Maelya décidât de découvrire un peu sa nouvelle école , elle descendît au rez-de-chaussée et sortit dehors s’aéré un peu. Il faisait assez froid ce qui n’enjouait pas Maelya. Un vent frais soufflait sur les arbres cela créait une espèce de musique presque magique et envoûtante. Maelya ferma les yeux et plongea dans l’abîme de ses pensés . L’aire s’engouffrait dans son uniforme et travers les mailles de son écharpe au couleur de sa maison . Maelya frissonna et rouvrit les yeux pour se balader un peu dans le parc en admirant tout ce qui l‘entourait. L’herbe verte agressait les yeux de Maelya qui n’en avait jamais vu d’aussi vert, car a vrai dire chez elle l’air était sèche et presque brune sûrement son père n‘entretenait pas bien le château et le jardinier avait presque cent ans.
Elle s’agenouilla dans l’herbe et toucha les brindilles leurs douceurs chatouillait sa main glacée. Elle se releva et continua sa balade a travers le parc. Elle trouva alors une place sous un arbre qui laissait une vu sur tout le parc , elle s’essaya et regarda tout les petits groupes d’élèves , elle fut un peu énervé de voir autan de personne rire et parler gaiement ensemble alors qu‘elle était toute seul mais elle commençait à avoir l‘habitude. Elle sortit de sa poche un petit livre noir qui ne la quittait jamais. Elle l’ouvrit sortit un crayon et commença a esquissé les élèves et le plante qui lui plaisait . Sa main agissait presque toute seule , elle avait déjà dessiner plusieurs visage très expressif , et l’arbre qui lui faisait face, elle commençait un nouveau visage la main engourdit par le froid .
Au loin elle pouvait voir l’immense battisse qui trônait où dans quelque heur Maelya serait toujours seule en train de manger ou en train de traîner dans les couloirs. Elle venait d’arriver et personne ne lui avait adresser la parole , mais elle espérait que cela passe , et qu’elle trouve des gens bien avec qui passé du temps.