’enterre près de toi. »

    Il eut un petit rire, relevant alors suffisament sa main pour venir poser son pouce sur la joue de cette dernière. Un mouvement lent et tendre décolla les mèches de cheveux brun et les remit derrière son oreille, comme dans l'un de ces films où les amoureux s'embrassent. Il eut un petit sourire, se penchant doucement vers elle. L'intention était là, mais pas la pensée. Qu'il crève sur le champ s'il n'avait pas rêvé de ces lèvres, de les caresser avec les siennes, de les laver de tous ces nobles pêchés. Oui, il y avait penser, mais là était l'interdiction : un Chevalier n'embrasse pas ces Princesses. Il décalla lentement son visage, déposant un baiser affectueux sur son front.

    « J'en fais la promesse solennelle sur le peu d'honneur qu'il me reste ! Que je meurs sur le champ si je pense le contraire ! »

    Ces yeux ne mentaient pas, d'une éternelle flamme de vérité. Il avait déjà mentit, plusieurs fois même, des millions de fois, mais face à Autumn, il se sentait dépourvu de cette faculté, mise à nue sous un réverbère, avec cette bonne intention de dire seulement et strictement la vérité. C'est ce qu'il disait : tout juste la vérité. Elle lisait en lui comme une Mère, peut être même plus encore ! Mais pouvait elle entendre son âme se lamentait, geindre ? Il était à l'agonie, se sentant mourrir, dépérir doucement sous ses yeux. Il lui manquait l'air, il ne respirait plus. Elle était son oxygène, son air, ses poumons. C'est avec son coeur que le sien battait, dans un rythme identique, à l'unisson.

    Il ferma les yeux, sentant sa main emportait par l'Ange avec laquelle il discutait. A ce moment, il lâcha une sorte de soupir. Le contact avec la peau de la Princesse était bénéfique à sa vie, presque essentielle. Il serra un peu sa main, ne voulant pas qu'elle parte. Elle n'avait pas le droit de lui faire ça, pas maintenant. Il devait décidé de futur pour ne pas en souffrir, pour ne pas regretter. Non, il n'avait pas de remord. Il avait choisi sa voix, il avait décidé de se lever, de l'accompagner. Il avait toujours assumer ces choix, oui, il avait toujours décidé qu'un jour où l'autre, il serait temps pour lui de prendre un chemin. One Way. Quelque part, loin de tous, avec elle. Aujourd'hui, c'était décidé : Il la suivrait jusqu'au bout du monde.


    « Aaron… »

    Le supplice était trop beau. Pourquoi avait elle cette façon douloureuse de le faire languir ? Il n'avait jamais été patient, et ces yeux, avides d'elle, la perçait de milles feux. Il voulait savoir avant l'heure, pour mieux réagir. Comprendre, appréhender. Il la voulait, à lui. C'était Sa Princesse. Celle d'aucun autre. C'était lui qui la protégerait, face à n'importe qui. C'était à rompre avec la vie que le faire ainsi attendre. La voir s'approcher, avec cette langueur délicate, sentir ses lèvres sur sa peau. Elle le tentait, terrible diablesse aux yeux d'ange. Il arrêta de respirer, attendant avec une certaine appréhension les mots. Qu'elle le dise, bordel, qu'elle le dise. Il en gémirait presque si son cou n'était pas attaqué par milles petits doigts d'eau, le rappelant à la dure vérité : elle ne le dirait jamais.

    « …T’es mon héro. »

    Il la regarda d'un air grave. Il avait mal, pour tout et pour rien. Elle n'avait pas dit ce qu'il avait prévu, mais d'un autre côté, ça lui faisait aussi mal. Personne n'avait jamais dit quelque chose d'aussi gentil à son sujet. Les jurons, les petits pardons. Ca ne lui suffisait plus. Mais... Non, il ne s'y attendait pas. Il la regarda, puis finalement eut un sourire, un grand sourire. Ca n'était pas ces sentiments là, il le savait. Ca ne pouvait pas être de l'Amour, c'était quelque chose de plus beau. De l'Amitié, pure et dure. Oui, il fallait se convaincre avec ces maigres confidences. Il attrapa cette main, se dégageant de la veste, posant sa main sur la hanche de la jeune fille.

    « …T’es ma Princesse. »
    « Et un chevalier se doit de protéger sa Princesse du froid. »


    En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, Autumn se retrouvait accroché au cou d'Aaron qui la portait alors dans ces bras. Qu'importe les rumeurs et autres conneries de ce genre, le Prusse n'en n'avait plus rien à ciré. Autumn était devenue, en six années de voyeurisme et deux heures de bavardages l'être le plus étonnant, le plus intéressant et le plus cher du Gryffondor. Si Celio et Luz apprenaient ça, ils iraient encore dire qu'il ne pensait qu'à la tirer. Non, chastes pensées. Le Vanna Syl se mit alors à marcher, d'un pas lent, rajoutant à son geste une élégance particulière.

    « Et il est temps pour la Princesse de dormir. Le couvre feu est largement dépassé. »

    La pluie battait toujours les vêtements des deux élèves, plus sinueuses s'infiltrant dans les chaussettes et le cou de ses proies. C'était quelque chose d'horrible, mais Aaron souriant, il avait trouvé sa raison de vivre, son but dans la vie. Un seul mot pour décrire tout ça, cette chose, cette amas de sentiment.

    Autumn.
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Autumn J. Perkins
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MessageSujet: Re: To be Continued - PV *   To be Continued - PV * - Page 2 Icon_minitimeVen 18 Jan - 19:10

    HRP - J'ai jamais aimé les fins... [x]


    Cette histoire, c’est celle de millions de personnes. En faisant certains choix, en prenant certaines routes, on est amenés à changer complètement de vie, de quotidien, de buts. On se perd de vue, oubliant nos principes, nos lois, nos envies, nos peurs… Tout se mélange en quelques secondes, on se retrouve confrontés à ce qu’on a toujours redouter ; cette sensation de bien-être intense, cette peur incurable de perdre ce qu’on n’a pas encore atteint. C’est humain, et c’est l’exemple typique du plus grand lâche. Alors on se voile la face, on continue sa route, on trace son chemin comme ces millions de personnes, oubliant pourquoi nous nous étions retrouvés là. Autumn ne désirait nullement faire partis de cette catégorie de gens plus connut sous le pseudonyme de loosers. Les nazes, les peureux, les lâches. Appelez ça comme vous voulez, mais ceux qui baissent les bras étaient tous considérés comme des loosers, des êtres humains faibles et sans cervelle qui passent leur temps à se plaindre alors que la vie est à porter de main. Autumn n’était pas de ce genre, non, elle ne voulait pas être prise pour une idiote, une traînée, une demeurée incapable d’enchaîner trois pas. On aurait pu voir ça sous cet angle, elle-même aurait pu le voir ainsi, mais elle préférait ne pas prendre conscience de sa propre bêtise. Elle marchait, traçait sa route comme une lâche, une mal-aimée. Peut être était-ce ça, la solution. Peut être qu’Autumn June Perkins n’était rien d’autre qu’une sotte, une fille incomprise. Ca n’expliquait sa lâcheté, son ingratitude envers cet homme qui venait de lui redonner des ailes. Elle restait silencieuse, accroupie, ses os trempés jusqu’à la moelle. Son souffle chaud vagabondait le long de la nuque du jeune Gryffondor, et pas une seule seconde ne s’écoulait sans qu’elle ne pense au chemin qu’elle devait parcourir. Il l’avait cueillie comme une fleur fragile, presque fanée. Il en avait prit soin, l’avait laissé grandir, et cette lâche semblait vouloir partir sans rien dire, sans rien faire. Elle n’avait pas le choix, il était trop beau pour son petit corps incapable d’aimer, incapable de rêver aussi.

    La fatalité aurait était telle qu’elle serait partie, les bras se balançant au rythme de sa cadence infernale. Mais le froid la tétanisait. Elle semblait vouloir se battre contre ses propres envies, rester là sans rien faire, sans lui dire à quel point elle souffrait rien qu’à l’idée de le perdre un jour. Il n’en savait rien, elle était inconsciente. Petite fille fragile au milieu d’un parquet de fleurs, son regard s’amusait de toute part, cherchant des détails pour nourrir ses propres souvenirs. Elle voulait tout imprimé pour le revivre à nouveau, car ce genre de moment n’arrive qu’une fois dans votre vie. C’est la rencontre entre deux cœurs déchirés qui s’entraident, qui se cherchent, puis au final qui se trouvent lentement. Le temps passe, et on ne cesse de nous le répéter. Les minutes s’affolent, ne deviennent qu’un tas de rien sur des souvenirs et des pensées amers. Mais avec lui, la jeune vert et argent savait que ça allait changer. Le temps s’était arrêté, il aurait bien pu le refaire à nouveau, puis encore, puis encore… Non, ça serait illogique. Le temps ne pouvait s’arrêter, il ne pouvait cesser de s’écouler. C’était le cycle impétueux de la vie. On recommence tout, jusqu’à ce que ça s’achève. On a plus besoin de rien à part d’un masque pour cacher sa propre douleur, pour la confondre dans les abysses de notre âme. Parfois, avec certaines personnes, nous sommes vrais. Ce masque disparaît, on se dévoile sans pour autant montrer notre douleur. On se la ferme, on encaisse, on dévisage le temps, on l’insulte, on le haït et, au plus profond de nous même, on le regrette. Avec Aaron, Smiley n’était plus ce vulgaire sourire amusé. Elle était Autumn, et c’était déjà un grand pas de fait.

    C’est beau de rêver, n’est ce pas ? Pendant qu’on pense à milles et une choses, l’autre nous regarde en se demandant ce qu’il peut bien nous arriver. Autumn ferme les yeux, s’empêchant de dévisager le sol boueux qui venait de salir ses pauvres chaussures. Elle vivait le conte de fées le plus étrange de tous les temps. Un remake des plus belles histoires, des plus belles fins. Cendrillon, La belle au bois dormant. Ca n’avait aucun sens, pourtant, c’était bien réel. Décollant peu à peu sa tête du buste de son Chevalier, la jeune Perkins prit le temps de rouvrir les yeux, offrant ainsi à son interlocuteur deux iris bleus, presque gris avec le temps. Elle écouta sa voix, s’empêchant de dire autre chose, de changer de sujet. Elle se sentait bien. Trop bien même.


    « J'en fais la promesse solennelle sur le peu d'honneur qu'il me reste ! Que je meurs sur le champ si je pense le contraire ! »

    Un ricanement léger, presque perturbant même. Elle s’évade peu à peu, retourne à ses pensées éphémères, à ses désirs lointains. Est-ce mal de vouloir oublier ? Non, certainement pas. C’était une forme de courage, dans le fond. Ce désir permanent de changer, et malgré toutes les tentatives, rien ne se passait. La belle venait de pousser un soupir, sans s’en rendre compte ; elle défaillait. Elle ne contrôlait plus rien, même ses gestes devenaient inconscients. Ces paroles, ces bouffées d’air, ces battements cardiaques ; tous étaient fait pour lui, pour son simple regard, son simple sourire, pour qu'il la remarque. C’était incompréhensible, vraiment. On s’y perdait, comme dans ces mélodrames télévisés qui déchiffrent en quelques minutes le code de l’amour idéal. L’utopie, ô, quelle douce utopie. On aime à deux, on vit à deux, on grandit à deux, on meurt à deux. Aucune trace de l’amour non partagé, de cet amour débile qui prend quelques millions de personnes. On aime un mur, on lui parle, on lui sourit, et on en tire que des supplications. Des paroles incompréhensibles, mais pas les belles promesses qu’on rêverait d’avoir. Autumn ne pouvait rien dire, rien tenter. Elle était lâche, elle faisait partie des loosers. Rien ne change au final. On reste les mêmes, même après vouloir devenir différents.

    « …T’es mon héro. »

    Bordel, qu’est ce qui te prend, Autumn ? Tu comptes crever sans rien lui dire ? Non, hors de question. Tu l’aimes, tu le sais très bien. Il n’y a que lui, que lui dans ton cœur, alors dis lui bon sang. Ne le laisse pas attendre, quelqu’un comme lui n’a pas le droit d’attendre. Quitte à ce que cet amour ne soit pas partagé, rien à faire, essaye ! Une looseuse, une lâche, une incomprise, une idiote, une imbécile, une sotte, une traînée. Voilà ce qu’elle était, rien qu’une pauvre fille paumée au milieu de cette foule de sentiments. Elle avait peur, peur de s’y perdre, mais c’était déjà trop tard. Elle était perdue, alors… Autant essayer, non ? Merde. Assez ! Autumn serra d’avantage la main du jeune Vanna Syl, posant sur sa joue un dernier baiser. Le froid lui était monté à la tête ; il n’y avait aucune autre explication.

    « …T’es ma Princesse. »
    « Et un chevalier se doit de protéger sa Princesse du froid. »

    « Eh bien… »

    Rien d’autre. Elle n’avait pu dire autre chose, se retrouvant dans les bras de son preux Chevalier. Elle n’avait pas eut son mot à dire, et puis de toute façon, elle n’aurait rien pu faire pour empêcher ça. Son corps tout entier était frigorifié, alors… De toute façon, ça n’avait aucune importance. Aaron était un ami, un ami proche, un ami rare. Elle en était persuadée. Ces idées idiotes allaient vite disparaître, comme toutes les autres. Autumn Perkins ne peut pas être amoureuse, c’est impossible, impensable. Il lui avait fallut énormément de temps pour comprendre à quel point le monde ne peut changer, tout comme les gens qui y mettent les pieds. Smiley n’était qu’un pion parmis tant d’autres, même malgré les dires des mélodrames. La vie est belle, les oiseaux chantent, l’amour est aveugle. Et avec ça, cent balles et un mars ? N’importe quoi. Comment avait-elle pu y croire durant ne serait-ce que quelques secondes ? Quelle idiote.

    « Et il est temps pour la Princesse de dormir. Le couvre feu est largement dépassé. »
    « Les règles sont les règles… Aaron… Merci pour ce moment. Merci pour tout, d’ailleurs… »

    Ce qu’on ne voit jamais, dans ces mélodrames complètement barbants et à l’eau de rose, c’est les fins malheureuses mais à en faire rire un grand public. Ce qu’on nee voit jamais, aussi, ce sont les pleurs d’une petite fille innocente, d’une fleur sur le point de devenir poussière. C’est lugubre, mais tellement excitant de ne pas savoir de quoi sera fait demain. Car une page se tourne, et un autre chapitre se réinvente. On se rend compte que ces mélodrames ne sont qu’un prélude, qu’après, il nous faut bien du courage pour pouvoir en vivre un en live. En live, oui. Parce qu’à cet instant là, la vie d’Autumn n’était qu’un simple mélodrame. Un truc à l’eau de rose pour les poupées barbies, une histoire à en dormir par terre, mais qui, pourtant, nous fait pleurer à chaque fois. To be continued…

    We are Broken.
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MessageSujet: Re: To be Continued - PV *   To be Continued - PV * - Page 2 Icon_minitimeMer 20 Fév - 5:21

RP Terminer ? D' après les dernières lignes, il me se semble bien que oui mais j'attend confirmation pour déplacer ...


Dernière édition par Les Jumeaux Slayers le Mer 20 Fév - 5:22, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: To be Continued - PV *   To be Continued - PV * - Page 2 Icon_minitimeMer 20 Fév - 13:33

Oui To be Continued - PV * - Page 2 322925

Edit William : Ok je déplace


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MessageSujet: Re: To be Continued - PV *   To be Continued - PV * - Page 2 Icon_minitime

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