Chasse au clair de lune. [PV] ~ [Terminer]

Coule dans ses veines t’elle un poison additif a la mort. Prolonge ses membres du haut jusqu'au bas. En passant par ses yeux, doux regard pourtant si cruel. Ce doit être ceci qui là attirer en premier. Elle était seule sur le trottoir assis sur un banc attendant son autobus qui la conduirait sans doute chez elle pour une seconde soirée calme comme a son habitude.. Cette sorte de soirée bien connue des célibataires. Il n'avait fallu qu’un souffle qu’un regard, qu’une seule respiration pour qu’il puisse attirer son attention.. Et elle l’avait fait, au si comme si elle en avait le choix. Quand cela fait plusieurs année que vous n'avez pas côtoyer la chair pure et dure, c’est difficile d’y résister, et lui il le s’avait. Il le savait pour l’avoir user tant de fois, cette technique un peu facile, mais lorsque la faim se fait sentir, on ne cherche pas l'extravagance mais la rapidité.

Dans ses habits qui lui donnait une certaine classe, détaillant son corps bâti, sa tête décoiffer sortant d’un haut collet monté broder à son long manteau sombre, il n’avait qua peine tourner l’œil vers elle pour qu’elle décide de le suivre. Dans un jeu sensuel, les effluves de parfum naturel torride de l’homme voltigeaient dans l’air jusqu’a ses nasal pour inciter la décadence. Un regard derrière lui peu subtile suivi d’un sourire a son intention, un pas qui se voulaient plus pressant tandis que le rythme cardiaque augmentait au même battement que l’envie. Un jeu de séduction un arrêt coquin sur le bord de la rue, un second regard a son intention suivi de ce petit sourire qui se voulait si craqueur.. Un hochement de tête pour lui faire signe de continuer à le suivre, avant d’entrée dans une ruelle mal éclairer..

Inconsciente du danger.. Non, elle s’était bien arrêter un instant devant l’obscurité de l’endroit.. Aussi bien se faisait-il charmeur, qu’elle ne le connaissait pas.. Voyou, sans doute pas, vu ses habits, il devait appartenir à la classe des riches, un homme qui voulait s’amuser cherchant une femme pour passer une nuit torride. Et puis, qu’est-ce-qui l’attendait de mieux chez elle.. Un vieux téléroman qu’elle aurait sans doute déjà vu une centaine de fois, ses pantoufles rose en forme de pate de yéti qui lui donnait un petit style sexy dans son pyjama.. Et un bon gros sac de pop-corn, pour remplir son petit estomac.

Elle avait le droit de s’amuser-elle aussi.. Et a vrai dire, l’homme qui s’emblait en tout sens avoir craquer pour elle était des plus séduisant. Un homme de choix qui pourrait la faire monter au 7ieme ciel. Une histoire a raconté à ses collèges de travail pour les rendre jalouse tandis qu’elle prononcerait doucement dans un chuchotement distrait le nom qu’il aurait bien voulu lui céder.

L’envie avait eu raison d’elle.. Son pas lent pénétrant dans l’obscurité guidée par se mystérieux regard cristallin illuminant à la faible lumière de la lune. Elle pouvait presque déjà sentir la chaleur de son corps, le souffle chaud de son halène sur elle.. Elle en rêvait, extase avant même le début de l’acte.

Un sursaut quand il l’agrippa par la taille, léger tremblement lorsque ses lèvres se déposèrent sur sa gorge. Il ne parlait pas, il ne disait rien.. Elle laissait ses mains se balader en douce caresse sur elle. Elle.. Elle le laissait jouer à son jeu, ne brancha même pas lorsqu’il la plaqua violement contre le mur de béton de l’un des bâtiments. Doucement mon louloup dit-elle large sourire au lèvre sans avoir la moindre conscience de la profondeur de ses mots.

Mais il était déjà trop tard.. Au moment ou elle avait quitter le banc, choisi de ne pas prendre cet autobus qui lui aurait donner la chance de rester en vie, elle avait fait le mauvais choix. Elle était déjà décéder.

Scelle ton destin tout contre le mien douce neige, vient suis-moi jusqu’au porte de la mort, que je te montre le paradis..

Caresse, frissonnement dans l’obscurité… []

En hauteur, un oiseau regarde la chasse en cours. Une forme sombre, lourdement encapuchonnée. Deux yeux métalliques sont visible sous le vêtement.

Un bruissement imperceptible pour le louloup. Ryan est affamé ce soir, ca parait. Sa louloute n'est pas dans les parages, sûrement en train de bosser à la tête de sanglier.

Les moutons resteront mouton. Gibier facile à leurrer mais sans aucun éfi, sans aucune satisfaction. Il doit rester prudent et discret l'oiseau. Faut que les rumeurs s'épandent, mais ne faut pas que ca se vérifie. Bref, un truc à vérifier avec son copain de chasse avant. Mouvement.

Scelle ton destin tout contre le mien douce neige, vient suis-moi jusqu’au porte de la mort, que je te montre le paradis..

Scelle ton destin avec le mien douce vierge. Suis moi jusqu'aux portes du paradis que je te montre l'enfer.

Plus loin dans la ruelle, une silhouette ténébreuse, noire sur fond noir. Méconnaissable pour qui ne sait pas renifler.

Ricanement strident de la femme au oreilles du loup tandis que sa langue passe tout près de son oreille pour la gouter.. Plaque son corps un peu plus sur le mur de brique, son bassin se collant à ses fesses, il tasse une mèche de cheveux qui se balance devant son visage, pure conne qui se prend un plaisir avec lui. Il ne parle pas, renifle le parfum de ses cheveux, lèche le long de sa nuque, goute et savoure l’enrobage de son diner. Arrogante elle lui attrape l’entre jambe, grognement mal interpréter de sa part en réponse a l’acte.

Elle a un mince soupire, tasse sa main et ricane à nouveau. Pour elle ce n’est qu’un jeu. Pour elle.. Il veut mener le bal, mais sa ne la dérange pas.. Entre ses bras, elle se sent en parfaite sécurité. Confiance absolue en lui, si bien que son petit sourire ne peut s’effacer de son visage. Et puis une question.. N’a-t-il pas prit le temps de la contempler avant de la choisir. A bien y penser.. Il n’avait fait que passer et elle l’avait suivi. Et dans cette obscurité, il ne pouvait pas réellement la regarder.. Faisait-il partie de son jeu.. Passer un moment torride avec une inconnue pour voir à la fin en détail son visage lorsqu’il sortirait de la ruelle..

Peut importe, pour l’instant elle se laissait balancer par le flot du moment, son esprit bien loin de tous soucis, ses questions s’évaporant dans la nuit.

Le loup inspire à nouveau l’air, prend une bouffée parfumer de l’arome de la chair, mais se fait déranger par quelque chose de commun. Un regard de bief dans la ruelle, une ombre lointaine s’affiche vaguement. Il sait bien qui incruste ainsi son repas.. Il le sait, mais le gout n’est pas au partage. Nouveau grognement, la femme vient pour se retourner, cherche d’où vient le malaise de l’homme, mais il lui en n’empêche la colle un peu plus contre le mur tenant son visage face à l’autre direction.

Vien..

Il ne parle pas beaucoup, mais sa voie est charmante se dit-elle.. Une pincée sensuelle, plus du fantasme que de la réalité. Car sur le moment, Malhorn a arrêter son petit jeu, agrippant la femme durement par le bras, il l’attire hors de la pénombre a la clarté des lampadaires sans pour autant se retourner vers elle. Son regard froid balayant les maisons qui longue la rue, il semble chercher quelque chose, surement une endroit plus enclin a continuer leur petit jeu. Elle le suit, bien que sa poigne lui fasse un peu mal, cela prouve qu’il a de la force, de l’endurance, qu’il pourra subvenir à tous ses désirs le temps venu.

L’homme trouve enfin ce qu’il cherche, un escalier donnant sur un appartement plus bas que l’auteur du trottoir. Le balcon du premier étage faisant ombre sur la place, leur procurent toute l’intimité voulue, elle lui donne un baiser sur la joue, pour glorifier l’intelligence de son choix.

Pour sa part, il ne branche pas, reste de glace devant les agissements de la femme, et la balance quasiment dans le trou la bousculant dans l’escalier pour qu’elle se dépêche. Elle lui dit de prendre son temps, mais voilà qu’à nouveau elle est coller contre un mur de ciment. Le temps il n'en a pas.. Il sait qu’ici il le retrouvera.. Il veut tout simplement avoir le temps de la marquer, dire avec précision "elle est à moi".

Cette fois-ci ses geste ce veule plus brutaux, plus douloureux. Elle commence à moins apprécié la tournure de leur jeu... []

L'oiseau suit le loup... Pas comme un vautour, mais comme un rapace curieux. Silencieusement, forme indéfinie dans des ténèbres tout aussi indéfinies, il suit Malhorn. Le voit aller au semi sous sol.

Une course silencieuse, Imperceptible, il saute sur le balcon du premier et se poste accroupi sur la rembarde. Loin de lui l'idée de gâcher le souper du lycan, alors seulement mène t il une veille muette pour que Malhorn ne soit pas dérangé.

Des volûtes de ténèbres liquides s'enroulent autour de Ryan et de son dîner. Sans lui couper la vue de la dame, ils font de discrets rideaux qui le cache des occupants potentiels de l'appartement et des passants potentiels de la rue.

Il était devenu trop tard, trop tard pour reculer, trop tard pour sans-aller. Bien qu’elle se débâtait, son emprise sur elle était trop forte, il la tenait, l’avait stabiliser, dénuder de ses vêtements tandis qu’elle frémissait d’horreur et de froid. Autour d’eu un voile obscur s’était abaisser, l’homme n’en avait pas conscience mais elle si, lorsqu’il la retourna vers lui, son regard terrifier devant les pupilles sombre entourée dorée. Pure folie qui l’avait mener dans ce jeu. Cette folie qui lui avait couter la vie.

Les dents de l’homme pénétraient la chair, le sang coulant le long de son torse. Assez vite elle ne brancha plus, trop fatiguer se vidant de sa chaleur et de son sang. Coucher face contre sol, le dos ouvert, dans un craquement sourd de sa colonne vertébrale qui se faisait doucement décortiquer.

Quand il eu fini de se nourrir, il attrapa le pan de la robe de la jeune femme s’essuya du liquide rougeâtre dont il était enduis, jeta un dernier regard a la carcasse méconnaissable de sa victime puis se rhabilla à toute vitesse sortant de l’entre obscur. Un coup de baguette derrière lui pour faire disparaître tout trace de son passage. Il resta un moment de dos a l’oiseau percher.

Qu’est-ce qui me vaut ta visite ?

L'oiseau ne s'était pas caché, loin de là. Comme par respect envers le loup garou, il ne l'a pas interrompu en plein milieu de son repas. Il y a un minimum de savoir vivre.

Qu’est-ce qui me vaut ta visite ?

L'ombre de la cape est floue, mouvante, idéfinie. Il y a un truc pas humain dans la facon de se tenir ainsi, légèrement, sur la rembarde.

Faut une raison pour hanter les vivants? A moins que tu ne lise carrément pas le journal. Ca ne m'étonnerais pas remarque.

Il se jette en bas, se réceptionne souplement. Se dépliant, les yeux métalliques rencontrent le cristal du lycan. Pas de mensonges ni de faux semblants entre eux, l'odorat révèle tout.

Faut une raison pour hanter les vivants? A moins que tu ne lise carrément pas le journal. Ca ne m'étonnerais pas remarque.

L’homme tourne l’œil en direction de la voie, relâche la gorge et ricane un moment.

Tu parle de l’article ou on te voie la tranche en première page mec. Fahie verser une larme. Belle statue.. Dommage je l’aurais bien afficher dans mon salon..

Une main longeant l’ouverture du manteau pour boutonner celui-ci.

Jpense que si tu creverait.. Sa serais sans doute pas se batard de winchester qui me l’apprendrait.

Un coup de baguette vers sa seconde main, et un chapeau haute forme apparaît dans celle-ci avant de se faire déposer sur son crane.

Sans compter que je doute qu’il soit capable de reconnaître un inférie avant que celui-ci lui aille dévorer la moitié dsont cerveau. Plume à papote oui.. Un air de dédain sur le visage.

Arf, peut importe.. Ta prit du temps avant d’apparaître. A vrai dire jt’attendait.. M’étonnerais tu taille fait passer pour mort sans aucune raison.. Ta quelque chose pour moi ?

Passant.. sympa d'avoir attendue je finisse de dîner. Question de politesse.

Tu parle de l’article ou on te voie la tranche en première page mec. Fahie verser une larme. Belle statue.. Dommage je l’aurais bien afficher dans mon salon..

Si tu la veux absoluement, on peut aller te la chercher, je te pensais pas fétichiste Malhorn.

Sans se retourner, il laisse Malhorn boutonner son manteau avant de commencer à marcher.

Jpense que si tu creverait.. Ca serais sans doute pas ce batard de winchester qui me l’apprendrait.

Un moment de silence. Il le laisse finir de s'arranger.

Sans compter que je doute qu’il soit capable de reconnaître un inférie avant que celui-ci lui aille dévorer la moitié de son cerveau. Plume à papote oui...Un air de dédain sur le visage. H

Winchester a du talent pour manier les mots. Ca va me servir... Plume à papote ou pas, l'opinion publique est importante.

Arf, peut importe.. Ta prit du temps avant d’apparaître. A vrai dire jt’attendait..
M’étonnerais tu taille fait passer pour mort sans aucune raison.. Ta quelque chose pour moi ?

T'a l'exclusivité. Je te demande le secret... Je dois rester mort pour la majorité du monde...

Passant.. sympa d'avoir attendue je finisse de dîner. Question de politesse.

Wais, mais bon... Je suis venu voir si tu avais encore à faire avec les mangemorts.

Dit la silhouette d'un ton de voix sec.

Wais, mais bon... Je suis venu voir si tu avais encore à faire avec les mangemorts.

L’éclat cristallin sous la bande ombrée que forme le chapeau sur son visage tourne vers l’acier.
Bien que le pas reste sensiblement le même sur la chaussée, son regard lui montre bien son mécontentement face à cette question. Il est vrai que son départ a été fait dans la plus grande discrétion, ne voulant pas mettre en danger la meute qu’il le suivait t’elle un chef dans le passée. Décidemment, il avait réussi, si Halewyn n’en avait pas entendu parler.. C’est qu’il avait scalpé les bonnes langues au bon endroit.

Les mangemorts peuvent bien continuer à contempler leur petit rêve ignoble de gloire et de conquête.. J’en est rien a fichtre. Je dois plus rien a Mustang !

Le regard se replace vite devant lui, froid et soutenue.

Bien...

Répond l'assassin.

Parce que j'ai à faire avec Mustang. Sa tombe est déjà réservée... Mais il y a des dommages collatéraux que j'aime mieux éviter.

Un silence.

Installe toi au plus vite à la tête de sanglier. Et fais attention, ya une meute d'importés qui est apparue. Les Orlov. Ils prônent le sang pur lycan et sont mangemorts... Tu devrais leur rendre visite. Histoire de savoir sur quel pied danser avec eux.

Un autre silence.

Si t'es dans le trouble et que tu as besoin d'aide, on sera pas trop loin.

Parce que j'ai à faire avec Mustang. Sa tombe est déjà réservée... Mais il y a des dommages collatéraux que j'aime mieux éviter.

Sourire au coin des lèvres, pincement muet d’excitation comme s’il aurait voulu plus en s’avoir sur cette réservation. Mais connaissant le phénix, poser des questions a ce sujet ne servirais sans doute a rien.. De toute façon ce n’était pas lui qui était venu le voir, il y avait autre chose en jeu..

Installe toi au plus vite à la tête de sanglier.

Devait-il le prendre plus comme un ordre ou un conseil.. Malhorn lâcha un regard en coin questionnateur tandis que son écoute était tout oui au propos de l’assassin.

Et fais attention, ya une meute d'importés qui est apparue. Les Orlov. Ils prônent le sang pur lycan et sont mangemorts... Tu devrais leur rendre visite. Histoire de savoir sur quel pied danser avec eux.

Si la question par rapport au mangemort un peu plutôt poser l’avait contrarié, ce qui venait d’être dit avait fait exploser un câble dans la tête du lycan. Pour avoir si bien protéger son territoire de toute infiltration depuis les dernières années, voilà que la vue d’une nouvelle meute récemment installée, surement ayant profiter de son absence pour le faire avait eu lieu. Et des mangemort en plus. Mustang avait donc trouver des sois dit en .. Remplaçant ?

Le pied.. Quand j’m’aurai occuper d’eu leur pied leur serons bien peu utile là où il serons rendue ! Et des mangemorts en plus.. Racaille sous racaille.

Si t'es dans le trouble et que tu as besoin d'aide, on sera pas trop loin.

Tu le sais.. Je ne mélange pas mais affaire avec celle des sorciers. Doit être pour sa que Mustang a prit une place bien loin de mon cœur ses dernières années.

Silence, réflection..

Mais si jme trompe.. Ta dit.. « On » .. On qui ? Tes rendue en équipe maintenant ?

Un réverbère éclaire un sourire étrange.

On... qui on... On moi...et on moi mec, tu m'a oublié mon louloup?

Une odeur de cendres attaque Malhorn direct aux narines. Le voilà le ''on'' Hale et Phoenix. Phoenix qui semble avoir pris de la prestance et de la puissances ces derni`res années. Le chaos et la mort entoure l'inconnu.

La question est là. Ryan a t il déjà réellement connu l'individu à ses côtés? L'individu qui se pose comme allié à sa meute?

On... qui on... On moi...et on moi mec, tu m'a oublié mon louloup?

Les pupilles se dilatent tandis que l’air autour tourne au cendrée.

Ha.. Ouais. Pas oublier.. Tout simplement.. Pas encore habituer à votre.. Dison.. Façons de parler de vous a la deuxième personne..

Comme si lui parlait de son cotée lycan ainsi.. Peut importe, il ne jugeait en rien les agissements de Hale, sa lui donnait un petit coté.. Psychiatrique. Amusant. S’il aurait prit le temps de comprendre le lien qui rattachait Hale à son colocataire, sans doute ferait-il plus amplement la différence entre ses deux personnalités distinctes. Mais pour lui, cela n’avait que trop peu d’importance.. Si l’un meurt l’autre meurt aussi.. Il son lié.. Voilà tout.

Heureux de te parler.. Et merci pour le coup de main.. jy penserai si j’en éprouve le besoin.
Peut importe, il y avait autre chose ? Ou tu voulais tout simplement m’avertir pour les lycans..

Heureux de te parler.. Et merci pour le coup de main.. jy penserai si j’en éprouve le besoin.
Peut importe, il y avait autre chose ? Ou tu voulais tout simplement m’avertir pour les lycans..

Non, fais attention à ta peau...

Une simple pression sur l'épaule du lycan. Un bruit là bas lui tourner la tête. Quand il reporte son attention sur ou était la silhouette, elle n'est plus là.