Horcruxes - Les Reliques de la Mort
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
-20%
Le deal à ne pas rater :
-20% sur le Lot de 2 écrans PC GIGABYTE 27″ LED M27Q
429 € 539 €
Voir le deal

 

 Guarden Force* -

Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
Invité




Guarden Force* - Empty
MessageSujet: Guarden Force* -   Guarden Force* - Icon_minitimeDim 6 Avr - 18:37

-
-

Guarden Force* - UC



JAIME (RAÏME), MIGUEL ALMADOVAR - GUARDEN FORCE


________________________________________________________________________ To Yuki, I Hate You, Mum... Forever...

    ___« Il est partit, tu n'étais pas là. Il ne reviendra peut être jamais, et tu m'as quitté. Je te hais, et ceux, pour la vie. Tu es partit te retrouver, moi, je reviendrais en Angleterre quand j'aurais fais ton dueil. A partir de maintenant, Maman... Tu es morte et tu n'existes plus en mon sein. Tu ne porteras que le nom de génitrice en ma présence, et je ne veux plus te voir. Tu sors de ma vie... Comme tu es sortit de celle de mon père... Non pas par tes mots, mais par tes actes... Tu lui avais promis... T'es foutue. Je te hais. Tu es partit. James est mort. Longues vie à Jaime... Longues vie à Jaime... Je devais naître et avoir ce nom... Papé me l'a donné... Devant Papa qui dormait... Je ne suis plus Harada... Je suis pleinement Almadovar. Adieu Maman... Adieu Yuki Harada. Maintenant, je commence une vie sans toi. »
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




Guarden Force* - Empty
MessageSujet: Re: Guarden Force* -   Guarden Force* - Icon_minitimeMar 8 Avr - 10:56

-
PAPA ? DONDE ESTAS ?


    Manoir Almadovar, Acapulco, Mexique.

Son père était là. James ne pouvait s'empêcher de rester assis dans ce fauteuil à veiller sur ce dernier, se passant de manger, de boire même si on ne lui amenait pas directement de quoi manger. Et encore, les assiettes, il y trempait deux ou trois fois sa fourchette dedans pour la reposer ensuite sur une petite table à côté. Il buvait trois ou quatres gorgées d'eau, puis, il se relevait toujours pour s'approcher de son père. James faisait toujours ce petit rituel, jusqu'à ce qu'on vienne le prendre pour le mener à son lit alors qu'il était déjà endormi. Il s'agenouillait, le rebord du lit au niveau de la taille, puis, il prenait la main de son père entre les siennes et il attendait. Son regard rivait sur le visage de ce père qui, malgré que ce soit le plus beau des cons, avait toujours été présent, toujours été à ses côtés, toujours pour lui montrer un chemin, non pas en parlant avec lui, mais par sa simple présence et son charisme. Diàz entra dans la pièce. Ce dernier semblait moins épris par le problème qu'avait leur père, essayant de rendre les gens de bon humeur malgré tout. James l'avait souvent regardé faire, et il n'avait pu s'empêcher de le prendre dans ses bras plus d'une fois. Et à chaque fois, Diàz lui posait cette question, la peur dans la voix. Une question qu'il ne posait qu'à son frère : Est ce qu'il va se réveiller, Papa ? Et inlassablement, mais n'y croyant pas, il lui répondait que oui. Que ce n'était juste qu'une question de temps, et que quand il se réveillerait, il trouverait le moyen de les faire chier en les punissant et tout... S'ensuivait après des punitions imaginées où cela finissait toujours en éclat de rire, avant que l'un d'eux ne dise : Non. Papa, il ne punie pas. Diàz qui disait à chaque fois : Ma fesse droite s'en souvient encore... James était plus qu'heureux de l'avoir près de lui. Il était conscient que lui et son frère se rapprochait énormément de par le coma de son père, et il ne pouvait s'empêcher de penser qu'il y avait au moins une bonne chose de faite, à tirer de cette expérience.

-
Hola !
- Hey...
- J'ai dis à Pape que tu avais reçu une lettre de ta maman. Il m'a dit qu'il l'avait lu. Tu le savais ?
- Oui... C'est moi qui lui ait fait lire. Répondit il à son frère sans relever le regard du visage de son père, qui dormait avec une sorte d'apaisement bien serein.
-
Elle dit quoi ?
- Du blabla...

Lorsqu'il répondit, on avait presque l'impression que ces quelques mots retenaient un sanglot. Son petit frère s'approcha de lui, lui caressa la joue avec douceur, avant de la retirer et de dire à son frère, comme pour tenter de lui remonter le moral.

-
Comme tu piques.... T'es un porc-épique !
- Je suis juste épique... Fit il avec un sourire, ravi que son frère est trouvé un sujet de conversation différent. Diàz avait éclaté de rire.
-
Espèce de Dakota !

Les deux gamins éclatèrent de rire. C'était peut être l'une des premières fois depuis quelques semaines où on les entendait rire avec tant d'engouement d'enthousiasme. Les deux gamins en pleuraient presque. A nouveau, une silhouette passa devant la porte. C'était le Grand Père. Les deux gamins arrêtèrent de rire, reportant leur visage sur celui du père. Miguel entra dans la chambre, les mains joignit devant lui, pour s'appuyer sur le rebord du lit. Il regardait les deux enfants avec un air extrêmement paternel.

-
Il est pas interdit de rire, en ma présence...
- On a l'impression d'être déplacé à chaque fois.
- Et en quoi ?
- Bah, James veut dire que...
- Jaime. Coupa Miguel, avec son fort accent Mexicain.
-
Hein ? Firent les deux frères en même temps.
-
C'est qui Jaime ?

James s'était tût. Il bloquait du regard celui de son grand père qui l'impressionnait temps. Ce dernier contourna le lit pour s'approcher de son petit fils, le plus âgé, puis, lui posant la main sur l'épaule avec douceur, il lui dit :

-
C'est lui, Jaime.
- Non, c'est James !

James laissa tomber son regard et son visage sur son torse, avant de reposer le regard sur son père. En son ventre, il sentit une profonde chaleur s'emparait de son corps d'adulte, avant de sourire bêtement. Il lâcha la main de son père, puis, se levant, il se tourna vers son grand père qui le saisit contre lui.

-
Tu es mon petit fils. Je ne laisserais plus cette famille gérée par elle. Tu es un Almadovar. Pas un bâtard.

Les mains de James serrèrent un peu plus fort le corps de son grand père, qui, malgré l'âge, conservait toujours cette même stature que son père avait. Grand, ténébreux, et surtout rassurant. Diàz eut un sourire radieux et il ne put s'empêcher de dire :

-
Youhou ! Papa va être content ! Il dit que les femmes doivent pas géré !

James éclata tout bonnement de rire à la suite de la connerie de son petit frère. Quelques larmes de joies avaient coulé le long de ses joues tandis que Miguel continuait d'enlacer son petit fils. Lorsqu'il avait rit à la bêtise de Diàz, les deux enfants ne purent s'empêcher de se regarder et de se faire un léger clin d'oeil. Miguel lâcha Jaime pour le prendre par les épaules, et il lui fit un sourire pour lui dire :

-
J'ai changé ton acte de naissance. En Angleterre, c'est également la même chose. Tu t'appelles Jaime, Miguel, Hikaru Almadovar.
- Hehe... Mon frère est un con maintenant !

Les deux hommes se tournèrent vers Diàz qui affichait son sourire candide mais dont on percevait dans son regard une certaine malice.

-
Bah quoi ? Il est des notre non ?

Miguel éclata de nouveau de rire, puis, s'approchant de Dakota, il lui baisa le front avant de faire un signe de croix vers la croix qu'il y avait d'attacher au dessus du lit, avant de se retourner et d'embarquer ses deux petits fils, chacun sous un bras.
Revenir en haut Aller en bas
 
Guarden Force* -
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Horcruxes - Les Reliques de la Mort :: <font COLOR=white>CORBEILLE [RP]</font> :: Poudre de Cheminette :: Autre-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser