La vie est belle (pv)

Ashodèle venait de transplaner dans le jardin. Elle avait laissé Enrique. Pour elle se qui venait de se passer n'avait rien à voir avec de l'amour tel qu'elle en éprouvait pour Will et lui seul mais il y avait toujours eu cette espèce de besoin defusion ambigu pour les autres, naturel pour tous les deux.

Elle savait que Will ne comprendrait pas. Elle savait qu'il réagirait mal. Elle le savait.
Son amitié avec Enrique, il l'avait toujours tolérée mais pas plus. Elle savait qu'il ne comprendrait pas ça et elle ne lui en demandait pas tant pour le moment.

Enrique c'était son meilleur ami, son âme soeur au sens chaste du terme, Will c'était sa flamme, son âme tout court. C'était autre chose mais il n'y avait qu'Enrique pour comprendre ça.
Elle poussa la porte, il était là.

Content de la voir. Elle profita de cet instant. Il vint l'embrasser , il n'avait pas l'air ravi de la voir rentrer à cet heure mais il était ravi qu'elle soit là. Il déposa un baiser sur ses lèvres. Asphodèle sourit.

LILY- Will... j'ai embrassé Enrique. Il m'a embrassée et je l'ai embrassé.

Il n'y avait rien à dire d'autre. Enfin si:

LILY-Je t'aime Will. Toi et personne d'autre. Je sais que tu comprendras pas mais moi je comprendrai, quoique tu dises.

C'était maintenant que ça aller se passer. Elle ne pleurait pas. Elle c'était blindée. Elle le connaissait, elle savait...

William était dans le manoir. Après les récents évènement le seul truc qu'il avait envie c'était de prendre son épouse adoré dans ses bras. Elle ne tarda pas à arriver. Sourire. Enceinte elle était vraiment splendide. Un baiser sur les lèvres de Miss Tendre-Epouse et tout redevient merveilleux. Envolé les tracas. Heureusement qu'elle est là et qu'elle l'aime.

LILY- Will... j'ai embrassé Enrique. Il m'a embrassée et je l'ai embrassé.
IRRISISTIBLE ~ Très drôle ma puce, très drôle, dit-il avec un sourire.

Il passa une main derrière son cou et l'emmena vers lui pour lui faire un bisou sur le front. Qu'est-ce qu'elle pouvait être bête parfois. C'était grave. Mais il aimait telle qu'elle était.

LILY-Je t'aime Will. Toi et personne d'autre. Je sais que tu comprendras pas mais moi je comprendrai, quoique tu dises.

Aucune trace de plaisanterie de sourire sur le visage de sa Lily. Il se recula et l'observa dans les yeux. Son regard se voilà. Il venait de comprendre.
IRRISISTIBLE ~ Oh.... T'es sérieuse ! ....

Ces mots. Sans le vouloir c'était pratiquement les mêmes qu'elle avait prononcé le jour où il l'avait demandé en mariage. Ce jour où elle lui avait dit qu'elle croyait en eux . Qu'elle croyait en lui. L'avait-elle oublier ? Est-ce qu'un simple baiser d' Enrique avait suffi pour faire oublier à Lily tout l'amour qu'il lui porter ? Est-ce que depuis le temps elle n'avait pas compris qu'il se dévouer corps et âme pour elle ? Il avait appris à changer. Il avait sacrifier tant de chose pour elle. Et en contrepartie qu'est-ce qu'elle faisait ? Elle se laissait aller dans les bras d'un autre .... Au moment où il avait le plus besoin de son amour en plus ? ....

Tout s'écrouler autour de lui. D'abord le retour de son père. Puis Pandora. Ensuite le coma de Dakota . Et maintenant ça. C'était quoi la suite du programme ? Une balle en pleine tête ? Si c'est ça aller y ! Faite vous plaisir . Pour l'instant il a envie de rien. Ses yeux était perdu dans le vague. Fixait sur Asphodèle mais il ne l'a voyait pas vraiment. Elle avait promit de ne pas le trahir. Elle avait promit de l'aimer. Elle avait promit de lui être fidèle. Elle avait.... Asphodèle.... Comment avait-il pu se tromper à se point sur elle ?

Alors toute ses année il n'avait était qu'un boulet qui avait empêcher Enrique et Lily de s'aimer pleinement? Tout ce temps elle n'avait eut d'yeux que pour le latino ? Lui il n'avait était qu'un bouche trou ? Le gentil William qui ne fait que ce que sa belle veut ? Un lion apprivoisé ? Même plus capable de montré les crocs ? Non il ne voulait pas être comme ça. Un homme un vrai ne ressent rien. Il aurait dût s'en souvenir. Comme quoi chasser le naturel il revient au galop. Il aurait dut se souvenir que l'amour se n'était pas pour lui. Mais il y avait tellement cru. Il y avait cru et ça avait était le bonheur. Il l'avait cru et aimer de tout son cœur.....

Non. Il ne l'avait pas aimé. Il l'AIMAIT tout simplement. Parce que ce n'était pas un simple baiser qui allait éffacer tout l'amour qu'il lui portait. On n'éfface pas onze année de vie commune comme ça. Mais William avait besoin de prendre l'air. Il se sentait étouffer . Perdue. Entrainer dans un tourbillon dont il ne contrôler rien. Et un homme un vrai se contrôle toujours. Un homme un vrai ne ressent rien. Il souffrait rien que d'imaginer Asphodèle posant ses lèvres sur.... Non. Il préférait ne pas l'imaginer afin de ne pas être consumer de l'intérieur comme une flamme qui détruisait tout sur son passage. Il ne lui montrerait pas cette souffrance qui commençait à le bouffer de l'intérieur . Quitte à crever avec.....

Le calme régnait dans la pièce. Il baissa les yeux. Il n'avait plus la force de regarder cette étrangère qu' Asphodèle était devenu.

IRRISISTIBLE ~ Je vais faire la vaisselle dit-il froidement et en ne levant surtout pas les yeux

Il se dirigea vers l'évier de la cuisine. William ne faisait jamais la vaisselle. C'était une tache pour les femmes comme il se plaisait à le dire. Mais ce soir il allait la faire. L'eau commença à couler. Et il attrapa ce qui lui venait sous la main.

IRRISISTIBLE ~ J'ai vraiment des cas sociale dans ma classe cette année. Marc par exemple, alors celui-là franchement je sais pas ce qu'il va devenir. Tu te rend compte qu'il parait qu'il veut devenir ministère ou un truc dans le genre. Marc Ministre. Sa me fait bien rire. Ça c'est comme Rose et sa nouvelle lubie de devenir Aurors. N'importe quoi. Et toi ? Aucun annecdote de potion a me raconter ?

Il avait dit celà comme si de rien n'était. Comme s'il n'avait pas entendu la révélation qu'elle lui avait dite il y quelque seconde. Parce que c'était le cas. Un homme un vrai ne ressent rien. Il était en plein cauchemars. La vie est belle. Tout est parfait. William a vécu pire. Il survivra. Il ne s'est rien passer. Parce que c'était toujours comme ça qu'il fonctionnait. Quand quelque chose était trop intense en sentiments ou trop horrible il l'oublier. Il faisait comme si de rien n'était. Il se coller se masque de « je vais bien tout va bien » et la vie continuer.... C'était toujours ainsi....

IRRISISTIBLE ~ Très drôle ma puce, très drôle

Il l'embrassa sur le front et elle ferma les yeux de douleur. Parce qu'elle sentait son amour et qu'elle savait qu'il ne comprenit pas. Et elle l'en aimait encore d'avantage ce qui rendait la chose encore plus douloureuse.

IRRISISTIBLE ~ Oh.... T'es sérieuse ! ....

Oui elle l'était. Chaque geste, chaque pensée peut-être elle les devinait. Elle nlui dit rien, lui laissant le temps de respirer. Parce qu'il en avait besoin. Tout était si calme. Comme si la mort était passée par là et qu'il n'y avait plus rien à dire.

IRRISISTIBLE ~ Je vais faire la vaisselle

Elle voulut dire quelque chose mais aucun son ne sortit de sa bouche. Elle s'y était attendu, il voulait oublier ce qu'elle venait de dire, le nier mais il devait l'accepter parce qu'ils n'étaient pas des hypocrites. Parce qu'il ne pourrait plus être près d'elle tant qu'il n'aurait pas compris qu'il n'y avait que lui malgré tout, qu'Enrique ce n'était pas lui et ça ne le serait jamais. C'était simplement différent.

IRRISISTIBLE ~ J'ai vraiment des cas sociale dans ma classe cette année. Marc par exemple, alors celui-là franchement je sais pas ce qu'il va devenir. Tu te rend compte qu'il parait qu'il veut devenir ministère ou un truc dans le genre. Marc Ministre. Sa me fait bien rire. Ça c'est comme Rose et sa nouvelle lubie de devenir Aurors. N'importe quoi. Et toi ? Aucun annecdote de potion a me raconter ?

Non elle ne devait pas le laisser faire ça. Même si ça aurait été plus facile de faire comme si de rien n'était. Elle approcha et l'obligea à la regarder dans les yeux et à faire face:

LILY-Will!

Lily : Will

Will ! C'est marrant comment un simple mots peu vous faire autant de mal. Elle avait juste prononcé son nom. Et pourtant c'était amplement suffisent pour le faire sortir de son états d'aveuglement. Cet états dont il s'était mis consciemment pour ne pas souffrir. Il se retournement froidement vers elle tout en brisant une assiette en sol en même temps.

IRRISISTIBLE ~ Tait-toi, je t'en supplie tait-toi

Il avait parler d'une voix forte, froide et dénuer de tout sentiment a part la colère. La respiration saccader, et ses yeux fixer sur elle, il avait l'air hors de lui et il était rare de voir autant de rage dans son regard. La dernière fois qu'il avait était ainsi ça devait être à St Mangouste avec Dakota. Dakota.... Encore quelqu'un qui l'avait abandonner. William n'avait plus rien de gentillet ou d'amusant à se moment là, il semblait redoutable et prés à fusiller du regard tout et n'importe quoi. Ce n'était pas son tendre époux qu'Asphodèle avait en face d'elle, mais le Mangemort qui ne ressent rien.

Le petit garçon effrayait qui a beaucoup trop souffert et qui préfère se cachait pour ne pas souffrir, et qui garde en lui une boule de feu prête à explosé. Son monde était en train s'écrouler sous ses pied, et cette flamme continuait de le consumer de l'intérieur. Il aurait aimer prendre son envol et c'était comme si ses aile refusait de battre. La seule chose dont il était capable c'était de la regardait avec ce regard cruelle et plein de hargne. Comment avait-elle put....

IRRISISTIBLE ~ Tait-toi, je t'en supplie tait-toi

Il envoya l'assiette se briser au sol et sonr egard était soudain devenu si noir qu'il avait quelque chose d'effrayant, mais pas pour Asphodèle. Elle le connaissait aussi ce Will là. Elle savait qu'il était redoutable mais que c'était toujours Will. Un Will que peu de gens connaissaient.

Elle ne cilla pas lui rendant son regard, sans colère, sans fermeté, juste tel quelle. Asphodèle était blindée et lui borné et blessé. Ils n'étaient plus en état de se comprendre alors ils se fixaient comme deux fauves près à se blesser à nouveau mais il sn'en feraient rien. Ils étaint arrivés devant un mur dans leur relation.

[inspiration -> là et là ]

Irrisistible ~ Et tu ne dit rien ? Tu reste là à me regarder et tu ne dit rien ? Tu n'essaye même de te justifier ?

Il la regardé d'un œil sévère et plein de reproche. Il n'avait pas besoin de s'exprimer pour lui faire ressentir à quel point elle le décevait et il était blesser.

Irrisistible ~ C'était où ? Quand ? Combien de fois ? Est-ce que tu y as pris du plaisir ? Est-ce que tu as fait une dérapage métha ? Quel couleur il a ? Le rouge ? Le vert ? Est-ce que c'était mieux qu'avec moi ? Est-ce qu'il t'aime autant que moi je t'aime ?

Il disait d'une voix paniquait, presque suppliante. Il voulait tellement savoir, même si ça ne pourrait lui apporter d'en savoir plus. On aurait dit un dément. Une malade. Un fou. Et c'est ce qu'il était en quelque sorte. Un fou d'amour . D'amour pour elle. Il aurait donné son âme, son corps , sa vie, et son cœur pour la rendre heureuse. Il souffrait tellement. Chaque regard sur elle, sur cette étrangère était comme un poignard qui transperçait son cœur et qui chercher en s'insinuait davantage dans son palpitant qui saigner en silence. Sans elle, il n'était qu'un corps sans âme, qu'un homme sans cœur. Il lui avait offert le sien et elle l'avait piétiner. Il était désespéré et il n'était certain de pouvoir supporter bien longtemps la douleur, ni de pouvoir lui pardonner...

A ce cet instant il ne voulait plus la voir.... Il ne pouvait plus faire comme si de rien n'était. La douleur était trop intense. Des larmes coulaient sur ses joues sans qu'ils s'en rendent compte. Comme quoi il avait beau vouloir redevenir un homme un vrai, la transition ne serait pas si simple. Il s'approcha d'elle et lui attrapa les mains qu'il cola sur son cœur.

Irrisistible ~ Ecoute comme il bat pour toi. Ecoute. Est-ce que tu ressent cet amour ?....

Il eut un silence, seulement berçait par les sanglots de William.

Irrisistible ~ Ecoute bien parce que tu ne l'attendra plus !

Ses larmes s'était arrêter de couler et il poussa violament les mains d'Asphodèle. Il était cruel et méchant mais avant tout parce qu'il voulait qu'elle souffre autant que lui à ce moment là. C'était bête et idiot mais c'était comme ça. Il attrapa sa veste qui trainer sur un des fauteuil du salon et se dirigea vers la porte qu'il ouvrit. Il resta cinq minute à fixer à fixer l'horizon sans avoir le courage de faire un pas sans une vie sans elle. Puis finalement il se retourna vers la métisse.

Irrisistible ~ La seule raison qui m'empêche de ne pas aller casser la gueule à Enrique est le fait que c'est ton meilleur ami..... Mais dit lui de ne pas m'approcher parce que j'pourrait bien changer d'avis.... Soyez heureux.

Il claqua la porte et d'un pas rapide il s'éloigna rapidement.....

Le problème c'est que même si les gens les vois arrivait, il ne sont pas prêt à affronter des évènements de se genre.
Personne ne demande a ce que sa vie change.... pas vraiment... mais... elle change. Qui somme nous ? Des désespéré des marionnettes ? Non ! Des évènement essentielle vont se produire, et il n'y pourra rien., c'est qu'il fera après qui est important.... qui il saura enfin qui il est.... et qui il veut être....

Irrisistible ~ Et tu ne dit rien ? Tu reste là à me regarder et tu ne dit rien ? Tu n'essaye même de te justifier ?
Lily-Il n'y a rien à dire que je n'ai déjà dit Will.

Elle était dure pourtant elle aurait du y aller en douceur pour qu'il la pardonne. Mais il ne fallait pas qu'il la pardonne. Non il fallait qu'il comprenne et il ne pourrait pas si elle essayait de se racheter. C'était impossible. Pourtant ça aurait été tellement plus simple. Quoiqu'il en soit, elle n'était pas une étrangère, elle était sienne et sa pour toujours malgré toutes leurs blessures et toutes les colères.

Irrisistible ~ C'était où ? Quand ? Combien de fois ? Est-ce que tu y as pris du plaisir ? Est-ce que tu as fait une dérapage métha ? Quel couleur il a ? Le rouge ? Le vert ? Est-ce que c'était mieux qu'avec moi ? Est-ce qu'il t'aime autant que moi je t'aime ?

Comme s'il était question de comparer. On ne compare pas l'amour et l'amitié si forte soit elle. C'était justement ce qu'il devait comprendre mais de lui même parce qu'elle elle n'arriverait pas à le lui faire entendre. Pour le moment il renvoyait toute sa douleur, il était écorché vif et c'était elle qui avait fait ça. Ca lui faisait mal de le voir comme ça, mal à en creuver mais c'était comme ça. Il l'approcha et lui prit les mains.
Elle sentait son coeur battre si fort sous ses doigts et elle sut que c'était la dernière fois.

Irrisistible ~ Ecoute comme il bat pour toi. Ecoute. Est-ce que tu ressent cet amour ?....

Oui elle le sentait, et elle sentait chaque battement fermant les yeux comme pour les retenir, retenir cette sensation sur ses doigts parce que...

Irrisistible ~ Ecoute bien parce que tu ne l'attendra plus !

Il pleurait. Elle voulu essuyer ses larmes mais il la repoussa brusquement. Ca faisait très mal mais elle
devait l'accepter elle aussi. Elle devait le regarder partir sans rien dire et c'était dur pour lui aussi.

Irrisistible ~ La seule raison qui m'empêche de ne pas aller casser la gueule à Enrique est le fait que c'est ton meilleur ami..... Mais dit lui de ne pas m'approcher parce que j'pourrait bien changer d'avis.... Soyez heureux.

Comment pourrait-elle être heureuse sans lui? Elle ne pouvait pas lui dire ça. Elle ne devait pas. Tout ce qu'elle devait faire c'était aller fermer cette porte qui c'était réouverte derrière lui. Elle posa sa main sur la porte et y appuya son front, fermant les yeux.
Il y eut un instant de silence lourd.

HARMONY-Maman?

Asphodèle sursauta, elle passa une main dans ses cheveux pour y remettre de l'ordre et chasser l'expression qu'elle avait sur le visage.

LILY-Chérie? Mais...
HARMONY-J'avais un peu de fièvre alors papa m'a ramenée à la maison. Est-ce que ça va?
LILY-Oui, oui ça va mon ange.

Elle monta quelques marches vers sa fille et lui caressa sa tête d'ange. Elle avait les mêmes petites têtes que...

HARMONY-Maman?
LILY-Allez viens on va se coucher chérie.
HARMONY-Papa a dit qu'on pourrait allez au zoo demain, si j'avais plus de fièvre.LILY-D'accord mais pour ça il faut que tu ailles te reposer sinon demain pas de zoo.

Elle lui posa un baiser sur le front comme elles arrivaient devant la porte de la chambre de la jeune fille. Ella entra et disparut dans le noir puis d'un coup revint et serra sa mère dans ses bras.

HARMONY-Je t'aime maman.
LILY-Moi aussi je t'aime chérie. Allez file te coucher.
HARMONY-Dis...

Elle la regardait avec son petit air de "tu vas pas te fâcher hein", Asphodèle sourit doucement.

HARMONY-Papa m'a laissé dormir avec Cerbère, je lui ai fait promettre qu'il te le dirait pas.

Ce n'était pas si souvent qu'Ella avouait d'elle même lorsqu'elle faisait quelque chose qu'elle savait qui allait déplaire à sa mère. Asphodèle lui fit un petit clin d'oeil:

LILY-Ca sera notre secret, je lui dirais pas que tu me l'a dit.

Puis enfin elle poussa la porte de leur chambre mais elle ne put se résoudre à y entrer. Elle devait pourtant. Elle entra pris toutes ses affaires et les déménagea dans la chambre du bébé.

LILY-Oui je sais c'est ta chambre.', fit-elle avec un sourire alors que l'enfant qui grandissait en elle venait de lui donner un petit coup de pied.

Elle soupira pour évacuer cette boule qu'elle avait sur l'estomac, le noeud qu'elle avait à la gorge puis descendit dans le salon où elle s'endormit finalement sur le canapé.

.......................

HARMONY-J'peux entrer? Rhooo allez je sais très que vous dormez p... papa? maman?

Ben quoi? reflechi

Ben c'est bizarre ils sont pas là! D'habitude ils sont toujours là quand elle vient sauter sur le lit le matin. La vie est belle (pv) 500653

Qu'est ce qu'il y a Ella.
Elle sait pas. Une espèce de boule au ventre quelque chose qui passe pas, une intuition bizarre.

:aaah: Quoi? Quoi? Quoi?!!! C'est quoi tout ça dans la chambre du bébé?!!!!!!!
Ella ne se pose pas de question, elle dévale les escalier quatre à quatre et elle stoppe net. Sa mère est là sur le canapé. Enveloppée dans un grand chandail beige. Mais, mais...

HARMONY-Maman tu...

Les mots ne lui viennent pas! C'est tout simple. Ils ne lui viennent pas. Jamais elle n'a vu sa mère pas habillée (enfin pas habillée on se comprend hein goutte

elle est habillée mais pas habillée comme pour sortir) si tard le matin. Elle jète un regard circulaire. Elle panique un instant. Qu'est ce qu'il y a? Pourquoi? Pourquoi elle ne le sent pas? D'ailleurs c'était bien ça qui n'était pas normal. Son père l'aimait. Elle n'aurait même pas du avoir à se lever. D'habitude il était déjà là quand elle se réveillait le matin si elle était malade. Il venait la veiller. Il était là près d'elle. Tout le temps. Toujours, toujours.

HARMONY-Maman...

Ella est au bord des larmes. Non ça ce n'est pas possible. Elle n'a pas bien compris. Elle a raté quelque chose. Ou alors c'est la fièvre qui doit lui faire imaginer des trucs. Peut-être même qu'elle fait une crise d'angoisse parce qu'elle est malade.
Ella se jéte dans les bras de sa mère, en larme. Elle a besoin de réconfort. De sentir qu'on l'aime, elle en a tellement besoin.

Asphodèle serre sa toute petite fille contre elle. Elle la serre fort pour lui montrer à quel point elle l'aime, et elle veut qu'elle sache que son père aussi l'aime fort, et que ça ça ne changera jamais. Elle la serrait en la berçant doucement, embrassant sa chevelure d'or.

LILY-Pleure pas mon bébé, pleure pas.

RP TERMINE

» Par une belle nuit d'Hiver, une belle histoire commence...
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» Absence de la belle, de la magnifique: votre rein... Zbaf!
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