UN CHASSEUR SACHANT CHASSER... (pv Errrrika)

Troisième sang dragon. Failli m'étouffer envoyant une bombe entrer au Veritaserum. L'alcool m'aurait déjà tourné la tête? Quand même une réaction pareille. Je ris de moi même. Mais je n'en suis qu'au troisième n'est ce pas? On dirait que même blazé comme je le suis en ce moment j'ai toujours autant de charme. L'apparition vient poser ses courbes divines à côté de moi

AMORTENTIA-Vodka s’il vous plait.

Sans en avoir l'air je lui prête déjà attention. Il faut dire que Kate n'avait pas autant de ressource que je l'espérait mais c'était surtout pour Jordisson que je me l'étais faite celle là.
Le nez dans mon verre. Elle m'observe. Je sens son regard sur moi. Je vais attendre cinq minutes que l'alcool se calme en moi.

GAMINE-Yon?...Yon youhou...', elle me colle un baiser sur la joue en se penchant sur le bar. Un sourcil relevé, mouvement de recul. Je ne suis pas son gigolo, 'J'ai fini mon service. Appel moi demain.'

Rictus blazé. L'air de lui dire casse toi tu m'emmerdes gamine.

JET- Allez file c'est moi qui prend le service. Alors Winchester...toujours à ruminer après ta Arya?

OMBRE-Occupe toi de tes fesses Jet. Tiens et puis sers m'en un autre.

Bridget Davis. Une blondasse. Plutôt pas mal dans le genre. Au moins 200 au greluche test mais on va pas s'en pleindre pour ce qu'on en fait. Zyeux marrons. Trop de maquillage. Pas assez de classe. Mais une de ses... Enfin bref.

Quatrième. Je crois je suis de nouveau dans mon état normal, on va pouvoir passer aux choses plus intéressantes que mes exs. Elle en est déjà à deux. Moi à quatre. Possible qu'on s'entende bien.

OMBRE-Vous y allez fort: deux vodka en moins d'un quart d'heure. Je crois pas vous avoir déjà croisée ici...

Une vision de perfection. C'est amusant de voir l'effet que quatre pauvres verres de Sang-Dragon peuvent vous faire. La fatigue sûrement. Et puis l'ennuie. Londres commence à me devenir de plus en plus familière. Sans saveur. Je n'ai jamais vraiment aimé les repas qui s'éternisent.

Toujours le quatrième. Je suis vraiment distrait. Chemise noire. Seyante. Délicieux aperçu. Mais je reste discret. Ce ne doit pas être le genre de fille qu'on drague à la vas vite sans y mettre un peu de forme. Pas comme Jet ou Kate. Une bouche qui appelle le baiser. Le dessin de ses lèvres semblent parfait. Sa peau appelle la caresse. Les traits d'une douceur à vous damner. Mais des yeux...des yeux qu'on oublie pas. Sombres. Prenant. Assassins. Avec ce petit quelque chose...ce vaguement intense et sauvage. Le même que le mien. Mais différemment.
C'est dingue ce que l'alcool peut vous faire dire comme connerie.


JET-C'est drôle j'ai vu Kate partir en pleurant tout à l'heure, tu sais ce qu'elle a? Vous travaillez ensemble non?

OMBRE-Aucune idée.

Tu parles si j'en ai une idée. Rictus malsain. Je ne lui adresse même pas un regard. Accoudé au comptoir près de ma belle inconnue. Je ne suis pas encore en chasse mais je sens que ça ne va pas tarder...

Et pourtant. Le quatrième toujours![/color]

Les yeux toujours rivés sur lui, elle avait enfin capté son regard. Pas un mot, tout passé par là, pas besoin de parler pour l’instant. Elle le détaillait de long en large. Il était charmant, fallait l’avouer. Une frimousse d’ange, un regard d’acier. Pourtant elle savait déjà qu’il lui plaisait. Elle pouvait sentir l’odeur du sang à des kilomètres, et il en était imprégné. La serveuse tentait en vain de capter son attention, et Erika détournât enfin son regard.

GAMINE-Yon?...Yon youhou... J'ai fini mon service. Appel moi demain.

Yon. Charmant petit nom. Elle lui plaquât un baiser sur la joue, chose qu’il ne semblât pas apprécier, et qui arrachât un sourire a la belle Hongroise. Et voilà la remplaçante qui se ramène. Une blonde qui n’était pas très a son goût.

JET- Allez file c'est moi qui prend le service. Alors Winchester...toujours à ruminer après ta Arya?

OMBRE-Occupe toi de tes fesses Jet. Tiens et puis sers m'en un autre.

Il semblait être un habitué des lieux, et il n’y avait aucun doute sur le fait qu’il était la coqueluche de ses demoiselles. Mais elle ne se faisait aucun soucis, elles ne lui arrivaient pas a la cheville, elle n’aurait aucun mal à moins que monsieur ne fasse de la résistance. Yon Winchester, un nom à graver en mémoire. Mais un prénom attirât son attention. Arya, encore une ? Décidemment. Elle reposât son regard sur lui alors qu’il commandait un autre verre. En attendant, elle, patientait après sa troisième vodka, la nouvelle serveuse bien trop occupé à s’affairer avec monsieur.

OMBRE-Vous y allez fort: deux vodka en moins d'un quart d'heure. Je crois pas vous avoir déjà croisée ici...

Enfin, il prenait les devant. Elle lui adressât un de ses sourires insondable, avant de se tourner vers lui. Ses yeux perçant, refletant la même lueur que lui. Non pas celle de quelqu’un qui cherche sa proie, simplement le regard naturel, froid, meurtrier. Elle pouvait voir beaucoup rien qu’en les fixant. Elle savait déjà qu’il lui plairait, mais juste de quoi se faire un en cas, pas plus. Sure ? Oui pas plus. Après ce petit silence qu’elle avait laissé planer délibérément, elle prit enfin la parole de sa voix douce et caverneuse.

Erika – Si pourrr vous deux vodka c’est forrrt, vous ne devez pas jouer dans la même courrrs que moi.

Petit sourire en coin. Juste de quoi le taquiner, de commencer le jeu de la séduction. Elle serait vite fixé, il montrerait peut être un peu de résistance.

Erika : Vous ne rrrisquez pas de m’avoirrr déjà vu. Je ne suis a Londrrres que depuis une semaine, et… Si je vous avez déjà crrroisé, je m’en souviendrrrais.

Elle lui adressât un petit clin d’œil, mais la blondasse semblait ne pas vouloir perdre la partie. Lorsqu’elle reprit la parole, Erika lui lançât un regard assassin. Son poignard collé comme a son habitude à sa cuisse la démangeait. En voilà une qui pourrait lui faire passer le temps si elle ne trouvait pas mieux.

JET-C'est drôle j'ai vu Kate partir en pleurant tout à l'heure, tu sais ce qu'elle a? Vous travaillez ensemble non?

OMBRE-Aucune idée.

Il ne semblait plus s’intéresser a elle, et c’est avec un sourire découvrant ses dents, totalement faux et fourbes qu’elle s’adressât à la greluche.

Erika – Et si au lieu de papoter vous trrravaillez un peu. Ca fait déjà un moment que j’ai commendé une vodka, et vous passez tellement de temps à bavasser que je ne voit toujourrrs rrrien venirrr.

Elle se retournât a nouveau sur le mystérieux Yon, et avec un sourire coquin lançât a la serveuse sans lui adresser le moindre regard :

Erika – Serrrvez en donc deux… Que je puisse voirrr si monsieur sait tenirrr la rrroute.

Elle lui adressât un signe de tête et un sourire. la partie de chasse était lancée.

ARMORTENTIA – Si pourrr vous deux vodka c’est forrrt, vous ne devez pas jouer dans la même courrrs que moi.

Je lève un sourcil. Regard en coin l'air de dire ne me provoque pas! Ce serait mal me connaître mais j'ai simplement horreur de la vodka. Ca me fait toujours de curieux effets. Pas de réponse.

AMORTENTIA- Vous ne rrrisquez pas de m’avoirrr déjà vu. Je ne suis a Londrrres que depuis une semaine, et… Si je vous avez déjà crrroisé, je m’en souviendrrrais.

Très sex l'accens. Me rappelle un de mes voyages.

OMBRE-J'ai toujours bien aimé l'accens hongrois. Ce n'est pas courrant dans le coin.

Petit sourire charmeur mais naturel. Autant lui montrer tout de suite que je joue dans la même cours qu'elle: celle du sang. Pour la vodka, on verra quand mon sang- dragon sera retombé. Je pense pas que Jet apprécierait si je refaisais la déco du Serum.

AMORTENTIA – Et si au lieu de papoter vous trrravaillez un peu. Ca fait déjà un moment que j’ai commendé une vodka, et vous passez tellement de temps à bavasser que je ne voit toujourrrs rrrien venirrr.

Hum. Elle est déjà en chasse de moi apparement. Petit sourire en l'entendant virer Jet comme une malpropre. Alors comme ça la belle me veut? C'est un chasseur comme moi. Mais je n'aime pas être la proie. Le jeu s'annonce amusant. Elle me plait assez pour que je m'y engage mais je n'entends pas le lui céder. C'est elle qui cédera la première.

AMORTENTIA – Serrrvez en donc deux… Que je puisse voirrr si monsieur sait tenirrr la rrroute.

Même en prenant à la vodka.

OMBRE-Je vois que vous ne me laissez pas le choix.

JET-Winchester tient la route pour un tas de truc vous savez...

Ah tiens Jet aussi. Mais qu'est ce qu'elles ont toutes ce soir? La grande bimbo provoque la belle hongroise. C'est presque si je le vais pas m'installer confortablement pour voir Jet se prendre une raclée. On ne joue pas avec un tueur. Je le lui dirais à l'occasion.

Premier verre.

OMBRE-Si vous avez décidé de me saouler il faudra au moins me dire votre nom. Je ne suis pas le genre de gars qui se laisse payer des verres comme ça.

Eh bien qu'est ce qu'il te prend Winchester? Tu n'essayes même pas de la draguer? Tu fais ta sainte nitouche. Oh puis merde. Si elle me veut il va falloir qu'elle s'accroche.
A mon cou la petite chaînette d'argent qui me relie à Arya me fait passer la main sur ma nuque.

Mes yeux bleus provoquent la belle hongroise. Tu veux jouer? D'accord. Surprend moi.

OMBRE-Et tant que vous y êtes, il va aussi falloir me prouver qu'un verre avec vous vaut dix fois un verre avec Jet.

JET-Hein?! Quoi?! Tu parles de moi Winchester? Tu veux quelque chose.

Petit rire moqueur.

OMBRE-Non rien Jet.Retourne travailler.

Encore une qui obéis au doigt et à l'oeil: c'est lassant à la fin.

OMBRE-Alors? Je ne vous ai pas trop découragée j'espère?

Deuxième vodka. Je ne sais même pas pourquoi je lui rend la tâche si difficile. Après tout je me ferais un ejoie de la mettre dans mon lit elle aussi. Comme toutes les autres

OMBRE- J'ai toujours bien aimé l’accent hongrois. Ce n'est pas courant dans le coin.

En plus de ca il n’était pas idiot. Elle lui rendit son sourire, plus neutre que charmeur, écartant une mèche de cheveux. S’en suivit l’entrevue avec la bouffonne. Allez savoir pourquoi elle la détestait déjà. Erika n’appréciait pas que l’on chasse sur le même terrain qu’elle. Bon c’est vrai que c’était elle qui s’était introduit sur son propre terrain, mais il n’y avait pas de place pour deux chasseurs ici. Dans tous les cas, elle ne faisait pas le poids face à elle. Beaucoup trop gourdasse a son goût et pas assez féroce. Laissait les toutes les deux ensemble, et elle n’en ferait qu’une bouchée. Son poignard la démangé déjà, mais en public elle préférait rester calme. Qui sait peut être un petit tour aux toilettes, on disparaît et personne ne se rendrait compte de la disparition de cette pimbêche. Elle ne savait pas pourquoi elle l’énervait tellement, ce n’était qu’un homme, comme tous les autres. Certainement que cela faisait bien trop longtemps qu’elle n’avait pas eu d’homme pour pouvoir le lui laisser, et puis elle aimait les défis, et il semblait se montrer difficile. I acceptât tout de même son verre.

OMBRE-Je vois que vous ne me laissez pas le choix.

JET-Winchester tient la route pour un tas de truc vous savez...

A ses mots, elle haussât un sourcil, lui indiquant qu’il avait raison. Mais a nouveau l’autre se glissât au milieu. Elle poussât un soupir d’impatience, et se tournât avec elle, sans sourire cette fois, juste une lueur de défis dans les yeux.

Erika – Merrrci du commentairrre, mais je compte le vérrrifiez parrr moi-même.

Autant dire dégage, tu me trouble la vue. Les deux verres arrivèrent, les éclairs semblant sortir des yeux de nunuche, mais Erika en riait déjà intérieurement. Elle le regardât prendre son verre. Bonne descente. Qui sait peut être tiendrait il le coup tout compte fait. Elle n’en doutait pas vraiment, mais il finirait par lui succomber.

OMBRE-Si vous avez décidé de me saouler il faudra au moins me dire votre nom. Je ne suis pas le genre de gars qui se laisse payer des verres comme ça.

Petit sourire charmeur, elle attrapât son verre a son tour et le bu d’une traite.

Erika – Il me semblait que la galenterrrie voulait que ce soit l’homme qui paye. Mais je peux fairrre une exception… Errrika. Enchanté monsieur Winchesterrr.

Sans le lâcher du regard, elle lui tendit sa main, telle une comtesse qui attend qu’on la salut en retour. Il ne semblait pas pressé de se lancer dans la bataille. Alors monsieur voulait jouer au chat et a la souris, soit. Il finirai bien par mordre a l’hameçon. Elle aurait toujours sa dernière technique en cas…

OMBRE-Et tant que vous y êtes, il va aussi falloir me prouver qu'un verre avec vous vaut dix fois un verre avec Jet.

JET-Hein?! Quoi?! Tu parles de moi Winchester? Tu veux quelque chose.

Mais c’est pas vrai celle là. Va vraiment falloir faire quelque chose pour qu’elle ne vienne plus lui pomper l’air. Ca sentait le meurtre à plein nez. Elle allait perdre patience, et il valait mieux pour elle qu’elle cesse ces allez retour immédiatement, ou la fureur d’Erika s’abattrait sur elle. Elle n’aurait qu’à attendre quelques heures la fin de son service, et ni vu ni connu un coup dans la carotide et on en parle plus.

OMBRE-Non rien Jet. Retourne travailler.

Erika - -ET laisse la bouteille je peux trrrès bien serrrvirrr pourrr toi. Vu ce que tu bosse, va t’occuper du poivrrrot a l’autrrrre bout.

Dernier avertissement. Erika avait remarqué la petite fiole autour du coup du jeune homme, mais d’ici elle ne pouvait discerner ce qui y était inscrit. Par contre pas difficile de reconnaître la couleur sombre qu’elle contenait. Le sang, elle ne connaissait que ça trop bien.

OMBRE-Alors? Je ne vous ai pas trop découragée j'espère?

Erika – Pas le moins du monde. Quand au fait de savoirrr si un verrre est mieux avec moi ou avec… Ca… La question ne se pose pas. Je peux vous apporrrter bien plus qu’elle. Mais pourrr cela il faudrrrat prrrendrrre des rrrisque et me faire confiance.

Elle vidât a nouveau un verre, lui adressant un petit clin d’œil, gardant tous le mystère sur sa personne et sur la suite des événements. Elle attrapât la bouteille et le resservit. S’il voulait la suivre, il faudrait qu’il encaisse. Il voulait se la jouer pas intéressé, elle allait le rendre fou d’elle, et il finirait bien par lâcher prise.

Erika – Alorrrs… Yon, dites m’en plus surrr vous. Vous faites quoi dans la vie.

Un sujet banal pour débuter, ensuite viendrait les hostilités.

AMORTENTIA – Merrrci du commentairrre, mais je compte le vérrrifiez parrr moi-même.

Tiens donc... Bien sûre d'elle la petite bombe hongroise. J'aime bien toutes les tomber mais les faire lambiner c'est encore ce qui m'amuse le plus. Le sourire aux lèvres. Ironique. Je jète un oeil au verre vide.

AMORTENTIA – Il me semblait que la galenterrrie voulait que ce soit l’homme qui paye. Mais je peux fairrre une exception… Errrika. Enchanté monsieur Winchesterrr.

Erika? Jolie saveur transylvanienne. L'Europe de l'Est me paraît nettement plus sympathique. Je prends sa main et en baise la peau veloutée parce que ça ne se fait pas évidemment. Les codes de l'aristocratie sont clairs. Les lèvres ne touchent pas la peau. Baiser au poignet serait à la limite de l'indécence. Une invitation en quelque sorte. En plus le baiser suinte de sensualité. Mes lèvres prennent ce pli charmant et satisfait comme je me redresse. J'ai envie de la courtiser.

OMBRE-La galanterie est toujours de mise quand la femme vous oblige à boire de la vodka?

Petit clin d'oeil assuré. Un petit signe à Jet- elle mettra ça sur mon compte de toute façon.

Décidément on ne va pas laisser ces deux là ensemble. J'accorde un peu plus d'attention à ma nouvelle venue histoire de faire lacher l'affaire à Jet. Pas ce soir ma belle...

AMORTENTIA – Pas le moins du monde. Quand au fait de savoirrr si un verrre est mieux avec moi ou avec… Ca… La question ne se pose pas. Je peux vous apporrrter bien plus qu’elle. Mais pourrr cela il faudrrrat prrrendrrre des rrrisque et me faire confiance.

OMBRE-Les risques oui mais la confiance...Il va me falloir beaucoup plus quelques verres de vodka.

Une lueur étrange dans mon regard que seule ma soeur saurait interpréter. Sourire narquois.

AMORTENTIA– Alorrrs… Yon, dites m’en plus surrr vous. Vous faites quoi dans la vie.

OMBRE-Je chasse.,' petit silence lourd de sous entendu, ' et vous? Vous êtes toujours aussi curieuse?'

Quatrième. Cinquième.

OMBRE-J'avoue que ce n'est pas pour me déplaire.

Sourire. Fin du cinquième. Je tiens mieux que la dernière fois.

Lorsqu’elle lui tendit sa main, elle ne fut pas surprise de le voir bafouer les règles de convenance. Il posât ses lèvres su le dos de sa main. Elle appréciât la caresse, sentant sa peau frissonner. Vraiment bizarre l’effet que l’alcool avait sur elle se soir. Ce geste était tout simple, mais il était lourd de conséquence. Elle prenait cela pour une perche, elle avait déjà marqué un point. Elle lui rendit son sourire avec un hochement de tête.

OMBRE-La galanterie est toujours de mise quand la femme vous oblige à boire de la vodka?

Voilà maintenant qu’il lui faisait la cours comme un gentleman. Elle ne put s’empêcher de rire a sa remarque. Un petit rire, mais qui voulait en dire long.

Erika – Elle l’est toujourrrs , surrrtout que je ne vous mets pas le couteau sous la gorrrge pourrr vous forrrcer a boirrre.

Elle lui fit un petit clin d’œil accompagné d’un vrai sourire, laissant entrevoir ses dents pour la première fois, ce qui prouvait que c’était sincère. Elle le t faire un signe de la main a sa future proie, ce qui signifiait que c’était bel et bien lui qui invitait ce soir.

OMBRE-Les risques oui mais la confiance...Il va me falloir beaucoup plus quelques verres de vodka.

Elle ne put ignorer cette étrange lueur dans ses yeux, sans réellement en comprendre le sens, mais préférât changer de sujet. Elle se tournât face à lui, s’accoudant au bar, le regardant enfin de face. Elle voulait en savoir plus sur lui, sur sa personne. Pas habituel chez elle comme méthode, mais allait savoir pourquoi, il l’intriguait, et elle était sure que le connaître un peu mieux pouvait lui apporter beaucoup. Non pas qu’elle veuille une aventure. Loin de là, mais elle pouvait toujours l’avoir dans son lit, et ne pas trop l’éloigner d’elle.

OMBRE-Je chasse… Et vous? Vous êtes toujours aussi curieuse?'

Un chasseur, elle n’en aurait pas douté une seconde. Il fallait voir cette allure qu’il avait, ce regard, elle aurait pu le deviner rien qu’à l’odeur du sang, mais elle n’avait aucun doute sur la nature de ses parties de chasses. Elle remarquât le silence appuyé qui suivit, ne le quittant pas du regard, lui laissant le temps de faire passer par un regard qu’elle appréciait beaucoup cette occupation. S’il était réellement un chasseur, ils étaient faits pour s’entendre. En toute amitié bien sur. Lorsqu’il lui demandât a son tour, elle fit a nouveau un sourire. Hop vodka, avant de répondre.

Erika – Je pense que nous sommes fait pourrr nous entendrrre. Carrr… Je chasse aussi, mais peut être pas dans le même domaine que vous. Quand a ma currriosité, je ne le suis que trrrès rrrarrrement… Seulement quand la perrrsonne en face en vaut la peine.

A nouveau, petit sourire entendue. Elle croisât ses jambes, attrapant un autre verre. Pour l’instant il suivait, il tenait la route. Mais a se rythme là elle le mettrait bientôt K.O.

OMBRE- J'avoue que ce n'est pas pour me déplaire.

Rien à ajouter a cela. A nouveau un sourire. Mais c’est pas vrai, elle devait avoir un problème aux zygomatiques se soir. Sans le quitter des yeux, elle le suivit avec son cinquième verre.

AMORTENTIA – Je pense que nous sommes fait pourrr nous entendrrre. Carrr… Je chasse aussi, mais peut être pas dans le même domaine que vous. Quand a ma currriosité, je ne le suis que trrrès rrrarrrement… Seulement quand la perrrsonne en face en vaut la peine.

Si ça ce n'est pas des avances je ne m'appelle plus Winchester. Petit sourire en coin. Pour une fois que je n'ai rien à faire je ne vais pas m'en plaindre. Après tout. Mais quand même, il y a un truc chez cette fille. Je sens que je ferais bien de la fuir comme la peste au lieu de répondre à ses avances. Je sens que si je la touche... je ne pourrai pas me sortir de la toile de cette araignée. Pourtant...

Elle sourit. Sincèrement peut-être. Le pli est doux. Agréable pour moi. La vodka n'a jamais été du meilleur effet sur moi. Je me ramollis. Une drôle d'impression d'ailleurs. D'habitude c'est plutôt le contraire. Encore deux ou trois et je rentrerai. Tant pis pour la bombe magyare. Putain! La vodka me fait vraiment un drôle d'effet. Tant pis?!!! Mais qu'est ce qui te prend Winchester? Je ne lui donne pas deux heures avant de se glisser dans ton lit. Peut-être.
Je suis las à vrai dire. Toujours la même rangaine. Moins d'une heure pour les mettre dans mon lit. Moins de cinq minutes avant d'avoir envie de les virer. Finalement peut-être que la femme fatale que j'ai en face ne vaut pas mieux?
Sixième.
Putain de vodka.
En même temps je serais fixé. Et puis j'en ai envie maintenant.

OMBRE-Et y a -t-il autre chose que la chasse qui vous intéresse?', puis avant qu'elle ne réponde il précisa, 'Je vous préviens au huitième je décroche: la vodka a toujours était du plus mauvais effet sur moi. Il va falloir vous accrocher si vraiment vous voulez voir si je tiens la route pour un tas de trucs comme dit Jet.'

Petit clin d'oeil provocateur. Je lui fais croire que je pourrais la planter là sans satisfaire mais envie de mâle. Amusant. Voyons comment elle va prendre ça...

Le silence qui suivit était un peu pesant. Elle ne savait pas pourquoi, mais elle sentait que la partie ne serait pas gagnée d’avance. Il avait l’air d’être un homme a femme, et il allait tout simplement cracher sur ce qu’elle lui offrait de plein grés. Oui bien sur, pour l’instant, jusqu’à ce qu’elle le vire comme les autres en fait. Elle allait devoir certainement changer de stratégie. Elle sentait qu’elle pouvait employer la manière forte avec lui, il n’avait pas l’air d’être quelqu’un comme les autres. Pourquoi ? Certainement l’alcool. Bizarre, elle avait l’habitude de boire, et cela ne lui avait jamais fait cette effet la. Elle se sentait toute molle, sans en perdre tout ce dont elle était faite. En silence, elle descendit son sixième verre. En fait, peut être devrait elle arrêter de boire tout simplement. Elle l’observât alors qu’il reprenait la parole.

OMBRE-Et y a-t-il autre chose que la chasse qui vous intéresse? Je vous préviens au huitième je décroche: la vodka a toujours était du plus mauvais effet sur moi. Il va falloir vous accrocher si vraiment vous voulez voir si je tiens la route pour un tas de trucs comme dit Jet.

Elle s’apprêtait à répondre, mais il continuât sur sa lancée. Alors elle avait bien sentit. Monsieur voulait se la jouer pas intéressé. Parfait, il fallait changer de stratégie. En gros, il allait la planter là, et cela, il en était hors de question. Il ne gagnerait pas a se petit jeu avec elle. Elle n’allait pas lui courir après, elle allait tout simplement lui faire ce qu’il prévoyait de faire lui. Elle hochât la tête avant de répondre.

Erika – Je dois avouer qu’il n’y a rrrien de plus excitant que la chasse, surtout quand la proie est intéressante.

Elle jetât un coup d’œil furtif à l’autre qui était occupée plus loin, avant de reposer son regard sur lui.

Erika – Seulement huit. Je pensais donc vrrrai... Vous ne tiendrrrez donc pas la rrroute à côté de moi. Mais, je m’accrrrocherrai, et je vous prrrouverez qu’il n’y a pas que vous qui tenez la rrroute dans plusieurrrs domaines.

Elle se servit un dernier verre, le moment de tirer sa révérence, de faire le plus beau effet, de le frustrer, de lui montrer que ce n’était pas parce qu’elle avait discuté avec lui ce soir, qu’il l’aurait direct dans son pieu, même si c’est ce qu’elle recherchait. Elle avait son plan, faire naître en lui la culpabilité de ne pas avoir poussé plus loin, et d’avoir perdu ‘occasion de la connaître. Bien sur, elle allait partir, mais elle n’irait pas loin. Elle savait qu’il ne mettrait pas longtemps à suivre, et elle attendrait tapie dans l’ombre. Mais cette fois, elle le surprendrait, elle n’irait pas par quatre chemin, et elle lui montrerait sa vraie nature. Il y aurait alors deux possibilités. Ou il était comme elle, et dans ce cas là, il apprécierait, ou il réagissait mal, et elle n’aurait plus qu’à le trainer dans un coin, et le finir. C’était une façon comme une autre de prendre son pied après tout.

Elle se servit un dernier verre, les desendit d’une traite. ET avec un clin d’œil, elle se redressât, se rapprochant de lui, elle murmurât :

Erika – Eh bien monsieur Winchesterrr, j’ai été rrravi de vous rrrencontrrrer. Nos chemin se rrrecrrroiserront un jourrr, et ce jourrr là, vous comprrrendrrrez.

Comprendre quoi en vrai ? Qu’i ne pouvait tout simplement pas laisser passer sa chance. Bien sur ce jour arriverait plus vite qu’il ne le pensait, puisqu’elle allait simplement attendre qu’il sorte du bar. Elle inclinât à nouveau la tête, dans une sorte de révérence, et sans un mot, elle se détournât, et passât la porte du bar, pour disparaître dans la nuit. Elle se callât dans un coin a l’ombre, disparaissant totalement. Elle attrapât son poignard toujours collé à sa cuisse, sentit l’odeur de la lame. Il ne lui restait plus qu’à attendre, certainement pas longtemps, mais il viendrait, elle le savait, et a ce moment, elle lui montrerait la vrai nature d’un chasseur.

AMORTENTIA – Seulement huit. Je pensais donc vrrrai... Vous ne tiendrrrez donc pas la rrroute à côté de moi. Mais, je m’accrrrocherrai, et je vous prrrouverez qu’il n’y a pas que vous qui tenez la rrroute dans plusieurrrs domaines.

Mes lèvres se plissent doucement aux comissures. Alors tu veux t'accrocher ma belle? Tiens toi bien dans ce cas. Je n'ai pas pour habitude d'être chassé. C'est moi le chasseur et je n'entends pas que ça change. Elle descend un dernier verre.

AMORTENTIA- Eh bien monsieur Winchesterrr, j’ai été rrravi de vous rrrencontrrrer. Nos chemin se rrrecrrroiserront un jourrr, et ce jourrr là, vous comprrrendrrrez.

Je l'observe qui s'éloigne. Joliment roulée la belle hongroise. Je sais qu'elle reviendra. Gérer le sérum m'a permis de cerner la clientèle. Je me penche lègèrement pour améliorer l'angle de vue. Divin.
Je me la ferais à l'occasion quand elle aura compris elle aussi.

JET-Yon chéri qu'est ce que tu fais?

Jet se penche par dessus le bar pour me caresser. En voilà une qui est amoureuse. Ca m'arrache un rire moqueur.

OMBRE-Je me rince l'oeil CHERIE!

Vas bosser et ne m'appelle pas chéri! Sentimentale à la con. C'est presque écoeurant. Encore si je lui avait magnifesté un quelconque intérêt. Même au pieu je ne vais pas jusque là avec Jet. De mon armée de serveuses ce doit être celle dont je suis le moins proche.

JET-Tu t'en vas déjà?

Mon portefeuille dans ma poche. Sans un mot je me lève. Descend le huitième. Je ne compte pas traîner là. Salut deux trois personnes.

02h24. Le frais de la nuit me remet les idées en place. La porte du Serum se refaire sur la foule des fêtards et le vacarme. Le clair de lune me ferait croire à un plein jour. Pourtant par endroits les ombres sont si épaisses qu'on croirait des tâches d'encre noire dans l'obscurité. Petites impressions de néant. Un sourire satisfait en repensant à...

...rictus. Elle me plaque au mur d'une ruelle sombre. Je sais déjà que c'est elle. Je reconnais son parfum. Sombre. Intense. Opium. J'en mettrais ma main au chaudron. Ou ailleurs.

AMORTENTIA-Que vois-je ? Un garrrde qui ne prrrend pas garrrde ?

Je penche la tête sur le côté autant que la lame me le permet. Ma carotide battante et offerte à sa morsure. Un petit sourire mi narquois mi blasé vient animer mon expression. Sans plus prévenir. Après un instant de silence.

D'une main puissante je la saisis à la taille, de l'autre au poignet. En un éclair les rôles sont inversés. Elle plaquée violement au mur. Mes doigts serrent si fort son poignet que je pourrais lui faire mal. Je la serre plus fort. Ses doigts lâchent prise sur la lâme qui tombe au sol. Intacte. Pas un stigmate de la chute. Sans la laisser je lui donne une impulsion contre le mur. Approche mes lèvres des siennes. Caresse sa gorge de mon souffle.

OMBRE-Qui a dit que je ne prenais pas garde?

Ma voix transpire le désir que j'ai pour elle. L'alcool. Encore. Sûrement. Je la tiens toujours entre moi et le mur. Seule sa tête est libre de ses mouvements. Le reste, son corps entier, parfaitement maîtrisé. Plaqué sous le mien. Sans échappatoire.

Ses yeux planté dans les sien, son visage tout proche de celui de Yon, elle observe, attend qu’il lui montre qui il est. Le silence règne, seule leur respiration se fait entendre. Elle aime se petit sourire narquois qu’il laisse planer sur son visage. Il penchât la tête autant qu’elle le lui permettait, l’étrangleuse toujours posé sur sa trachée, prête à trancher, mais elle n’est pas en position d’attaque, si elle avait voulut mordre, elle l’aurait déjà fait.

En l’espace d’un seconde, elle sent sa main saisir sa taille, l’autre agripper son poignet, et la situation s’inverse. Son dos percute violemment le mur, lui arrachant un sourire venimeux. Si elle avait voulut se défendre, elle l’aurait fait, mais elle se laisse plaquer sans résistance. La main de son assaillant serre plus fort sur son poignet. Elle le fixe dans les yeux, une lueur de défi passe derrière ses pupilles. Elle résiste, sa main serrant plus fort sur son poignard, mais la pression se fait trop forte, et ses doigts finissent par se desserrer, laissant tomber l’étrangleuse au sol dans un bruit mat. Son corps ne peu plus faire un mouvement, il la bloque de toute sa puissance, lui empêchant tout mouvement. En temps normal, cela aurait pu l’énerver, on ne touche pas a son arme, et encore moins on ne l’abime, mais elle sait qu’elle n’as rien, et il lui montre qu’il est aussi bien que ce qu’elle le pensait.

Une nouvelle impulsion refait cogner son dos contre la pierre, mais elle sourit toujours plus. Sa tête se rapproche d’elle, et une lueur d’envie passe dans ses yeux, mais il se stoppe à quelque centimètre. Elle peut sentir son souffle chaud dans son cou.

OMBRE-Qui a dit que je ne prenais pas garde?

Elle sentit une onde de désir monter en elle, mais cette sensation qu’elle peut ressentir au niveau de son estomac est… Agréable ma foi, mais étrangère a sa connaissance. Sans plus attendre, son corps ne pouvant bouger, elle rapproche son visage du sien, et viens fondre sur ses lèvres. Un baiser empli de hargne, démontrant sa nature féline, pas de douceur, simplement cette bestialité qui la caractérise. Alors qu’elle retire ses lèvres, elle accroche la sienne de ses dents, laissant apparaître une goutte de sang. Lentement, elle passe sa langue dessus, mais avec une impulsion, le force a le faire reculer et a la lâcher.

Sans le quitter des yeux, elle tourne autour de lui, et se baisse pour ramasser son arme. Elle l’observe dans tout les sens, pas une trace, elle n’est pas ébréché, il a eu de la chance. Elle la glisse à nouveau dans son étui, et se rapproche de lui, murmurant :

Erika – Tu as de la chance, quiconque touche ma lame, est en danger de morrrt. Mais pas toi… Non, tu es…

Mais elle ne finit pas sa phrase, et finit à nouveau par joindre ses lèvres aux siennes. La fin de sa phrase pour les curieux ? Tu est comme moi, un chasseur, et elle ne tue pas les chasseurs, ils sont beaucoup plus intéressant vivant que mort.

Ses lèvres me prennent d'assaut. Fougueuse. Combattive déjà là. Je la combats. Je l'embrasse comme pour la conquérir. Mais pas comme d'habitude. Pas comme quand je sens la partie gagnée d'avance. Comme si j'avais quelque chose à lui prouver. Bien la preuve que la vodka ne me réussi pas.

Quelque chose se vrille en moi. C'est une sensation étrange. Lointaine. Comme si la vipère que j'ai en dedans venait de se retourner sur elle même. Maintenant je dois la dévore. Elle me mord la lèvre au sang. Me repousse. Me goûte dans l'élixir précieux.

AMORTENTIA– Tu as de la chance, quiconque touche ma lame, est en danger de morrrt. Mais pas toi… Non, tu es…

Elle est en prédation. Je la défie du regard, sans quitter son emprise. Mais je suis fier et droit. Je sens l'ivresse et l'adrénaline monter en moi. Elle me revient. Plus désireuse encore peut-être. Je la prends. Mon souffle se fait anormalement puissant. Mon pouls se fait sentir à la carotide, anormalement emballé. Mes mains la caresse et la possédent. Mes lèvres la brûlent de désir et d'ardeur. Un instant. Je me sens corps sans esprit. Je ne fais que l'embrasser. Indécemment. Mais ce n'est qu'un baiser. Pourtant déjà je lui fais l'amour avec rage sur l'autel païen où mon self control achéve de se consumer. Quelque part entre mon désir et mon ivresse d'elle.

La Vodka? Peut-être pas seulement.

Je dois reprendre l'empire sur moi même. Encore un peu. Je lui arrache mes lèvres. Metant fin à ce baiser qui aurait pu nous mener à l'orgasme. Avant que je ne puisse plus me retenir. Avant que je ne lui arrache ses vêtements. Mon souffle va caresser ses seins fermes. Je me redresse. Un sourire triomphant aux lèvres:

OMBRE-Il me semble que la galenterie voudrait que je n'aille pas plus loin le premier soir...

Un murmure doux, limite indescent. Un murmure qui incite à la luxure. Je ne lui refuse pas encore un intant d'extase. Très court. Très intense. De quoi finir d'exiter tous ses sens si ce n'était pas déjà fait.
Puis brusquement je me retire.

Crac. Londres. 02h59. Mon appartement sur Mayfair Street. Putain Winchester mais qu'est ce qui t'as pris!

Lorsqu’elle joignit à nouveau ses lèvres au siennes, elle sentit le désir monter en elle. Son cœur s’accélérait, son souffle faisait de même, dans cette étreinte emplie de passion. Ce n’était qu’un baiser, et pourtant, elle sentait déjà en elle quelque chose de bizarre, l’amenant à le désirer plus fort. Il passât ses mains sur elle, elle frémit a se contact, se pressant contre son corps, passant une main dans ses cheveux, laissant trainer ses ongles sur sa chair.

Lorsqu’il se retirât, elle le fixât d’un regard intense, empli de passion. Elle le désirait, et sentait son pouls anormalement rapide. Elle avait trouvé un homme pouvant se monter a sa hauteur, ce qui ne rendait l’envie que plus intense. Un homme a sa hauteur. Qu’est ce que cela voulait dire réellement ? Un homme qui saurait lui tenir tête, mais ce n’était pas pour autant que quelque chose pouvait se passer, mais cette sensation qui la saisissait au creux des reins, ne lui disait rien de bon. Certainement la fatigue. Si seulement.

OMBRE-Il me semble que la galanterie voudrait que je n'aille pas plus loin le premier soir...

La galanterie. Au diable la galanterie. Elle faisait fit des convenances, mais d’un certain côté, le fait qu’il la quitte maintenant ne ferait que grandir en elle son désir de le recroiser pour approfondir le débat. A nouveau, il lui offrit ses lèvres, et elle partageât ce baiser court, mais intense. Un Crak, et il avait disparut. Elle se retrouvât seule dans le noir, mais un sourire s’affichait sur son visage. Elle savait qu’elle le reverrait, elle savait qu’elle avait déjà remporté un match, et la prochaine fois, la rencontre ne pourrait que s’annoncer juteuse.

3H00. Toujours le même sourire accroché aux lèvres, elle fit un léger demi tour, et transplanât chez elle. Lorsqu’elle se mit au lit, es rêves furent bizarrement emplis de coin sombre et de baisers échangés dans un coin. Quand on dit bizarre…